DANAE ESCAMILLA ► Juliana Herz

naissance
cri perçant, strident. le premier qui sort, parce que danae elle passe toujours avant tout. avant tout le monde. l’arrogance déjà née dans ses mimiques le 21.03.1996 en Espagne, Madrid.

nom(s) & prénom(s)
escamilla qui fait courber l’échine. patronyme qui impose trop fort, beaucoup trop lourd à porter. danae, bourgeon romanesque, épineux. les piques vénéneux, vénérés qui laisse l’infection grignoter les entailles.

nationalité(s)
nationalité espagnole, green card entre les doigts grâce à papa.

origine(s)
sang presque pur, l’Espagne monarchique qui coule dans les veines est imposant. son arrière grand père, vient du Costa Rica.

orientation sexuelle
tentée de dire personne, danae qui se suffit à soi même mais l’attirance penche pour les hommes.

statut amoureux
solitude incarnée, pas le temps ni le coeur à s’amouracher. danae elle veut pas d’électron libre qui viendrait bouleverser son équilibre. froideur qui rend cadavérique, la glace qu’on ne sait pas briser.

études
elle s’est lancée dans le business, gouvernement et économie international. danae qui rêve de tenir le monde entre ses doigts gracieux.

bourse
pas besoin quand on est l’élite mondiale. papa achète tout et n’importe qui pour les beaux yeux de sa fille.

statut social
beaucoup trop riche, née dans un berceau doré, princesse invétérée.

job étudiant
pas le temps de se mélanger aux misérables. danae elle voit les choses en grand, elle a investit en bourse. passionnée par les chiffres et l’argent, elle a le flaire pour miser sur les bons chevaux.

maison
pforzheimer house. pourquoi ? parce qu’elle englobe toutes les aspirations de danae. le succès, le sommet, la réussite. la poupée sans défaut, robotisée dès la naissance pour suivre la gloire de papa. danae qui taille son image dans la roche, qui laisse personne l’entacher, la toucher pour y laisser des traces. la perfection de la tête aux pieds, hargneuse de l’envie de dominer son monde. d’être tout en haut de l’échelle, de jamais dégringoler. l’ambition qui prend trop de place, rosa elle est reine de l’échiquier.

le cerveau qui chauffe, l’excellence en personne. les meilleurs cours, les meilleurs professeurs que papa ai pu trouver. juste pour elle, juste pour qu’elle obtienne son ticket d’entrée dans cette université si prestigieuse. toujours le meilleur pour danae. c’est ce qu’elle a fait princesse, la tête dans les bouquins, sans répit pour ne pas voir ses rêves d’avenir s’écrouler. pour être la meilleure tout court. le combo d’une intelligence naturelle plus des révisions acharnées pour exploser les scores d’admission.

étoile montante, glaçante. ce menton toujours levé, cette fierté exacerbée qu’elle démontre dans sa démarche intacte. les défauts l’ont oubliés ou peut être qu’elle les as tous avalés, un par un pour qu’elle ne reste qu’une page vide. le verbe brûlant, piquant, la langue fourchue, elle a cette manie d’avoir cette répartie excitante, repoussante. détestée et détestable, le reflet de vos échecs, poupée qu’on a cousu avec perfection. portrait dessiné avec perfection. elle ne laisse rien au hasard, égérie de la manipulation. elle veut et elle prend sans demander la permission, comme si tout lui était dû, comme si tout lui revenait de droit. la fourberie dans ses sourires, le regard condescendant et un air intimidant. on aimerait lui arracher la gueule, de ses mimiques hautaines qu’elle balance à tout va. rosa la téméraire, aucune pièce défaillante dans cet être sculpté d’une main de maître. danae qui veut un peu trop ressembler à papa, schéma de la perfection qui se dessine sous yeux. elle est corrosive, poison ambulant.

anecdote une ((first time)) née au royaume des escamilla. danae, existence partagée avec matian. jumeaux que tout sépare et rassemble à la fois. l’argent à foison, le luxe à portée de main, danae qui ne connaît pas le manque, baigne dans l’abondance. enfant préféré d’un paternel aux idées arrêtés, aux exigences trop hautes, fardeau des attentes qui reposent sur ses épaules. elle, l’enfant bénie d’une famille un peu trop croyante. danae, pierre précieuse que papa chéri plus que tout au monde. plus que les autres. plus que son frère. ce serait elle, sans savoir pourquoi mais papa avait choisi. et parfois, danae elle se demande pourquoi, secrètement elle aurait peut-être préféré donner ce rôle. parfois envieuse d’une autre vie, une qui ne serait pas tirée à quatre épingles. la beauté de maman, silhouette de guêpe, ex-mannequin professionnelle qui vit aujourd’hui dans l’ombre d’un mari qui prend trop de place. anecdote deux ((love)) elle a aimée une fois. juste une. celle de trop. victime de son succès danae, celle qu’on envie, celle qu’on désire sans pouvoir approcher, ce fantasme envoûtant, cette froideur enivrante. elle donne envie, de l’atteindre, de la toucher, de la faire tomber de ce piédestal. l’arrachée du premier plan, jalousie excessive qu’elle attire malgré elle ou juste parce qu’elle le veut bien. mais toi, t’étais censé être différent, t’avais tout pour plaire, tout pour elle. ce sourire à la con, cette maladresse, tes petites fossettes dans le creux de tes joues et ses yeux. putain, tes yeux c’était le pire, c’est pour eux qu’elle est tombée amoureuse. t’es sa première fois, sa première crasse, t’es ce coup de poignard qui met à terre. danae, vulgaire parie balancé dans les vestiaires. « un pack de bière si t’arrives à la sauter » et t’as réussi. t’as gagné, elle a perdue pour la seule et unique fois. vidéo d’vous balancé sur les réseaux, t’es ce pique au coeur qui fait mal et qui dérange encore. elle était jeune danae, encore naïve du monde extérieure. elle, qu’on a trop longtemps bercée au fond du cocon familial de peur qu’elle se casse. anecdote trois harvard. le renouveau, l’élite américaine entassée dans ce cocon. danae, l’élève assidue qui se laisse aucun répit. c’est la fille du premier rang, celle qu’on détaille trop souvent. comme lui, ce professeur plus âgé qu’elle. elle le fascine, il aime la regarder, l’analyser. elle, ce bonbon trop bien emballé. elle le regarde à peine les premiers jours mais les regards deviennent trop insistants. et puis une rencontre nocturne au détour d’une ruelle, un « je te raccompagne », un regard protecteur et un baiser d’adieu. de début. de fin. d’au revoir au goût salé. parce que t’es partit du jour au lendemain, t’as même pas prit la peine de tout lui avouer. t’as eu peur pour ta place, sortir avec une élève, ça marque un peu trop mal. alors t’as préféré une fin brutale. mensonges sur mensonges, t’étais cette illusion qu’elle a pourtant trop aimée. anecdote quatre les pieds amochés, parfois en sang. véritable passionnée de la danse, de ces moments où elle s’oublie, de ses pas où elle en devient légère. une plume élégante quand elle se hisse sur ses pointes. elle rêvait de devenir la star du ballet de New York mais papa en a décidé autrement. décidé que c’était juste une passion, une lubie, que ça resterait juste un rêve abstrait qu’elle a touchée du doigt.

pseudo dylan la banane
âge 26 piges
nationalité française
forum connu par... moi-même
ILH, j'en pense quoi ? je l’aime
autres comptes ? @valentina rosas
avatar utilisé Juliana herz
crédits images Tumblr, kidd.
nombre de mots par rp 200/500 tout dépend le rp !
type personnage inventé

code études
buisness, gouvernement et économie internationale ;; buisness school ;; huitième années ;; 2021-2022 - explicatif pour remplir correctement : réponse ici

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@"danae escamilla" » <i>(buisness gouvernement et économie internationale)</i>

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<span class="pris">JULIANA HERZ</span> <span class="inv"></span> @"Danae Escamilla"