William E.K Slader ► Justin Chatwin

I./ Deux petites têtes blondes !

Dans les eaux bleues de Nouvelle-Zélande, existait une famille plus que charitable. Un homme qui travaillait dans le milieu du cinéma épousa une jeune femme aussi belle qu’un coucher de soleil. Ils eurent deux enfants, mais elle apprit alors qu’elle était de nouveau enceinte. Effectivement après quelques mois elle comprit alors qu’elle attendait des jumeaux. Quand je suis arrivé dans le monde des humains. Je me rappellerais toujours de cet instant. Peut-être à cause de mon côté surdoué. Notre début de vie vue miraculeuse, mon frère et moi étions chouchouté et aimé par nos frères et nos parents. Une belle vie s’annonçait.

II/ la petite dernière.

Après l’accouchement des jumeaux, ma mère a eu un problème de santé qui l’empêcha d’avoir un autre enfant. Cela l’attrista car son rêve était d’avoir une fille. Mon père lui proposa pour noyer son chagrin de lui proposer alors quand les jumeaux auront un an, il entamera une procédure d’adoption. C’est ainsi que Rose est apparu dans notre vie. L’adoption devait être un secret. Notre mère ne supportera pas de savoir que Rose ne se considérait pas totalement à une Slader. Les hommes de la famille ont été très protecteurs avec elle surtout à l’annonce de sa malformation pulmonaire. Nous étions à son service ne voulant que son bonheur. Nous avons surement été un peu trop loin. Mais j’aime ma sœur plus que tout.

III/ espèce de tête d’ampoule.

À trois ans, je savais lire le Français et l’anglais. À cinq ans, je savais compter et utiliser les quatre modes opératoires. À six ans, je savais faire une équation de second degré. Auprès de psychiatre que j’ai eu étant enfant. Je serais un surdoué. On pensait au début que j’étais atteint d’autisme, mais ayant vu ma faciliter à dialoguer et ma vivacité dans ce monde. Le bilan fut réduit au surdoué. Mon père décida de profiter de ce don pour me mettre dans une école de surdoué. Mon frère en fit bouleverser car je n’étais pas avec lui. Cela nous a affectés tous les deux après tous. Les enseignements que j’ai appris m’ont énormément plus, mais je trouvais les méthodes d’enseignement un peu trop brutal. Je décidai alors de faire ma propre éducation. Restant tout de même dans l’école que mon père m’a dite de rester et à coter j’étudiais la physique et la psychologie. Le psychiatre que je suivais m’a proposé pour travailler mon cerveau de faire quelque chose de mes mains. De ne pas lâcher prise, apprendre un instrument ou faire de la robotique. Je sais jouer du violon, de la contrebasse ainsi que la guitare et le piano. J’ai su mettre en place des systèmes quantiques et approfondis les recherches de Tesla et d’Einstein. Je me suis passionné pour l’espace et l'énergie Noire.

IV / Les heures sombres de son reflet.

Mon frère Nolan a mal vécu son enfance, tant dit que moi je réussissais dans ma vie. Il a complètement dérapé. Après une tentative de suicide, mon père l’a fait placer dans un établissement spécialisé. J’ai arrêté mes études pour être près de lui. J’ai étudié la médecine et la psychologie pour mieux comprendre l’état de mon frère. Rose c’est beaucoup inquiété pour lui aussi. Nous étions tous là pour lui. Après un an à ses côtés. Son état semblait aller mieux. J’ai donc profité de cette accalmie pour répondre à un courrier du Doyen d'Harvard la fameuse université qui après mon année brillante au M.I.T et à ma candidature à Harvard m’offrit une bourse d’études, mais que cela ne m’empêchait pas de passer les tests de sélection comme tous élèves de l’établissement. Je fus pris alors à Harvard. Je suis rentrée en même temps que ma sœur cadette. Roses et moi nous ne nous parlions pas tant que ça, je comprenais le désir de Rose à prendre son indépendance. J’ai fini par prendre la mienne tous les week-ends j’allais rendre visite à Nolan qui semblait de plus en plus mal. Je ne pouvais rien faire pour lui alors je continuai mes études. Quant à un moment, mon père m’appela m’annonçant la mort de Nolan. Ce fut tragique pour moi.

V./ Wil 'keleaks.

Après la mort de Nolan, une énorme place s'est vidée en mon cœur comme si je mettais moi-même perdu. J’ai donc essayé de trouver un moyen de pouvoir combler ce manque. Avec l’aide d’un ami Français pour qui on avait plusieurs points communs sur la science-fiction et la physique et notre passion commune pour les hommes. Il me parla d’un site internet révolutionnaire. Et d’un collectif de révolutionnaire si on peut dire. En six mois, j’ai pu apprendre tout ce qui concernait le monde d’aujourd’hui toutes les manipulations, les théories du complot et les délires à George Orwell. J’ai décidé de continuer mes études et de prouver à mes parents qui ne croyait plus au psychiatre et psychothérapeute qu’ils se trompent. Je veux faire en sorte de pouvoir faire honneur à ma famille. Les Eliots pourraient m’aider à rester humble de moi-même et rester les pieds sur terre. Ce serait un moyen judicieux de ne pas perdre le nord. À Harvard, je suis connu comme William Slader de la famille du grand cinéaste Slader. Ma soeur a suivi les trace de notre père. Moi j'ai pris une autre voie celle de la médecine et des recherches sur le comportement et le cerveau.