DYLAN COSTELLO ► Jhené Aiko

TW : Abus sexuel, Abus mental, Pervers narcissique, Langage vulgaire, Comparaison à l'inceste.

DYLAN COSTELLO

feat. Jhené Aiko

❝ H.O.E.
Happiness Over Everything

naissance
07.08.1997

nom(s) & prénom(s)
Ton nom sonne chaud, Costello. Ton prénom n'évoque pas ceux de tes ascendants, en plus de sonner mâle, Dylan.

nationalité(s)
Américaine des U.S.A. bien que tu aies vu le jour au Naval Hospital, sur le territoire d'Okinawa.

origine(s)
Des origines Afro-Américaines et Caribéennes de par la République Dominicaines, avec même un soupçon de Natifs, you got it from ton Père. Puis un peu de Japonais, you got it from ta Mère.

orientation sexuelle
Ces mâles qui te font mal, tu les aimes corps et âme...

statut amoureux
Célibataire, pas en quête, tu préfères laisser le destin faire.

études
Étudiante en Musique avec le rêve qu'un jour, tes poésies et mélodies, feront chanter le monde et sa linguistique.

bourse
Être enfant de militaire possède des avantages indéniables ─ des aides, vous en avez à la pelle. Alors la bourse était une évidence, mais que personne ne vienne sous-estimer ton intelligence.

statut social
Classe moyenne. Prolétaire vivant sans peine.

job étudiant
"Collaboratrice" Walmart, Starbucks et co. Tu as connu leur coup bas, crasses et turn over infernaux... Tu as même frôlé le burn out et l'overdose. Les débuts de l'université ─ jongler entre étude et boulot c'était bien trop. Alors, tu as tout bazardé pour te recentrer. Depuis, tu tiens en vendant tes prod., en donnant des cours liés à ton domaine. Avec de temps en temps des jobs par-ci par-là, et le soutient ponctuel de ta famille.

maison
Students. Pourquoi choisir une maison quand tu peux être un libre électron ? Puis elles t'éveillent ─ malgré toi ─ une certaine répulsion...

admission à harvard

Ton père est militaire, ta mère est japonaise, alors ton éducation fut quelque peu sévère. La discipline était de fer ton instruction, d'ascèse.
Les enseignements du pays du Soleil-levant sont gravés dans ta tête, tu y fis tes premières classes. Une volonté de ta mère qui souhaitait que tu acquières cette langue et cette rigueur nippone, en plus de t'imprégner de leur mœurs et manières — comme une manière pour elle de couler les fondations des marches te menant sur la voie du prestige et de la prééminence.

De ton père, tu appris qu'erreurs et échecs étaient tes professeurs — des victoires, ils ne sont que les revers, mais que jamais l'abandon n'était une option. Ta condition ne le permet pas, au contraire : tu dois toujours viser l'excellence. Sans cesse quintupler d'efforts pour rappeler chaque jour ta valeur, montrer ta grandeur à ce monde.
Ainsi, qu'importe les pays dans lesquels étaient appelés ton père, tes parents s'assuraient que tu bénéficies de la meilleure éducation, t'inscrivant dans les meilleures écoles locales, européennes ou internationales.

Les activités extra scolaires tenant une place importante, aussi bien dans l'éducation nippone qu'américaine, celles-ci ne furent pas oubliées. Très tôt, tu pratiquas le ballet avant de t'orienter vers des danses plus contemporaines comme le jazz, et autres danses dites "urbaines".
La musique occupe également une grande place dans ta famille, prédominante même. Tes oreilles furent affûtées au son des opéras, valses et sonates — les Études et Caprices de Paganini n'ont plus de secrets pour tes doigts. Les lamentations du Blues et les revendications du Hip-hop sont ancrées dans ton A.D.N. Et tu te plais à lacer, entrelacer et délacer, rimes plates, croisées ou embrassées.

Ce parcours, cette implication te valurent de décrocher une place dans la prestigieuse Université de Colombia à New-York. L'une des villes névralgiques de l'histoire de la musique américaine. Ton transfert à Harvard se passa donc sans peine, si ce n'est celle de quitter La Pomme...

caractère du personnage

Dylan, tu es nostalgique. Une tare inhérente à tous bons mélomanes. On peut même dire que tu es une romantique, ou plutôt une néo-romantique. Une âme aventureuse en recherche constante d'évasion et de ravissement. Tu te perds souvent dans ta tête — te plais aux rêveries, tu aimes les belles esthétiques.

Le monde te débecte comme il te fascine, on peut dire que tu es une idéaliste réaliste. Sûrement pour cela que tu es un peu mélancolique. Ironique et sarcastique. Tu préfères fuir les conflits.

Dylan, tu possèdes un calme, un flegme qui fascine. En réalité c'est juste ta flemme, you're born tired. Sauf quand la passion te brûle, you're determined and hyped. Dans ces moments tu es tellement absorbée, tu en oublies de boire, dormir et manger — tu en oublierais presque de respirer.

Empathique et un peu trop altruiste, tu as appris à dire non, appris à être égoïste. Ton amour reste grand — à l'égal de ta rancœur chronique et endémique.

Dylan, tu es vulnérable et inébranlable. Tu es libre, mouvante, émouvante. Tu es insaisissable, instable.

anecdotes

1.— Ta mère était musicienne professionnelle ainsi que professeur en université et conservatoire. Elle côtoya de prestigieux noms en national comme en international durant sa carrière qu'elle mit en pause lorsqu'elle épousa ton père, médecin militaire, rencontré lors de son déploiement à Osaka. Une union d'abord décriée par tes grands parents maternels qui ne comprenaient pas le choix de leur fille... L'histoire aurait pu se terminer ici, mais à force d'efforts et de persuasion, ils apprirent à connaitre ce gendre assez spéciale à leurs yeux et accueillirent ton petit être le 07.08.1997 ;
2.— Tu vécus au Japon jusqu'à l'âge de cinq ans, puis en Corée du Sud jusqu'à l'âge de sept ans. Ce n'est qu'à cet âge que tu posas réellement les pieds sur le territoire américain jusqu'à tes dix ans ;
3.— Durant ces trois années aux États-Unis, tu habitas d'abord l'État du Nevada, dans lequel se trouve la fameuse Zone 51. C'est également à cette période que tu entres dans ta phase "science-fiction", notamment avec les séries : Stargate, X-files, Smallville, et Kyle XY. Si ton père est un grand fan des deux premières séries, il appréciait moins les deux autres mais c’était un rendez-vous qu'il ne souhaitait manquer pour rien au monde, par amour pour les deux femmes de sa vie. Tu habitas ensuite Louisiane où tu découvris les légendes et classiques de ton père ;
4.—Tu t'envolas ensuite pour l'Europe pour y suivre ton père en Belgique, pour une durée de six mois, suivis d'une année en Angleterre ;
5.— Après ce court séjour sur le Vieux Continent, tu reviens sur le territoire américain, à Hawaï pour une durée d'un an et demi. Par la suite, tu poseras tes valises à New-York en pensant que ça serait ta dernière destination avant un long moment ;
6.— À New-York, tu termines le lycée et prépare assidument ton concours d'entrée à la fac avec pour objectif, l'Université de Colombia ;
7.— Après deux années de dur labeur, tu es admise. Nul doute que ta maitrise de la langue nippone — en plus de tes notions de coréen, français et espagnole — y est pour quelque chose. La vérité, c'est que tout ça c'est juste beau sur le papier... Le japonais, tu ne l'as pas oublié, uniquement parce que ta mère y a veillé... ça t'as aidé pour ton coréen des plus élémentaires... Tu parles un français baragouiné — tu le dois à la Louisiane... mais tu te rattrapes un peu avec un espagnole, dont tu es peu fière... ;
8.— Colombia. Première année. Premiers sévices... C'est à ce moment que tu te fais tatouer. Sur ta peau, tu commences à inscrire cette vie passée à voyager ce qui t'aide à partiellement te recomposer... ;
9.— Colombia. Seconde année. Seconds sévices... Tu fais encrer de nouvelles pages sur ton épiderme, avant de quitter Colombia pour Harvard... tu ne peux plus les voir, ni entendre leur nom... partir loin pour tout recommencer, ne plus te faire avoir... te promettre qu'il n'y aura pas de deux sans trois... ;
10.— Depuis, tu ne veux pas te l'avouer, mais tu as peur de t'engager... de te laisser approcher...

& irl, ça donne quoi ?

pseudo Sunny
âge 26 y.o.
nationalité Frite~!
forum connu par... mes gars sûrs : @Jake Wallace & @Alekseï Volkov a.k.a. @Louise Desrosiers ♡
ILH, j'en pense quoi ? J'ai jamais vu de règlement aussi inclusif et safe, cœur sur vous, j'espère faire longue carrière sur le fo'~ ♡
autres comptes ? Aucun ✘
avatar utilisé Jhené Aiko
crédits images Kiki (kiki-icons ─ tumblr)
nombre de mots par rp Oof... on va dire que ça dépend, mais en général c'est aux alentours d'une page et demie, à une page.
type personnage Inventé

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - explicatif pour remplir correctement : musique ;; Department of Art, Litterature and History ;; sixième année ;; 2021-2022

Code:: @"Dylan Costello" » (musique)

job étudiant :

code métier
nom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement

Code:: @"Pseudo du personnage" » (nom du poste occupé)

code bottin

Code:: JHENÉ AIKO @"Dylan Costello"

i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard

(Invité)

Tu aurais aimé tout effacer, tout oublier. Rebooter ton cerveau, revenir en arrière.
Tu essayes de ne plus trop y penser mais parfois ça remonte, te tourmente soudainement… alors tu te forces, cherches à enfouir ces instants… Les ensevelir dans ta mémoire et ses tréfonds. Dans cette boîte, ce boxon que tu ne peux atteindre. Les perdre dans ton inconscient, tout au fond… Un réflexe de survie qui malgré toi revient… alors que de cette histoire, tu ne veux plus rien… mais t'y peux rien… ces instants sont gravés, tu ne pourras rien y changer… Tu en a marre de lutter. Tu es fatiguée. Tu es épuisée. Tu aimerais te reposer, tu aimerais tout oublier, mais tu t'es résignée…

Réminiscence de ce moment de l'adolescence, persuadée que ton existence n'avait que peu d'importance. Fade. Plate. Un manque de confiance devant cette fausse inexpérience — comparaison qui te coûta ton innocence. Tout ça pour ne plus être transparente, te donner un sens… mais Dylan tu n'étais pas insignifiante... t'avais ta propre essence... seulement tu n'en avais pas conscience…
Tu voulais simplement trouver ta place, ne plus être à l'écart. Tu voulais te sentir acceptée, te sentir intégrée. Être actrice de ton histoire et il en a abusé.
Président d'une fraternité, de vous deux c'était le plus âgé, le plus expérimenté. Il était censé t'accompagner, te préserver de cet univers que tu découvrais et ne maîtrisais pas encore — à la place il t'a b…
Faux frère à la queue animé par l'inceste. L'audace de se présenter sous des airs bienveillants et fraternel pour mieux te souiller. Tu n'as pas bougé. Tétanisée, tu as dissocié — et tu as continué, pour te protéger.

En même temps tu l'avais bien cherché, t'aurais dû t'écouter, tu sentais tes tripes hurler mais t'as voulu jouer les bornées.
Il s'apitoyait pour t'amadouer — menaçait de se faire sauter pour te garder. Enchaîner, c'est toi qui fut s… Il frappait les murs juste t'effrayer — clamait être un lion en cage pour t'impressionner. Emprisonnée, ce ne sont pas les murs mais tes trous qui furent criblés… Pourtant, la vérité est que ce n'était même pas clebs. Juste un bâtard, un connard dont même la rue ne voudrait pas.

Bâillonner, tu as mis du temps à réaliser. Sortir du déni — te réveiller pendant qu'il continuait de te souiller en toute impunité. Puis, "qui ne dit mot, consent" — tu l'as même encouragé. Il se vantait en public et t'allais dans son sens, la peur au ventre. De toute façon c'était de ta faute, il fallait refuser, maintenant il fallait assumer.
Intime souillée, exposée à tes camarades à qui tu lançais, sans lancer, de silencieux appels à l'aide. SOS inaudibles, invisibles, incompris... jamais décryptés...
Intime divulgué en recto et verso dans le seul but de te dominer, te démolir — de les dégoûter pour les éloigner, t'isoler, t'étouffer... et tu osais encore moins l'affronter… et quand tu osais il grognait puis te recalait… puis te piétinait — te p…
C'est quand il te présenta son deuxième trou que tu repris tes esprits.
Alors qu'il t'avait détruite. Il avait pris ta liberté, avait cherché à te couper de tes bouées. En fait, il aurait eu largement assez avec son trou élargi par sa médiocrité.
Salie. Plus sous anesthésie. Tu n'as jamais autant haï… mais tu n'as pas envie de lui accorder ce mérite.

Mais Dylan ne t'inquiète pas, le ciel te vois. Le Karma s'en occupa.
Une autre victime. Une plainte déposée. Petite euphorie. Condamnation — le Karma l'a b…

New York, Columbia University.

Le second a fait pareil, vient te ramasser à la petite cuillère pour mieux te ken. Un clébard, un crevard comme le précédent — mais ça dure moins longtemps.

Et tu te demandes comment tu as pu te faire berner... comment tu as pu te faire e... Tu essayes de ne plus porter la faute, de ne plus te blâmer. Tu es la victime et pourtant, c'est toi qui as honte… Tu n'as jamais rien dit à tes proches pour ne pas plus porter l'opprobre...
Dylan t'es encore effrayée — pourtant, tu es animée par l'envie d'avancer.

New York, Columbia University.

Un voyage pour panser tes plaies. Un transfert pour tout recommencer — une excuse pour le justifier : Harvard est mieux classée.

Dylan tu t'es renfermée.

Cambridge, Harvard University.

Obsédée par l'idée de te réapproprier ton corps, tu as déconné. Tu as été trop vite, t'as fait quelques conneries.
Tu te sens perdre pied. Tu ne sais plus. Tu es perdue…

Il ne te reste plus que tes études. Elles sont ta bouée — tu y es accrochée comme une forcenée, c'est ce qui te permis de sauver ton année. Puis ça fait un moment que tu as également sombrer dans le travail.

Tu as besoin de subvenir à tes besoins — tu as besoin de ne plus penser...

Dylan si tu continues tu vas y rester…

Cambridge, Harvard University.

Deuxième voyage pour te réparer. Tu as besoin de souffler, de te recentrer…

À peine rafistolée. Un peu plus apaisée. Tu vas pouvoir te consacrer à cette autre a qui tu t'es accrochée. Celle qui t'a consolé. Celle qui t'a aidé à t'exprimer lorsque tu ne pouvais poser ni paroles, ni mots — celle qui t'as sauvé. La musique.

Tu es comme ces céramiques brisées que l'on répare à coup de laque et de poudre d'or. Tu es comme ces céramiques brisées que l'on recolle, assemble pour donner naissance à une nouvelle forme, sans perdre leur primal essence — tu changes, sans changer. Tu évolues.

Tu es fragile. Infrangible.
Un peu paumée. Éclairée.
Dylan.

Cambridge, Harvard University.