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MAXINE CHESHIRE
feat. christina nadin
for every
naissance
3 juin 1996 fleur du printemps, elle s'épanouit sous le soleil qui la caresse de sa brûlure effervescente, devient magnificence. fleur du printemps, prête à accueillir l'été, à s'amouracher du solstice. fleur du printemps, elle émerveille de sa beauté, charme de son éclat, rayonne lorsqu'on caresse ses doux pétales. vingt-trois ans, la jeunesse presque éternelle, douceur infinie, au caractère flamboyant. et sous la bourrasque de vent, la fleur a fière allure, résiste au chaos, ne se déracine pas.
nom(s) & prénom(s)
c h e s h i r e,, le patronyme relate une histoire qui lui échappe, les fragrances d'une épopée qui remonte à loin, très loin. m a x i n e l'héritage de ce dont on a voulu conserver la trace, pour empêcher que le temps n'efface le souvenir des belles années. la douceur d'un prénom en écho à la beauté de ses traits, au timbre mélodieux de sa voix. l'enfant bourgeon. l'enfant qui éclôt. l'enfant qui se fane.
nationalité(s)
anglaise
origine(s)
sous les vestiges d'un patronyme qui souffle sur l'ailleurs, les parfums de ses pays d'origine se marient à la perfection sur ses traits enfantins, parsemé de taches de rousseur. p h i l i p p i n e et irlandaise mais l'enfant n'a jamais vu se lever le soleil ailleurs qu'au-dessus de Big Ben, la terre d'accueil.
orientation sexuelle
les regards se perdent discrètement, sans jamais s'y arrêter totalement; le fantasme de ces larges épaules, les baisers qui se perdent à la jonction des mâchoires carrées, tandis qu'elle admire déglutir leurs pommes d'Adam. et pourtant, le chant des sirènes l'envoûte, la caresse charnelle de leurs pulpeuses rougies lui brûlent la peau.
statut amoureux
error 404.
études
6e année de computer science à la Harvard School of Engineering.
bourse
boursière.
statut social
modeste
job étudiant
les maigres revenus du patriarche et la bourse ne suffisent pas. elle vit au jour le jour, dans l'incertitude de ce dont sera fait demain. devra-t-elle manger des ramens jusqu'à l'obtention de son diplôme? elle enchaîne les petits boulots, ne les conserve jamais bien longtemps. un jour, elle est serveuse à la luna caffe, l'autre préposée au cinéma du centre-ville, ou encore barmaid dans un bar du coin. elle va là où on la réclame, pour rembourser sa dette invisible à son père, pour qu'il ne se ruine pas de lui offrir une éducation prestigieuse et élitiste.
maison
Student
nom(s) & prénom(s)
c h e s h i r e,, le patronyme relate une histoire qui lui échappe, les fragrances d'une épopée qui remonte à loin, très loin. m a x i n e l'héritage de ce dont on a voulu conserver la trace, pour empêcher que le temps n'efface le souvenir des belles années. la douceur d'un prénom en écho à la beauté de ses traits, au timbre mélodieux de sa voix. l'enfant bourgeon. l'enfant qui éclôt. l'enfant qui se fane.
nationalité(s)
anglaise
origine(s)
sous les vestiges d'un patronyme qui souffle sur l'ailleurs, les parfums de ses pays d'origine se marient à la perfection sur ses traits enfantins, parsemé de taches de rousseur. p h i l i p p i n e et irlandaise mais l'enfant n'a jamais vu se lever le soleil ailleurs qu'au-dessus de Big Ben, la terre d'accueil.
orientation sexuelle
les regards se perdent discrètement, sans jamais s'y arrêter totalement; le fantasme de ces larges épaules, les baisers qui se perdent à la jonction des mâchoires carrées, tandis qu'elle admire déglutir leurs pommes d'Adam. et pourtant, le chant des sirènes l'envoûte, la caresse charnelle de leurs pulpeuses rougies lui brûlent la peau.
statut amoureux
error 404.
études
6e année de computer science à la Harvard School of Engineering.
bourse
boursière.
statut social
modeste
job étudiant
les maigres revenus du patriarche et la bourse ne suffisent pas. elle vit au jour le jour, dans l'incertitude de ce dont sera fait demain. devra-t-elle manger des ramens jusqu'à l'obtention de son diplôme? elle enchaîne les petits boulots, ne les conserve jamais bien longtemps. un jour, elle est serveuse à la luna caffe, l'autre préposée au cinéma du centre-ville, ou encore barmaid dans un bar du coin. elle va là où on la réclame, pour rembourser sa dette invisible à son père, pour qu'il ne se ruine pas de lui offrir une éducation prestigieuse et élitiste.
maison
Student
admission à harvard
le dossier presque trop facile à constituer. la première de classe, straight-A's student à qui on imagine un futur grandiose, successful, mais à qui on offre un sourire triste et compatissant lorsqu'elle parle de ses projets d'avenir, lorsqu'elle déclare timidement vouloir fréquenter l'une des prestigieuses universités de la Ivy League. parce que c'est bien connu que les rêves de grandeur et les avenirs prometteurs appartiennent à ceux dont les poches sont remplies ou dont le patronyme résonne en écho dans le carnet de chèque des admissions. derrière ce rêve qui n'a pourtant rien d'unique, on ne connaît pas les motivations intrinsèques, la boule de culpabilité qui lui retourne l'estomac. et pourtant, elle tente le coup. les lettres de recommandation qui s'accumulent sur le bureau parfaitement ordonné, les notes parfaites dont on n'a guère besoin de se soucier, la dissertation déjà rédigée, des mois pour la peaufiner, sans que papa ne se doute de rien. se démarquer dans l'entretien, dont les réponses parfaitement placées trouvent écho avec les ambitions de jeunesse de l'intervieweur. le charme, l'intelligence, l'ambition, l'art oratoire comme outils pour convaincre et l'accepter au sein d'un prestige depuis longtemps rêvé, mais derrière cette prestance, c'est une gamine fragile qui craint tout l'échec, mais par-dessus tout, de lire la déception dans les yeux de son père.
caractère du personnage
maladroite - sensible - extrêmement têtue - studieuse - peu bavarde - orgueilleuse - ricaneuse - impatiente - flamboyante - réfléchie - chiante - souffre-douleur - solitaire - irritable - organisée - introvertie - loyale - rusée - stoïque - fille à papa - charmeuse - travaillante - franche
anecdotes
Le retour à la maison est éprouvant. Ce qui aurait dû être un heureux événement n'est plus que l'écho d'un silence, ponctués des gémissements du bébé qui se réveille dans les bras de cet homme désormais si triste, si seul, si désemparé. Le foyer est vide, le silence lui crie son absence et des perles se forment à la frontière de ses yeux, là où des cernes fissurent déjà la peau, marquée par la fatigue. Et si tout son corps lui réclame de s'effondrer, de lâcher prise, il résiste à la force invisible qui tente par tous les moyens de lui faire plier les genoux. Lorsque le regard se pose sur l'enfant aux yeux si grands, brillants d'insouciance, les doigts tremblants caressent la joue du bambin, de sa fille, de leur princesse, le fruit de leurs entrailles, la progéniture conçue avec tout l'amour que deux êtres humains peuvent s'offrir, et il lui fait la promesse:
Aujourd'hui, le ciel s'est assombrit pour chasser l'arc-en-ciel annonçant ta venue. Ma princesse, mon bébé.. désormais, il n'y aura plus que nous deux. Ce sera toi et moi contre le monde entier. Je te promets d'être la lumière qui éclairera ton chemin. Je te promets d'être le feu qui te réchauffera lorsque ton coeur sera blessé. Je te promets d'être toujours là pour toi, jusqu'à ce que les anges viennent me chercher pour me ramener à elle.
꧁
les écouteurs sur les oreilles, le nez plongé dans les bouquins étalés à même le sol de la bibliothèque, Maxine est égarée dans son monde. elle assimile les notions comme un robot, ne loupe jamais un exercice prescrit par le professeur, intègre chaque mot, chaque calcul, chaque information à sa mémoire. mémoire qui sature d'être remplie, d'être à ce point sollicitée, de ne se voir octroyer aucun répit. et par-dessus la mélodie qui rythme la préparation de son prochain examen, des voix lui parviennent, viennent rompre son illustre concentration. les rires l'agacent, si bien qu'elle pointe du doigt, d'une grimace mauvaise, l'affiche encadrée qui indique, noir sur blanc:
SILENCE DANS LA BIBLIOTHÈQUE !
et les gamins éclatent d'un rire qu'ils peinent à étouffer, lui jettent des regards en biais. maxine sent les larmes naître à la commissure de ses yeux, mais elle les chasse aussitôt. pas le temps de pleurer. son nez retroussé par la contradiction, retrouve bien vite le chemin de ses bouquins, mais les mots défilent sous ses yeux sans qu'elle ne parvienne à les assimiler. vaincue, elle laisse la jalousie et l'envie la gagner, lorsqu'elle vient cueillir subtilement des bribes de conversation, des éclats de rire, des sourires insouciants qui n'ont pas les mêmes priorités qu'elle. enfermée dans sa solitude, à vouloir exceller, à se démener corps et âme pour le rendre fier, maxine échappe aux doucereuses subtilités d'une amitié, aux bonheurs de l'adolescence, et voilà que cette constatation la happe de plein fouet pour la première fois. refermant ses livres dans un violent claquement, elle fuit pour se réfugier dans les toilettes et y verser, en silence, toutes les larmes de son corps.
꧁
les efforts acharnés des dernières années ont porté leurs fruits. la lettre d'admission, malmenée entre les doigts secoués par les tremblements, trouve le chemin des mains du paternel, qui s'affaire à préparer le dîner. « qu'est-ce que c'est, ma chérie? » et le temps s'éternise, car il ne peut voir les mots sans ses lunettes de lecture, mais il ne sait plus où il les a abandonnées. « dépêche-toi un peu, p'pa.. » et lorsque les lettres Harvard University se forment sous les yeux du patriarche, elle voit les larmes poindre au creux de ses yeux. une seconde, deux secondes, trois secondes passent, avant qu'il ne laisse tomber la lettre et qu'il vienne la soulever de terre. sa fille. sa princesse. son bébé. il faut célébrer ça! ce weekend, on fête ça en grand. qu'est-ce que tu dirais d'inviter tes amies? de préparer ton repas préféré? on pourra même faire exception et acheter du champagne.. et cette fois, ce sont dans les yeux de maxine que se forment des perles brillantes. elle renifle, cache l'émotion, étouffe la honte. je dois aller nourrir louis. et elle essuie les larmes sur les joues de papa, avant de disparaître dans sa chambre et de camoufler le bruit de ses pleurs dans l'oreiller. est-elle heureuse? les doutes la happent, prisonnière de deux contradictions: d'un côté, la joie de voir la fierté de son père, d'être à la hauteur de ses espérances, d'être la fille digne de cet homme qui a tout sacrifié pour son propre bonheur. de l'autre côté... le soulagement d'y être enfin parvenue, mais derrière cette indifférence? la peur d'être le pantin d'une vie qui ne lui conviendra pas, d'être à la merci d'un avenir qui ne la rendra pas heureuse.
mais bien vite, elle chasse vite ces pensées indignes de son esprit torturé, car elle sait qu'elle se fendra en quatre pour le rendre fier, peu importe ce que ce sacrifice lui en coûte.
et maxine, une fois les larmes chassées, une fois la boule au ventre étouffée, elle retourne à la cuisine aider l'amour de sa vie à à servir le dîner, et en vient à oublier ses tourments en voyant le sourire radieux s'accrocher au visage de celui qu'elle aime plus que tout au monde.
timeline (facultatif)
mois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla iciaesthetic (facultatif)
ici c'est ce que tu veux, des quotes, un moodboard, une playlist bref, feel free.
& irl, ça donne quoi ?
pseudo pinky swear
âge 24 y.o
nationalité québécoise
forum connu par... blblbl
ILH, j'en pense quoi ?
autres comptes ? @Leon Kwon @Alyss Harrison @Daewon Cho @Ryke Faulkner
avatar utilisé christina nadin
crédits images gideonfry (avatar)
nombre de mots par rp variable
type personnage inventé
code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - : Computer Science ;; Harvard School of Engineering ;; 6e année ;; 2021-2022
- Code:
@"Maxine Cheshire" » <i>(cursus)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">CHRISTINA NADIN</span> <span class="inv"></span> @"Maxine Cheshire"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)