Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility-Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais : PV Konrad ♥
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-Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais : PV Konrad ♥

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Retrouvailles Konrad&Max.


Ce soir, j'avais envie de passer une bonne petite soirée sans aucunes prises de tête. Ma sœur n'était pas à la maison, j'enfila alors une jolie robe sexy et j'en profita pour aller boire un coup au Lord Hobo, ce fameux bar toujours noir de monde.. Qui sait j'allais peut être rencontrer de nouvelles personnes?-ou peut être tomber nez à nez avec une ou des personnes que j'aurais préféré éviter le plus possible. - et en effet arrivée devant le bar j'aperçu Konrad, euh non c'était pas possible.. J'ai pas envie de le voir . Bref, j'étais bel et bien obligé de passer devant lui, en passant alors devant lui , dans ma tête tout se mît à remuer, j'avais qu'une seule envie c'était d'y parler. De m'expliquer avec lui, de savoir pourquoi il m'avait laissé tombé comme ça du jour au lendemain pour des joints.. J'avais besoin d'explication, et depuis que j'étais arrivée ici a Harvard, j'avais eut très peu l'occasion de parler avec lui. Surtout que nos d'ex sonorités étaient loin de d'apprécier. Je m'arrêtais alors devant lui.. "Salut.." je baisais mes yeux au sol, ayant peur de me prendre un sacré vent.. Les relevant ensuite afin que mon regard croise le sien. Qui ne tente rien à rien. Et Konrad je le voulais..
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Maxym &Konrad

Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais

Ce soir, comme quasiment tous les autres soirs, je sors, j'ai besoin de sortir, de me sentir libre, vivant, surtout vivant, je profite, du genre beaucoup profiter et c'est ça qui est juste magnifique. Je m'étais empressé de quitter mon appart pour aller au Hobo, ce bar où j'ai l’habitude d'aller assez fréquemment, j'avais la clope au bec, la loi de fumer dans les bars était juste pas encore passée même si dans le temps elle l'était enfin bref, ne nous prenons pas la tête, j'étais juste à l'entrée, je tirais les quelques dernières lattes et en relevant le visage je la vis, putain ma soirée venait d'être gâchée. Maxym était là, pire elle venait vers moi, bordel pourquoi faisait-elle ça alors qu'elle s'est barrée il y a 5 ans ? Ok elle m'a poser un choix cornélien, elle ou la drogue mais à l'époque j'étais tellement mal, je n'ai même pas pu lui donner une réponse valable et réfléchit qu'elle était déjà parti, salope. Même sa voix ne m'avait pas du tout manqué Salut. lui répondais-je, j'avais beau être un connard, je restais quand même poli même avec ceux que je ne portais pas dans mon cœur. Elle venait de baisser la tête pour la relever et croiser mon regard quelques secondes après, je la fixais tirant sur ma clope Qu'est-ce que tu fou là ? j'avais rien d'autre à ajouter.

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Retrouvailles Konrad&Max.


Lorsque nos deux regards se croisèrent, je lu en lui qu'il était dégouté, que limite ça lui avait gâcher sa soirée. Mais punaise pourquoi avait il des réactions comme celles-ci? Après tout c'était lui qui m'avait quittée , certes j'y avais donné un lourd dilemme pour lui; la drogue ou moi. Et son choix avait été plus que clair. En le regardant, je voyais dans son regard que si il avait des fusils à la place des yeux , il n'aurait pas hésité une seule seconde à tirer. Lâchant toujours pas son regard, je le regardais tirer sur sa clope et je répondis alors à la question qui m'avait posé d'un ton assez méchant. "Je suis venue boire un verre.. Pourquoi? Ça te dérange? Crois pas que je suis venue la pour te faire chier ou quoi que ce soit parce que la pas du tout. C'est juste que tu es tout seul , du moins je suppose que tu es tout seul puis au pire en ce moment même tu l'es, moi c'est pareil , depuis que je suis ici j'arrête pas d'avoir envie de te parler ou quoi que ce soit.. " - je m'arrêtais alors de parler quelques instants avant de rajouter ce que je voulais savoir le plus, la vérité sur la fin de notre relation, des explications, puis même des nouvelles, pourtant j'y en voulais et terriblement de m'avoir autant faite souffrir, mais enfaite, même si c'était pas réciproque, je voulais seulement entendre le son de sa voix, y parler que ce soit en bien ou mal, car depuis que j'étais à Harvard c'était ma seule envie. "Konrad, je veux qu'on parle.." je baissais alors doucement la tête et souffla doucement en attendant une réponse de sa part, puis je releva doucement la tête et le regarda.
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Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais

La voir ici, c'était juste la dernière chose que j'aurais cru possible, plus elle était loin de moi et mieux je me portais, c'est vrai c'est elle qui m'a dégouté de l'amour, elle qui s'est barré sans attendre une réponse au dilemme qu'elle ma craché en pleine gueule. Je n'allais pas me laisser prier pour la regarder noir, lui faire savoir que je n'aimais pas qu'elle soit près de moi ou quoique ce soit, je ne voulais ni scouater, ni parler avec elle, juste être loin et tout sera parfait. Mais ma curiosité me jouais sans cesse des tours alors je voulais savoir pourquoi ses belles petites fesses étaient au Lobo ce soir, bien sur tout ceci dis sur un ton très amical et joyeux, oui j'aime l'ironie, la grosse ironie. Va le boire ton verre alors me fais pas chier... ça vaut mieux d'être seul que mal accompagné non ? bim ça c'était envoyé, j'allais pas jouer les gentils, c'était pas dans ma nature et encore moins avec elle, plus depuis 5 ans. La voilà se baigner dans son silence, elle ne faisait que me regarder, j'en faisais de même consumant peu à peu ma clope, je voulais juste finir cette soirée tranquille sans emmerdes et elle était là, super. Elle voulait me parler ? De quoi, de la manière dont elle s'est enfuie ? De la réponse qu'elle aurait aimé avoir ? je lâchais ma clope et l'écrasais une fois au sol du bout du pied, je laissais sortir la fumée de mes lèvres puis je la regardais accompagnant les paroles au regard Tu veux parler ?... je ne voulais pas mais ma curisoité me laissait dire de savoir ce qui allait sortir de ses lèvres, je n'avais rien à perdre puis si elle me cassait les couilles, j'irais l'envoyer chier Seulement si tu paye ton coup... elle allait devoir se contenter de ça, je me trouvais même juste trop gentil en ce moment avec elle, je ne devrais pas la laisser parler et attendre de savoir ce qu'elle a à me dire, je en devrais pas, disons juste que c'est en l'honneur du passé, et encore.

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Retrouvailles Konrad&Max.


C'était relativement bizarre, me voir là pour lui était carrément un cauchemar, je dois avouer que de mon côté c'était assez chelou aussi, d'un côté j'étais contente de le voir. De l'avoir en face de moi, me donnait envie de sourire car cela me faisait repenser à tous ses bons moments passés avec lui, à nos deux ans de relation parfaite, mais d'un autre côté sachant que désormais il me détestait, me détruisait... Je l'avais peut-être dégoûté de l'amour, mais lui aussi m'avait beaucoup déçue... Et c'est lorsqu'il essaya alors de me tailler en disant qu'il valait mieux être seul qu'accompagné de la présence, ce qui me vexa. J'y répondis alors sans hésiter. " mal accompagné ? ah d'accord ouais.. C'est vrai tu étais mal accompagné pendant deux ans... N'oublie pas certains trucs... C'est pour ça aussi que je veux te parler, donc mon coup je ne le boirai pas toute seule non ... " . Le mec qui avait partagé ma vie durant deux ans, le mec qui était mon premier amour me disait des paroles que je ne pouvais pas supporter, des paroles qui même étant fou de haine envers moi ne devraient pas sortir de sa bouche. Il ne voulait pas être gentil avec moi? Ah ça je le voyais, rien que dans son regard je le voyais. Alors j'essayais de ne pas y rendre ce regard remplit de méchanceté, car même si je lui en voulais aussi de mon côté je ne pouvais pas lui faire ça, pas à lui, pourtant avec mon fort caractère jamais quelqu'un ne m'aurait parlé comme ça... Mais lui, oui lui c'était différent. C'est alors qu'en lâchant la fumée de sa bouche il me répondit qu'il acceptait de me parler, mon cœur se mît à battre d'une vitesse phénoménale, mais je ne voulais pas laisser apparaître une seule expression de bonheur sur mon visage, et je ne voulais pas y donner un seul sourire, alors qu'au fond de moi j'attendais ce moment depuis si longtemps... ouais, on peut faire comme ça si tu veux..." . Je me demandais alors s'il avait vraiment envie de parler avec moi, ou si c'était juste par simple curiosité, le voyant comme ça avec moi, d'une méchanceté absolue, il me lançait des regards noirs, je ne comprenais pas, certes cela faisait plus de 5 ans que l'on ne c'était pas reparler, ni regarder, aucun contact rien du tout. Mais j'avais du mal, j'étais sûre qu'il n'avait pas changée au fond de lui, je savais juste que la drogue avait certainement pris ma place, la place que j'occupais dans son cœur. On rentra alors dans le bar, et je me dirigeai vers une table, nous nous asseyons alors sur la banquette . " Whisky coca s'il vous plaît." je commandais en effet mon verre et je portais mon regard sur mon ex petit ami en attendant qu'il commande à son tour.
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Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais

Je n'aurais pas voulu la revoir, pas là, pas ce soir, ma soirée était gâchée d'office juste à voir sa tête. Je la détestais, mon dieu je la haïssais même plus que ces friqués d'enfoirés de gosses de riches de bleus et pourtant j'avais passé deux ans de ma vie à l'aimer comme un dingue, à ne vivre que pour notre couple, je pensais plus à elle que ma sœur à l'époque, elle me prenait tout mon temps, elle était tout mon temps, j'étais amoureux, je ne m'en rendais pas compte mais j'étais con. Quand elle est parti sans même me laisser le temps de lui donner une réponse réfléchie, je l'ai détesté dès qu'elle à quittée le porche de cette baraque dans laquelle je vivais à Londres, j'ai tracé un trait sur elle, sur elle et sur ce putain de sentiment qui rend, con, faible et aveugle, l'amour. Je lui faisais comprendre alors qu'elle s'était approchée de moi que je ne voulais pas d'elle prêt de moi, je n'allais pas jouer les gars cool avec elle, quand je n'aimais pas quelqu’un il le voyait tout de suite J'ai jamais dis que pendant deux ans j'étais mal accompagné, je te parle de là, maintenant, confond pas tout... je ne voulais pas d'elle ici, la regarder, lui parler, rien de tout ça et pourtant c'était ce qu'elle voulait. Je pouvais lui dire catégoriquement non et l'envoyer chier comme je devrais le faire, oui je pourrais car elle le mériterait mais j'acceptais de parler avec elle, je ne savais pas pourquoi je faisais amende honorable, je pense que je n'ai rien à perdre puis je l'écouterai pour ma curiosité et si ça me soule je l'enverrais chier, ouais j'ai pas trop à perdre dans le truc, peut-être du temps surement. On fait comme ça même pas de si tu veux ou quoique ce soit d'autre, elle payait mon verre, point, on entraient dans l'enseigne, on posaient nos culs à une table, elle commandait, je commandais la même chose, je remarquais que son gout pour le whisky coca n'avait pas changé, enfin bref, Va y déballe, j'écoute..

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