Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(TW) This is the end • Ceal
-45%
Le deal à ne pas rater :
Four encastrable Hisense BI64213EPB à 299,99€ ( ODR 50€)
299.99 € 549.99 €
Voir le deal


(TW) This is the end • Ceal

Neal T. Hood-Spritz

Âge : 31
Lieu de naissance : Naples en Italie
Quartier d'habitation / Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
Situation sentimentale : marié avec Lukas
Études / Métier : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Nagini
Icon : I am an angel with a shootgun
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster.
Crédits : Nagini
Multicomptes : Ange K. Murray
Description (1) : (TW) This is the end • Ceal 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden

Description (2) : (TW) This is the end • Ceal MOkWYp

LOVE
◆ Lukas : my husband
◆ Côme : mafia boy
◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

FAMILY
◆ Aurore : daughter (PNJ)

SEX
◆ Griffith : ex sexfriend
◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

FRIENDS
◆ Enzio : illegal fighter
◆ Milo : ex boxing partner
◆ Oliver : boxing partner

HATE

Description (3) : (TW) This is the end • Ceal 8DCqo3D

Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

A strong past for a relationship that is a little too unique
(TW) This is the end • Ceal Jnijkv10

Travail au Lord Hobo
Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
Mercredi : soirée off
Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
Samedi :  12:00 am – 03:00 am
Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

Travail au Holy Motors
Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
Mercredi : off
Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
Samedi :  off
Dimanche : off

RPS en cours : RPs - 8
Lukas
Côme
Khol
Milo
Lukas
Leone
Lukas
Côme

QnT - 1
Milo
Warnings : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
RPS : 232
Messages : 48281
Préférences de jeu
veritas
Neal T. Hood-Spritz
est en ligne
DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110495-neal-t-hood-thomas-brodie-sangsterRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155428-neal-ange-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t156146-neal-ange-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t170364-meetsachussets-neal-devilComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t162809-neal-t-hood-spritz-complement-de-personnage#7575269
Vendredi 22 Octobre. Aéroport de Boston.

Tout s’accélérait ce week-end. Aurore était gardée par les parents de Summer pour me permettre de me reposer selon la version officielle. Mon futur mari était absent pour le week-end lui aussi. Je l’avais laissé entre les mains de ses proches pour son enterrement de vie de garçon. Le week-end était censé s’annoncer calme, mais il tournait à tout autre chose. Je profitais de ces trois jours pour lancer l’opération qui trottait dans ma tête depuis quelques semaines maintenant. Une opération dont seulement deux personnes avaient connaissance : Aaron et Côme. Le premier était avec mon futur mari ce qui me rassurait et m’empêchait de me déconcentrer. Le second était à mes côtés puisqu’il avait refusé de me laisser partir seul. Partir où hein ? Partir en Irlande retrouver le père disparu depuis des années. Partir en Irlande afin de me retrouver face à ce père qui m’avait tant fait souffrir. Partir en Irlande pour enfin tourner cette douloureuse page en mettant un terme à la vie de mon père. Installé dans l’avion, la tête s’emballait aussi follement que le cœur. Est-ce que tout ça était vraiment une bonne idée ? Est-ce que le faire dans le dos de Lukas était la bonne solution ? Et s’il m’arrivait quelque chose ? Mordillant nerveusement ma lèvre, je fermais les yeux espérant sombrer dans la sommeil plutôt que glisser dans la panique. Oh bordel, je n’avais plus touché à un flingue depuis le mois de Juin. Depuis ce fameux accident de la balle perdue dans un champs qui avait fini par toucher Eros. En étais-je vraiment capable ? Je n’en savais rien. Néanmoins, je savais que je voulais le faire. J’étais prêt à me lancer. Et je me trouvais dans cet avion qui me conduisait face à mon destin. Les doigts croisés, les yeux fermés, le cœur battant à tout rompre, j’avais le fol espoir de pouvoir faire le retour. Rien n’était sûr pourtant. N’allais-je pas laisser ma vie là-bas face au monstre de mon existence ?

Samedi 23 Octobre. Irlande. 11:50 pm.

La journée avait été foutrement longue. Après un arrêt rapide à notre hôtel éloigné du centre-ville, Côme et moi avions passé la journée en ville. Entre repérage, préparation et répétition, les aiguilles de l’horloge avait tourné bien trop vite. Je n’avais rien vu passé. Le temps avait filé sans moi et l’heure était arrivée. Oreillette en place pour garder une communication avec Côme, je me trouvais dans une chambre d’hôtel. Un hôtel au sein duquel mon père travaillait au bar. Un père qui était attendu dans la chambre précise grâce à une charmante jeune femme gracieusement payée qui l’avait dragué et invité ici. Ici où elle ne serait pas. Ici où j’étais le seul à me trouver. Flingue en main, j’attendais tremblant entendant à peine la voix de Côme qui se faisait entendre pour me dire de respirer plus calmement. Est-ce que je respirais si follement que ça ? Je ne savais plus. Ça tournait. Ça se brouillait. Putain, tout ça n’était pas une bonne idée. Ce n’était pas comme tuer n’importe qui. C’était mon père. Celui qui me connaissait. Celui qui avait tellement de pouvoir sur moi. Celui qui saurait comment attaquer pour me forcer à reculer. Bordel, peut-être qu’il valait mieux que je déguerpisse maintenant. L’idée s’infiltrait dans ma tête lorsque la porte s’ouvrait soudainement. Trop tard. Le moment était venu. Mon père arrivait. Il entrait dans la chambre et je soufflais ce « Bonsoir papa… » relevant la tête pour poser mes iris sombres sur lui. Nos regards se rencontraient. Je captais son rictus moqueur. Ce rictus qui ne présageait rien de bon. Oh bordel… Où avions-nous fauté ? Qu’avait-il remarqué ? Qu’avait-il prévu ? Déglutissant difficilement, je resserrais ma main sur le revolver certain que Côme se doutait déjà que les choses ne tournaient pas comme prévu. J’espérais que l’ancien mafieux allait sagement respecter les consignes. C’était entre mon père et moi. Il n’avait pas à monter ici à moins que je ne souffle le mot d’urgence. Et ça je ne comptais pas le faire.

« Bonsoir Teodoro… » La voix s’élevait me poussant à me concentrer de nouveau sur l’individu présent dans la pièce. Le revolver se relevait aussitôt. Tirer tout de suite était la meilleure solution. Tirer maintenant était ce que je devais faire pour éviter de sombrer. Tirer sur le champs pour empêcher la victoire de mon père. Mais, les doigts tremblaient trop. L’arme m’échappait et le rire de mon père s’élevait dans la pièce. « Tu croyais vraiment que ce serait aussi simple Teo ? » J’haussais à peine les épaules pour toute réponse comme si j’étais soudainement dépourvu de la parole comme je l’avais si souvent était face à mon père. Un père qui s’approchait de moi se baissant pour récupérer l’arme qu’il posait sur la table. Il était là si proche de moi. Foutrement trop proche. Je sentais son haleine qui puait l’alcool. Je sentais sa proximité qui éveillait tous les signaux d’alerte de mon être. Je sentais sa domination qui me poussait à baisser les yeux et à attendre sans rien faire. Mon père tournait autour de moi et il se lançait dans un discours. Un discours dont j’entendais des bribes. Mes oreilles bourdonnaient trop. Mon cœur cognait bien trop fort dans ma tête masquant le contenu. Je l’entendais parler de ma vie et du fait que la Mafia avait eu raison de m’utiliser comme prostitué parce que j’avais l’air d’être un excellent soumis au cul délicieux. Je l’entendais parler de ma vie à Boston dont il semblait un peu trop au courant. Une fille, un futur mari, une balle dans la tête… Mes sourcils se fronçaient. Nos regards se croisaient alors qu’il soufflait « Tu croyais t’être échappé de mon emprise Gattino, mais j’ai quelqu’un à Boston. Quelqu’un qui te fait du mal sur mes ordres. Quelqu’un responsable du saccage au studio de ton copain, quelqu’un responsable du saccage au Lord Hobo. Quelqu’un qui te torture exactement comme je le souhaite. Quelqu’un qui est bien plus proche de toi que tu ne le penses. » Le sourire mauvais demeurait sur les lèvres de mon père alors qu’un frisson d’effroi me parcourait. Tout cela signifiait qu’un de mes proches était responsable de toutes les douloureuses épreuves de ces derniers mois ? Un de mes proches putain. J’avais envie d’éclater en sanglots, mais je me contenais. Et mon père reprenait la parole. Il parlait de ce qu’il allait me faire. Me baiser ? Me frapper ? Me tuer ? Tant de possibilités. Comme il avait eu tant de possibilités face à ma mère lorsque la dispute avait éclaté le soir de sa mort. Il s’agissait des mots de trop. Parler de ma mère me faisait soudainement sortir de mes gonds. Je me jetais sur mon père sans perdre de temps prêt à le tuer de mes propres mains. Prêt à achever ce monstre qui me faisait toujours tant souffrir. Prêt à devenir un monstre si ça pouvait le tuer lui.

Dimanche 24 Octobre. Irlande. 01:00 am

Les événements s’étaient précipités. Le combat avait été acharné. Les gémissements de douleur et les cris avaient peuplé la radio de ma nuit. Le monstre en moi s’était éveillé et il avait fini par gagner le combat après trop de blessures. Des blessures à l’âme. Des blessures au cœur. Des blessures au corps. Chapeau sur la tête, lunette de soleil sur les yeux, j’attrapais la veste de costume dans mon sac pour l’enfiler en gémissant douloureusement. Après un rapide coup d’œil dans la salle de bain pour vérifier que le sang de mon père ne tâchait pas mon être, je me faufilais à l’extérieur composant un message d’un seul mot à un numéro précis pour qu’on vienne s’occuper du corps. Le faire disparaître pour que personne ne sache rien. Le faire disparaître en échange de mon accord pour participer à une affaire pour Rob quand il en aurait besoin. Je sortais de l’hôtel comme si de rien n’était. Je marchais d’un pas naturel comme si l’Enfer ne venait pas de s’ouvrir. Marmonnant à Côme de me retrouver devant l’hôtel, je sortais du lieu la tête basse et la souffrance intense. Je n’étais pas certain de tenir bien longtemps. Il fallait que j’avance quand même. Sortir. Marcher. Avancer. Mon père était mort. C’était réglé. Mais, putain, qu’est-ce que je me sentais mal. L’air frais me percutait et je levais à peine la tête pour trouver Côme qui était là. Côme et son inquiétude bien trop visible pour moi au travers de son regard. Côme qui s’apprêtait à me questionner je le voyais bien. Côme que je faisais taire d’un mouvement de tête pour lui demander de s’éloigner de l’hôtel. Et, lorsque nous étions assez loin, je me laissais soudainement tomber sur le premier banc que je voyais m’autorisant un soupir de douleur. Je m’allongeais de tout mon long laissant le chapeau glisser au sol. Je retirais les lunettes de soleil offrant une vue sur mon visage. Un visage composé de nombreuses griffures, de quelques entailles et de bleus. Ce n’était pas le pire. Écartant doucement la veste de mon costume, ma chemise blanche n’était plus blanche. Elle avait pris la couleur rouge sang. Une couleur qui se dessinait au milieu du ventre. Une couleur qui se dessinait sur l’épaule droite. Le couteau ne m’avait pas laissé intact. Le reste de mon corps était sans doute fait de plusieurs ecchymoses, mais ça ne comptait pas vraiment. Soufflant doucement, je levais le regard sur Côme pour lancer « Je… Suis… Suis pas sûr d’pouvoir aller jusqu’à la voiture… » Non. J’avais tenu jusque là, mais je me sentais de plus en plus mal à présent que l’adrénaline me quittait. La tête me tournait. La chaleur me prenait. Allongé sur ce banc, je n’osais plus bouger et j’étais déjà en train de me demander comment j’allais pouvoir m’en sortir face à mon futur mari pour lui expliquer tout ça.

@Côme L. Mickelson


Pour informations : @Lukas O. Spritz @Aaron Kaine @Eros K. Delrio @Katalia Borgia @Yance Jared Schmidt @Tova Markovich @Alma E. Nightindale
(Neal T. Hood-Spritz)