THOMAS DAVIES ► Alexander Ludwig

naissance
Lake Louise, Alberta au Canada

nom(s) & prénom(s)
Thomas Davies

nationalité(s)
Canadienne

origine(s)
Je suis canadien. Mes origines viennent cependant d'ailleurs. Du côté de mon père, mon grand-père était allemand et ma grand-mère belge. Du côté de ma mère, mon arrière-grand-père était australien avec des origines en Nouvelle-Zélande. Ma grand-mère de ce côté était canadienne, mais mes arrière-grands-parents étant allemand, écossais et anglais.  Un beau mélange en soit.

orientation sexuelle
Hétérosexuel

statut amoureux
Seul et ça me convient pour l'instant

études
Huitième année en médecine

bourse
Bourse pour compétence sportive

statut social
Célibataire

job étudiant
Je suis videur au Badgirlz. Il faut croire que ma carrure sert à quelque chose. Étonnament, j'aime bien ce job et je me sens à l'aise.

maison
Dudley House est ma maison et je suis fier d'en faire partie. Cet endroit, c'est chez moi.

Une envie de partir loin de chez moi et me dire que j’étais capable d’aller avec les meilleurs et que j’y avais ma place malgré le fait que je venais des rocheuses Canadiennes. Une influence de la culture américaine au travers des films qui montraient Harvard comme l’endroit à aller. Un rêve en quelque sorte que je chérissais.

Dès que j’ai commencé à avoir cet objectif en tête, on m’a prévenu que chaque geste compterait et que chaque chose que je faisais aurait un effet sur mon admission. J’ai monté mon dossier d’admission avec des lettres de recommandation de mes enseignants à mon école ainsi que de mon beau-père qui était également mon coach. J’avais également un petit boulot étudiant dans une épicerie et mon employeur n’hésitait pas à me référer bien fier de mon objectif. Travailleur acharné à ma façon et dans toutes les sphères de ma vie, je me donnais toujours à fond et c’était ça qui en ressortait en plus de mon leadership.

J’ai eu 1523 aux SATS ce qui était une excellente chose. J’ai bossé comme un malade pour ça et je ne comptais plus mes nuits blanches. La partie la plus difficile pour moi avait été ce fameux «essay». J’ai écrit et écris en jetant des feuilles sans arrêt. C’était finalement alors que j’étais assis dehors dans les bois que l’inspiration me venait. Je décrivais ce que je voyais et mes objectifs avec passion. La nature et … La vie. La vie qui était partout autour de moi au milieu de la nature. Cette soif de vivre à deux cents pour cent en fonçant tête baissée. Les rapides sur les rivières qui composaient la vie sauvage. Dix pages d’écrits avant de ravaler ma salive. Ma passion pour la vie et faire mieux. Mes ambitions à aller en médecine pour changer le monde. Mon amour pour le travail qui se démarquait tout en restant moi-même.

L’entretien n’avait pas été facile également, car je l’avais fait en visioconférence. Intimidant en tout point, mais j’avais décidé de m’installer devant le lac dans un café avec les rocheuses en fond. Magnifique paysage qui démontrait d’où je venais et que je voulais atteindre les sommets. Entrain et naturel pas possible. Je me suis donné et au final … Ça a payé. Soif de vivre et de conserver la vie.

Une tempête dans un verre d’eau. Une susceptibilité qui ne regarde que moi au final et dont les autres sont victimes. Je n’ai pas la langue dans ma poche et je ne l’aurais jamais. Loin de moi l’idée de faire suer les autres, mais je défends ce que je pense juste. J’aide ceux que je considère comme ma famille férocement, les membres de ma maison en faisant grandement partie. Orageux et caractériel, je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Sarcastique et ironique dans mes propos, j’ai la fâcheuse tendance à aimer avoir raison. Défaut de fabrication me venant sans aucun doute de mon paternel. Travailleur acharné dans tous les sens du terme, je me donne toujours à deux cents pour cent lorsque je m’implique dans quelque chose. Généreux de son temps lorsque ça compte à mes yeux. La famille passera toujours en premier.