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zhenya appréciait peyton. elles se connaissaient depuis quelques jours, mais la jeune femme avait déjà l'intuition que les deux demoiselles allaient se voir souvent et discuter encore longtemps. du moins, zee l'espérait. elles apprenaient tout doucement à se connaître, commençant par les familles et ensuite par les carrières. tout se passait bien entre les deux. même que zhenya souriait sans arrêt, depuis que peyton est entrée dans son appartement. les paroles de peyton envoûtaient la russe. elle avait une voix sublime qui lui procurait des frissons. soudainement, peyton lui demanda si elle avait envie de l'embrasser comme elle le désirait.« évidemment. je le veux, depuis que tu es entrée dans l'appartement. » le contact soudain de la main de peyton sur sa cuisse la fit frissonner davantage.« toi aussi. » zhenya répondit au baiser avec la même passion, mêlant sa langue à celle de peyton. un baiser enivrant. le genre de baiser qui est très rare. zhenya ne voulait pas la lâcher. juste rester auprès d'elle et sentir son coeur battre rapidement.
@Peyton Redmayne
(Invité)
On est sur la même longueur d'ondes, je ressens ce feeling entre nous. Comme si on se connaissait depuis toujours et pourtant on vient de se découvrir et tu me plais vraiment. Je suis impatiente de pouvoir goûter à tes lèvres, ta peau, tout de toi. Et bien qu'on se contient depuis le début, on a ce désir profond l'une envers l'autre. Tu la sens toi aussi? Cette tension sexuelle qui s'émane de la pièce. Pire encore alors que mon corps se rapproche de toi, que ma main vient caresser ta cuisse, que je te demande si t'as envie de m'embrasser aussi parce que c'est ce que je veux vraiment. mon corps brûle d'impatience. ta réponse si claire et ton compliment me donne le feu vert pour la suite des évènements. Mes lèvres scellés aux tiennes dans un baiser langoureux, ma main qui remonte le long de tes cuisses, je sens ta peau si brûlante pour moi. Désireuse de se joindre à la mienne. Ma main vient déboutonner ton jean, impatiente de faire qu'une avec toi. Tu me dis si ça va trop vite... Soufflais-je contre tes lèvres. Je ne voulais pas trop précipiter les choses, sait-on jamais.