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JULIETTE ROTHSCHILD
feat. Madison Iseman
are
naissance
3 janvier 2000
nom(s) & prénom(s)
juliette rothschild
nationalité(s)
française & américaine
origine(s)
anglaise, écossaise, irlandaise, juuve ashkénaze, française, néerlandaise & américaine
orientation sexuelle
hétérosexuelle
statut amoureux
célibataire
études
management et leadership
bourse
non
statut social
aisé
job étudiant
ambassadrice de l'association littles dreamers
maison
student
3 janvier 2000
nom(s) & prénom(s)
juliette rothschild
nationalité(s)
française & américaine
origine(s)
anglaise, écossaise, irlandaise, juuve ashkénaze, française, néerlandaise & américaine
orientation sexuelle
hétérosexuelle
statut amoureux
célibataire
études
management et leadership
bourse
non
statut social
aisé
job étudiant
ambassadrice de l'association littles dreamers
maison
student
admission à harvard
Harvard. Ça sonnait comme une évidence pour toi, pour tout le monde. Après tout, on ne peut pas être une Rothschild sans avoir les compétences pour rentrer dans cette prestigieuse université. Ton père, il avait cette détermination qui te donnait envie de te donner à fond. Tu voulais ce qu'il voulait pour toi. Si Aurora était la fille à maman; toi, tu étais la fille à papa. T'as toujours voulu être parfaite à ses yeux. C'est donc sans aucune hésitation que tu as postulé pour Harvard. Rien d'autre, juste Harvard. Tu te devais d'y croire autant que lui le croyais.
Tu as demandé l'aide d'Aurora sur tout le processus; la demande d'admission, l'essai, les stats et l'entretien. Elle était déjà passée par tout â, haut la main. D'ailleurs, une de tes motivations était de la rejoindre, elle et le reste de la famille. Tu as tout donné pour réussir comme tu en avais l'habitude et tu as été acceptée au plus grand bonheur de tous.
caractère du personnage
La gamine, la princesse aux airs parfois hautains qui mord plus fort qu'elle n'y parait. On t'a souvent comparé à ses petites princesses hautaines, celles qui lève le nez devant la pauvreté, qui montrer à qui veut bien le voir la richesse qui les entoure. On a pas tort. T'as grandi dans le luxe, dans ce monde où on doit se montrer plus féroces, plus riches que l'autres pour avoir droit à un certain prestige. Tu as évolué avec cette mentalité et prouver que tu es la meilleure fait partie de ton quotidien. Tu acceptes très mal la défaite, tu penses constamment à l'image que tu renvois, ce que les autres pensent de toi. Une façon de t'assurer d'être parfaite aux yeux des autres. Encore trop tôt pour que tu réalises que tu es parfaite à ta façon. La seule façon que tu connais est celle de ton père. La détermination, le travail acharné, la tête haute, c'est ce que tu connais, ce que tu montres.
Mais il y a tout un autre côté de toi que tu ne montres pas, que tu gardes pour toi ou une petite quantité de personnes. Cette fille qui veut faire bouger les choses, celle qui crit et qui mords pour une raison, une bonne raison. Tu veux faire bouger les choses, avancer la société pour un jour avoir un moment meilleur. Bien que tu vis pas dans la pauvreté, tu l'as vu dans les rues de Versailles, tu la vois encore à Boston. Tu te montres généreuses, t'investissant dans certaines associations -même si tu dis que tu le fais pour la réputation de la famille- tu kiffes grave en fait. Tu as le coeur sur la main, le bonheur des autres fait le tien. Mais tu refuses de le montrer, voyant plutôt cela comme un signe de faiblesse.
anecdotes
(L'enfance) Un nom comme le tien, ça vient avec des attentes, des responsabilités. Tu as dû le comprendre rapidement. Tu as beau être la petite dernière, la poupée aux petites joues rosées, tu ne passes pas par dessus les attentes de tes parents, ton père principalement. Rapidement, tout le monde le dit; tu es la fille de ton père. Tu comprend rien à ses histoires de finances, d'investissement et pourtant, à peine haute comme trois pommes, tu te plantes à ses côtés pour faire comme lui. Lunette en plastique sur le nez, cahier et crayons de couleurs en main, tu traces des lignes dans tout les sens. Stricte comme ton père, tu mettais un point d'honneur à respecter chacun de tes engagements. Tu ne les avais pas choisi; ses cours qui t'étaient imposés mais tu y allais comme si chaque répétition, pratique allait révolutionner ta vie, faire de toi la gamine parfaite que ton père voyait en toi. Tu as fini par devenir adepte du violoncelle ainsi que le saxophone en ce qui concerne la musique. Sans parler de l'équitation. Quoi qu'on va pas se mentir, c'est recevoir les acclamations du public que tu aimais le plus.
Petite dernière qui hésite pas à se protéger derrière son frère et sa soeur. Par chance qu'ils étaient là pour t'éviter bien des malheurs. Soudés comme les trois mousquetaires jusqu'à ce que le temps les séparent.
(L'adolescence) Tu lui disais d'arrêter, tu lui as dit à Aurora que si elle continuait, ça allait finir par éclater. Vous aviez toujours été un duo parfait, en symbiose, mais Aurora a fait à sa tête, elle a écouter ce besoin de liberté qui la dévorait de l'intérieur. Se rebellant devant les convictions, les règlements de votre père. Jusqu'à ce que le verdict tombe et qu'elle soit envoyée en pensionnat. C'est comme si ton monde s'était écroulé, comme si elle t'avait abandonné. C'est le sentiment que tu as eu quand elle est monté dans cette voiture pour le pensionnat. Si elle n'avait pas agi de la sorte, jamais tu te serais retrouvée seule, sans ta moitié. Tu lui en as voulu. Encore plus quand les exigences de ton père ont doublé sur tes épaules. Un point qui devenait insupportable. Violoncelle, saxophone, équitation, cours de langues, de bonne tenue, bénévolat. Énormément de pression sur les épaules d'une adolescente qui n'a rien vu du monde, qui croit que la vie, elle est censée être comme ça.
Des amies, des vraies, tu en avais très peu. Tu t'étais toujours reposée sur ta soeur mais elle n'était plus là. Les autres de ton âge que tu côtoyais, c'était des amis de la famille, des enfants de riches qui croulent autant sous la pression que toi. Un monde dans lequel la confiance est illusoire et la compétition toujours ouverte. Tu n'aides en rien en suivant le mouvement, voulant être la meilleure de classe, la meilleure dans tout. Achetant chez les plus grands couturiers pour suivre la tendance, assistant aux événements dignes d'intérêt.
(La perte) C'est arrivé si vite, si brutalement. Tu ne l'as pas vu venir. Une énième chicane entre tes parents concernant le sort d'Aurora. Ta mère qui veut la voir revenir, ton père qui tient à ce qu'elle comprenne qui qui mène. Tu n'entends pas tout, tu n'écoutes pas en fait. Dernièrement, ça arrive de plus en plus souvent et tu préfères quitter la maison que de rester à entendre ça. Parce qu'encore une fois, c'est sur toi que retombes la pression après. Tu sors, tu te promènes dans les rues de Versailles. Tu vois bien que tu vis dans un monde à part, que la souffrance, elle est partout autour de vous. Mais toi, tu te considères chanceuse de ne pas vivre ça. C'est ce que tu tentes de te dire en tout cas. Le déni apparemment. Mot dont tu apprends la réelle signification quand on t'annonce que ta mère, elle est partie pour quelques temps. Pour le boulot, c'est ce que te dis ton père. Pourtant, elle ne décroche pas le téléphone, elle ne répond pas à tes sms. Comme si elle vous avait abandonné. Ce n'est qu'au retour d'Aurora qu'on vous apprend qu'elle est décédée. Su tu en as voulu à ta soeur d'être partie -malgré le fait qu'elle n'en a pas eu le choix- tu t'accroches à elle comme une bouée de sauvetage. Ton père qui t'as menti pendant des mois. T'avais même fini par croire que ta mère t'avait abandonné. T'avais beau être plus proches des idéaux de ton père, tu vouais un amour inconditionnel à cette femme. Ce besoin d'approbation, ce besoin de te sentir aimée pour ce que tu es vraiment et non la version que tu montres à tous, c'est sur Aurora que tu le projettes, comme si tu cherchais à retrouver l'amour d'une mère à travers ta soeur aînée.
(La réalité) Vivre sur un nuage, dans un monde doré, c'est bien joli mais ce n'est pas la réalité. Et tu le réalises bien rapidement quand tu te détaches rapidement de ton père. Ses mensonges, ces cachoteries, tu lui en veux. Tu voudrais tout laisser tomber, tout abandonner. Mais tu es têtue et tu veux prouver que tu es capable du meilleur. Tu as toujours vécu comme ça et c'est difficile de tout laisser tomber. Mais tu sors un peu plus, voyant encore plus la réalité qui s'affiche à toi en dehors des murs de ton château. La pauvreté, la maladie, la négligence. Tu as comme une lueur, une flamme qui s'allume en toi lors jours où tu rencontres Rosalina, cette gamine d'à peine 4 ans qui danse près d'une fontaine, en toute innocence, sans musique. Juste elle qui montre sa beauté au monde à travers la danse. Des éclats de rire qui franchissent ses lèvres jusqu'à ce que ses petites yeux bleus azurs se posent sur toi. Tu l'intrigues autant qu'elle t'intrigue. Tu lui parles, elle ne te réponds pas. Jusqu'à ce qu'elle commence à gesticuler. Le langage des signes. Elle est sourde. Sa mère pas très loin qui vous observe discuter pendant un moment, le regard plein de gratitude. La petite, elle n'a pas souvent l'occasion de converser. Les gens ne la comprennent pas, ne lui montre aucune attention. Pourtant, toi, tu l'as fait aujourd'hui. Tu as vu le rayon de soleil qu'elle était. Et tu as voulu que tout le monde le voit un jour. Son rêve était de danser mais sa mère, l'élevant seule, n'avait pas les moyens. Toi, tu les avais. Tu lui as payé ses premiers cours. Tu l'as accompagné à ses cours. Payant pour les services d'un interprète à chaque fois simplement pour voir le bonheur de cette gamine, l'éclat de joie dans son regard. Chaque fois, ça t'a fait un bien fou de voir que tu pouvais changer le monde, y mettre du bonheur par de simple petit geste. Évidemment, après quelques mois, ton père s'est rendu compte de ce que tu faisais de son argent. Ça l'a mis en rôgne mais comme la réputation de la famille est une priorité. Il a annoncé publiquement le lancement de l'association Little dreamers qui finance les rêves des enfants moins fortunés et t'as nommé ambassadrice de la société. Pour toi, c'est l'occasion de faire plus, de donner plus. Mais tu restes avec ce goût amer que ton père a fait ça pour l'image de la famille.
(Aujourd'hui) Tu en es à ta quatrième année à Harvard. Loin des regards de ton père mais toujours sa voix qui se prononce dans ta tête. Tu t'accroches à l'idée de changer le monde de changer le monde un enfant à la fois -pour la réputation de la famille selon tes dires. Tu parles facilement le langage des signes, le français, l'anglais, l'espagnol et le russe. Tu divises ton temps entres tes cours, tes engagements auprès de l'association, le violoncelle et l'équitation. Encore heureux que tu arrives à avoir une vie sociale avec tout ça. Merci à papa qui paie tes études, ton loft, les services d'un traiteur ainsi qu'une femme de ménage en plus de tes petits caprices personnelles. Tu sais bien que ton père aurait voulu te voir chez les pforzheimers mais tu lui as toujours dit que tu n'avais pas le temps de t'investir dans une maison avec tes cours et tes responsabilités malgré le fait que tu aurais eu l'ambition nécessaire pour rejoindre les dorés.
irl, ça donne quoi?
pseudo lya
âge 30 ans
nationalité quebecoise
forum connu par... mes autres comptes
ILH, j'en pense quoi ? l'amour de ma vie
autres comptes ? @H. Siloé Langford @Evie Sharpe @Shannel Wolford @Quentin Donovan
avatar utilisé Madison Iseman
crédits images prettygilrlavatars
nombre de mots par rp 300-400 mots environ
type personnage inventé avec l'accord de @Aurora Rothschild
code études
4e année ;; 2021-2022
- Code:
@"Juliette Rothschild" » <i>(management et leadership)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">MADISON ISEMAN</span> <span class="inv"></span> @"Juliette Rothschild"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)