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l'antérieur est une ombre. (kobade)

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A l'autre bout du téléphone, les pleurs de la fillette n'est que chagrin et crainte. Depuis la mort de sa maman, Susie est particulièrement sujette à l'anxiété notamment celui de l'abandon. Bien qu'elle s'entende très bien avec le couple qui la garde ce soir, tu sais que le son de ta voix a le don de la rassurer. Après plusieurs minutes, tu parviens à tempérer ses émotions et Cole reprend le flambeau en te demandant de songer un peu à toi pour une fois. En raccrochant, un rictus narquois étire tes lèvres qui se fane tel une amertume soudaine. Tu soupires doucement avant de ranger ton cellulaire et de repérer Jade dans le hall de la confrérie. Elle est en compagnie d'une jeune brune et de Ambre qui vient lui glisser des mots à l'oreille. Vos regards se croisent, se toisent en silence malgré la distance. Elle te connaît assez bien pour qu'elle sache qu'il est temps pour vous de discuter. Une fois le lien visuel rompu, tu t’éclipses des lieux en direction du dehors en attendant qu'elle te suive.
@Jade Beauregard
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17/09/2021
@Kobe Langford tes iris déconcertés qui ont croisé les siens. mélange d'amertume et de colère perçu en l'espace de quelques secondes. incertaine de ce qu'ambre avait pu lui raconter. la peur te tenaille jade. elle tient ton coeur en étau. tu sens les pulsations qui s'accélèrent à mesure que tes pas te conduisent jusqu'à lui. t'aimerais penser qu'il allait te sermonner pour ne pas l'avoir prévenu de ton intention de venir à cette soirée. mais la déception semblait encore plus profonde. plus intense. "kobe ?" tu l'appelles, la voix fébrile. t'as jamais été autant stressée de toute ta vie. le coeur qui s'affole. les mains qui tremblent. ton corps décontenancé qui vient faire face au sien. "elle te l'a dit... n'est-ce pas ?"
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La sensation de ton zippo en main est langoureuse d'une mélancolie antérieur. Passif où la nicotine était une attraction de divertissement lors de quelques soirées et à laquelle tu as mis un terme lorsque l'on a découvert ta maladie cardiaque. Dès lors, les mauvaises habitudes du fumeur ont disparues quand bien même elle demeurait occasionnelle. Pour autant, l'idée d'une cigarette te tente soudainement et lorsqu'un novice de la confrérie sort fumer, tu en demandes une avant de l'allumer. Prendre une taffe, une sensation étrange qui t'irrite un brin la gorge à l'image de l'ombrage de la lune qui peine à rayonner à cette heure de la nuit. Appuyé contre une colonne de la maison, la voix de la Beauregard te tire de sa réflexion personnelle, interpellant ton prénom en une tonalité frétillant d'angoisse. Son regard sonde le tien alors que tes prunelles se borde à l'horizon de la nuit une fraction de secondes avant de la regarder enfin. « Disons qu'elle m'a dit ce que tu as omis de me dire. ». Ton timbre de voix est fait de ce calme olympien, serein qui te colle à la peau depuis ton enfance. Aucune colère, aucune rancœur n'est nourrit envers celle que tu aimes. Tu tires une énième taffe avant que les volutes de fumée ne s'échappe d'entre tes lippes. La cigarette est très mauvais pour toi, Kobe. Ta conscience te réprimande mais tu t'en fiches en cette nuit et en cette heure.
@Kobe Langford
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17/09/2021
@Kobe Langford déception perceptible dans ce regard que tu me jettes. regard qui me pétrifie sur place. figée dans l'espace et le temps. me retrouvant incapable de faire le moindre mouvement. j'en avais conscience que tu devais tôt ou tard finir par le savoir. ce baiser interdit échangé avec celle qui maintenait toujours captif mon palpitant entre ses doigts. mais pas ce soir. pas maintenant. pas de cette manière. elle m'avait volé ce moment. elle s'était permise de tout balancer. et je devais désormais en payer le prix. assumer les conséquences. "je vois..." murmuré-je, la douceur qui se mêle à l'angoisse. je n'y étais pas vraiment préparée en réalité. à cette révélation que j'avais tant redoutée. n'ayant pas vraiment pris conscience de l'importance de cette proximité qui demeurait présente. malgré cette rancoeur tenace que j'avais pour elle. jusqu'à maintenant. les lippes qui s'entreouvrent à nouveau pour enfin exprimer ce que mon coeur te dissimulait depuis un moment. les mots qui restent entravés, bloqués au fond de ma gorge. fronçant les sourcils en te voyant repartir dans tes travers. "à quoi tu joues kobe ? tu sais très bien que tu ne peux pas fumer !" je peux pas m'empêcher de râler, venant saisir l'objet de tes méfaits entre mes doigts. "énerve toi, emporte toi contre moi, ce que tu veux mais ne bousille pas ta santé à cause de mes conneries..." j'ajoute avec fermeté, le corps qui s'est inconsciemment rapproché du tien. mon coeur qui réclamait le tien. instinctivement. 
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Le myocarde a déjà accusé la souffrance par bien des chemins, tu le sais assez bien quand bien même tu ne pensais pas le vivre aussi tôt avec la jeune femme. Tu ne lui en veux pas de cette situation car c'est sans doute ainsi qu'est transcrit votre histoire car tu es de ceux qui pense que rien n'est gravé dans le marbre hormis le passé. Présentement, tu as simplement envie de levé le pied et de gérer cette situation comme elle se doit d'être, comme elle te ressemble en réalité. Le calme est un attrait bien trop ancré dans tes veines comme l'encre de sèche pourrait être indélébile. Tu l'entends se mettre en colère d'une voix haussée alors qu'elle te réprimande de te voir avec une cigarette au bec Elle a connaissance de ta maladie, elle qui a si souvent accompagné à son bon vouloir à tes examens de routine. Jade te prend sans ménagement le poison de tes doigts alors que le denier goût amer des volutes de fumée s’évapore dans l'air tiède de cette nuit de fin d'été. « Avoir le droit ou pouvoir, le fossé est mince entre les deux Jade. ». Une allusion implicite, presque métaphorique de deux verbes qui s'apparente à votre propre situation actuelle. Coriacité dans son intonation, une note qui focalise tes iris aux siennes. « C'est un choix qui n'a rien avoir avec tes conneries Jade. ». une sincérité qu'elle peut ajuster à la véracité de ton regard alors que tu poursuis d'un ton calme alors que tu remarques qu'elle a rompu votre distance, vous octroyant une proximité nouvelle. Le silence domaine dans ton attitude alors que la détaille pour ce qui t’apparaît comme la toute dernière fois. Ton pouce se pose délicatement sur sa joue, caressant cette dernière jusqu'à son menton que tu soulèves quelque peu. Tu l'embrasses alors avec tendresse et amour car tels sont tes sentiments à son égard. Un échange à la fois puissant de franchise et d'unité dont vous avez preuve depuis que vous êtes ensemble. Après quelques minutes, tu recules d'un pas. « Je crois que tu as besoin de savoir ce que tu veux réellement. Quoi qu'il se passe je ne t'en veux pas. ». des propos sincères, car tu voulais la voir heureuse avant tout. Tu viens récupérer ta cigarette, en tire une dernière latte avant de l'écraser sous ta chaussure.
@Jade Beauregard
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17/09/2021
@Kobe Langford douleur qui s'accroit à mesure que tu demeures proche de celui que t'étais censée rendre heureux. et non l'inverse. tu t'en veux jade. de ne pas savoir aimer comme il le faudrait. de lui infliger ce tourment. souffrance que t'aurais pu éviter. si tu lui avais avoué la vérité dès les premiers instants. dès que tu sus qu'elle était toujours là, dissimulée au fin fond de ce coeur tourmenté. t'avais essayé d'éteindre cette flamme qui t'avait animé pendant plusieurs années. t'avais essayé de l'oublier. mais elle demeurait ancrée dans ton subconscient. et kobe était en train d'en payer les pots cassés. remarque de ton petit ami qui semble difficile à encaisser. qui sonne plus douloureusement que d'accoutumée. il avait raison. t'avais pas le droit de l'embrasser. de laisser tes envies prendre le contrôle de tes lippes. et tu l'avais quand même fait. incapable de t'arrêter. incapable de te stopper avant la ligne interdite. double émotion qui se partage l'emprise de tes pensées. la colère de le voir ternir sa santé. et la culpabilité qui t'empêche d'élever la voix et de t'emporter. "je sais que je ne suis plus en droit de le penser... mais je veux pas te perdre comme ça... je..." les mots qui sont écourtés. brusquement. son pouce se dépose sur ta joue, t'offrant une caresse réconfortante. qu'est-ce que tu es en train de faire kobe ? ne me réconforte pas. ne me donne pas ton amour. pas après ce que je t'ai fait. et pourtant malgré tes supplications internes, il vient s'emparer de tes lèvres. baiser cruellement doux et tendre. tu ne méritais pas cette affection. mais tu ne peux pas t'empêcher de t'empresser d'y répondre. le prolongeant aussi longuement que tu le pouvais. parce qu'au fond de toi, ça sonnait comme un adieu. et c'était pas ce que tu voulais. pas maintenant. pas de cette façon. "pourquoi kobe ... ? pourquoi t'es pas en colère ? pourquoi tu ne t'énerves pas ?" tu ne comprends pas ses agissements. tu l'avais trahi, blessé. pourquoi rendait-il la situation encore plus compliquée qu'elle ne l'était. il avait reculé, t'avais avancé. "comment peux-tu encore vouloir m'embrasser ? je mérite pas ta pitié ni ta compassion kobe... je..." les larmes que tu contenais difficilement finissent par se révéler. coulant le long de ce visage terni par la culpabilité. "je t'aime kobe... tu dois me croire... je sais pas ce qui cloche chez moi... je suis désolée..."
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Une âme ancienne dans un corps de prime jeunesse. Des propos qui n'ont cessés d'être énoncés par la psychologue qui suivait ton dossier d'adoption à l'époque. C'est ainsi qu'elle te dépeignait à tes parents afin de leur expliquer à quel point ta maturité était  sous-jacente de tant de réflexion humblement posé pour ne pas dire d'une autre dimension. Une pensée emplit de raisonnements philosophiques ayant déjà vécue mille et une existence. Un brin en décalé avec ta propre génération – si ce n'est davantage – mais surtout une capacité hors du commun à t'adapter à chaque situation que cela soit tes émotions et celle de gérer celles de ceux qui t'entourent. Présentement, c'était bien le cas. Tes ressentis étaient implicitement neutre d'un silence qui angoisse autrui, autrement dit ta petite amie. « tu ne me perdras pas de cette manière Jade, rassure-toi. On était amis autrefois avant d'être plus intime, ça ne changera pas. ». Ton timbre de voix est une imperturbable sérénité à mi chemin entre le froid de l'hiver et le calme serein du printemps. Deux saisons qui en soient sont contigus l'une à l'autre un peu comme vous l'êtes toi et la jeune Beauregard. Tout naturellement tu viens chercher ses lèvres douces dont le contact est un velours auquel tu n'auras plus le droit désormais car réservé à une autre personne. Le bonheur en seule lumière, un étendant dont le sourire de l'un sera l'ombre des souvenirs de l'autre. Une véracité consciente contre laquelle tu fais face tel un aléa de l'existence. Après l'initiation du baiser que Jade venait de prolongé, tu as reculé de quelques pas tandis qu'elle s'est rapproché avec une succession d'interrogations qui se succèdent. Des incompréhensions qui lui paraissent étranges tant elles te paraissent légitimes. « Je pourrais c'est vrai mais je n'en vois pas la nécessité. La colère ne trouve sa raison dans le puits d'une haine que je ne porte ni à toi, ni à Ambre d'ailleurs. ». La demoiselle Wolford, tu l'as connais assez bien pour savoir qu'être au centre du monde est une arrogance de lumière et rien d'autres. Tu as dit ce que tu avais à lui dire il y a moins d'une heure, tu ne voyais pas les choses autrement. La tolérance des âmes est une justice implicite de l'amélioration des relations. « Elle a voulu accélérer les choses, précipité les événements et c'est chose faite. ». tu secoues la tête d'un air nonchalant lorsque tu l'entends prononcés les mots pitié et compassion dans la même phrase alors que tu perçois aisément son sentiment d'auto-accusation dans la voix. «  Il n'est pas question de compassion Jade. Ton bonheur est sans doute ailleurs, avec une autre personne et je suis prêt à l'accepté si telle est la vérité. Je préfères te voir épanouie avec quelqu'un d'autre et ce même sans moi. ». Des larmes perlent alors le long de ses joues de porcelaine avec toute la franchise que tu lui connais. Tu esquisses un sourire tendre, encourageant et bienveillant avant tout alors que tu essuies l'une de ses larmes salées du revers du pouce. «Je t'aime, Jade. Je t'aime aussi mais … je pense que tu dois chercher ce que tu as réellement besoin. ».
@Jade Beauregard
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