MARS GRIMALDI ► cole sprouse

une évidence comme une autre, ombre d'un prince, mais se doit d'incarner une perfection invisible. petit génie, autrement que son reflet dans le miroir. aux idéaux qui lui admet quand ce sont les siens qu'il placarde presque avec fierté. à l'application, bijou de ses années de lycée, qu'il vend comme une nouvelle manière de voir les rencontres. il réussit, brillant, jolie bouille d'ange qui satisfait les jurys. des résultats excellents aux tests, la voie étant destinée pour lui. joli tapis d'or qu'on lui oblige à emprunter quand ça ne devient même pas une obligation.

ARROGANT 70 % ■■■■□□ 99% BRILLANT
WEIRDO 80% □□■■■■ 90% CHILDISH
PROTECTIVE 99% ■■■■□□ 99% GEEK
FUNNY 90% □□■■■■ 91% OPTIMIST
RESPECTFUL 94% ■■■■□□ 95% CONSCIENTIOUS

mars enfant des astres, désastre peut-être. jamais premier, jamais second, juste le spectre d'une ombre qui surplombe. moitié d'un prince enfoui dans la misère d'une richesse que l'astre ne pourra effleurer. c'est autrement qu'il s'enrichit, à vivre en premier lieu dans les pas des grandes personnes, jusqu'à devenir le nom qui persiste sur les lèvres de ses camarades. à approcher sans cesse l'illusion d'être quelqu'un. pommette où on n'y ose jamais y mettre une claque, traits que l'on envie parfois. garçon dérangé dans son époque, quand il s'affaire à être le guérisseur des machines endommagées. il a le sourire arrogant, à venir croquer la vie comme un fruit exotique. génie qui sait si bien manier les fils, à s'emmêler lui-même dans ce qu'on désire de lui. plusieurs facettes, à devenir les désirs des autres dans un effort aisé. il vit, mars, astre puissant, cogne pour détruire les barreaux. on ne l'enferme plus, il est sans hésitation.

01. premier ou second, à quel cri résonne comme vainqueur, pleurs comme écho d'un échec. royauté qui punit peut-être, l'erreur d'une seule femme pour le prix d'une couronne. d'or et de pierres, saisir un nom pour l'envoyer où l'espace ne sera jamais plus lointain qu'un univers. enfant des étoiles, petit prince perdu loin, la nuit est sombre, et c'est l'astéroïde qui prend place comme maison. il n'adopte pas une rose, ne fait pas d'elle muse et amoureuse, amante des sentiments qu'il exploite pour s'enrichir loin d'une vie de misère riche. il ne se fait guère d'ami comme un renard, n'apprivoise pas l'animal mais lui-même dans un élan de sûreté. mars enfant des astres, premier ou second quand les mots ne rassurent jamais le rang, fil tendu jusqu'à le briser, séparé d'un jumeau dont il saura tout quand il ne sera sûrement qu'un vulgaire spectre d'ami imaginaire pour la moitié de son être. 02. pensionnat. on l'envoie presque à sa destinée, c'est l'amérique qui devient mère quand la figure maternelle laisse à l'abandon les mèches brunettes. garçon délaissé dans l'immeuble aux airs de manoir hanté. il y a rien de plus amusé que le regard du môme différent, à s'accrocher d'histoires fantastiques et surréalistes. ça n'a jamais été les princes et les épées son monde, juste la réalité teinté d'un on ne sait quoi irréaliste. il rêve en grand, mars, enfant lunaire, se permet parfois d'exister dans l'ombre de ses camarades. n'a pas plus de famille que l'orphelin, survis de lettres manuscrites teintées de froideur. l'interdit de voir l'être moitié grandir et c'est le reflet dans le miroir qui semble incorrect. 03. et ça s'estompe petit à petit, précepteur qui devient père. ou frère vu son jeune âge. mars, il vit dans les autres, mais son ombre offre l'étreinte. à ne ressentir qu'une absence persistante, quand elle s'efface petit à petit. rien n'a plus de beauté que le petit être informatique, robot inhabituel qui ressent les vives émotions. on entend encore, peut-être, l'éclat de son rire dans les couloirs du pensionnat. il est beau, mars, aux traits d'ange qui le surplombent et aux airs d'arrogance qu'on oserait jamais gifler. il devient le génie, on lui conte encore les exploits de son frère, il n'en sait rien de plus, jusqu'au jour où la vérité se dévoile. à préférer les mensonges doux plutôt que les vérités acides 04. on évite sûrement les sujets tendres, à assassiner les jolies images d'un passé transformé. les rêves de petit garçon ça embellit toujours un peu plus les idées d'autrefois. à ce qu'on lui explique les raisons, les abandons, les lettres teintées d'une haine que l'on comprend pas vraiment, à dix ans. à jamais porter attention, quand on a finalement l'âge de comprendre les décisions de papa et maman. les photos que l'on montre et c'est le reflet qui se recolle, beauté d'un puzzle quand pourtant il manque encore lui. s'abandonner à un bout d'eux qui n'est rien, à la douleur de s'aimer juste un peu quand il ignore son existence, lui, grand prince rêvé. et il lui laisse le droit d'exister, peter parker dans l'ombre quand il touche aux fils électriques sans s'y blesser. 05. et il vit ainsi, au souvenir d'un frère par photographie. quand lui n'est que le génie des machines et électroniques défectueux. il invente, mars, déchu de compagnie, l'affection sur une application. dernière année. harvard à deux pas. invente son application pour se vendre au public, lui et ses airs de môme 80's. il est différent, les caractères collent pas vraiment quand il n'est rien d'autre qu'un astre perché là-haut, sur son astéroïde, à mâchouiller une paille de plastique. application vendeuse, à ce qu'elles s'arrachent toutes ce garçon pour un soir, à devenir scientifique, sportif, ou l'insupportable. il entre là-bas, à harvard, mais la règle persiste : n'approche jamais ton frère.

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@"Mars Grimaldi" » <i>(ingénierie)</i>

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<span class="pris">COLE SRPOUSE</span> <span class="scena"></span> @"Mars Grimaldi"