Jessica Pendariès ► Jackie Janzer (BlaBla)

TW : accident de voiture, dépression/tentative de suicide, harcèlement, scarification, idées noires, infidélité, viol, avortement.

Jessica Pendariès

feat. Jackie Janzer (Blabla)

❝ Still looking for myself
Can't figure out
Who
I am

naissance
Née le 9 décembre 1997 à Créteil, dans l'Val de Marne (France). Nul besoin de retenir cette date, puisqu'elle n'aime pas et ne compte plus fêter son anniversaire. Pas d'raison particulière, c'est juste qu'elle estime avoir passé l'âge des paquets cadeaux et des bougies sur le gâteau.

nom(s) & prénom(s)
Jessica, premier prénom et choix imposé par sa mère; Iris en second, le choix du père qu'a pas eu son mot à dire, finalement. Pendariès, c'est le nom de sa mère et pas son patronyme; choix personnel qui ne regarde qu'elle.

nationalité(s)
Française, Jess' est née et a passé ses vingt-trois premières années dans l'hexagone, à voler aux six coins du pays.

origine(s)
Française pure souche du côté de sa mère, les racines sont légèrement plus tordues sur le versant paternel. Il faut creuser pour comprendre, aller chercher dans les souvenirs douloureux d'une époque où le monde entier était en guerre. De vieilles photos éparpillées sur le parquet de la chambre, des ancêtres en piteux état mais toujours vivants, plutôt survivants puisqu'ils sortaient des camps d'concentration. Personne ne saurait dire ce qu'il s'est vraiment passé, seules les hypothèses demeurent. Le viol probable commis par un garde, l'enfant illégitime qu'en a été le fruit; quatre vingt ans plus tard, les racines allemandes & autrichiennes sont toujours là, supposées plus que confirmées.

orientation sexuelle
Jess' n'a jamais vraiment réussi à se définir sur la question, et ça lui a jamais posé de problèmes. Homme ou femme, peu importe. C'est pas le sexe qui compte à ses yeux, mais la personnalité profonde de l'autre, ce qu'il ou elle dégage. Jess', elle tombe pas amoureuse d'une enveloppe physique mais de ce qui se cache en dessous; le coeur, l'âme. Bisexuelle ou pansexuelle, y a-t-il vraiment besoin de répondre à cette question ?

statut amoureux
Célibataire, prête à s'engager dans une histoire sérieuse mais toujours libre de papillonner. Myocarde meurtri par le passé, autant par ses erreurs que celles des autres; donzelle capable de tirer des leçons de ses échecs pour aller de l'avant, toujours.

études
Après cinq années à l'université de Paris Sorbonne et un master réussi, la voilà sur le sol américain, en sixième année d'Histoire Antique (M) et d'Archéologie (m); à s'demander encore comment elle a fait pour arriver jusque là.

bourse
Oui, et heureusement ! Impossible de joindre les deux bouts sans un p'tit coup de pouce financier. L'excellence a un prix, c'est pas rien de le dire.

statut social
Dans la moyenne. Avec un toit au dessus de la tête et de quoi manger tout les jours, Jess' estime qu'elle n'est pas à plaindre. Ses parents ont toujours cravaché pour lui offrir une vie décente, pour lui permettre de ne manquer de rien. Désormais reconnaissante, consciente qu'elle a pas besoin d'être richissime, tant qu'elle dépense à bon escient.

job étudiant
Oui, ça viendra. Où et quoi, elle n'a pas encore décidé. Son premier choix se portera sûrement au musée des beaux-arts, pour rester dans son thème, approfondir ses connaissances et continuer de faire ce qu'elle aime. Cela dit.. Au pire des cas, elle prendra ce qui passe, tant que l'argent lui permet d'payer les factures à la fin du mois.

maison
Currier House. Solidarité, égalité et loyauté, ce sont des valeurs autour desquelles Jessica se retrouve facilement. Being selfless instead of selfish, c'est une mentalité qui lui correspond, qui va dans la continuité de ce qu'elle tente de devenir depuis plusieurs années. Entrer dans une confrérie, ça signifie surtout appartenir à un groupe, rencontrer de nouvelles personnes et partager des idées; bref, ça va à l'encontre même du principe de la solitude, que Jess' fuit comme la peste.

admission à harvard

Harvard, ce n'était pas une décision réfléchie au départ. Pas même censée, pour son esprit tourmenté. C'est surtout venu d'une question, déraisonnable -ou non-, à chacun son opinion : pourquoi pas ?
L'université ne faisait même pas partie de ces plans, à la base. Que ce soit Harvard ou Paris Sorbonne, ça semblait.. Impensable. Pourtant, elle l'a fait. Jessica s'est donné les moyens de réussir, allant jusqu'à mettre sa vie sociale entre parenthèses pour être certaine de ne pas foirer ses études. Stressant, fatiguant et parfois vraiment contraignant, la demoiselle s'est sentie débordée à maintes reprises. Pour autant, elle n'a jamais lâché l'affaire, constatant avec plaisir que chacun d'ses efforts était sur le point de porter ses fruits.
L'admission à Harvard, c'est la cerise sur le gâteau. Inespéré pour la française, de prétendre à intégrer l'élite; panique installée sur ses traits lorsqu'elle a ouvert l'enveloppe, découvrant la réponse positive aussi attendue que redoutée.

L'entretien, c'était comment ? Irréel, carrément surréaliste. Angoissant. Tellement étrange d'arriver ici, à Boston, qu'elle en avait littéralement perdu son langage. Incapable de prononcer le moindre mot durant les trente premières secondes, avant qu'on ne lui dise " commence par te présenter ", et qu'enfin, Jess' ne se lance. La suite, c'était le plus évident; la donzelle a laissé parler son coeur, évoquant ses envies pour l'avenir, ses espérances de carrière; abordant au passage certaines de ses expériences humanitaires, se dévoilant sur le plan des passions et précisant d'une voix mal assurée, que jamais elle n'aurait imaginé avoir une chance, au sein de cette prestigieuse université. Le plus important à ses yeux, c'était pas de s'montrer forte mais de rester authentique.

caractère du personnage

Il y a eu un avant, puis un après. Le plus frustrant étant, qu'elle ne se souvienne pas de qui elle était, avant son accident. Forcée de se découvrir à nouveau, de combler ce flou dans sa tête avec de nouvelles émotions. Des réactions qu'elle ne peut empêcher, la surprise de ses proches qui voient encore en elle, la femme qu'ils connaissaient. It's not me anymore ! se surprend-elle à crier, en désignant la demoiselle présente sur les clichés. Des moments dont elle se souvient, qui vivent dans sa tête; mais qui ne lui appartiennent pas. La joie d'une enfant, la passion d'une adolescente, un univers qu'elle tentait de créer.. Avant que tout ne s'efface, qu'une autre la remplace.
Affectueuse, bienveillante et douce à souhait, c'est c'qu'on disait d'elle. C'est probablement resté vrai, d'ailleurs. En revanche, ce tempérament explosif, parfois irritable, ne faisait pas partie d'elle. Pourtant, Jess' doit composer avec. Véritable boule de patience, à la tendance calme et discrète, aspect de sa personnalité qu'elle est capable de ruiner en dix secondes, dans un élan impulsif. Franchise qui la caractérise mais que ses parents associent à un clair manque de tact, blessante sans le vouloir; Jess' ne trouve pas l'équilibre entre l'honnêteté et l'expression " arrondir les angles ". Solaire, positive et enjouée quand le quotidien joue en sa faveur, capable d'être l'inverse aussi; pessimiste, renfermée et inaccessible, à attendre que ça passe. Gênée par un profond manque de confiance, l'idée que quoi qu'il arrive, les autres vaudront toujours plus qu'elle, quand bien même Jess' possède le talent et les capacités; tendance à s'autosaboter quand sa vie semble tranquille et agréable, le refus constant de s'accorder le droit d'être heureuse et à l'inverse, la manie de foutre en l'air tout ce qu'elle peut construire ou entreprendre.
Jessica, elle cherche encore son propre mode d'emploi; frustrée de pas se comprendre totalement, parfois désespérée de se sentir seule face à cette réalité, de ne pas savoir qui elle est.

anecdotes

décris ici en quelques anecdotes ton personnages. cette zone peut également servir de substitut à l'histoire, à condition que l'histoire du personnage puisse y être comprise dans son ensemble.
anecdote une (Daddy) Le vrai héros de l'histoire n'a jamais porté de cape. Il est l'homme extraordinaire, celui qu'elle regarde toujours avec admiration. Celui qui ne se prétend pas parfait, mais qui fait de son mieux pour devenir meilleur, à chaque jour qui passe. Celui qui a le coeur bon, toujours sur la main, prêt à aider les autres; sans jamais attendre quoi que ce soit en retour. Son père. Jess' ne pourra jamais totalement exprimer sa fierté, d'être sa fille, d'faire partie de sa vie, d'avoir eu la chance de le connaitre et de partager des moments uniques avec lui. Papa, c'est une force de la nature, le bouclier contre les méchants, la voix reposante qui trouve toujours le bon mot pour l'apaiser, le soutien infaillible face à la vie, un pilier pour se relever, un modèle pour avancer, une raison de toujours espérer, de continuer à s'battre et de croire en l'avenir; son père, c'est la voix dans sa tête, celle qui répète inlassablement " don't give up " et qui l'a toujours poussée à aller au delà de ses limites. Son papa, c'est l'mécano du coin, celui qui rafistole tout avec rien, celui qui traverse la France entière en une journée pour venir la consoler; c'est l'homme formidable qui a bravé les éléments pour être certain qu'sa famille soit en sécurité, celui qui a failli se manger une morsure de chien enragé pour protéger les siens; celui qui se lève parfois aux aurores pour préparer le p'tit déj', celui qui demande rien à personne, qui se fait discret et qui se complait dans la simplicité. C'est l'homme qui lui a appris à changer une roue de voiture, à réparer les tuiles sur le toit, l'homme qu'a réparé un démarreur avec un lacet d'chaussure; c'est un ancien parachutiste qui radote -parfois- sur ces histoires de soldat, c'est un fucking cancer survivor; c'est l'homme dont Jess' peut pas parler sans s'mettre à pleurer. Il est son humanité et sa tendresse, sa meilleure force et sa plus grande faiblesse. Soixante-dix ans fêtés il y a déjà quelques années, une manie qu'a son paternel de tourner en dérision son futur décès; Jessica redoute sa mort plus que n'importe quoi d'autre, se demande encore comment elle pourra évoluer dans un monde où il ne sera plus. Elle espère, comme l'un de ses plus grands rêves, qu'il soit encore présent le jour où elle deviendra maman; qu'il puisse apporter son amour à ses futurs p'tits enfants. Papa est un héros, une source d'inspiration; leur histoire s'compare souvent au tonnerre et à la foudre: explosifs et complémentaires, rarement l'un sans l'autre. anecdote deux (brother) P'tit frère, tête à claques dont elle ne saurait se passer. C'est sa moitié, son énergie; l'innocence et la maturité réunies. Jess' faisait la maligne quand ils étaient gosses, parce qu'elle était plus grande que lui; aujourd'hui les rôles sont inversés et il manque pas une occasion d'le lui rappeler. Son frère, c'est une armure, une présence qui rassure; un rocher toujours présent pour faire face à ses problèmes de santé. C'est le p'tit mec qu'aurait pu se noyer dans la Marne, en cherchant à cueillir un nénufar, qu'est ressorti de l’eau en mode " I don't give a fuck " alors que Jess' était restée pétrifiée. C'est un mec attentif, tolérant et se voulant juste dans chacune de ces décisions. Il est ce gars qu'elle regarde parfois, en s'disant " merde, je devrais en prendre de la graine ". Sensibilité débordante, artiste dans l'âme mais artiste refoulé, toujours présent pour les autres et dans une quête permanente du "non jugement", c'est avec lui que Jessica passe le plus clair de son temps lorsqu'elle rentre chez ses parents. Little Bro' et elle, c'est une longue histoire; deux gamins fusionnels, un lien qui traverse tout: l'espace, le temps et même le plus dur des traumatismes. anecdote trois (mother) Maman, mille et une raisons de lui dire merci, après vingt-trois années d'existence. Relation conflictuelle, parfois détachée, d'une demoiselle qui refusait souvent de lui offrir le moindre signe d'affection. Sa mère, pourtant, c'est sa meilleure amie; une confidente qui l'a jamais jugée, qui s'est contentée de la guider du mieux qu'elle pouvait. C'est la dame qui soigne les bobos, qui donne les "bisous magiques" et raconte les histoires. C'est celle qui l'a défendue, bec et ongles, même quand elle était pas franchement en position de force. Sa mère, elle lui a donné la vie, c'est vrai; mais elle lui a surtout permis de renaître: c'est grâce à ces recherches et à sa persévérance que Jess' est sortie de cet abîme, après son accident. Sa mère, c'était le défouloir à émotions; celle qui a le plus ramassé mais qui s'est montrée forte, pour deux, quand Jessica n’était plus capable de s'assumer elle-même. Dame plus stricte que son père, éducation qu'a fait de sa fille une femme rigoureuse, sérieuse dans les tâches qu'elle entreprend. Sa mère, c'est l'ouverture du coeur et de l'esprit, l'humanité et la sensibilité en premier plan, le besoin d'aller vers les autres et la capacité à exprimer ce qu'elle ressent; c'est grâce à elle que la brune a compris, que la fierté ne vient pas du fait de paraître intouchable, dure comme un roc; mais de la capacité à dire " je t'aime " en toute liberté. anecdote quatre (family) Jessica n’est pas réellement l’aînée de la famille. Son père, marié une première fois, a déjà eu deux fils; lesquels sont donc ses demi-frères, tous deux âgés d’une bonne quarantaine d’années. Elle n’est pas spécialement proche de l’un ou de l’autre; elle se contente de les croiser, une fois par an environ. De leurs mariages respectifs sont nés des neveux et nièces; la plus vieille des cinq est déjà majeure. Pour des histoires qui la dépassent, qui l’exaspèrent plus qu’autre chose, cette partie de la famille n’a jamais été totalement réunie depuis plus de dix ans. Adultes par l’âge sont ses frères, pourtant puériles sur de nombreux points. Côté maternel, c’est bien plus simple. Un oncle et trois cousins, avec lesquels Jessica s’entend à merveille. Ca leur arrive de pas s’voir pendant plusieurs années, mais quand les retrouvailles ont lieu, c’est comme s’ils ne s’étaient jamais quittés. anecdote cinq (uncle) Son oncle, c’est un phénomène. Soixante ans dans le corps, vingt à peine dans la tête. Un homme particulièrement ambitieux, parti quand il avait son âge aux Etats-Unis, à la poursuite de ce que l’on nomme tous rêve américain. Il a réussi.. Puisqu’il est jamais revenu en France. Un job qui rapporte gros, une maison dans l’état du New-Jersey et un appart’ à Manhattan, avant qu’il ne déménage à San Francisco, Montréal puis Denver. Histoire de rester en mouvement, tout ça. Aussi adorable soit-il, souvent à la pointe de l’humour, il est et restera probablement toujours en décalage avec Jessica. Le système américain l’a changé et le fossé s’est creusé avec une personne aussi simple que l’est sa nièce. Elle l’admire, dans un sens; mais Jess’ garde surtout les pieds sur Terre. Cela dit, elle lui doit énormément, puisqu’il s’est chargé de certaines formalités administratives à Boston; et qu’il a été son professeur d’anglais pendant deux ans, au point de la rendre quasi-bilingue. Jess’ est tout de même prévenue, les débuts risquent d’être compliqués sur le sol américain. anecdote six (kitty) Spirou, c’est son chat depuis quatre ans. Son copain de l’époque l’a trouvé au cours d’une garde, abandonné dans un carton avec ces deux frères. Encore petit et incapable de se nourrir seul, Jessica lui a d’abord donné le biberon; s’occupant de lui comme s’il s’agissait de son propre fils. Et c’est plus ou moins le rôle qu’il a pris dans sa vie, puisqu’il l’a jamais quittée. Complicité qu’a toujours été présente, Spirou l’a toujours suivie partout où elle allait, se posant – la plupart du temps – sur ses épaules. Son chat, il l’a accompagnée tout au long de ses épreuves, jouant le rôle du jury en l’écoutant parler, préparer ses oraux; canalisant ses émotions en s’allongeant sur sa poitrine lorsqu’elle se sent mal. Harvard, c’était impensable sans lui, sans sa présence dans ce petit studio qui lui sert de logement. anecdote sept (tattoo & photography) Après l’accident et la rééducation, il était clair dans l’esprit de Jess’ qu’elle ne pouvait pas rester normale, comme une madame tout le monde.. Ou plutôt comme une madame personne. A s’être considérée comme un monstre, il lui fallait un style, une identité qui lui soit propre et à laquelle son âme puisse se rattacher, pour qu’elle retrouve un minimum d’estime, de confiance. Tatouages et piercings, sa meilleure solution. Couvrir son corps d’encre, de couleurs et de motifs, plus ou moins significatifs. Ses poignets portaient encore les traces visibles de son geste désespéré, marques désormais recouvertes pour lui permettre d’aller de l’avant. Au final, son style s’est démarqué et on lui a proposé de faire des shootings, pour mettre en valeur des produits, de la lingerie.. Le pourquoi n’était pas réellement important, puisqu’elle a même accepté de poser en tenue d’Eve. Salaire intéressant, clichés relayés dans certains magazines et surtout, la voie vers l’acceptation de son propre corps. Expérience qu’elle ne regrette pas; au contraire, qu’elle pourrait même renouveler si l’occasion se présente. anecdote huit (Louvre & Humanitarian) Un job étudiant, pour payer les tatouages autant que les factures, c’était obligatoire. Le Louvre; son repaire à Paris, un musée dans lequel Jessica se sentait bien, comme si c’était the right place to be. L’humanitaire, c’était une idée déjà implantée dans sa tête, qu’avait juste besoin d’mûrir un peu. Elle s’est lancée Jess’, dans diverses associations, jusqu’à partir en mission à l’étranger sur ses périodes de vacances, notamment en Afrique pour construire des logements et écoles; ou sur les lieux de certaines catastrophes naturelles, pour distribuer des vivres et venir en aide aux victimes. Des expériences qui l’ont marquée à vie, des rencontres qu’elle n’oubliera jamais. anecdote neuf (friendship is a hard way) [TW] On l'a trahie, à maintes reprises. Des "amies" qui trouvent le moyen de coucher avec un crush, des mecs qui vendent de belles paroles et disparaissent après l'acte.. Un meilleur ami de longue date, qu'elle pensait connaître par coeur, qui se retrouve dans la peau du violeur et commet l'irréparable avec l'une de ses amies. Un tas d'expériences et un tas de raisons qui ont fait de Jess', une femme méfiante et particulièrement difficile à convaincre, autant en amour qu'en amitié. anecdote dix (en vrac) Jusqu'à 17 ans, Jess' avait la phobie des eaux profondes et ne pouvait pas se baigner sans voir le fond. Peur panique traitée avec un pro', certains blocages sont tout de même encore présents - Elle est incapable de manger épicé, sa langue fait office de radar pour ces choses-là, et même le poivre, c'est parfois limite - Elle aime jouer aux jeux-vidéos mais ne doit pas passer plus de 45 minutes d'affilée devant un écran; rééducation oblige - Elle est toujours sujette aux pertes de mémoire, sur le très court terme notamment - Elle adore le sport, court deux fois par semaine et essaie d'aller à la piscine régulièrement - Avant de venir aux Etats-Unis, elle s'est renseignée sur la culture du pays et notamment niveau sportif; aussi, elle s'est fait la promesse d'aller voir un match de football, un match de basket et un match de baseball, au minimum - Elle a déjà fait de la plongée et du patin à glace, deux loisirs qu'elle aimerait reprendre - Sa destination rêvée est l'Egypte, en lien avec ses études - Marvel ou DC ? Joker - Son endroit fétiche se trouve dans le sud de la France, et elle ne le partage pas facilement. - Elle ne tient pas l’alcool; deux ou trois verres sont suffisants pour qu’elle soit bourrée. - Elle aime la danse, ne saurait probablement pas tenir une chorégraphie complète mais elle se débrouille malgré tout. - Elle n'a jamais touché à la drogue de sa vie, et elle entend bien continuer sur cette voie.

timeline (facultatif)

mois/année

et le blabla ici

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aesthetic (facultatif)

Elle. C'est la fille différente, mais désespérément inaccessible. En couple, depuis un bail. Trop longtemps pour espérer avoir une chance. La fille tombée par hasard sur son chemin; la donzelle native d'la grande Amérique et qui ne pouvait pas rester en France, de toute manière. Jessica ne saurait prétendre à lui offrir mieux que son quotidien actuel, aussi a-t-elle décidé de refouler son attirance, ses sentiments naissants.. Pour lui permettre de vivre son bonheur, aux côtés de cet homme. Lui, c'est clairement un bon gars. Le genre en qui on peut avoir confiance. Le genre qui peut vous offrir une vie de rêve et une magnifique vie de couple. Jess', c'est tout ce qu'elle lui souhaite, à son crush secret. Impossible d'avouer ce qu'elle ressent, au risque de tout perdre. Jessica, la fille qui a trompé son ex-copain par le passé; la fille qui s'est laissée aller au rythme de ses pulsions, n'a aucunement le droit de démolir ce qu'ils ont bâti, ensembles.
Harvard, c'est pour les études avant tout. Cependant, oser affirmer qu'elle n'espère pas recroiser la route de cette jolie rousse.. Ce serait mentir. Un an qu'elle est repartie, un an que Jess' a l'impression de ne vivre qu'à moitié.

& irl, ça donne quoi ?

pseudo Pas
âge 20aine
nationalité Française
forum connu par... Moi
ILH, j'en pense quoi ?
autres comptes ? Shayn (dark rises)
avatar utilisé Jackie Janzer (BlaBla)
crédits images Crépuscule
nombre de mots par rp Adaptable
type personnage inventé

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - explicatif pour remplir correctement : Histoire Antique & Archéologie ;; department of art, litterature and history ;; 6ème année

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Code:: Jackie Janzer (BlaBla) @"Jessica Pendariès"

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(Invité)

ORDINARY GIRL:
Jessica Pendariès, c'est une personne banale. Depuis toujours. Elle a jamais rêvé de grandeur, de gloire ou de richesse. Elle fait pas partie de ces personnes qui veulent impacter le monde, qu'on se souvienne d'elles pour une raison ou une autre. C'est juste une fille, comme il en existe des milliards. Mais, comme chaque personne sur ce petit caillou qu'on nomme Terre, elle possède une chose incroyable: she's unique.
Née dans l'Val de Marne, c'est dans le département voisin qu'elle a passé les onze premières années de sa vie, auprès de ses parents et de son p'tit frère, arrivé en l'an deux mille. Tout les quatre, ils forment une famille particulièrement unie, soudée; sans problèmes apparents. Jess', au départ, c'est un vrai garçon manqué; l'unique gamine qui préfère taper dans un ballon avec les p'tits gars, plutôt que de jouer avec les autres filles. A la maison, c'est la même chose; une mini pile électrique, toujours prête à se rouler dans la boue, à se salir les mains dans le jardin, pourvu que son frère l'y accompagne.

SCHOOL WASN'T A SAFE PLACE:
Le déménagement, personne ne s'attendait à ce qu'il résonne en elle comme un violent traumatisme. Personne ne s'attendait non plus à c'que la petite Jessica ait autant de mal à s'adapter à cette nouvelle vie, dans le sud de la France. A la fin de sa douzième année, sa vie devient un cauchemar; nuits agitées par des images trop réalistes, quotidien semé d'embûches au collège, où la brune est harcelée.
Des insultes d'abord, des réflexions sur son physique et son style vestimentaire avant d'en venir aux gestes; bousculades dans les couloirs, chutes dans les escaliers, faux rencards arrangés avec des garçons trop vieux pour elle, quelques attouchements et baisers forcés qui suffisent à détruire le peu de confiance qu'elle pensait posséder. Donzelle innocente, trop naïve de croire qu'elle va obtenir la paix en se renfermant dans son coin; encore capable de boire les paroles d'illustres inconnus, lesquels prétendent être venus pour l'aider. Tombée dans le panneau, les deux garçons se servent d'elle, la tournent en ridicule et l'amènent à se détester, elle comme ses parents, à qui Jess' reproche le déménagement.
Pris au dépourvu, pas le temps de réagir que leur fille trouve un nouvel exutoire; des punaises qu'elle se plante dans les bras en plein milieu des cours, juste pour faire taire ses harceleurs, des cicatrices qu'apparaissent sur ses avant-bras et le clou du spectacle: la lame de rasoir qui tente maladroitement de tracer un sourire sur sa joue, la défigure temporairement, parce qu'elle voulait arrêter d'avoir l'air triste, en se regardant dans le miroir.

LOVE ISN'T A SAFE PLACE EITHER:
L'amour, c'est compliqué. C'était une bêtise de croire que ça fonctionnerait au premier coup. Virginité envolée, donnée au premier prétendant, histoire qu'aura pas duré plus de cinq mois alors qu'elle avait quinze ans.
Jeune, sans doute trop pour mettre le doigt sur les véritables ficelles de ce sentiment complexe; Jessica a surtout besoin de se racheter une confiance et elle en vient à confondre les verbes, entre aimer et plaire. Offerte à seize ans, à ce gars plus vieux qu'elle, déjà majeur mais visiblement fou amoureux, connerie qu'ils pouvaient pas prévoir lorsque le préservatif éclate et qu'elle se retrouve enceinte, par accident.
L'hésitation est là, repose au creux de son ventre, s'accompagne d'un " et si on le gardait ? " qu'elle est pas en mesure d'assumer, mais qui reste sans doute légitime, compte tenu de la situation. Parler à ses parents, c'était la meilleure option et c'est celle que Jess' a choisie, se disant qu'ils seraient plus à même de la conseiller. Exceptionnels, ils l'ont été l'un comme l'autre, à éviter les jugements pour s'placer comme deux piliers protecteurs, laissant le soin à Jessica de prendre la décision finale. Avorter, elle l'a fait seule, sous le coup d'une énorme culpabilité, sans vraiment prévenir le premier concerné, qui le lui a jamais pardonné, soit disant passant. Après cette histoire, trop douloureuse pour être balayée d'un simple revers de la main, Jessica s'est jurée d'être précautionneuse et de plus faire les choses à la va-vite, dans l'impulsion d'un désir.

FROM 90 TO 0, IN A FLASH:
17 ans, et la santé en dents de scie. Sportive depuis toujours, que son frère qualifie vulgairement d'injury prone, pour sa tendance à finir aux urgences, quelle que soit l'activité qu'elle pratique. Ca va de la simple entorse à des côtes fêlées, en passant par de multiples syncopes et un empoisonnement du sang, qui lui vaut d'être clouée sur un lit pendant plus de deux semaines mais surtout, qui se traduit sur le long-terme par une incapacité à prendre du poids. Jess', elle prend goût aux hôpitaux, au point de faire une liste de ceux par lesquels elle est déjà passée; par volonté de rendre la chose plus comique que lourde à porter, pour elle comme pour son entourage, qui devient un véritable dommage collatéral.
Mais le pire était à venir. Tout ce qu'elle avait vécu jusqu'à présent, c'était finalement pas grand chose. Il a suffit d'une nuit et d'un accident, pour que tout bascule. Pour qu'elle perde de vue sa personnalité, qu'elle remette en cause son existence. Partie avec un ami en Espagne, le temps d'un week-end, sans se douter que la Jessica "normale", celle que ses proches connaissaient, ne rentrerait jamais du voyage. A qui la faute ?
Pas besoin de coupable, pas besoin de s'en prendre à qui que ce soit, ça change rien à la finalité. Il s'est endormi au volant, c'est vrai. Et elle dormait sur le siège passager. Comme elle aurait pu lui dire, dix minutes avant, de s'arrêter pour s'reposer. A 90 sur une départementale, dans un virage qu'elle n'a jamais oublié. Réveillée par la portière qui fait des étincelles sur la glissière de sécurité. Cri qu'elle pousse, l'ami se réveille en sursaut et donne un grand coup de volant, précipitant la voiture de l'autre côté, sur l'arbre qu'avait rien demandé à personne. Un grand fracas et quelques secondes de noir complet.
Vivants, ils le sont tout les deux. Mais miraculés serait sans doute plus approprié. Les vitres ont explosé, la colonne de direction est quasiment montée sur ses genoux; mais c'est l'air-bag qui l'a sauvée, d'une collision avec le pare-brise. Jeune et inconscient, son ami la supplie de ne pas appeler les secours, question d'assurance. Et elle accepte, petite naïve qu'elle est, encore. Sans se douter que le chemin de la guérison sera extrêmement long, sans se douter qu'elle redeviendra jamais la Jessica, d'avant cette nuit-là.

BLACK-OUT: (TRIGGER WARNING: dépression)
Obligée d'expliquer à ses parents, pourquoi son visage et ses bras sont couverts de cristaux d'verre, pourquoi elle a des plaies apparentes et une peur panique de monter en voiture. Obligée de conduire son père sur le lieu de l'accident, pour qu'il constate lui-même les dégâts, qu'il se rende compte que sa fille chérie a bien failli perdre la vie. Pas de dispute, pas le moindre cri, seulement une étreinte et ce regard bienveillant, celui qui transmet le message I've got your back, my daughter.
Le répit, elle en "profite" pendant une journée, avant que son corps n'émette les premiers signaux d'alerte. Une fulgurante perte d'équilibre d'abord, qu'elle associe rapidement à des nausées, l'incapacité à manger sous peine de tout rendre dans la seconde qui suit. Le mal de crâne, inexplicable et soudain, sa tête qui semble servir d'enclume à un forgeron invisible; et l'irritabilité, qu'on lui connaissait pas, cette manie qu'elle a de répondre sèchement, de provoquer et de se mettre en colère, pour un oui ou non.
De retour aux urgences pour faire les premiers examens, - trop - longtemps après l'accident, qu'elle raconte quand même avec une impressionnante précision; le test qui met en lumière des dizaines de micro-hémorragies cérébrales, et la réponse du docteur, qu'on lui sortira à toutes les sauces dans les mois qui vont suivre : il faut du temps, ça passera tout seul.

Ils se trompaient, tous autant qu'ils sont. Et son état a empiré. Des pertes de mémoire se sont ajoutées aux symptômes déjà existants; une incapacité à lire, particulièrement handicapante au lycée et de grosses difficultés de concentration, sans compter la fatigue mentale; donzelle dont le meilleur ami était devenu Morphée, le seul qui l'avait pas laissée tomber. Ca a fait partie de sa réalité, douloureuse et monotone, l'abandon. Les uns après les autres, ils l'ont lâchée. Tous capables d'aimer, de supporter l'autre quand tout va bien; plus personne pour assurer les arrières lorsque tout part en vrille. Elle avait besoin d'une main tendue, d'une épaule à laquelle se raccrocher, d'une présence pour pleurer. Mais tout le monde était déjà parti. Seule et silencieuse, Jessica s'est laissée aller, affrontant ses démons toute seule, comme la grande fille qu'elle n'était pas encore. Son esprit est devenu sa prison, et la belle se rendait compte, à mesure que le temps passait, qu'elle reconnaissait pas son reflet dans le miroir; que la donzelle sur les photos de famille, c'était elle mais seulement en apparence. Comment expliquer à ses propres parents, qu'elle était leur fille sans vraiment être restée leur enfant ?
Who are you ? se demandait-elle parfois, en fixant son ombre sur le sol, son image dans la glace. Elle savait pas, mais ce dont Jess' était certaine, c'est qu'elle n'aimait pas du tout ce qu'elle voyait. Il suffisait d'entendre ses parents parler, lorsqu'ils pensaient être seuls; Jessica mettait le doigt sur leur souffrance, de pas réussir à lui venir en aide. Que vais-je devenir si je reste comme ça ? a-t-elle demandé à sa mère, avec une déconcertante nonchalance. Pas de réponse. Regardez ma fille, c'est un zombie ! Qu'est-ce qu'il va se passer maintenant, pour elle ? ça, ce sont les paroles de son père au lycée, au milieu d'une foule d'étudiants, regards braqués dans sa direction, vilain petit canard incapable de trouver sa place. Dans le pire des instants, lorsqu'elle a touché le fond, la belle s'est couverte de sang, poignets ouverts dans la baignoire.

Rééducation en urgence, c'était la solution. Une méthode particulière et clairement coûteuse, qu'a nécessité que ses parents s'endettent une première fois. Envoyée dans un centre à Bordeaux, toujours accompagnée par l'un de ses parents; et enfin un docteur qui s'adresse à elle comme à un humain, et pas comme à un symptôme persistant. La sensation d'être différente, pas adaptée à ce monde, est longtemps restée. Elle revient parfois la hanter, mais Jess' s'en libère plus facilement. A la fin de la thérapie, le docteur lui a dit " d'ici un à deux mois, tu vas prendre de grandes décisions. " Elle l'a pris pour un taré, elle en a même rigolé. Pourtant, he was damn right.

THE BIRD TAKES FLIGHT:
Ils ont tous placé un immense espoir dans cette thérapie, et Jessica la première. Elle voulait devenir quelqu'un, retrouver l'envie de vivre. Laisser tomber ce couteau, qui avait pris le soin de lui mordre la peau. Et ça a fonctionné. Il fallait juste accepter qu'elle ne soit pas exactement la même. Des passions sont sorties de nulle part, des talents se sont révélés, dans des domaines auxquels Jess' ne portait aucun intérêt. L'écriture et le dessin, en majeure partie. Écrire, au point d'en faire un roman; qu'elle n'a jamais osé publier. Le dessin, une nouvelle passion qu'elle partage avec son frère, plus expert en la matière.
La renaissance en marche, l'envie de donner un sens à son existence, de laisser cette épreuve derrière elle et de l'utiliser comme une force, pour avancer. Au prix d'efforts acharnés, Jess' obtient son baccalauréat -avec mention-; mais la grande décision dont on lui parlait, celle qui s'apprête à lui changer la vie, c'est l'université. Une annonce surprenante, qui aura eu le mérite de laisser ses parents sans voix, lorsque la brune annonce, triomphante : j'suis acceptée à Paris Sorbonne !
Passionnée d'histoire depuis toujours, un domaine délaissé à l'adolescence au profit du sport; qui revient désormais au galop, au point qu'elle décide d'en faire sa voie pour l'avenir. La décision semble immense, vertigineuse pour sa famille; le passage du terrain dépressif à l'envol immédiat pour la capitale est un choc. Engagée pour trois années de licence en histoire de l'art et archéologie, la belle fait ses bagages et quitte le sud du pays; un retour aux sources plus que nécessaire.

HE SHOULD HAVE BEEN THE ONLY ONE, BUT I CRUSHED HIM:
Une rencontre via une application, un truc tout à fait banal. L'homme qu'elle a rencontré ce soir-là, ne l'était pas. Doux et mature à la fois, ambitieux mais sans pour autant en faire des caisses, la perspective d'un bel avenir aux côtés de ce jeune pompier de Paris. Enfin, la sensation de pouvoir vivre réellement, dans le regard d'un homme qui ne la connaissait pas, avant son accident. Il était authentique, ne cherchait aucunement à retrouver une personne disparue, dans une enveloppe physique pourtant inchangée.
Un an de couple, et Jessica s'installe avec lui, accepte de vivre au rythme des gardes, de le voir revenir "différent", elle-même étant déjà passée par là. Ca aurait dû marcher. Leur histoire était simple, belle; mais la donzelle a tout foutu en l'air.
Avec le recul, elle a compris que le problème venait d'elle. Que la seule personne qui n'était pas réellement prête à l'engagement, à une vie de couple et aux projets qui s'y rapportaient, c'était elle. Pourtant, l'amour était là. Au creux de son myocarde. Amoureuse, pour la première fois d’sa vie. Totalement dingue de lui, mais incapable de ne pas lui faire de mal. Jess' l'a trompé, à plusieurs reprises; au point d'entretenir une double relation pendant quelques semaines. Demoiselle toxique, besoin de plaire et de rattraper ce temps passé à se considérer comme une fucking monster, en donnant son corps à qui voulait. Les chances, il lui en a laissé un paquet. Trop bon, surtout trop conne de l'avoir laissé espérer. Plus de deux années de problèmes, avec un homme qui se battait continuellement pour eux, quand bien même Jess' brisait tout ce qu'ils pouvaient entreprendre. Cette histoire est allée jusqu'aux fiançailles, à la volonté de faire un enfant; une façon comme une autre de la retenir, de lui exprimer son besoin d'exclusivité; des délires acceptés, un oui, je le veux qu'elle a prononcé sans hésiter, pourtant consciente qu'elle ne pourrait pas l'assumer. Relation appartenant au passé, pompier qu'elle n'a pas revu depuis la fin de sa vingt deuxième année.

MOVE FORWARD, 'CAUSE IT'S THE ONLY WAY:
A défaut de s'être trouvée et comprise, Jess' se devait de réussir ce qui restait contrôlable; ses études en premier lieu. Licence qu'elle a validé, une réussite importante pour sa confiance personnelle; et une question qu'est rapidement tombée, au cours d'une conversation avec ses parents: what's next ?
Le besoin de bouger, la folle envie de voyager et l'idée délirante d'une copine de promo', la première à évoquer Harvard as a next step. Projet clairement ambitieux; deux années supplémentaires à Paris, le temps d'empocher son master et de préparer le terrain pour Boston, dans le cas où le dossier serait retenu. Une thèse aussi bien préparée que son mémoire d'études, touchant à sa passion cachée pour l'humanitaire, et plus particulièrement à l'une de ses récentes expériences; avant de recevoir une convocation pour un entretien, courant 2021. Le rêve devient réalité lorsque la lettre arrive à la maison, que son père l'ouvre et verse une première larme, conscient que sa petite fille qu'a déjà tant enduré, s'apprête à partir de l'autre côté de l'Atlantique.

bienvenue chez toi. Jessica Pendariès ► Jackie Janzer (BlaBla) 2109348208

(Invité)

bienvenue à toi Jessica Pendariès ► Jackie Janzer (BlaBla) 2511619667

(Invité)

28/08/2014

Bienvenuuue :heaart:

(Sofia Dunn-Aguera)

I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.