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(darkow / tw) hard to turn off this fire

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tw : sexe, langage cru

@Darko Behrami | 06.09.2021 | J'avais chaud, j'étais serré dans mon pantalon parce que cette conversation avait tourné un peu trop rapidement en chauffe réciproque. En même temps, tu m'avais pas laissé indifférent durant le mois d'août, obligé de m'éclipser à plusieurs reprises dans ma chambre pour cacher l'effet que tu me faisais. C'était sûrement un des déclencheurs les plus remarquables de cette réflexion que je me faisais dernièrement. Et si j'avais envie de baiser des mecs ? Et si c'était ça mon truc maintenant ? Évidemment que ça m'faisait flipper, j'ai toujours été un tombeur de filles, pas de mecs. J'touchais pas des bites. Mais là, rien que le fait d'y penser, ça me faisait mal, ça tirait, j'avais besoin de libérer tout ça. Alors sur ma moto, j'slalomais entre les voitures, suivant le GPS qui m'donnait accès à chez toi. Arrivé en bas, j'ressortais notre conversation pour suivre à la lettre tes indications. Puis une fois les cinq étages montés, j'arrivais à ta porte. Doigt qui se pose sur la sonnette, main qui se pose sur mon entrejambe pour calmer son ardeur, bien que je comptais sur toi pour m'en empêcher. Allez Darko, c'est toi et moi maintenant.
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Pour un homme qui affirmait encore il y a une semaine être totalement allergique et imperméable, à toute vague notion de résolution ... force est de constater que la rentrée universitaire se révèle sujette à moult bouleversements pour le kosovar. Lui qui clamait haut et fort qu’il était tel qu’il est, et qu’il n’entendait absolument pas changer d’un iota ; le voici désormais – en plus d’être détenteur d’un nouveau travail au Sun Rock – davantage en phase et en adéquation avec une facette de sa sexualité, trop longtemps refoulée et ignorée. Remercions pour cela son suga daddy, alias Miko, sans qui la petite chrysalide n’aurait jamais pu opérer sa métamorphose en papillon. L’Astrophysicien en herbe déploie ses ailes et entreprend son envol. Il ose. Flirte. Allume. Sans vergogne, ni pudeur. Du moins, sur la toile. Dans le réel, l’ami des étoiles reste ce petit garçon discret, taiseux et qui donnerait tout ce qu’il a de plus cher pour se faire oublier – voire disparaître. Difficile à croire, lorsqu’on ne le connaît que de façon virtuelle. De facto, l’écran agit sur lui de manière désinhibante, lui permettant ainsi de s’affranchir des tabous et autres complexes, sous lesquels il croule en temps normal. Un boosteur de libido, en somme. Le taiseux le confesse : il est bigrement plus facile pour lui de laisser courir ses doigts sur le clavier pour aguicher, que de prendre son courage à deux mains pour tenter une approche auprès d’un galant dans un bar. Et depuis qu’il s’est abandonné au plaisir de la chair en virile compagnie … le fait est que le rejeton d’immigrés n’a de cesse de repousser toujours plus loin les limites. De braver et soulever les interdits. Les invitations qu’on lui adresse sur Meets ne restent plus lettres mortes. Les parfaits inconnus entrant en contact avec lui, voient leurs attentes comblées au-delà de leurs espérances. A grands renforts de sous-entendus, aussi grivois que directs, et de dick pics ôtant tout équivoque.

Alors, lorsque tu as lancé ta canne à pêche … le poisson a le plus naturellement du monde mordu à l’hameçon, sans se faire prier. Sans détour et sans contour. Sans te faire languir, ou mijoter. Seulement … il s’avère que tu n’as jamais … enfin, jamais, jamais. Détail de taille et qui n’est pas sans le faire freiner des quatre fers. Lui le gamin qui est bien placé pour savoir l’importance que revêt une première fois. Et qui ne sera jamais assez reconnaissant d’avoir eu la chance de vivre la sienne, en compagnie d’un homme d’âge mûr, d’expérience, compréhensif et à l’écoute. Un homme qu’il voudrait être pour toi, à l’occasion de ce grand moment – si grand moment il y a. Toutefois, il doute d’être à la hauteur et celui qu’il te faut, pour découvrir ces nouveaux horizons. Après tout, cela ne fait que trois semaines que le planqué s’aventure à vivre son homosexualité sur le plan charnel. Lui qui peinait à entretenir une relation avec une femme, le voilà désormais en passe de jongler avec deux hommes à la fois. A croire que le nouveau Darko a décidé de rattraper les années de vache maigre. Au risque de se brûler les ailes – fraîchement acquises – à force de virevolter autour des flammes. Y parviendra-t-il ? A coucher comme un mec ? Lui qui a d’ordinaire besoin d’un minimum d’affect et de connaissance d’autrui, avant de céder son corps. Le smartphone émet une nouvelle salve de vibrations entre ses mains moites. Trop tard pour gamberger et rebrousser chemin désormais. Te voilà déjà en route sur ton fidèle destrier motorisé. Une once de remord et de culpabilité, vis-à-vis de Miko, enserre son palpitant galopant à bride abattue. Des remords, de la culpabilité ? Pourquoi donc ? Après tout, le polynésien a été on ne peut plus clair. Pas d’attaches, pas d’exclusivité, pas de sentiments. Alors, si le colosse tatoué ne se gêne pas pour butiner d’autres fleurs … pourquoi le freluquet devrait-il se priver ?

Avachi tel un pacha des mille-et-une nuits sur le canapé, son pouce scrolle et fait défiler les images ornant ton profil. Ainsi que celles plus corsées et confidentielles que tu lui as envoyées en messages privés. Un bien affriolant spectacle, que celui de ta plastique en acier trempé taillée dans le marbre blanc. Affriolant au point de générer une vive montée de stupre, sortant la dextre de sa torpeur. Paillard, l’empan flatte, caresse et enserre le vit fièrement dressé, à travers le jeans. De lascives flagorneries qui deviennent très vite insuffisantes, puisque la patte s’exhume séance tenante dans le boxer, pour poursuivre ce savant travail de pétrissage à même la chair. Le geôle de tissu ne tarde pas à se gorger de sueur et de liquide pré-séminal. Paupières closes, le mécréant met en marche la machine à fantasmes qui turbine à plein régime. La carcasse se meut et se cambre avec indolence. Les canines clouent au pilori la lippe inférieure. Les expirations se font plus sourdes. Ronronnantes. Languissantes. Presque traînantes. Jusqu’à ce que la sonnerie de l’interphone vienne endiguer cette amorce de pilotage manuel. Calant le chibre érigé contre le haut de sa cuisse pour tâcher de dissimuler le flagrant émoi, l’hôte se lève et traverse le séjour au petit trot pour gagner l’entrée. Afin d’actionner l’interrupteur jouxtant la porte, offrant ainsi à son exquis convive le sésame menant à son humble demeure. Quelques secondes passées à remettre un semblant d’ordre, en refermant et entassant dans un coin de la table basse des revues d’Astronomie plus tard ; le tintinnabulement électronique de la sonnette, annonce ton arrivée au seuil de l’antre de l’ourson mal léché. Brève halte marquée face au miroir égayant le vestibule. Petite retouche capillaire octroyée à l’aide des phalanges réquisitionnées en peigne de fortune. Profonde inspiration nasale, avant que le virtuel s’incarne dans le réel.

"Hey, le voila … l’homme dont je hante les pensées … !", s’exclame-t-il le verbe suave, les commissures s’étirant en une risette goguenarde. Un sourire malin crépitant au fond des orbes de jais, tandis qu’il joint le geste à la parole en te faisant la grâce d’une accolade. Une de celle qui s’appesantisse et s’appuie. Ses paumes crapahutant contre tes musculeux dorsaux. Dévalant ton épine dorsale, pour prendre leurs quartiers dans le creux incandescent de tes reins. Le buste pressé tout contre les reliefs en béton armé de ton torse, pour mieux en apprécier toute la vigueur. Sa verge gorgée de désir lutinant ta hampe, bien à l’étroit dans son fourreau textile. Preuve que tu n’es nullement désarçonné, maintenant que le pied du mur se rapproche. "Vas-y, entre et installe-toi, j’t’en prie.", ajoute-t-il posément en se positionnant de profil, afin de te libérer le passage. La main quittant tes lombes et bifurquant, pour s’arrimer contre un versant de ta taille ciselée en un sublime V. Pendant que le bras libre se tend en direction de l’intérieur du modique deux pièces, pour t’indiquer le chemin menant à la pièce à vivre. Porte sitôt refermée sur ton passage, le jouvenceau te rejoint d’un pas leste et nonchalant, flirtant sur les rives de la désinvolture. Debout derrière le fauteuil club, le galérien croise ses abattis qui alunissent sur le sommet du dossier. Buste plié et reins creusés, le dernier hoir de la lignée Behrami plonge ses iris fangeuses au fond de tes maelstroms couleur tempête. "J’peux t’offrir quelque chose ? Bière ? Sky ? Vodka ?", s’enquit-il dans un phrasé détaché, à la lisière du je-m’en-foutisme. Les sourcils accusant un furtif soubresaut, et les babines humectées roulant l’une contre l’autre. Pas très originale comme manière de briser la glace. Mais quoi de mieux que l’alcool comme remède universel, pour rapprocher les individualités et délier les langues ? Choses dont vous aurez à l’évidence foutrement besoin.  
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@Darko Behrami | 06.09.2021 | J’sais vraiment pas ce qui me prend. Pourquoi est-ce que je me laissais aller comme ça ? Kassim… il était rentré dans ma tête, il avait fait en sorte que je me lâche, que je fasse ces fameuses rencontres. Que je découvre cette part de moi. J’aurais pas du lui en parler, j’aurais du… subir ces fantasmes encore et encore. Mais j’étais tellement excité en ce moment même, à l’idée de découvrir ton corps, tes muscles, ton entièreté. Rien que d’imaginer ce que tu pouvais me faire, ça me foutait presque en transe. J’étais à deux doigts de me mettre dans une ruelle pour me soulager un minimum tant j’avais mal de désir pour toi. Mais je m’étais retenu, et une fois devant ta porte, je me cachais d’une main, pas honteux mais presque. Puis la porte s’ouvre et j’entends ta voix. Merde, ça me fait encore plus d’effet que de t’entendre. Et t’étais aussi beau que dans mes souvenirs, encore plus que sur les photos que t’as posté sur meets. Surpris cependant par l’accolade que tu m’offrais, je serrais un peu plus ma main contre moi pour t’épargner la bosse contre bosse. J’suis pas un timide de base et il me faudrait quelques minutes pour m’acclimater à tout ça. En tout cas, j’avais senti ton désir, j’en avais même esquissé un sourire, avant que tu ne m’invites à aller chez toi, pénétrer dans ta demeure, qui allait être témoin de mes premiers émois. Je ne pouvais nier que tes mains sur mon corps ne m’avaient pas laissé indifférent, c’était bien pour ça que j’étais encore dans mes pensées, imaginant ce que ça pourrait être en enlevant les vêtements. Un soupir avant d’esquisser de nouveau un sourire, le regard se posant sur toi. « un whisky, c’est très bien, merci. avec glaçons si possible » Les yeux te dévisagent, te reluquent, te matent sans s’en cacher finalement. T’étais canon et je me demandais ce que j’fous là, puis je pense à ce qui s’passe dans mon pantalon pour comprendre que j’étais aux prémices d’un monde nouveau. J’prenais alors un air décontracté, histoire de ne pas être gênant plus longtemps, lâchant alors mon entrejambe pour te laisser entrevoir ce qui se passait réellement. « pour en revenir à ce qu’on disait par message… j’sais pas si j’suis encore prêt à être… “passif” » Un haussement d’épaules avant de m’installer sur une des places disponibles. « mais… si le courant passe bien entre nous, si… si j’le sens bien, j’pourrais peut-être te laisser essayer ? » Parce qu’en réalité, je sais pas si je suis prêt ou pas, mais j’suis suffisamment en confiance avec toi pour envisager de le faire.
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