Invité
est en ligne
Invité
DRAMA PARTY
feat May "Chan" Lee
Il parait que c'est ça, la décadence de la nouvelle génération bourgeoise.
Elle se traduit par le short trop étroit qui moule les parties basses de ton anatomie, par ce trop plein de boissons glucosés qui rince vos trachées, de ces séries fades et répétitives que vous regardez à longueur de journée. Ca s'appel l'adolescence. Beaucoup de conventions s'effritent à ce stade de votre existence, sans signe avant coureur, avec le naturel et la désinvolture propre à l'ivresse qu'apporte l'acquisition de la majorité. Ce sont des rituels vieux comme le monde gravés à même les fibres de notre enveloppe charnel. Il parait que tu en passe le premier cap, Choon-Hee. Que ta langue s'agite, s'aiguise. Dans cette insolence permanente qui allume des brasiers au cours de vos joutes verbales et creuse un faussé entre les désirs de ton père et les tiens. Tu brilles de ton caractère impulsif, têtue, bornée. Indépendante, dira-t-on.
▬ Je lui donne huit épisodes avant de se faire grillé.
Ta voix résonnait avec une étrange acuité, au sein de la chambre plongée dans l'obscurité. Tes yeux suivant les actions des acteurs avec un intérêt mitigé, la tête rejeté en arrière, ton chaton roulé en boule sur ton ventre plat en quête d'une quelconque marque d'affection.
Tu t'abstiens de toute remarque graveleuse sur le corps fièrement exposé de l'acteur principale lorsque celui-ci apparaît sur l'écran pixélisé du home cinéma. Gong Yoo a un torse à damnée une religieuse, ce fait est de notoriété publique et tu ne souhaitais pas ré-ouvrir un débat sur le sujet. Ta tête se tourne lentement sur la droite, paresseuse, presque léthargique. Ta jambe remonte avec lenteur tandis que ton bras se tend en direction du saladier entre tes draps.
Oui, ces soirées drama avec May Chan apparaissent souvent comme étant le triste théâtre de la déchéance de la prétendue pureté des demoiselles asiatique. Vous êtes beaucoup trop lascive pour ça. Et un peu trop expressive lorsque votre acteur favoris apparait sur votre écran.
Elle se traduit par le short trop étroit qui moule les parties basses de ton anatomie, par ce trop plein de boissons glucosés qui rince vos trachées, de ces séries fades et répétitives que vous regardez à longueur de journée. Ca s'appel l'adolescence. Beaucoup de conventions s'effritent à ce stade de votre existence, sans signe avant coureur, avec le naturel et la désinvolture propre à l'ivresse qu'apporte l'acquisition de la majorité. Ce sont des rituels vieux comme le monde gravés à même les fibres de notre enveloppe charnel. Il parait que tu en passe le premier cap, Choon-Hee. Que ta langue s'agite, s'aiguise. Dans cette insolence permanente qui allume des brasiers au cours de vos joutes verbales et creuse un faussé entre les désirs de ton père et les tiens. Tu brilles de ton caractère impulsif, têtue, bornée. Indépendante, dira-t-on.
▬ Je lui donne huit épisodes avant de se faire grillé.
Ta voix résonnait avec une étrange acuité, au sein de la chambre plongée dans l'obscurité. Tes yeux suivant les actions des acteurs avec un intérêt mitigé, la tête rejeté en arrière, ton chaton roulé en boule sur ton ventre plat en quête d'une quelconque marque d'affection.
Tu t'abstiens de toute remarque graveleuse sur le corps fièrement exposé de l'acteur principale lorsque celui-ci apparaît sur l'écran pixélisé du home cinéma. Gong Yoo a un torse à damnée une religieuse, ce fait est de notoriété publique et tu ne souhaitais pas ré-ouvrir un débat sur le sujet. Ta tête se tourne lentement sur la droite, paresseuse, presque léthargique. Ta jambe remonte avec lenteur tandis que ton bras se tend en direction du saladier entre tes draps.
Oui, ces soirées drama avec May Chan apparaissent souvent comme étant le triste théâtre de la déchéance de la prétendue pureté des demoiselles asiatique. Vous êtes beaucoup trop lascive pour ça. Et un peu trop expressive lorsque votre acteur favoris apparait sur votre écran.
(Invité)