Novel Markovich
feat. Jay Gould
la
[Yves Mirande]
naissance
Je suis né à 03h59. Un 23 Mai 1999. Les tempêtes ont grondé apparemment, considérons l'éveil de la Nature pour célébrer ma venue.
nom(s) & prénom(s)
MarkovichNovel Milja Slaven. Ma mère a bataillé pour que je sois coiffé d'originalité. Je porte le nom de roman en anglais, mot vu écrit en gros sur un journal. On pouvait pas faire mieux. Ca l'a fait rire. Mon père a validé. La frangine aussi. Et je porte aussi les noms de mes ancêtres slaves.
nationalité(s)
Né à Boston et grandit dans cette ville alors je suis farouchementaméricain .
origine(s)
De part mon père, je suis d'originemonténégrine et américaine de part ma mère.
orientation sexuelle
Techniquementhétérosexuelle mais depuis Cette rencontre, je ne sais plus du tout. Il a réveillé tellement de questions, mais je suppose qu'on peut dire que je tends vers une bisexualité non assumée et clairement cachée, pour le moment.
statut amoureux
Encouple depuis mes seize avec la même demoiselle.
statut social
Je suis sous les feux des projecteurs depuis que j'ai commencé le lycée. Je ne sais pas si je peux dire que je suispopulaire . Peut-être dans le monde sportif. A présent, je sais que mes faits et gestes seront encore plus scrutés. Grâce à mon métier, je sais que je suis à l'abri du besoin et fera en sorte que mon entourage le soit également.
emploi
En signant mon contrat en Aout 2021, je suis devenuebasketteur professionnel de la NBA, jouant pour les Boston Celtics, en tant qu'ailier fort.
nom(s) & prénom(s)
Markovich
nationalité(s)
Né à Boston et grandit dans cette ville alors je suis farouchement
origine(s)
De part mon père, je suis d'origine
orientation sexuelle
Techniquement
statut amoureux
En
statut social
Je suis sous les feux des projecteurs depuis que j'ai commencé le lycée. Je ne sais pas si je peux dire que je suis
emploi
En signant mon contrat en Aout 2021, je suis devenue
LOVE SHOT
Certains, c'est la Redbull, moi c'estl'Amour de mon entourage qui me donne des ailes. Leur affection me fait carburer dans mon quotidien. J'ai toujours refusé de m'éloigner de ma famille, même en loupant des occasions fructueuses et sportives. Ils sont mon socle. Et je ne saurais vivre sans eux. Je ne manque pas d'ambition, sinon, je n'aurais jamais pu signer en NBA. L'amour de mon sport me donnera toujours envie de me dépasser. Mais outre représenter les Verts, c'est surtout une vorace volonté d'offrir une belle Vie à mon entourage et à moi-même.
caractère du personnage
Homme passionné et explosif. Il peut se montrer très ferme dans ses décisions, tout comme être perdu quand il faut choisir. Une colère gisant en lui qui ne s'éteint jamais et peut déclencher de grosses crises quand il est contrarié et fatigué. Mais peut se noyer dans une sensibilité sans pareille. Il peut se montrer hautain et dédaigneux, pas forcement jugeur quand il ne connait pas autant que tendre la main aux nécessiteux. Il n'aime pas se faire voir mais il est capable de se faire entendre de toutes les manières. Parfois réservé, mais peut se montrer très souriant et jovial ; adorant faire des prank à son entourage. Il sait être affectueux et rapidement boudeur et capricieux.
Il etait une fois NOVEL
Quand ta mère joue les deux parents, les séquelles sont présents. Nous roulions à trois. C'est le schéma familial que j'ai toujours connu. Je sais qu'il y a eu un père, on me l'a souvent fait remarquer à l'école. Mais abonné aux absents, que veux tu que je te dise ; je n'allais pas le faire réapparaitre. Pourtant on a été à 4. Il y a des photos, de nous. Mais les souvenirs sont flous ; s'étiolent chaque année. Je regarde toujours la même vidéo ; des sourires, des rires, des blagues, du bonheur. Pendant longtemps, j'ai culpabilisé de ne pas me remémorer le visage paternel avec précision, il était juste du papier glacé ou un film en boucle, pas fameux, je sais. Mais je t'assure, outre les moqueries, cela ne m'a jamais empêché d'emmerder mon petit monde. L'attention rivée sur moi. Mais au fond, à voir ma mère trimer, je me suis donné la mission de toujours égayer ses journées. Et peut-être que cela passait par utiliser ma frangine - l'ainée mais minimoy de son surnom - pour être témoin des sourires de notre mère. Mais à côté, chaque fois qu'on me faisait remarqué que j'étais qu'un gosse de mère, la colère s'emparait de moi et rapidement les coups pleuvait. Défendre l'honneur de ma maman, c'est tout ce qui compte à mes yeux. Alors oui, souvent le téléphone sonnait, et ma peau bleuissait tout autant. Mais personne ne pouvait cracher sur mon rempart. Et encore moins sur ma sœur.
J'ai découvert ce sport dans la rue, quand les grands jouaient sur le stade. Si je faisais pas chier à suivre ma soeur, j'allais me poser au quartier. Juste des passes avec les ainés. Oui, chercher une figure paternelle. Contrairement, à ce qu'on peut penser, on veillait sur nous, on pouvait être dehors et aller chercher un "grand frère" pour qu'il règle les comptes à ceux qui nous emmerdaient. Alors chaque fois qu'on pouvait faire du street, c'était le feu pour moi. J'ai continué à l'école. Les profs pressentant le potentiel, on suggérait à ma mère de m'inscrire dans un club. Faute d'argent, ce sont les frères qui nous ont aidé. Je suis rentré dans mon club à mes huit ans. Ce fut un nouveau monde. Des règles précises, une régularité demandée. Sport salvateur qui me canalisait. Je ne me bagarrait plus. Enfin .. Ce fut compliqué d'assimiler le fairplay. Perdre revenait à entrer dans de grosses colères et frapper pour exprimer ma frustration. en parallèle, le coach m'a mis fasse à un sac de frappe et j'ai découvert le monde de la boxe. J'avais deux sports pour me concentrer sur mon jeu, pour demeurer bien plus serein et devenir un véritable bout en train.
Ma vie a littéralement changé au lycée. Je ne vivais que pour le basket. Je découvrais la popularité, le succès auprès des filles. Une cheerleader en guise de nana, des potes mon noyon dur, une équipe talentueuse. La vie rêvée. Mon but se dessine avec plus de précision : jouer à la NBA et mettre à l'abri ma mère et ma sœur financièrement. Mon objectif être drafté dans quelques années. Pour cela, je devais fournir les meilleures performances. Ma compétition s'est haussé d'un niveau, en me sachant dorénavant sur les projecteurs, et évalué par les scouts. La pression était une nouvelle amie, je n'avais pas le droit aux faux pas. J'étais moyen en cours, j'avais du soutien scolaire. J'étais conscient que je devais aussi gérer niveau scolarité. Je sacrifiais les sorties du Samedi pour réviser avec d'autres. Le coach s'assurait que je n'étais pas tenté par diverses attractions telles que la drogue, la luxure et l'alcool.
Faut pas croire que je restais sage pour autant. Même si les ainés veillaient, ils incitaient à ce que jeunesse se fasse. J'ai découvert les night-club, la drogue et l'alcool. Il n'y a que de la luxure dont je restais loin. Je ne sais pas pourquoi. Même si j'avais une petite amie, je ne me suis jamais senti prêt à lui donner LA nuit. Et étrangement, elle ne m'en faisait aucun reproches. Des rumeurs d'infidélité ou l'espoir d'être Miss Markovich et baigné dans le luxe de la NBA, je ne sais pas. En attendant, on roule des jours heureux, soutient indéfectible. La romance rêvée par tout le monde. Au fond, je sais aussi pourquoi, je ne m'implique pas davantage. Je respecte ma petite amie, mais je sais que ça ne va pas durer. Je l'ai compris le jour, où ce baiser a brisé mes convictions. Une nuit alcoolisée - l'excuse - un regard échangé, du rentre-dedans. Quitter la soirée pour se retrouver dans une voiture, loin des regards. Les pulpeuses goutées, le poing en retour. J'ai paniqué, j'ai fuit. Depuis, je me surprends à laisser les yeux trainaient sur les musculatures, culpabilisant de dévier de la sorte. Je sais qu'on tend vers l'ouverture d'esprit dans le monde sportif mais exprimer une telle nature reviendrait à briser ma carrière. Alors je reste farouchement dans les bras de mademoiselle tout en lorgnant sur les muscles. Un jour, ma couverture va se briser, je le sais.
J'avais treize ans quand j'ai su où se trouver mon père. Quand j'ai su où est-ce qu'il s'était volatilisé. Finalement pas si loin, et surtout privé de libertés. La prison. Des larmes à l'annonce. L'incompréhension. Gueuler aux mensonges. En soit non. Il est parti, c'est tout ce que j'obtenais quand je demandais. Mais je ne savais pas comment exprimer mon désarroi. Qu'est-ce que je ressentais à ce moment là ? De la honte. Gosse de criminel. Mais je voulais comprendre ce qu'il avait, le confronter, lui dire à quel point, une partie de mon enfance fut assombrie parce qu'il n'était pas là. Déverser ma colère - enfin - sur la bonne personne. C'est Tova qui m'y a emmené. La mère refuse tout contact avec lui. J'ai tremblé durant tout le chemin, répétant les mots à dire. Mais une fois devant lui, ce fut le blanc complet. Il avait un visage, réel. Face à moi. Le cœur flanche, les larmes coulent. Il existe. Ce n'est plus une photo, une vidéo. Il est vraiment là. Il parle, s'excuse, demande des nouvelles. Criminel qui voulait aussi que sa famille s'en sorte. au fond, on a le même désir. Et ça explose tout ce que je pensais de lui ; connard fini qui n'avait pensé qu'à sa gueule. Alors pourquoi maman ne veut pas le voir ? Une bonne heure à discuter, à lui parler de moi, de la famille. Des larmes, des promesses. Les années ne se rattrapent pas, il y a toujours cette rancœur qu'il loupe tout mais il est là, à présent. Je ne dis rien à personne, le secret à moi mais je vais le voir de temps en temps au parloir. Mon père à moi est là et j'en ai besoin. J'ai projeté tant de fois d'être le fils d'un homme, j'ai été pris sous l'aile des ainés mais lui, je suis son sang et je veux chérir notre relation même si un plexiglass nous sépare pour encore quelques années.
Fallait pas avaler mon ballon, que je lui ai dit, le jour où elle nous a annoncé qu'elle était enceinte. Je sais que ça fourmillait dans sa caboche. Mais à la différence de nous, le père était là. Ca aurait dû être un conte de fée non ? Et pourtant, elle a renoncé à ses droits. J'aurais pu lui en vouloir. Peut-être un peu sur le moment. Pourquoi infliger une telle sanction a des innocents ? Mais je n'ai rien dit. Je ne l'ai pas accablé. Je sais qu'elle en a souffert, et en souffre probablement. Mais je me suis tue. La soutenir. A quoi bon être parent si on ne croit pas en ses capacités ? Oui, c'est injuste mais au moins, les êtres ne sont pas rejetés, c'est ce que j'ai répété chaque fois que le doute l'habitait. Ma sœur fait parti de mon équilibre, même si je regorge d'idées pour l'embêter, je ne suis rien sans elle. Je l'aime d'un amour incommensurable. Elle demeure un modèle, un guide. La gardienne de mes angoisses. Elle sait tout ou presque. On roule ensemble. Je sais que bon nombre m'ont reproché mon manque d'ambition a refusé d'aller m'entrainer dans d'autres villes. Mais sans ma sœur, ma mère, je ne sais pas avancer. Elle est ma Vie.
Je viens de signer mon premier contrat - d'un montant d'un million cinq dollars - en tant que débutant (aka rookie) pour une durée de quatre ans. La Draft fut sous haute tension. J'aurais pu aller n'importe où avec mes résultats mais je voulais faire honneur à ma ville. Une immense joie et fierté des trois meufs de ma Vie. C'est une toute nouvelle vie qui débute pour nous. Les médias rivés sur moi. Revêtir le maillot vert, m'entrainer tous les jours, me surpasser pour fouler la raquette à chaque match. Etre sur le stadium et plus dans les gradins. Je suis pro maintenant, j'y crois pas encore. Mais je suis prêt. Je veux mener mon équipe à la victoire, être un joueur modèle, pouvant donner l'espoir à n'importe quel enfant qu'il peut y parvenir qu'importe son quartier, ses notes, sa famille. J'ai fauté par moment, j'ai vécu des déceptions, des échecs mais maintenant, je réalise mon rêve et vous n'êtes pas prêt.
Mesure 1m85. Pèse 85kg. A réussit à faire signer un ballon par mickael jordan. En a pleuré pendant deux jours. A finit par faire assurer le ballon tant il a peur de se le faire voler. Est vierge aussi bien avec les femmes que les hommes. Se questionne beaucoup sur sa sexualité éprouvant quelques intentions peu chastes envers la gente masculine. Sait jouer du piano grâce à sa sœur ainsi que de l'harmonica. Pour faire passer le temps au parloir, il apprend le monténégrin avec son père. A promis d'aller dans son pays à sa sortie soit dans dix-sept ans. A crée un univers dès qu'il a su écrire, et écrit des romans où qu'il poste parfois des chapitres sur un site sous un pseudo ; Bloomon. Il a déjà terminé deux tomes mais refuse de se lancer dans l'auto-Edition. Pratique la boxe depuis ses dix ans. Pratique divers sport pour canaliser sa colère. A peur des clowns, des vers de terre. A la phobie des aiguilles et des pieds. Déteste les films d'horreur mais adore les télénovelas et les romances. Passe son temps dans les bouquins. N'a jamais quitté les usa, mais compte bien profiter de son salaire pour parcourir le monde. A vécu une overdose et c'est son coach qui l'a couvert pour ne pas entacher son dossier ainsi qu'avoir tabasser un homme pour un regard. Est toujours tenté pour sniffer mais se retient pour ne pas ruiner sa carrière. Fantasme sur Angelina Jolie, Charlize Theron et Orlando Bloom. Parle Anglais, Français et Espagnol. Aimerait en apprendre d'autres. S'adonne au poker sans flamber. Ragequit quand il perd au Uno.
Le fil de ma Vie
Mai 1999
Naissance Novel.Février 2003
Incarcération du père pour meurtre et vol à main armée - 4 ans.Octobre 2007
Initiation au basket & inscription en club - 8 ans.Mai 2012
Découverte de la vérité sur le père & première visite au parloir - 13 ans.Juillet 2015
Vainqueur du championnat d'Etat, se fait remarquer par des recruteurs grâce à un triple double. Elu meilleur athlète de l'année - 16 ans. Juin 2016
Tova enceinte - 17 ans.Novembre 2020
Suivi du Draft - 21 ans.Aout 2021
Signature chez les Boston Celtics - 22 ans.& irl, ça donne quoi ?
pseudo Patate Douce
âge La trentaine en approche
nationalité Normandie
forum connu par... le Saint Esprit
ILH, j'en pense quoi ? la maison
autres comptes ? @Nathaniel Ducret @Kassim Malacki @Ashton Van Horn @Yoni Joseph @Anton Azarov @Circus F. Kingsley @Aaron Kaine
avatar utilisé Jay Gould
crédits images letrangeregallery
nombre de mots par rp 100 - 500
type personnage inventé
code métier
TD GARDEN + Basketteur chez les Boston Celtics : explicatif pour remplir correctement
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i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Alby Harrison)