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jo hee seo
feat. bae joohyun
to heaven
but
heaven to
march 23, 1998
à la nuit tombante sur la ville des milles couleurs, jusqu'aux buildings d'artifices qui fêtent la venue de l'enfant erreur. aux pleurs d'une mère aux abords du désarroi, d'un sourire à décrocher la voûte céleste. et de là-haut, les cœurs en émoi.
seo jo hee
quand la famille maternelle n'est qu'un rejet, d'un nom de famille que l'on bafoue d'une existence presque miraculeuse - ou malheureuse, des pleurs que l'on entend encore comme un mauvais écho, quand viennent là les terreurs nocturnes.
coréenne
à la beauté d'un pays qui réside sur les traits de son visage, aux traits parfaits qu'elle évoque. fille que l'on admire, encre de corée que l'on ose pas peindre.
coréennes
à rendre fier le pays qu'elle adopte, des origines qu'elle chérit jusqu'à vivre comme là-bas. les traditions pourtant si vite repoussées, par la jeunesse frivole et l’insouciance de n'être encore qu'une môme.
hétérosexuelle
ce sont les courbes masculines qu'elle goûte, à ne jamais se lasser de ces soirs à les oublier sur un verre de vin. liquide amer qui fait rêver des tendresses rauques, des soupirs à en entendre la poésie.
célibataire
à ne plus s'accrocher aux amours de la littérature anglaise. et le romantisme si brusquement étouffé.
littérature
à la voie suivie depuis l'enfance, les bouquins qui la passionne, jusqu'à en faire son quotidien.
avec bourse
le cheerleading qui lui accorde ce droit.
modeste
à s'épuiser jusqu'au crépuscule pour savoir vivre.
hotel del luna
au bar dont elle honore la présence, des boissons qu'elle manie avec précision, sans jamais connaître le secret de ces nectars divins qui remplissent la tête d'illusions et d'ivresse jolie.
student
à n'avoir jamais osé, peut-être. la solitude qu'elle connaît trop peu. à se mêler à la foule des autres étudiants quand elle se démarque autrement.
à la nuit tombante sur la ville des milles couleurs, jusqu'aux buildings d'artifices qui fêtent la venue de l'enfant erreur. aux pleurs d'une mère aux abords du désarroi, d'un sourire à décrocher la voûte céleste. et de là-haut, les cœurs en émoi.
seo jo hee
quand la famille maternelle n'est qu'un rejet, d'un nom de famille que l'on bafoue d'une existence presque miraculeuse - ou malheureuse, des pleurs que l'on entend encore comme un mauvais écho, quand viennent là les terreurs nocturnes.
coréenne
à la beauté d'un pays qui réside sur les traits de son visage, aux traits parfaits qu'elle évoque. fille que l'on admire, encre de corée que l'on ose pas peindre.
coréennes
à rendre fier le pays qu'elle adopte, des origines qu'elle chérit jusqu'à vivre comme là-bas. les traditions pourtant si vite repoussées, par la jeunesse frivole et l’insouciance de n'être encore qu'une môme.
hétérosexuelle
ce sont les courbes masculines qu'elle goûte, à ne jamais se lasser de ces soirs à les oublier sur un verre de vin. liquide amer qui fait rêver des tendresses rauques, des soupirs à en entendre la poésie.
célibataire
à ne plus s'accrocher aux amours de la littérature anglaise. et le romantisme si brusquement étouffé.
littérature
à la voie suivie depuis l'enfance, les bouquins qui la passionne, jusqu'à en faire son quotidien.
avec bourse
le cheerleading qui lui accorde ce droit.
modeste
à s'épuiser jusqu'au crépuscule pour savoir vivre.
hotel del luna
au bar dont elle honore la présence, des boissons qu'elle manie avec précision, sans jamais connaître le secret de ces nectars divins qui remplissent la tête d'illusions et d'ivresse jolie.
student
à n'avoir jamais osé, peut-être. la solitude qu'elle connaît trop peu. à se mêler à la foule des autres étudiants quand elle se démarque autrement.
admission à harvard
née pour entrer dans une université prestigieuse. enfant de séoul, se doit d’être la môme bercée par les rangs d'harvard. à avoir été éduquée comme la perfection, envoyée à l'aveugle quand la réussite n'était rien d'autre qu'une évidence. alors, c’est les sats qu'elle travaille, d’arrache-pied, parfois à s’y cramer le crâne. au charisme qui impressionne, belle à casser les stéréotypes. elle manie si bien les mots, la divine.
découvre son ambition, l'épouse du bout de ses songes. à l'addiction de l'éternelle passion, à quérir les plus beaux instants. môme qui inspire la fierté, pour elle-même. à quérir ses propres réussites. harvard, berceau de ses ennuis comme de ses envies, à repousser inlassablement ses limites pour devenir meilleure, sans jamais faillir.
pretty savage
ARROGANT 89% ■■■■□□ 99% BRILLANT
SEDUCTIVE 99% □□■■■■ 90% LOVELY
CHARISMATIC 99% ■■■■□□ 95% SMILING
SAVAGE 90% □□■■■■ 91% OPTIMIST
RESPECTFUL 94% ■■■■□□ 95% RECKLESS
autrement, c’est la muse divine - le charme à l’état pur, joyau que l’on désire croquer, à s’en blesser. divine aux airs de reine, à couronner son monde (théâtre). la môme brûlante, désire un peu plus déchiré l’épiderme marquante (et marquée). les mots durs à la commissure des lèvres, le corps en transe sur la musique de mauvaise qualité. ailleurs elle devient aphrodite. brutalité dans la beauté, épouse les fantasmes, devient les songes. elle est belle, la môme aux airs d’ange, suscite les envies, la gamine, attise les feux (quand elle brûle de vivre). consciente presque inconsciente, à se plaire dans les dangers, pour le bon vouloir de prendre une grande bouffée d’air. c’est la gamine qu’on désire, quand ce qu’elle désire c’est s’échapper, son monde qui tourne autour d’elle, ce putain de sourire à faire perdre l’esprit. les curieux qui s’y plaisent, et elle, bonne vivante, s’empare du monde. pièce maîtresse de son ivresse.
anecdotes
01. divine sous les airs de l’insouciance, aux traits du visage qui passionnent. l’innocente beauté sous les yeux brillants des grandes personnes, à jamais réellement comprendre si le monde tournait rond. à lui demander les airs des dieux, à l’instruire des mots ennuyeux, des formules qu'elle saisit jamais vraiment. les traditions qu’on lui inculque, sans jamais qu’elle ne sache réellement les prendre au sérieux. l’enfant des désillusions, à jamais réellement rêver d’utopie. l’être brillant, à la beauté qui submerge dans les eaux mouvementées, à l’addiction qu’elle fait naître sur le bout des lèvres - c’est son prénom que l’on répète sans cesse.02. langue qui manie bien les différences, aux langues étrangères qu’elle manipule sans erreur - l’équation n’est jamais fausse, résultat grandiose quand ce sont les jolies paroles qu’elle fait glisser sur les lippes. du français jusqu’à l’anglais, les voyages pour se débarrasser de l’enfant, môme qui surmonte le deuil à sa manière. à devenir démon quand c’est l’ange que l’on semble pourtant idéaliser. les traditions réduites à néant car ce sont les échanges scolaires qui renforcent le fort caractère - jusqu’à croire l’arrogance qui naît au coin de ses lèvres. quand elle est maze, fruit des démons.03. à la vingtaine d’années, l’ivresse de la jeunesse. elle est frivole, la nymphe. centre des désirs, fantasmes inavouables, à les étouffer sous les airs de gentille fille. brillante, l’étudiante, à épouser la littérature, glisse si aisément sous le timbre de sa voix. et elle joue, charmeuse, de son corps, de sa séduction en amont. les déboires amoureux qu’elle collectionne jusqu’aux nuits qu’elle ne compte plus, aux chairs dont elle s’abandonne, sans les remords d’un oubli au petit matin. elle marque, l’enfant sauvage, défie la raison plus que l’abandon.04. enfant au paternel évaporé, juste un souvenir à peine évoqué. à découvrir peut-être, l’humiliation d’un amour fébrile, à celui jamais naquit. les images qui sursautent contre l’écran qui s’anime - elles s’offrent elles-même la terreur, y’a rien de réellement plus horrifique. à débuter les enfers, déchaîner les géhennes quand la peur ronge, jusqu’à ce qu’il retrouve, le géniteur, à croire en la douleur. à la mère qui avait su protéger jusqu’à atteindre l’âge des grandes personnes.05. et les jours s’écoulent, dans la profonde mélancolie de la monotonie des jours - heureux, ou malheureux ? c’est l’abandon d’une famille d’illusions, jamais la perfection des autres. à parfois encore rêver des douceurs de ses bras - la figure maternelle, il y a douze ans de cela, abandonnée dans l’étreinte de la mort. délicate anémone, du poison sur les pétales. et la figure paternelle qui tombe à son tour dans les oublis, tourbillon de terreur qui s’éteint, à laisser un saccage derrière lui - la destruction comme simple songe.
timeline
23 mars 1998
naissance de jo hee, seoul, sk.1998
départ pour busan, sk. enfant non reconnue par le père. grossesse non désirée. rejet de la famille maternelle.2001
mariage de sa mère.2004
harcèlement sur les bancs de l'école élémentaire. école à la maison.2009
mère décédée d'un cancer. beau-père comme tuteur légal. déménagement à séoul, entrée au collège. élève brillante.2014
échange à paris. perte de sa virginité avec 2015
dernière année de lycée à boston. place dans les cheerleaders. entretien et SATS pour l'entrée à harvard. obtention d'une bourse.2016
entrée à harvard. mi 2018
emploi au nirvana, barmaid. rôle en tant que maze dans l'entre des désirs et de la luxure. perruque blonde et lippes couleur velours.septembre 2020
démissionne de son travail au nirvana, et postule à l'hôtel del luna en tant que barmaid.début 2021
décès du père biologique.playlist
do i wanna know ? - ARTIC MONKEYS ••pretty savage - BLACKPINK ••any song - ZICO ••sorry i'm not sorry - MONSTA X ••les oiseaux - POMME ••everything i wanted - BILLIE EILISH ••beast of burden - THE ROLLING STONES ••after school - WEEEKLY ••bad alive - WAYV ••believer - IMAGINE DRAGONS
& irl, ça donne quoi ?
pseudo alice
âge 22yo
nationalité cactus
forum connu par... jsp
ILH, j'en pense quoi ? jsp
autres comptes ?nop
avatar utilisé bae joohyun
crédits images larmestendres (ava)
nombre de mots par rp svp rp court
type personnage inventé
code études
littérature ;; department of art, litterature and history ;; sixième année
- Code:
@"Jo Hee Seo" » <i>(littérature)</i>
summer camp ?
participe au summer camp : [] oui [x] non
veut être dans une équipe : [] oui [x] non
code bottin
- Code:
<span class="pris">BAE JOOHYUN</span> <span class="inv"></span> @"Jo Hee Seo"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
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