GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ

Giuseppa Sol Heimann

feat. Carolina Sanchez

❝ Figlio del sole
perché siamo tra quelli (che guariscono),
di chi resiste, di chi crede nei miracoli.
non di quelli che dicono che quando i tavoli si muovono è perché qualcuno li spinge con un piede.

naissance
La douceur italienne. 07.07.1996. Florence, Italie. C’est une effervescence, gravée dans ton adn. Tu naquis dans ce beau pays, qui fera toujours partie de ton âme. A quelques pas de la plage, située à Florence, une belle maison surplombant les collines toscanes, entourée d’oliviers verts et sa vue panoramique. Il y a pleins de grandes baies vitrées sur la terrasse et le jardin. Une belle lumière dans la pièce qui peut s'avérer plus que nécessaire. Une naissance désirée par des parents qui t’aiment plus que tout au monde. Ton premier jour, tu l’as vu. C’était une belle journée ensoleillée. Toi, belle fleur qui vient de naître, tu ne pensais qu'au doux parfum enivrant et naturel, de ta mère. Dormir, dans le creux de ses bras, de surcroît ...

nom(s) & prénom(s)
Enchanteresse sirène. Un ange sur terre, dont la lumière ne fait que briller. C’est un bonheur inouï. Heimann, nom de famille symbolique et admirée dans tes yeux. C’est un nom de famille à saveur allemande, tu ne peux pas mentir sur tes origines. Le nom de ton patriarche, ce qui te rappelle tout l’amour que tu as pour lui. Toi, première née, le joyaux de cette famille, tu es fière de le porter et de l’honorer. De cette famille dont tu t’estimes être un atout primordial, chaque syllabe est une énième piqûre de rappel de ton devoir. Ta main sur ton cœur, c’est gravé dans la roche.

Giuseppa, les 8 lettres de la beauté, la consonance italienne. En réalité, ce prénom n’a pas été choisi au hasard, c'était le prénom de ton ancêtre, ton arrière grand-mère, celle qui a toujours montré sa force. Tu aimerais lui ressembler, tu aimerais pouvoir être aussi forte. Une fleur aussi belle qu’épineuse, aussi douce que mystérieuse, un symbole éternel à jamais dans ton cœur. Sol, qui veut dire “soleil” synonyme d'audace et d'espérance. Tu ne te laisses jamais abattre et te bat toujours pour tes croyances. A chaque pas une nouvelle victoire. Une étoile née, ou une fée condamnée à jamais dans le cœur des anges.

nationalité(s)
ITALIAN-GIRL. Sucré comme pas possible, fantasme vivant des uns et des autres. piquante à souhait. L’italie, douce et enivrante. Dieu sainte mère de dieu comme c’est bon de faire claquer cette langue. La sauce bolonaise, le vin de surcroît, le regard assuré. Enchanteresse italienne, si divine et sacrée, remplie d’espoir pour une meilleure humanité.

origine(s)
L’italie en nous. (d'Allemagne et d'Italie). Ayant vécu, presque toute ta jeunesse à Florence, il est évident que ce pays fait partie de toi. Terre des illustres, talentueux ancêtres ? Tu aurais aimé te marier ici, sauf qu’il en a décidé autrement pour ton joli petit cœur. Tu fais partie de deux pays, qui font boum boum en toi. Fleur ancestrale, héritant de la beauté italienne de mama & le prestige allemand de papa.

orientation sexuelle
(TÊTE MASCULINES), les hommes, regard ténébreux, yeux troublemaker. Avec le temps, tu es devenue curieuse de tout. Le sourire aux coins des lèvres. Et, pourquoi franchir le cap ? Peut-être. Il n’y a cependant que les hommes qui arrivent a te faire grimper aux rideaux. Kenzo, les bras musclés, les abdos en chocolat.

statut amoureux
(COEUR MALADIF). L’amour ? L'amour dis-tu ? Tout le monde en rêve et pourtant si peu de personnes arrivent a être combler. L’amour, c’est croire en l’autre. Cette croyance n’existe plus dans ton cœur. Le prince charmant, tu n’y croyais point. Puis, lorsque tu perds ton arrière- grand-mère, tu fais la connaissance de ce beau garçon, Mercutio. Tu n’avais que 6 ans, mais tu aimais passer ton temps avec lui. Jusqu'à ce qu’ils s’en aillent pour un autre pays. Au revoir à tout jamais, sauf que des années plus tard, tu le revois à New-York. Il n’y avait que lui qui comptait, même tes cours de danse n'étaient plus importants que ça. Il a même été jusqu'à demander ta main en fiançailles, ce que tu t'es empressé de dire oui. Cette idylle aurait pu durer, mais dans ta famille on n'appréciait pas vraiment cet homme. Surtout qu’il avait omis de dire qu’il avait failli faire de la prison pour vol de stupéfiants. Papa n’aimait pas trop voir cela. Le jour J, tout aurait dû se passer parfaitement, sauf que Mercutio n’est jamais venu et t’a lâchement abandonné. Tu ne comprends toujours pas les raisons. L’amour est-il vraiment pour toi ? Stand by des émotions et des sentiments amoureux. C’est un rime mortuaire, anthropophage lié aux destins irrationnellement funèbres. Coeur meurtri, coeur ravagé d’avoir trop aimé. Cœur déchiré d’avoir trop désirer. L’ange que tu es s’est brûlé les ailes sur un brasier ardent. L’ange a chuté, il ne reste plus que les souvenirs. Le manque, comme une marque au fer rouge, marque qu’il a laissé sous le moindre de ses baisers. Souvenir qu’il a laissé quand il s’en est allé. Toi, ange mortel, il t’a détruite, il n’en reste rien. Juste une blessure encore bien profonde.

études
(ETOILE FILANTE) Tu as toujours su depuis toute petite ce que tu voulais faire. Devenir une étoile filante, gravitant dans le ciel. En tant qu'élève attentive et travailleuse, tu as même su évoluer et obtenir les meilleures notes pour continuer sur ta lancer. C’est pour cela qu'à ta majorité, tu quittes Florence pour New-York, école de danse très connue a Juilliard school. Monde obscur, c’est là que les ennuis ont commencé, surtout pour les beaux yeux verts de Mercutio, il t'a même poussé à abandonner tes cours que tu aimais tant. Tu n’as pu reprendre le monde de la danse de suite, il fallait avant tout te reconstruire auprès de ta famille. Surtout que tu avais plonger dans l'univers de la drogue, suite a cet homme et la pression de cette famille qui te voyait comme la fille parfaite. Après la cure, il te fallait te reconstruire a tout prix. Autant émotionnellement que physiquement, un cœur brisé laisse une souffrance très dure pour le corps, mais c’est cette force qui t’as poussé à ne jamais te laisser tomber. L’envie de t’évader, pour te sentir exister, un trop plein d'émotions t'envahit à chaque note, c’est comme une mélodie qui danse et qui danse. Contre l’avis de ton père, il ne voulait plus te laisser partir, il avait peur que tu aies encore le cœur brisé, mais c'était ton devoir de réaliser ton rêve. Tu intégreras Harvard, pour rejoindre ton frère, mais aussi surtout pour suivre tes cours de danse. C’est ta passion. Tu sais que tu peux devenir une étoile montante, c’est l’ancrage de ta vie.

bourse
Pas besoin de bourse.

statut social
Extra riche. Très riche. Trop riche. Issu d’une famille plus qu’aisée, tu ne manquais jamais de rien. Sans toutefois jeter l’argent par les fenêtres. Sans vouloir te vanter, tu es toujours restée très discrète et humble de ta personne. Durant une longue période de ta vie, néanmoins tu fus dans une zone critique, d’instabilité … Sombrant dans la drogue, ou la moitié de ton fric est bien parti en fumée, ton paternel a detester te voir te gâcher de la sorte, c’était une torture de voir sa princesse dans cet état. Il a même un temps, comme père qui se respecte empêcher tes dépenses malhonnêtes, obligeant ta personne à se remettre en question. Cette petite parfaite de bonne famille est revenue, quittant le monde obscur, mais malgré cela tu en veux tout de même à ton paternel. Tu lui en veut toujours, et ne lui parle plus depuis ton départ, y a un secret que tu n’a pas pu révéler à Ottis et avec ce départ, c'était l’occasion pour toi de t’échapper de cette vie … Tu as pu te forger, par la suite, avoir une vie confortable, ange de lumière, loin des attraits de trop d'excès.

job étudiant
Nullement besoin d'un job.

maison

UNE ÉVIDENCE --- Giu déteste rester en place, c’est plutôt la fille pleine d'énergie qui donne beaucoup. Tu as toujours voulu être la meilleure dans tout ce que tu accomplis. Il y a tout juste deux ans, tu intègres d'abord les CABOT avant de pouvoir être dans la PFORZHEIMER HOUSE que tout le monde admire. Tu es prête pour devenir cette danseuse talentueuse et rattraper ton niveau, ce sera dur certainement, mais pas impossible. C’est ton havre de paix cette maison, faire partie des meilleurs car tu es la meilleure. T’es la brunette, celle qui balance des sourires à tout va. Et, puis tu as ce goût pour la vengeance, une vengeance sur la vie que tu te dois de saisir. Tu joues les filles inaccessibles même voir trop. Parfois on te craint, parfois on t’admire, peu importe l’important c’est d’y aller jusqu'au bout.

admission à harvard

C'était ton choix d'intégrer Harvard, principalement pour fuir cet air italien familial. Plus un choix de liberté pour une nouvelle vie. Ok, ton nom n’est pas passé inaperçu. Tout le monde le connait, mais cette fois-ci, tu voulais y arriver par tes propres moyens. Avant de venir à Boston, tu as gardé contact avec des professeurs à New-York, qui ont voulu t’aider dans ta période sombre, pour que tu puisses un jour continuer cette discipline. Une des autres raisons. Cela te permet aussi d'être loin de tes parents. Il existe beaucoup trop de rancœurs encore présentes, qui te font encore beaucoup de mal. Tu as donc envoyé ta candidature toute seule, sans que personne ne soit au courant, ayant eu des résultats exemplaires, il était évident que tu en étais fière. Et, ensuite y a eu l’entretien qui s’est passé avec succès.

caractère du personnage

(EXPLOSIVE) C’est une explosion dans l'âme, le cœur et le corps. Poupée au sang chaud, qui tentent de canaliser cette explosion qui ne demande qu'à sortir. (TROP DIRECTE) La langue rarement dans la poche, pour le bonheur et le malheur des autres. Tu ne peux faire autrement, surtout quand tu as un truc à dire. Tu le fais et sans prendre de pincette, mais bon on ne te refera plus petite tempête brune, n’est-ce pas ? (HYPERACTIVE) Très dynamique, ça c’est clair ! Pleine d'énergie autant que de vie, poupée de contrefaçon, qui a constamment besoin de bouger, de rire, d’exploser comme un volcan, de vivre. (HAUTAINE) Tu ne l’avais clairement pas ce trait, mais la vie t’a forgé comme ça. Tu as une assurance, juste pour masquer ce qui ne va pas et t’arrives à te foutre de tout. Y qu’une personne qui sait que ce n’est pas toi, que c’est juste un mirage ; ton frère. (COLÉRIQUE) Excédent de colère, les poings qui se lèvent et la voix qui s'élève. Il n’y a pas d’autres façons de le décrire. Il en faut peu pour que tu démarres au quart de tour. Surtout depuis ce qui s’est passé avec tes parents, ne voulant plus aucun contact avec eux, tu sais que tu as pris la bonne décision, mais ça ne veut pas dire que tu es plus heureuse. (AMBITIEUSE) Tu as cette lueur dans les yeux qui prouvent que tu es prête a tout pour obtenir cette vie que tu as tant mérité. (PROTECTRICE) Très fusionnelle avec ton frère Ottis, tu es prête à tuer pour lui. S’attaquer aux gens que tu aimes ? Qui s’y frotte, s’y pique, c’est aussi simple que ça. (SECRÈTE) Tu n’aimes pas trop parler de toi et surtout des choses qui t’ont fait du mal. Tu es plus la fille qui compense dans la danse, qui aide les gens que tu aimes. Même avec ton frère, tu ne peux te montrer honnête, c’est encore beaucoup trop douloureux. (INTENABLE) Tu es tout le temps à la recherche de l'adrénaline. C’est cette adrénaline qui te maintient en vie, tu en as besoin pour te sentir complet. (RANCUNIÈRE) Tu ne peux pardonner l’impardonnable. Tu ne peux oublier le mal qu’on a pu te faire. Tes parents en payent le prix actuellement, même si pour eux reconnaître leurs torts n’est pas possible. Et, pour ton ex et premier amour, tu as un mélange entre la haine et l’amour. La personne qui te tourne le dos ne méritent pas ta clémence et encore moins ton pardon. (JALOUSE) Dès que tu aimes, tu deviens limite possessive, ce qui peut paraître grave pour certains, mais pour toi c’est une preuve que ton amour est sincère. (EMOTIVE) Tu es la sensibilité à fleur de peau. Les émotions ont toujours été un moteur pour te faire danser, mais aujourd’hui c’est devenu ta faiblesse. (LUNATIQUE) Telle la lune qui ne sait que faire, qui ne se décide jamais - ou presque, tableau changeant dérangé. Cycle qui tourne en boucle. (CURIEUSE DE TOUT) Tu adores tout savoir sur tout le monde, mais tu n’aimes pas qu’on fasse de même à propos de toi. Tu cherches constamment à comprendre les dessous de chaque chose. (JOUEUSE) Tu l'es, c’est une évidence. Il y a le bon et le mauvais, tu joues parfois jusqu’a t’en bruler les ailes, mais d’autres fois tu joues car cela apporte du piquant à ta vie. (CAPTIVANTE) Le regard bleuté, l’océan qui appelle, ton être attire, tu le sais et cela t’arrives d’en jouer. Sirène des fonds marins, la voix enchanteresse. (PASSIONNÉE) Tu es celle qui vit sa passion à 1000 pour cent. (ACCRO LIFE) Tu es ce genre de fille qui devient vite accro aux gens, aux choses, comme ça été le cas pour ton ex ou la drogue. C’est ce que tu es. C’est devenu ta passion, parfois ta déraison, pour y goûter tu devais être dans un sale état cherchant à camoufler cette peine et cette vie de frustration totale. Sombrer était un mal nécessaire pour survivre, la poudre au nez, un joint roulé, la luxure comme aventure. (INTELLIGENTE) Tu te dois bien d’avoir un cerveau, maligne et fière de l'être. (IMPULSIVE) Tu agis bien plus sous pulsion que sous des gestes réfléchis. (CREATIVE) Tu as toujours débordé de créativité, on dit souvent que créativité et souffrance sont liées, sûrement source inépuisable de ton inspiration. (CHARISMATIQUE) Du charme, tu en as. Tu n’es pas narcissique, loin de là, mais tu sais que tu dégages une aura qui fait toute la différence. Tu as une facilité à aborder les gens et à te faire des amis. d'une manière générale tu es très sociable et dépéris sans contact humain. (DROLE) Un humour décalé, c’est toi. C’est fou comme ton sens de l’humour est marrant et avec ce petit air très sarcastique, c’est épique à souhait. (MALADROITE) Tu a cette fâcheuse tendance, que tu tiens de ta mère a être maladroite, les chutes, les portes que parfois ton bras peut prendre, les marches des escaliers que tu peux rater. (AUTHENTIQUE) T’as aucun filtre, aucune retenue pour dire ce que tu penses et tant pis si les gens se vexent, tu es vrai avec le monde qui t’entourent.

Tu es si belle, Giu, si douce, si fragile qu’on aurait peur de te briser à trop te regarder. La mélancolie qui fait briller tes prunelles couleur bleu, poupée chagrin, si triste, triste à vous en crever le cœur, pourtant tu restes silencieuse, comme une faucheuse qui attend son tour. La dépression s’infiltre dans ton cœur, les sentiments qui s’éliminent et s'éclatent dans l'âme. Giu a vécu l’horreur, tu as cette sensibilité et la délicatesse d’un ange, c’est irréel comme tu es si belle. A fleur de peau qui fait mal, qui l’écorche à l'intérieur avec un visage toujours souriant, mais ce sourire cache autre chose de plus profond. Une douleur que tu refuses d’évacuer, que tu gardes dans ton cœur. Poupée cassée qui essaie de guérir, qui essaie de s’en sortir. Tu aimerais bien qu’on te répare, brisé comme de ces verres qui tombent morceau par morceau, un bruit assourdissant d’un poing qui cogne la table. Ton corps n’est qu’une enveloppe qui s’emplit de ronces, qui s’arme de mots couteaux et des célèbres revolvers. Ta mythologie personnelle s’inscrit dans les arts de l’élégance et de la subtilité, l’épiderme de craquelures dévore ton âme de larmes crocodiles, pourtant à l'intérieur y a que du vide, le néant depuis des années. Tu as l'âme allergique aux attentions, aux regards empreints de tendresse, à la ponctuation mielleuse aux déclarations d’amours, aux caresses et aux petits messages tendres. Tu as cette haine, qui gravite ton cœur a chaque instant, injectée comme du poison qui mord l'âme lentement. Depuis toute petite, tu as toujours voulu être aimé, respecté pour ce que tu es et non pour de mauvaises raisons. Tu es un esprit pour flotter, flotter dans le noir, dans le ciel sur les nuages parce que tu te sens prisonnière. Âme tourmentée, doigts diaphanes qui se morfondent dans le firmament, comme un serpent qui frigorifie le cœur et carbonisent les épidermes nacrés. Ton devenir est dans le passé, pourtant tes passions sont celles de tes ancêtres. Quels émois n’a-tu pas provoqué, ostensiblement, à trouver en autrui une faiblesse et s’en saisir de la délicatesse froide du serpent, mais n’est-ce pas, une créature manipulatrice qui s’aventure dans vos vies, voulant faire croire à un soleil éphémère riche en dialectes affables. De ta langue, on ne croirait nulle vipère en avoir laissé l’essence, et pourtant c’est une précision redoutable qui te fait sentir vivante. ça rêve de la lumière sur la chair, aveuglée de confiance avec dans les oreilles une cacophonie triomphante, la foule dressée. Le passé sombre, mais loin d'être une ombre loin du simple reflet de toi-même, Giu tu passeras jamais inaperçue. Peur de rien, des sentiments qui affluent, les émotions incontrôlées dansent sur ta langue. Tu laisses couler les mots doux, ceux qui réchauffent les cœurs, puis parfois les syllabes se durcissent épineuses, sans peur tu écorches tout. Tu as besoin d’en parler, au fond, d'extérioriser, de comprendre. Ce besoin de lui parler, pour comprendre, obtenir des réponses pour ne plus rester dans le flou, ça t’obsede, besoin de réponses autant que d'oxygène. Tapis dans un coin du crâne, tu es prise aux pièges par des tourments futiles, de démêler les pensées, celles qui tournent comme un disque rayé. Tu n’as pas la tristesse facile, mais la colère fait souvent bouillir ta cage thoracique. C’est pas rare que les larmes s'échappent dans un cri de rage, fureur dans les pupilles, poings serrés, peau lacérée. Non, tu n’essaies pas, pour ne pas faire face à tes démons.

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anecdotes

LA PLUPART DES BELLES CHOSES QUE TU AS VU SONT DES MIRAGES
TU FERMES LES YEUX SUR L'ENFER ET TOUS SES VISAGES
SUR LE CHANTIER DU PARADIS TOUS LES REVEURS PEUVENT RENAITRE DES FLAMMES

1. (NASCITA DI ANGELO SUPREMO) --- Ta naissance a été une bénédiction, tant désirée par les tiens. Naquit le 07.07. 1996 à Florence, en Italie, un soleil de plomb qui s'annonçait, c’est là que tu as pointé le bout de ton nez d’ange. Cette naissance ça équivaut à être cancer ascendant capricorne, maître même de votre destin, qui contrôle un territoire, rigoureuse dans les actes. Crocs acérés, griffes sorties. Tu es identique a cette créature divine et pourtant vorace. Une similarité que tu partages au sein de ta famille. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapté, savourant chaque histoire, chaque image d’un pays tant adoré et tant désiré. Une manière de s’évader, de l’ailleurs au lointain, le pays du soleil levant ou les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis.

2. (FAMILIA HEIMANN) --- Oh grand dieu, familia Heimann, un apanage qui fait son effet dans ce monde. La famille, ce havre de sécurité et en même temps le lieu où on doit toujours revendiquer sa place. Le patriarche émerveillé par ta frimousse d’ange flamboyant. Enfant première née, le bonheur constant et tout l’espoir qui va avec. Oh, l’Italie, douce famille italienne. Une naissance presque parfaite dans un monde presque parfait. A cette composition, s’ajoute un petit frère, des parents aimants, des cousins germains qui parlaient beaucoup trop fort, des cousines aussi bécasses les unes que les autres, des oncles un peu trop près du mini bar. Tu es la seule fille de cette famille, aimante ouais avec ta famille tu essaies de l'être. Fruit d’un amour pur et sincère. Toi, la fille prodige, admirée par les tiens, l’espoir inné de cette famille. Bebe de Daddy, bijoux, princesse. Ils ont des projets pour toi. De bien beaux projets. Giu a toujours été là privilégiée, sûrement parce qu’on compte tellement sur toi. Et, ce nom qui ne passe pas inaperçu, un prestige à souhait.

3. (FUSIONE NEL CUORE) --- Tu es extrêmement proche de ton petit frère, Ottis. Tu le considères comme ta moitié. Même si vous n'êtes pas jumeaux, vous avez les bases d’une fusion parfaite. Vous êtes difficilement séparables et très complices. Giu, tu es un putain rayon de soleil, rayonnante comme pas possible, présentant l’assurance propre aux enfants, portés par leurs curiosité. Une enfant pas comme les autres, doublé d’une forte personnalité. Accompagné de ton petit frère, Ottis, vous étiez un duo de choc et personne ne pouvait y faire face.

4. (BALLA COME UNA STELA) --- La danse a toujours fait partie de ta vie, dès ton plus jeune âge, on t’a inscrite très tôt en classique. C’était inné avec ton ADN. Pendant tes cours, on pouvait remarquer que tu avais ce talent, un talent qui a vite pris de l’ampleur par ta ténacité et ta grace. Entre tes cours de piano, de peinture et de danse, il y avait tout un monde qui s'offraient à toi. Tu as tout de la jeune fille de bonne famille, gracieuse, éloquente et avide d’un contrôle qui t’échappe. Malgré que ta famille vienne à tes spectacles, il y avait toujours une bonne raison pour que ton paternel ne reste pas plus que 10 minutes. Être dans le monde des affaires demande quelques sacrifices, comme ce jour où tu avais juste envie de partager ton art avec ton père. Assise sur les marches du grand escalier, tu attendais le retour de daddy. Dans ta main gauche, tu avais ce dossier des dessins, tous assemblés là, depuis tes 3 ans, représentant tout ton savoir-faire. Ce jour-là, tu voulais montrer un dessin qui représentait “papa”. Tu te mis a sourire, telle une idiote balafrée - un doux et mignon petit rictus, qui s'agrandit quand tu vis, enfin arriver ce que tu attendais impatiemment ..Ton petit rire d’enfant remplie le hall. Tout le monde savait, tant que tu essaies de courir vers lui, et ce malgré le volume formé, par toutes les couches de robes et de jupons, que tu as sur ta silhouette frêle. Tes petits cheveux, aussi brun qu’un tronc d’arbre, retombant tout le long de ton dos, en cascade. Ton père, et tous ses amis te regardent faire, quand tu arrives, enfin vers lui. Il te serre contre lui, avant de te murmurer une phrase que tu entends continuellement. “pas maintenant” cette phrase que tu détestes, que tu entends tout le temps, et auquel tu ne vois jamais d’issue. Tu regardes ton père, les yeux embués de larmes, et laisse tomber par terre tes dessins, avant même de courir en pleurant, dans ta chambre. Ton frère te regarde pleurer, seule, sur ton lit. Toi, l’enfant, qui n’avait rien demandé à personne … Alors, que tu étais toujours rester sur ta petite couchette, bien douillette, ton frère arriva doucement et s’allongea à côté de toi, te caressant les cheveux avec tendresse, une douceur infinie. C’était un rituel que vous aviez entre vous deux. Quand tu étais en colère ou triste, c'était ton petit frère qui arrivait à te consoler, les rôles étaient inversés pour une fois. Il savait à quel point c’était dur pour toi, d’avoir le besoin d'être parfaite aux yeux des parents, parce que même si toute l’attention se portait sur toi, il y avait quelques souffrances qui étaient là. Quelques heures plus tard, tu t'endors, dans ses bras, espérant que demain est un autre jour. Que vous aurez enfin l’occasion de passer du temps tous les deux avec votre paternel. Hélas ...Tu ne pouvais savoir le dénouement de cette histoire.

5. (UN BACIO MAGICO) --- Et, à l'âge de ta sixième année, tu fais une rencontre qui change ton monde. Ce jour-la, tu avais décidé de te rendre au parc avec Ottis, et papa. Des journées entières à flâner entre les allées boisées, courant derrière les écureuils, en riant, saluant les passants souriants. Tu adorais cet endroit. Cette contrée verdoyante. Cet immense espace, où tu aimais jouer. Il y avait même un coin de paradis, que tu avais dessiné et tant rêvé, qui était ton havre de paix avec ton frère. Tu t'autorises à rêver, quelques fois, glisser sur les toboggans colorés, se balancer jusqu'à toucher le soleil, et caresser les nuages duveteux, sur les balançoires. Une fois, essayant de toucher les étoiles, tu as vite compris qu’il n'y a que dans les rêves qu’on puisse voler. Tes cheveux bruns voletaient furibond, derrière ton tracé, et cette vision accaparait l’attention d’un petit garçon, qui se trouvait au loin. Peut-être, était-ce pourquoi, lorsque tu chutais lourdement sur le sol, il avait accouru, sortant un carré de tissu de sa poche, pour venir l’appliquer sur ton genou, d'où perlait l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Quelques minutes plus tard, ton frère accourt aussi près de toi, c’est là qu'il fait la connaissance de ce garçon aussi inquiet que lui. Tu laissais s’échapper larmes de douleur, de tes orbes bleus, et il s'enquit tous les deux de ton état. Cependant, la douleur n’arrivait pas à passer … Tu vis, alors, le garçon se pincer les lèvres de frustration, et soudain une idée - il se pencha légèrement, et aussi doucement que possible, posant sa bouche contre ta plaie, encore bien saignante, pour y déposer un furtif baiser, qui vraisemblement, faisait disparaître toute douleur, instantanément. Tu séchais rapidement tes larmes de crocodiles, en lui exprimant ta gratitude, dans un mignon rictus. Tu l’observais, désormais avec un regard intrigué. Voir, comme si tu venais de croiser un revenant, cependant que vous vous relevez doucement. un bisous magique ? Voilà une chose que personne ne t'a jamais faite, le garçon te rassura immédiatement en t’expliquant que c'était une coutume pour guérir les bobos. En un seul regard échangé on pouvait déceler cette connexion forte. On dit qu’il existe des coups de foudre en amour, tu en vivais un pour la première fois.

6. (RELAZIONI PERICOLOSE) --- Vous étiez tous deux différents, lui c’est le garçon pauvre qui s’acharne à faire vivre sa famille, et toi tu es la fille riche avec un nom qui ne passe pas inaperçue. Dans ta famille, c'était compliqué avec ton père surtout, qui était trop protecteur et possessif aussi. Il refusait que tu passes tout temps à ses côtés, il y avait beaucoup d’opportunités à saisir pour toi. Tu as grandi dans une sorte de bulle qu’il avait créé autour de toi. Toujours surveiller ses fréquentations, les allés et venues, oui un vrai tyran. Il a même déjà essayé de te mettre en couple avec des garçons de bonne famille. Sa nouvelle lubie te fiancer, avec le fils de tes amis pour être sur que plus tard, tu ne choisis pas Mercutio. Tu as toujours dit a ton paternel que ce n'était pas nécessaire, car pour l’instant la seule chose qui t’interessait c'était réussir dans la danse. Il faut bien avouer, toi, Giu tu étais à la tête de tout. Les professeurs n’osaient même pas hausser le ton avec toi, par peur de ce qui pourrait arriver. Avec ta bande de moutons, qui te suivaient comme des chiens, oui c’est comme ça quand on représente le prestige suprême. Giu avait créé ce que la fiction n'était même pas capable d’envisager. Ce côté intransigeant, ton arrogance avait beau agacer presque tout le monde, tout le monde savait pourquoi. Et, c’est à l'aube de tes 12 ans, que Mercutio t’annonce qu’il doit s’en aller de Florence pour les Etats-unis, une chance pour lui de pouvoir être ce qu’il veut et c'était le choix de sa mère. Un choix très dur, des aurevoirs touchant, mais tu restes dans le silence face à son départ, ne voulant pas heurter les espoirs de daddy.

7. ( DURA ADOLESCENZA) --- Une vraie danseuse née, tu en as bien conscience, que cette discipline est en train de te propulser vers la réussite. Daddy Heimann admire ce qu’il voit, qu’il veut à tout prix que tu excelles et que jamais oh grand jamais tu n’abandonnes car ça serait une honte pour la famille. Malgré tout cela, tu vis une adolescence compliquée, seul ton frère te comprend et te soutient. Tu grandissait devenant une jolie jeune femme et lui continuait de te voir comme une poupée. Un matin, en te réveillant, tu compris que tu voulais plus d'indépendance de leurs parts, eux plus d'obéissance. Tu grandis à vue d'œil, les seins qui se forment, un corps de rêve pour tout le monde. Surtout pour la gente masculine. Toi, tu restes pure et innocente, une vertu que peu de filles savent accomplir. Et, c'était la coutume dans la famille. Garder les jambes serrées, menaçant tous les garçons qui pouvaient s’approcher de leur casser les jambes s’ils osaient essayer quoi que ce soit. Et, ça te plaisait de ne rien leur donner. Tu as honoré ta famille. Cela t’amusait même de parfois jouer avec le feu sans jamais succomber à la luxure, car au fond, tu savais que ton cœur était réservé par lui.

8. (SOGNO DI STELLA) --- Le jour de ton dix-huitième anniversaire, tu annonça à toute ta famille, qu’une troupe réputée à New-York t’avait demandé de les rejoindre. Il fallait juste que tu songes à répondre oui ou non, ton choix était déjà tout fait. Avec cette troupe, tu intègres une école très connue à New-York, Julliard, ou les meilleures danseurs sont passés par la. Quitter ta famille n’a pas été une chose facile, mais c'était ta destinée d’y aller. Tu as tant travaillé pour y arriver, ton but allait enfin être atteint. Tu laisses ton petit frère derrière toi, une épreuve douloureuse, mais nécessaire et tu savais qu’il allait comprendre ta décision. Ta première année se déroule durement, malgré ton talent tu t'accroches de toutes tes forces. Tu découvres la ville, qui était magnifique et c’est au détour d’une ruelle, que tu bouscule un garçon qui était un peu trop pressé à ton goût. En retirant sa capuche, tu aperçus que tu le connaissais et qu’il s’agissait de Mercutio, ton coup de foudre d’enfance. Il était devenu si beau, avec un regard à vous percer le cœur sur place, des beaux tatouages sur les bras qui représentent bien ce jeune homme mystérieux. Un jour pas comme les autres à se rappeler les bons souvenirs, et tout dérape cette nuit-là, entre vous ce n’est pas qu’une question de coup de foudre, mais vraisemblablement une passion dévorante. Ton ventre vrillait devant lui, mordant la lèvre comme si tu n'étais qu’une gamine. Vous viviez une relation hors du commun, mais qui restait secrète au yeux de ta famille. Tu ne voulais pas faire honte a ton père, qui n'approuve pas ce garçon. Alors, tu continues cette relation, tout en négligeant pas tes cours, même si ça demande beaucoup d’obligations de ta part. Deux semaines plus tard, avec la pression que ça demandait, c'était trop pour toi de suivre tout ça, Mercutio a eu une merveilleuse idée, en te poussant à vivre cette vie à New-York, comme si ce n'était pas important. Il avait aussi ses propres démons à combattre, sauf que la chute c’est ensemble que vous allez la vivre. C’est là que tout déraille, Mercutio, n'était pas un si gentil garçon que ça. Il a eu un parcours assez compliqué, une mère qui a succombé il y a deux ans dans l’alcool, un père qui a toujours été absent et qui s’est avéré être un gros enfoiré. Mercutio tombe dans les travers de la drogue, revendeur dans un quartier aussi malfamée que l’appartement ou tu as décidé de vivre avec lui. Tu te promets de ne pas toucher à tout ça, de l’aider à combattre cette addiction, sauf qu’il te pousse dans tes retranchements, et c’est le début de l’enfer pour toi.

9. (AMORE ETERNO) --- Le mal attire le mal. Un proverbe bien menteur. Tu devais te rendre la semaine prochaine voir ta famille à Florence. C'était l’occasion de leur annoncer une grande nouvelle ; tes fiançailles avec Mercutio. Ce mâle, ce bad boy, t’a attiré dans ses filets. Toi, poupée incendiaire, tu as succombé à la luxure, à lui et à la drogue. Cela restait bien sûr secret pour tes proches, pas encore prêt à tous leurs dires, mais amener ton futur fiancé était une idée a toi. L’amour, tu es passion quand vient l’aube et tu déchires les passions quand vient le crépuscule. Simplement, tu rends malheureux, tu rends triste parce que tu sais comment briser les cœurs. L’amour n’est pas toujours signe d’enfer, on peut créer notre propre paradis. L’amour peut parfois être fragile, mais sincère et durable, sauf que pour toi c’est une autre histoire. Tes fiançailles ne sont pas du tout passées au goût de tes parents, en particulier Daddy, qui ne comprenait pas comment cela était possible. Il essaya d’accepter, mais ce n’est qu’une blague. Il a tout fait pour donner une somme d’argent a Mercutio, pour qu’il disparaisse de ta vie, ce qui a marcher, car il n’est pas venu à votre fête. T’obligeant à être humilié par toute ta sainte famille italienne. Toi, Giu, tu n’a eu que la version papier écrite par les mains de ton père, une version que tu détestes. Cette version dit qu’il a préféré l’argent à toi, qu’il ne t’aime pas et qu’il ne t’a jamais aimé, que tout n'avait que pour but de te soutirer du fric. Mais la vérité est toute autre, ton père a quelque chose sur Mercutio, qu’il ne veut pas que tu saches, il a préféré partir et te faire du mal. L'honnêteté est très dure pour certaines personnes, d’autres préfèrent lancer des chèques, d’autres quittent les gens sans once de regrets.

10. (L'INFERNO È IN TE) --- Tel le syndrome de la page blanche, gribouillis qui se superposent, incompréhension totale. Ce n’est plus linéaire, c’est par vague. Comme le manque de quelque chose, parce qu’il subsiste au find fond de l’esprit. La vérité, y en vraiment plus, plus du tout. A cause de lui, tu as plongé encore un peu plus dans la drogue, les démons te dévorent de l'intérieur. Seule dans l’obscurité, seule face aux démons. Tu essayes de combattre, te battre, te débattre, mais rien n’y fait. Tu dérapes, déraille, t'effondre. La belle s’efface, la belle s’effrite. Cassé. Brisée. L’ange aux ailes brisées, voilà ce que tu es devenue. Voilà, ce que tu es désormais. Un ange déchu, déçu aussi. Une folle aux ailes brisées. La folle au visage d’ange, au regard de démon. La folle aux allures démoniaques, tu n’es plus la, nulle part, perdue, partout en danger. Alors, la folle court, s’échappe, s’écrase, tombe, roule, en boule. Souffrance douleur. Les démons débarquent, les démons assaillent, les démons détruisent. Ils te détruisent. Aveuglement. Subitement. Cette relation ne devait pas voir le jour, surtout pour la familia Heimann. Une relation qui a été détruite, détruite par lui, par ton père. La princesse et le truand, quel beau mélange dramatique, explosif c’est sûr. Vous avez vécu une histoire d’amour, partagé entre bonheur intense, passion dévorant le cœur et l'âme. Et, pourtant Giu, a dû se résoudre à l'oublier, pour le bien de tout le monde. Cette histoire a fait scandale dans la famille, tacher ce nom que tu te dois d’honorer. C'était un menteur, un drogué, accro à l’argent, qui ne méritait aucune clémence, c’est ce que disaient tes parents, inutile d’en faire une maladie. Un amour fini. Obligé d’y faire face, il t’as plongé dans l’univers de la drogue, une drogue que tu ne peux te résoudre à quitter, donc, tes parents t’obligent à faire cette cure de désintoxication. Tu suis cette cure, en Italie, près de ta famille, la seule personne a te soutenir reste ton petit frère, celui qui ne juge jamais tes actes. Malgré les nombreuses disputes, qu’il y a pu avoir, il était toujours là pour prendre ton dos. Il t’arrive encore de sentir sa présence, et parfois, trop souvent, selon ton psy tu es encore fragile. Y a encore une cassure chez toi, qui ne guérira sûrement jamais, dans la tête, dans le cœur, dans tes yeux. Les couleurs éclatent, la pulpe de tes doigts frémis, pour devenir après vide de sens. Sans que tu t’en rendes compte, les rires reviennent. Comme avant. Tu n’aimes pas ton psy, celui qui doit s’occuper de toi, il ne comprend pas quand tu parles et c’est peut-être mieux comme ça. Tu n’as plus que des souvenirs, pour faire face à ce qui s’est passé, donc, tu sais ce qu’il faut faire pour aller mieux. Semblant, en regardant ton psy, tu sais qu’il faut mentir et lui dire ce qu’il veut entendre. Il te signe ce papier, qui veut dire “liberté”, une occasion pour toi de tout recommencer.

11. (RINASCITA DELLE FIAMME) --- Au Revoir Florence. Tu ne pouvais rester qu'une minute de plus ici. Tu découvres dans le bureau de ton père, des centaines de lettres de Mercutio, quand tu était petite, il lui arrivait de t’écrire, mais tu n’as jamais reçu aucune, car ton père les cachait bien comme il le faut. Y a même une lettre que tu as vu dans le tas, qu’il avait envoyée deux semaines après ton entrée en cure, ou il disait qu’il ne t'avait pas quitté pour l’argent, mais que c'était une idée de ton daddy. Tu ne connaissais quand même pas les vraies raisons, ce n'était pas écrit, mais tu savais que tu ne pouvais plus lui faire confiance. C’est la colère qui émane de toi, une meuf a présent sans âme. Et, tu fais tout ton possible pour reprendre ta vie en main, postule pour entrer à Harvard, reprendre tes cours de danse car c'était la chose qui n’avait pas changé dans ton cœur. Tu ne voulais pas quitter une nouvelle fois ton petit frère, mais là, c'était plus fort que tout. Tu devais partir pour échapper à cette vie, qui en réalité n’en était pas une. Tellement de questions fusent encore et encore. Avec cet esprit de haine terrible, aux creux de ta bouche, le ventre qui réclame davantage. Celui qui brûle d’un feu incertain, mais qui détruit tout sur son passage. Celui qui fait tomber de haut parce qu’on ne s’y attend pas. Le pouls accélère puis ralentit, laissant le rythme cardiaque incertain. Sentiments déstabilisants. Cœur ouvert, déchiré, arraché. Coeur meurtri par les plaies encore bien saignantes. T’aimes pas grand chose, au fond. T’es plutôt renfermé sur tes sentiments. Il n’y a que lui qui pouvait animer ton cœur, tout s’en est allée dans un écran de fumée. Femme libre qui vit une vie a Boston, en espérant qu’un jour tout ceci partira. Le passé ne compte plus pour Giu, une page que tu as recouvert de nuages assez épais pour ne pas être tentée une nouvelle fois de sombrer. C'était une autre vie, une autre personne. Une fille que tu connais a peine, a présent. Les rires ont continué, mais ce n’est plus la même chose, une cassure est restée dans ton cœur.

12. (IL TEMPO DEI MIRACOLI) --- l’Italie, c’est fini. C'était beau, au début, mais une prison dorée, pleine de règles rigides et austères. Deux ans que tu es ici, heureuse d'être loin de ta famille. Il y a juste Ottis, avec qui tu as toujours garder ce lien super fort, il reste ton meilleur ami pour toute la vie. Pour ce qui est de tes parents, tu refuses de parler d’eux, de les voir, ou même de reprendre contact. Quand, tu es partie, une grosse dispute a éclaté avec le paternel, c'était la dispute de trop, qui t’as poussé à tout faire pour partir loin de lui. Aucune pitié pour ces vieux cons qu’on appelle parent et dont tu te refuses de te souvenir. Giu en a marre de vivre pour les autres, maintenant ça sera différent. En choisissant des cours de danse, tu sais que tu devras subir encore une autre genre de pression, mais tu te promets cette fois de réussir. C'était ta dernière chance, malgré que tu n’as plus le même niveau. Un niveau que tu as perdu, mais quand les choses deviennent impossibles, tout peut devenir possible. Une phrase que Mercutio disait toujours, c'était que des fois quand on perd on gagne quand même. Mais l’enfer est encore en toi et ne demande qu'à sortir. Ce qui a de plus dur, c’est les silences. Des silences à nous traverser le corps, à nous faire hurler de souffrance. C’est comme une lame qu’on fait entrer et ressortir, qui fait mal à en crever. Pour s’en sortir, tu as du te plonger dans un noir complet, mais ce noir quelques fois veut sortir, pour faire face a tes démons, ceux qui ne te laissent pas dormir la nuit. Y a un prénom qui coule dans tes veines, tu ne désires plus le prononcer, te vider de l'intérieur de ces sentiments a son egard, par frustration, par vengeance, par envie. C’est son nouveau point d’ancrage, pas certain qu'il y avait encore de la place pour de l’amour dans ton cœur. Pas pour l’instant, pas maintenant, pas quand y a trop de rancœur. Pour toi, non. Giu qui a compris que le temps , tu en a revendre, le temps d'être quelqu'un, le temps pour devenir normale, le temps pour basculer.

13. (L'UOMO IDEALE) --- Un homme pas comme les autres. Cela faisait déjà plusieurs semaines que tu repoussais ses avances. Tu n'étais pas prête pour une histoire d’amour, avec personne. Sauf que Graham ne voit pas les choses de la même façon. Que tu renvoyais tous les présents, que le bel homme t'offrait, sans exception. Non pas que c'était déplaisant, mais tu ne pouvais accepter. Mais la différence d'âge est là. Le fait qu’il soit médecin. Un médecin qui a pu te soigner lorsque tu en avais besoin. Pourtant, même si tu n’osais te l’avouer, ces petits gestes te faisaient quand même un peu plaisir. Parfois, quand tu passes du temps avec lui, il pourrait te convaincre d'être à ses côtés, mais tu repenses aussitôt à ton ex, celui qui a fait battre ton cœur a bien des égards plus fort. Après tout, tu n'as jamais été heureuse. Très chanceuse, question sentiment. Et puis, tu te considérais comme un être totalement inaccessible, voire dangereux. Parce que dans le fond, tu ne voulais pas changer cette personne, lui donnant de faux espoirs, étant donné que ton âme esseulée appartenait, secrètement, à un autre. C’est bien pour ça, que tu devrais t’éloigner de lui. Graham était bien trop beau, trop gentil, trop romantique, attentionné. Bien trop parfait, pour toi. L’homme idéal, tu le voyais. Tous les mardis, il venait t’attendre à la fin de ton cours de danse, t’offrir une tasse de café bien chaude, un muffin pour accompagner le tout, et discuter en ta présence une bonne partie de l'après- midi. Mais, peu importe, le temps qu’il vienne t’accorder, il était impossible pour toi de lui en donner plus.

14. (LA MACCHINA PER L'ESPLORAZIONE DEL TEMPO) --- Mercutio est revenu, comme si de rien n’était. Tu l’as vu sur le campus, tu pensais que c’était un rêve, mais non. Giu ne supportait même pas de le voir. Tu ne veux plus rien avoir avec lui et pourtant ton coeur dit le contraire. Te voilà, fréquentant un homme qui peut te donner la vie que tu mérites, et Mercutio revient dans ta vie sans prévenir. Tu essaies de vivre ta vie tranquillement, mais au fond de toi, tu as peur, et c’est cette peur qui pourrait te faire flancher. Mais curieuse, avide de vérité, de cette vie nouvelle que tu t’est construite. Aujourd’hui, ton destin est entre tes mains. Et, ton frère, qui était à présent à Boston, tu aurais pu lui dire la vérité et te confier à lui, mais c’est beaucoup trop dur pour toi. Et, pourtant il pourrait t’aider, car le fil ne tient pas beaucoup et à la drogue tu en encore accro, rien que de croiser ton ex, tu sais que la tentation est a bout de bras. Giu n’aime pas se poser des questions, tu n’aimes pas faire ça. Tu ne sais pas si tu as besoin de lui, tu ne sais pas si tu préfères vivre avec la douleur ou la douceur infinie, c’était trop dur de choisir.

15. (RICORDI DI UN ANGEL) --- • Ton passe temps favori est la danse, le corps qui s'emmêlent, s'entremêlent, se démêlent. s'attirant pour mieux se rejeter. une danse sans fin, laissant le paraître s'équilibrer sur un fil infini. la beauté de l'équation résolue, la magie qui opère peu à peu. les gestes précis, se projetant dans l'air tel un oiseau près à son envol. liberté à l'état pur, brut. rien ne t'arrête, comme si le temps avait décidé de ne plus filer. la jambe élancée, le corps en action. moment tranché d'une symphonie en dysharmonie. • Fasciné par le monde de la cuisine, cette chose que tu aimais faire avec ta grand-mère , chahut infini partagé dans les rires et les effluves de bons présages. loin des cris, des larmes et du brouhaha du monde. Deux personnes contre le reste du monde. Deux âmes qui ne font plus qu’un. Infime moment de bonheur, un symbole éternel. • tu parles différentes langues (russe, français, anglais, italien, japonais) voulant s’enrichir des mots, encore et toujours. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapté, savourant chaque histoire, chaque image d'un pays tant adoré et tant désiré. Une manière de s'évader, de l'ailleurs au lointain, le pays du soleil levant où les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis. • Giu s’est découvert une passion le dessin, c’était une manière de s’évader. Rature au fil des pages, visage confondu avec ceux des démons. paysage artificiel d'un monde superficiel. déchirer, recommencer. peindre le diable en personne, créer ses disciples. souvenirs déchirants d'une mémoire trop douteuse. création d'un paradis. accès interdit à tout être malveillant. seule détentrice de la clé. paradis brouillé, fermé à double tour. • Giu glisse ses doigts sur le piano de la maison familiale, surtout lorsque tu sens ton monde se dresser contre toi. Les doigts glissant sur la froideur de la blancheur, s'immisçant dans une harmonie paisible et calme. caractère apaisé, tourment fracturé, l'évasion parfaite, l'âme en douceur. moment de symbiose, le corps en émoi, le cœur aux abords. la falaise à perte de vue, gouffre en profondeur d'une sérénité recherchée. perdue à l'avance, probablement en route pour être retrouvée. • Durant ton enfance, ayant une grande intelligence tu t’es créé un ami imaginaire : gatto qui veut dire chat dans ta langue maternelle. Un nom italien. • ton plat préféré est les abats qui se résument aux entrailles d'un animal. le foie fait partie d'un de ses mets préférés, tu pourrais en manger éternellement sans jamais n'avoir à remettre en question la force que ça t'apporte. mais pourtant, tu n'oublies jamais d'y rajouter quelques ingrédients phares dont toi seul est au courant. Même si tu adores tellement la bouffe que tu pourrais ne faire que ça. • Ta couleur favorite est le rouge. Le joyaux de l’amour, telles les palpitations d'un cœur en émoi, chapardant l'être chéri. couleur éphémère au tintement morose, sifflement au bords des yeux, larmes perlées le long des joues. Jamais en faillite, l'abandon n'existe pas. étincelle sur le feu, bataillant pour survivre au vent qui souffle. rouge amour. rouge passion. rouge splendide mêlant fusil et bouton d'or. • Tu vis avec un secret, un secret qui t’as poussé à couper les ponts avec tes parents, peut-être à tout jamais. • Tu as une haine dans ton cœur, surtout pour celui que tu appelais papa. • Si dès ton plus jeune âge tu t'es découverte une passion fulgurante pour la musique, laissant ton âme s'exprimer sur les touches d'un piano. Ton père, quant à lui, t'as donné son amour pour la nature et les chevaux. Tu as eu ton premier étalon à l'âge de sept ans. Montant comme une professionnelle, tu as toujours apprécié cette sensation fraîche de liberté. • Tu te passionne pour la photographie, c'est une véritable source de vie. Un moyen de tout oublier. D'être autre chose pendant quelques minutes. • Tu accordes énormément de ton temps à tes cours qui est et restera une échappatoire. • Tu est capable de gérer tous les réseaux sociaux, mais ne l'utilise que pour le côté professionnelle. • Tu adores le sport, c’est une source de vie. • Souffre de l’absence de ton premier amour - tous les jours. Joue les femmes fortes, mais ce n'est qu'une image pour les autres. • N'est tombé qu'une seule fois amoureuse. Un amour qui s'est consumé - déchiré à travers le temps. Un amour qui n’existeras jamais • Te reposer ? Soon Soon Soon. Cela ne fait en aucun doute pas partie de ton vocabulaire. Tu aimerais sillonner le monde, aider les gens, d’autres peuples, rêvant de liberté et d’humanisme dans un univers teinté de cruauté. • Participe à de nombreuses œuvres caritatives, une habitué des soirées mondaines, depuis toujours. Bercer par ce monde, faisant partie de la plus haute sphère. • La lecture et tout ce monde qui rend une femme cultivée. • Tu ne chantes que sous la douche. • adore le cinéma muet. Le silence est bénéfique. La possibilité de comprendre une histoire de a à z sans le moindre son et seulement avec la musique. • Une dingue de café - encore une tasse. Encore une. Encore une. Un cycle infini. Tu peux lui transmettre en intraveineuse c'est pareil. • Les enfants sont très souvent au centre de ses intérêts. Tu affectionne beaucoup d'intérêt à participer à des associations aussi juste soit-elle. • aussi longtemps, que, tu t'en souviennes, tu adores la neige • Malheureusement, quand on te pose une question qui te semble trop embarrassante, tu es plutôt du genre à vouloir détourner la conversation • Tu es également jalouse. aussi bien en amitié qu'en amour • Tu n’aimes pas parler de ton passé. donc, par conséquent, peu de personnes sait ce que tu cache. • Tu es du genre compréhensive et tente toujours de te mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue • Quand tu te sens contrarié, tu te mets à griffonner, dans un calepin, que tu garde toujours, précieusement, dans ton sac • Possède un chien bouledogue qui fait ton bonheur. • Tu n’es pas indécise, mais tu as toujours peur de faire le mauvais choix. • possède quelques bijoux important - comme la bague de fiançailles que tu a toujours gardé • Adore écouter la musique qui déménage les tympans • Possède une brûlure infime sur le mollet gauche. Tu l'as présenté comme une blessure de guerre. • La moto. Une de tes passions les plus étranges, mais sûrement la plus importante dans ta vie. Tu as presque pleuré en voyant la grosse cylindrée qui n'était pas devant ton sapin de Noël. Tu adores monter une moto. Ce n’est que lorsque tu enfourches une moto que tu te sens réellement complète. La vibration qui passe le long de tes cuisses. L’adrénaline qui coule dans tes veines. C’est tellement loin de ton côté petite fille parfaite, de ton côté princesse des beaux quartiers. Ce contraste te plaît parce qu’il surprend ceux qui ne te connaissent pas assez, et même ceux qui te connaissent bien. Mais tu n’es pas qu’une petite princesse Giu, tu es bien plus que cela et tu le sais. • Dès que tu ouvres la bouche, la beauté à l'état pur. La beauté des dialogues et ton caractère qui tranche dans ce beau monde, qui fait parfois tâche, qui ruine un peu la jolie poupée que tu pourrais être. Ou pas. • Tu as tellement de projets en tête, comme créer sa propre entreprise de stylisme et créer une marque bien a toi, tu aimerais aussi jouir dans le monde des arts et prouver au monde tes capacités diverses. • Tu adores la danse classique, les ballets. • Les seuls souvenirs agréables que tu as de ton paternel, c’est que les matins, il te servait ton bol de céréales et l’accompagnait quelques fois au parc. • Tu adores te balader sous la pluie, ou t’endormir avec ce bruit, ça te berce. • Courir le matin, quand on peut toucher du bout des doigts ce moment où le monde se réveille, ou les rues commencent à s’animer pour vivre à cent à l'heure.

& irl, ça donne quoi ?

pseudo Principessa
âge 21 ans
nationalité belge/espagnole
forum connu par... Pub Rpg
ILH, j'en pense quoi ? C'est beau, c'est magnifique GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2109348208

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2109348208

autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé Carolina Sanchez
crédits images @tumblr
nombre de mots par rp entre 400 a 700 mots, parfois plus court.
type personnage scénario/pré-lien par @Ottis Heimann

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - explicatif pour remplir correctement : étudie l'histoire de l'art et la danse ;; DEPARTMENT OF ART, LITTERATURE AND HISTORY ;; septième année ;; 2021-2022

Code:: @"Guiseppa Heimann" » (Histoire de l'art et de la danse)

summer camp ?
participe au summer camp : [] oui [x] non
veut être dans une équipe : [] oui [x] non

code bottin

Code:: CAROLINA SANCHEZ @"Guiseppa Heimann"

i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard

(Invité)

23/11/2019

la belle sœur hanwii

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 208576344

bienvenue par ici et bon courage pour la rédaction de ta fiche :heaart:

(Katalia Borgia)

20/01/2021

Excellent choix. hanwii

Et bienvenue sur le forum. :heaart:

(Eben Wolford)

the sweet kingcut like a jewel,
I repair myself

Katalia Borgia a écrit:la belle sœur bienvenue par ici et bon courage pour la rédaction de ta fiche

MAIS MA BELLE SOEUR tu es si belle GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2109348208

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2511619667

je viendrais te parler apres pour parler de notre lien GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2511619667

(Invité)

10/08/2012

JE VOULAIS ETRE PREUMS OUIN

(Ottis Heimann)

✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ UqVihWUg_o

Ottis Heimann a écrit:JE VOULAIS ETRE PREUMS OUIN

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 2442039969

tu es le premier dans mon coeur :heaart:

(Invité)

bienvenue à la maison GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 1562094367

(Invité)

24/02/2020

t'es canon GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 4205929361

bienvenue

GIUSEPPA HEIMANN ►CAROLINA SANCHEZ 3850463188

(Andréa Davenport)

you're you need help, you're disrespectful as fuck. you have issues, you don't have any fucking manners. don't tell me you love me. I feel like. I got nobody to trust. I fell in love with the money, it give me a rush.

Bienvenue parmi nous :heaart:

(Invité)

bienvenue

(Invité)

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