ta peau contre ma peau (aksel)

Je surfer sur Meetsa, regardant certains profiles quand j'ai vu son visage dans le coin des suggestions. Je n'y ai pas cru, alors j'ai cliqué sur le lien et au final si, c'était bien elle. La belle Flora, le premier amour de ma vie, même si il a été court. On s'est aimé, mais d'après mes parents, elle n'était pas des nôtres. Eux, ils veulent une femme de mon rang. Une tête couronnée ou si cela n'est pas faisable, une femme qui porte un nom des plus nobles, des plus connus. Ils ont décidé de me séparer de la belle brune et depuis, je ne l'ai plus jamais revu, ni eu de ses nouvelles. Je n'ai donc pas hésité bien longtemps avant de lui envoyé une invitation à parler, elle m'a manqué. Des souvenirs ont refait surface, de beaux moments qu'on a passé ensemble viennent comme des flash dans ma mémoire. On se reparle comme autre fois, comme si il n'y avait pas eu toutes ces années. On retrouve se petit jeu entre nous, je finis par accepter de venir en étant accompagné. On s'est mal comprit pour le coup, mais je suis ravis d'amener Paige avec moi. Une jeune femme que j'apprécie beaucoup et avec qui le feeling passe plus que très bien. Aujourd'hui, c'est tout de même Flora que je veux voir, alors que je pose enfin le pied au Summer Camp. J'ai besoin de la retrouver à nouveau, de la prendre dans mes bras. A la porte de sa cabine, je toque quelques petits coups pour lui faire part de ma présence. "Je te retourne le compliment", dis-je alors qu'elle m'ouvre la porte. Elle est toujours aussi belle, encore plus même. Elle ne porte qu'une serviette, elle a décidé de jouer je pense. Elle a à présent un corps de femme, des formes plus présentes qu'autre fois. "En même temps, ça fait tellement longtemps", je ris en entrant, posant mes fesses sur son lit. "Tu es canon", je la complimente en hochant la tête. Je la laisse me toucher, alors que mes yeux observent son visage. Ses yeux, son nez, cette bouche pulpeuse que j'aimais temps. Mes mains derrière chacune de ses cuisses, je lui souris tendrement, avant de l'attirer entre mes jambes. "Tu m'as manqué", dis-je dans un murmure, alors que je dépose un baiser dans le creux de sa main qui caresse ma joue.