taste like heaven, burns like hell — jewell

Quelques jours que tu étais présent à Boston, des semaines et des semaines à négocier avec ton père, à lui expliquer tes projets. Tant que tu lui rapportais de l’argent ça lui allait et toi ça te permettait par la même occasion de pouvoir continuer tes combats, du moment qu’il avait la main dessus et que tu restais plus ou moins entier, il n’allait pas se plaindre. Pensant pouvoir profiter de la fin du mois pour t’amuser un peu, t’a été surpris de savoir que le peu de connaissance que tu avais ici était partit faire une sorte de croisière tu ne sais où. Alors quand la notification d’une nouvelle invitation à bipé sur ton téléphone t’a sauté dessus. Heure de rendez-vous fixé, t’a été rassuré lorsque dans la voiture la bonne entente qu’il y’avais eu par messages était aussi présente en réalité, t’a toujours détesté quand la personne se recroquevillait dans sa coquille en face à face.  

Tu te gares sur le parking de l’hôtel, laisse Charlie l’admirer, le sourire aux coins des lèvres “Crois moi que tu n’as encore rien vu !” sac sur l’épaule tu lui fais un signe de tête pour qu’il t’accompagne à l’intérieur. Découvrant alors l’entrée tout aussi impressionnante, tu te tournes vers Charlie “on ne va pas monter, mais plutôt descendre.” dis-tu avec un clin d’oeil, te dirigeant vers l’accueil demandant la clé. Vous suivez alors l’employé jusqu’à l’ascenseur qui vous conduit au sous-sol. Vous retrouvant alors devant le couloir d’eau qui mène jusqu’à la chambre, regard vers Chalie “J’ai choisis la suite Underwater, autrement dit comment te déshabiller sans même avoir à te toucher” Tu retires ton t shirt, dévoilant alors de léger bleu de tes précédents combats “J’espère que ça te va en vrai, j’avoue que cette suite me faisait grave de l’oeil...” demande tu, soudain inquiet que celle-ci ne lui plaise pas.

Tu lui en avais mis plein la vue, c’était un peu le but recherché, épater, rendre cette soirée inédite juste parce que t’en avais envie et que ça faisait un petit moment ne que t’avais pas passé une vraie bonne soirée, mais toi aussi t’étais ébahis par cette suite, tu faisais un tour sur toi-même regardant tout autour de moi “Putain j’avoue c’est hallucinant, j’avais vu les photos, mais en vrai c’est encore plus wouah ! Pas sûr qu’on puisse faire mieux la prochaine fois !” dis-tu avec un sourire aux lèvres, tu penses qu’au niveau de la suite les autres n’auront clairement pas le même niveau. Tu retires déjà ton t shirt, sans doute pour déjà passer aux choses sérieuses. Pas vraiment gêné par ton corps, surtout par les bleus plus ou moins récent des derniers combats que t’a pu faire à Mexico, par quelques cicatrices plus ancienne, dû à l’armée ou à une leçon de Papa K. Tu hausses les épaules, regarde sa main qui s’approche de toi, effleure ton derme, chair de poule qui se réveil intensément, sourire sur les lèvres tu lèves le regarde vers ton compagnon de ce soir “Si on est amené à se revoir, tu risques d’en voir des beaucoup plus récente, parfois beaucoup plus impressionnantes, mais tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. Et puis tu ne trouves pas que ça m’amène un certain charme ?” en rire pour le détendre, tu ne pouvais décemment pas lui parler des combats illégaux auquel tu participais, tu ne le connaissais pas tant que ça, peut-être plus tard si tu parvenais à lui faire confiance "En vrai est ce que ça te dérange ?"

T’adore les personnes qui sont sûre d’elle, qui n’ont pas froid aux yeux, celle qui prennent les devants, ça te change et Charlie semble parfaitement correspondre à ce t’avais envie, loin d’être gêné de quoi ce soit, il faisait les premiers pas, t’avais juste à suivre la cadence. Comme lorsqu’il s’approche de toi dangereusement, avec ce regard qui en dit long. Sourire sur tes lippes “Tu crois ? Tu peux m’avoir tapé dans l’œil, mais si tes prouesses sexuelles ne sont pas à la hauteur de mes espérances, je vais faire le mort je te préviens” taquinerie qui change de camp et ses doigts qui parcours doucement ta peau. Le sourire en coin, le petit rire qui t’échappe lorsqu’il parle de bad boy. Le corps encore plus près du tient “Tu présume bien” le souffle dans ton cou, la question qui tombe et le sourire qui se fais plus grand “Tu n’as pas idée d’à quel point je suis mauvais” chuchote tu alors et tu n’as pas le temps de faire ou dire quoi que ce soit de plus que déjà ses lèvres se retrouvent dans ton cou, ta tête bascule naturellement sur le côté lui donnant pleins accès, ta main vient se poser sur sa hanche, glisse sur ses reins pour venir le coller à toi “J’ai bien l’impression que tu vas me rendre complétement fou …"