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darcy pritchard
feat. charles leclerc
like some kind of
i think that
she like to see
the
in my
naissance
nom(s) & prénom(s)
nationalité(s)
origine(s)
orientation sexuelle
statut amoureux
études
bourse
statut social
job étudiant
maison
six mars deux-mille trois tapante deux heures vingt-six (( approximatif )) et la vie se résume en trois temps (( sainte trinité )). tempo un : mère hurle à la mort / tempo deux : père sue à mourir / tempo trois : mère donne bien la vie. le médecin coupe le cordon — clac — mais nul n'est affranchi. "t'attendrais quoi ? des millénaires pour t'sentir libre ?" nan, pas mille ans, juste un siècle. l'temps d'revivre.
nom(s) & prénom(s)
victor iv also known as victor james mayer rhodes pritchard maisdarcy (moins pompeux et plus clinquant) passait mieux dans les roulements. 'parait qu'il n'y a rien de plus impudiquement aristo que de porter un surnom ridicule.
nationalité(s)
australian check sur la croisette.
origine(s)
monégasques .
orientation sexuelle
hétérosexuel .
statut amoureux
"i guess you fell into the wrong hands" — l'myocarde fait des erreurs qu'il ne peut se permettre. "it hurt too bad to say you left me". mais il est sot, le gosse, à courir vers l'impossible. dupe éphèbe sans talent, à fuir pour la r'conquérir.
études
bachelor , première année.ambitionsdestinées de l'héritier, sans doute élève en finance, embarqué contre son gré dans une faculté ignorée. et pour le futur ? ew, non, mieux vaut pas y penser. car darcy se rêve // marin sur la mer, eden en plein londres, pilleur des cieux et vagabond des étoiles. mais travailler ?plutôt crever.
bourse
well, no.
statut social
emperor's new clothes. tu peux compter, tu crèveras avant d'avoir terminé.
job étudiant
fuck capitalism. se salir les mains dans quel intérêt ? le sien ?
maison
admission à harvard
harvard. tradition de la gent pritchard, une pression supplémentaire sur les épaules de l'annobli.harvard n'est qu'un nom, qu'un titre, qu'une ligne supplémentaire sur un profil bien rempli. maisharvard brille. et plus que jamais, darcy sait. il sait que l'image seule compte et il sait aussi qu'harvard est une arme de plus pour corriger les défauts de l'apparence. et quelle apparence — celle d'un garçon chétif, faible, soucieux et inconfiant, celle d'une opprobre au pudique blason pritchard — dynastie des dynasties, fierté de melbourne même.
dossier d'admission
mensonges et népotismes truculents. les lettres s'interposent, s'empilent, et cachent, croulants par leurs nombres, l'insolence à peine cachée de l'insouciant fils argenté. les cordes se grattent, les opportunistes aussi. "darcy est d'un professionnalisme déconcertant, loin du modèle classique du quidam incompétent. il brille partout, tout le temps, et surtout dans l'excellence , etc, etc". dithyrambiste forcé, le faux panégyrique qui flatte sans même ciller. ces grands noms qui le vantent, c'est à peine s'il les avait déjà rencontré. qu'importe. au bord de la falaise quand une main se tend, on crève digne ou on vit grave.
RÉSULTATS AUX SATS
1455 aux résultats généraux. à cinq points de la réussite.fuck them. il n'a pas besoin de trois stupides tests pour prouver sa valeur, et encore moins de la mentionharvard sur le papier pour redorer sa fierté.
STUDENT'S ESSAY
postiché devant la feuille, il a longtemps hésité, claquant le bout des doigts contre la table en rythme face au vide de son inspi'. garçon a beaucoup douté, mais le stylo en main, il a gratté. et vite. le mésoblaste a battu, ce jour là — fuyant les lignes, fuyant le blanc, l'encre a coulé pour dessiner dans les méandres de ses pensées les contours d'une pensée bien encrée, celle d'unrêve , celui defuir . il n'a pas tremblé, se prêtant au jeu de l'essai, façon christopher mccandless, usant de sa plume pour discerner ses préoccupations les plus actuelles, entre écologie et climat, le tout liant ses aspirations à son cursus en finance, "temple de la destruction", qu'il aime nommer. non, ce jour là, darcy n'a pas tremblé.
entretien
sourire aux lèvres, le visage détendu, la coiffe recadrée et les chaussures bien cirées. costumé de tweed, la langue bien pendue, acquiesçant et riant, charmeur charmant, dans sa plus vive éloquence et sa grande distinction, darcy n'entache nul autre que la feuille qui prescrit sonadmission .
psychologie
it doesn’t interest me what you do for a living. i want to know what you ache for and if you dare to dream of meeting your heart’s longing. it doesn’t interest me how old you are. i want to know if you will risk looking like a fool for love, for your dream, for the adventure of being alive.oriah mountain dreamer ,the invitation
enfp-a
vif — perspicace — nonchalant — virtuose — rêveur — captivant — inspiré — naïf — tranquille — possessif — fier — amical — altruiste — soucieux — préoccupé — inventif — empathique — émotif — enthousiaste — agité — décousu — optimiste — curieux — accommodant — extraverti —libre .
biographie
et soudain le vide
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enfant prodige, d'abord pianiste invétéré, les phalanges liées aux touches dorées. Mozart's trip, et les airs lui viennent, gracieuses, comme la plus longue des mélodies, alors que son père — le mélomane, le prophète, le Seul vrai génie — sur ses épaules frêles apposent d'une verve, le diktat d'une vie cloîtrée et solitaire aux pays des millionnaires. mère n'était pas là, elle. "morte un lundi. qu'importe. ta vie n'sera que plus belle."et la lumière fut.
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.— t'as jamais eu peur de mourir ? — pourquoi ? — j'sais pas... elle est où ta mère ? — partie. — partie où ? — loin. c'est c'qu'on dit. — et t'es heureux dans cette vie ? — pourquoi j'le serais pas ? — j'sais pas... c'est un peu pourri d'rester toujours chez toi. pourquoi tu viens jamais chez moi ? — 'peux pas. — pourquoi ? — 'crois qu'mon père t'aime pas. — eh, mais c'est vraiment ça qui va t'en empêcher ? allez, lève-toi. demain on part, et j't'emmène voir l'vrai monde.
il s'appelait arthur et avait deux ans d'plus que lui. ça aurait pu être son frère, mais il lui manquait trop d'cash pour pouvoir prétendre au titre. il lui a montré la vérité c'jour là. et à en croire comment darcy est devenu, faut croire que ça lui a plutôt plu.
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le monde était beau, c'est vrai. il était à eux, surtout. voguant sur les pistes, skates en mains, la planche sous les pieds, vieilles vans trouées, et l'regard qui s'perd sur le fil de la route qui file, part, loin, loin, loin. darcy n'a jamais cru aux héros, mais il avait trouvé l'sien. il a crié c'jour là. un peu trop fort. à s'en vider l'cœur, à s'en brûler les poumons. et il est parti. vite. à vivre vite. trop vite. mais il l'regrette pas. il ne l'a jamais regretté.
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"t'es parti où cette nuit ?"
"tu traînes encore avec ce type, ce sale rat ?"
"combien d'fois faudra qu'on t'dise que ces gens là sont pas comme toi ?"
"t'es pas comme eux darcy."
"pas comme eux putain."
"tu vaux mieux que ça."
"mieux que ça."
"ressaisis-toi putain."
"putain."
"putain."
—
"putain, tu fais pitié."
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"j'ai toujours été dégoûté des gens qui m'entouraient. ils sentaient p'tet la clope et le whisky haut d'gamme mais au fond, ils valaient pas mieux qu'les saoulards du coin qui s'baignaient dans leur pisse en hurlant à cinq heures du mat'. ils sont pareils au fond, ils s'retiennent juste d'vant tout l'monde. faudrait pas que ça fasse scandale. y'a d'jà deux trois clochards qui ont pété les plombs à la maison. pas parc'qu'ils s'engueulaient, juste parce que j'faisais tâche. j't'ais même pas mauvais en plus, c'juste que j'l'ouvrais trop. on m'la toujours dit de toute façon : "putain darcy ferme-la, pitié, clos ta bouche, jette-toi d'un pont, va crever mais par pitié ferme ta gueule". arthur s'est moqué d'moi. gentiment, bien sûr. mais il m'a dit d'me contrôler. il m'a fixé un objectif, une tape sur l'épaule et un sourire. tranquille. "étudie à l'étranger. sois chill, reste calme, et si tu t'en sors bien, tu partiras.""
(( alors il partirait. ))
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.elle n'avait jamais été cette fille que l'on remarquait dans l'immédiat. pas même celle qui se mettait en scène, qui cherchait à se faire voir. sans doute avait-elle voulu d'un regard, d'un murmure, d'un soupir de tendresse pour s'en apercevoir, mais loin, très loin, au détour d'un couloir, elle n'avait jamais cessé de l'avoir. il était à elle, si seulement elle lui faisait croire.sasha et ses boucles blondes,sasha et ses yeux bleus, elle et lui,sasha et darcy. "mais c'est qui cette sasha ?" il le fixe, incrédule, alors qu'il balbutie. "rien rien. c'est rien. c'est personne." non, en fait, c'étaittout . mais encore faut-il qu'il réussisse à parler.
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"je t'aime"
"..."
mais ça ne faisait rien. la blessure cicatriserait. tant qu'elle était là, il pourrait le supporter.
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.— t'as déjà vu into the wild ? — into the quoi ? — tu connais pas ? attends, j't'emmène le voir. j'suis sûr que ça pourrait t'plaire.
arthur n'était pas sot. même qu'il était loin de l'être. assis sur son fauteuil rouge, il s'était laissé faire.it is the experiences, the memories, the great triumphant joy of living to the fullest extent in which real meaning is found.et il a su, ce soir là, aussi.
il a su qu'un jour, il partirait.au pays où tous ses rêves s'exauceraient.
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et il courait.
couraitcouraitcouraitcouraitcouraitcourait
comme un dératé, un fou, un malade, un aliéné.
son visage apparut dans la brume comme l'oasis au sein des dunes.
arthur.
et il a couru.
courucourucourucourucourucouru
loin, très loin, plus loin — jusqu'à lui.
et il l'a vu.
tard, le soir, dans la nuit.
le visage de l'ami en pleine agonie.
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"je sais qu'il comptait pour toi."
silence sur les ondes. il n'a pas raccroché.
"je sais qu'on n'a jamais été très proche..."
il a un peu soufflé.
"mais je suis là pour toi, okay ?"
il le serait, le temps que l'on l'embaume, enroulé dans du linceuil. puis tout rentrerait dans l'ordre, à la normale.
le problème du deuil, c'est qu'on ne se soucie d'nous que lorsque tout va mal. il s'est longtemps esseulé, darcy, à rester près du bord. sans rien, sans personne, seulementlui et ses regrets.tu partiras, toi aussi.
alors il le suivrait.
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.FLASH FLASH FLASH
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"l'avenir, c'est vous."il était l'avenir, selon eux. sourire éclatant, l'air docile, moins outrecuidant, plus facile à vivre. mais il n'en était pas moins perdu.
et puis il y a eu la brochure. gravée sur du papier, la façade de l'université, et les lettres qui surplombent, avec fierté, le blason de l'athénée.V E R I T A S . père était l'homme le plus persuasif du monde, pour lui. "tu iras. tu étudieras. tu prendras la tête de notre art, et tu feras l'honneur des pritchard." ça ne l'intéressait pas. mais il claquait toujours son doigt, phalange contre l'insigne, l'air sévère, comme pour lui faire un signe. "arthur a toujours voulu que tu partes, tu sais." il n'avait jamais aimé arthur, mais c'était lui qui en avait parlé. sans doute plus par naïveté que par valeurs, pour allouer le disparu. "tu iras." il irait. "et tu aimeras." sans doute pas. il rechigne un peu. "ce n'est pas ça, mon truc." "c'est quoi ton truc alors ? à part chialer sur la tombe de ton pote ? t'es qu'une pédale, darcy. tu sais rien faire d'ta vie et alors que j'te donne l'opportunité d'lui donner du sens, tu ravales ta haine pour te cacher derrière ton deuil. tu me dégoûtes."il le dégoûtait.
mais il aurait dû se battre, le garçon. prouver qu'son père avait tord, qu'il avait ses raisons.ils ont pleuré un peu mais ils ont fini par s'y habituer. l'homme s'habitue à tout, le lâche.
mais il n'avait rien fait. à bout de bras, désespéré, il s'était laissé aller, comme il s'était toujours laissé faire.
il irait à harvard.
etunjour // ilpartira.
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.FLASH FLASH FLASH
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comment pouvait-elle être aveclui ?
qu'est-ce qu'il avait moins quelui ?
était-il pitoyable à cepoint ?
était-il détestable à cepoint ?
—
des fois, j'te jure, j'te comprends pas.
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.FLASH FLASH FLASH
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elle s'appelaitjean
ses longues jambes malmenaient
ses hanches dans sa volupté
son sourire sur ses lèvres
complètement figées
elle s'appelaitjean
et il voulait oublier
celle qui l'avait tiraillé
en se perdant dans les yeux
de celle qu'ilaimait
elle était son opium
celle qui l'effaçait
il serait son hématome
celui qui lablesserait
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.FLASH FLASH FLASH
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ils étaient seuls quand ils contemplaient le ciel, et qu'elle lui répondait enfin.— je t'aime aussi.
des années plus tard, réduites à néant par des secondes d'hésitation. de silences muets. annihilés par l'instant présent, un seul, celui qui s'écoulait entre eux.
et le cœur battant. qui vrille, frappe, en cadence, dans sa cage, bouleversé, choqué,brisé .
pourquoi tu me fais ça ?
pourquoi tu me dis ça ?
qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça, sasha ?
non, elle n'avait pas le droit. pas le droit de jouer avec lui, pas le droit d'abuser de lui, comme un vulgaire jouet, une poupée, une marionnette. elle ne pouvait pas. c'était injuste. injuste pour lui, injuste pourjean .
mais il n'a pas pensé à elle. seulement à lui. à ses désirs, à sa frustration. à sa colère, aussi. ire blafarde et sourde, pâlie par le regret et les tourmentes de l'amour.
les remords n'ont sonné qu'après. et la nuit ne lui a rien fait. vidé, insatisfait, il s'était détourné, honteux et sali, impropre sur lui-même.
et il est parti. comme il l'avait toujours fait.
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.FLASH FLASH FLASH
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j'suis désolé jean
j'te jure que je voulais pas
c'est arrivé comme ça
sans prévenir
j'voulais pas te blesser
j'ai jamais voulu l'faire
j'suis désolé
c'est d'ma faute
ça a toujours été d'la mienne
j'suis désolé
si tu savais à quel point
j'suis désolé
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.FLASH FLASH FLASH
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.et un jour
tu réaliseras
tes rêves les plus fous
il s'est envolé
de l'autre côté de la mer
—
à quelques semaines de la rentrée, darcy a embarqué. ses mains sur la lanière, il regarde, les yeux plissés, la liste et son horaire.
plus que jamais, il avait besoin de partir. pour lui, d'abord, mais pour arthur, aussi. il avait besoin de fuir. il en avait toujours eu envie. loin de l'australie et de sa monotonie.
mais les problèmes ne sont jamais loin. ailleurs, le Pater veille, soucieux. il sait quelles pressions s'abatteront si il se défile de sa mission. mais darcy ne s'en fait pas. il ne s'en fait plus, désormais. plus rien ne peut l'atteindre, aujourd'hui.car cette nuit
enfinil est parti .
& irl, ça donne quoi ?
pseudo stavroguine
âge carpe diem
nationalité française
forum connu par... un-e ami-e
ILH, j'en pense quoi ? c'nice
avatar utilisé charles leclerc
crédits images all souls
nombre de mots par rp variable
type personnage inspiré par l'ekip
code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude - explicatif pour remplir correctement dans ce sujet : finance et économie ;; HARVARD BUSINESS SCHOOL ;; première année
- Code:
@"darcy pritchard" » <i>(finance et économie)</i>
summer camp ?
participe au summer camp : [x] oui [] non
veut être dans une équipe : [x] oui [] non
code bottin
- Code:
<span class="pris">CHARLES LECLERC</span> <span class="inv"></span> @"darcy pritchard"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)