wrong place — morgan

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe te plaindre de ta vie serait véritablement ingrat. tu avais réussis en perçant sur les réseaux sociaux grâce à ta détermination et à ta persévérance, sans oublier ta famille qui t'avait apporté tout ce dont tu avais besoin. ce n'était pas un problème de cœur qui allait ruiner ta vie, loin de là. t'avais juste besoin de l'oublier, de l'écarter de tes pensées afin de passer à autre chose. — ah t'es adopté ? ça ne doit pas être facile, grimaças-tu légèrement en posant la bouteille d'eau sur la table. voilà l'exemple parfait. ce morgan devait avoir une vie plus compliquée que la vie, ce qui te donnait encore moins envie de te plaindre auprès de lui. flemme d'être pathétique. tu pouffas de rire lorsque le jeune homme se prit la tête sur le coin d'un meuble. — pardon, c'est nerveux. rien de grave ? gloussas-tu en posant une main sur ta bouche, comme si cela allait t'empêcher de rire. tu descendis de la table, récupérant ton sac à main afin d'ouvrir la porte de la cabine de morgan. — je ne sais même pas si je suis au bon étage. tu sortis ton téléphone, cherchant un message où ton numéro de cabine était noté. — ah voilà. j'suis au quatrième étage, donc faut monter, déclaras-tu en prenant la direction des escaliers.

(Invité)

Pour être franc, je préfère ma famille qui m'a donné l'amour, l'éducation, les valeurs, le partage. Tu sais j'ai choisis de travailler tôt pour remboursé mes parents, mes frères et soeurs, car je veux m'en sortir seul. Si j'en suis là aujourd'hui c'est grâce à eux. Et pour être honnête j'ai connu deux problèmes de coeur. Quand une femme choisie un homme de classe sociale aisé alors que tu es de classe moyenne, ça fait mal. Et pour le second j'ai flashé sur son frère, mais depuis je suis seul. Mais je n'y pense pas.

Tu lâches un rire en repensant à la tête de la dernière femme et comment c'est déroulé l'annonce envers la fameuse Annabella. Puis tu regardes la jeune demoiselle qui rit quand tu viens à te cogner. Tu ne peux pas lui en vouloir, parce que tu trouves son rire magnifique et que c'est drôle également la situation de s'être cogné.

Ne t'excuses pas, je suis grand, donc je me cogne souvent. Et rien de grave. Je n'ai pas de sang regarde tout va bien.

Tu montres ta main non tâcher de sang, puis tu regardes faire la jeune demoiselle. Puis tu prends la clé magnétique et tu suis la jeune demoiselle, puis tu espères qu'elle puisse trouver sa cabine. Tu arrives vers la porte des escaliers et tu l'ouvres puis tu tiens la porte pour qu'elle puisse monter et tu fermes la marche derrière.

Tu l'as regarde, puis tu vois qu'elle glisse et rapidement tu l'as rattrape pour éviter quelle tombe. Et la porte s'ouvre s'en faire exprès et te pousse avec la jeune demoiselle contre le mur, tu es assez proche pour voir ses yeux, mais tu tiens tes mains contre le mur. Sans faire exprès tu sors.

Tu as des yeux magnifiques. Oh pardon je ne sais pas ce qui m'as pris.

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe pas simple d'avoir été adopté. raison de plus pour fermer ta bouche et ne pas te plaindre. tes parents avaient été stricts avec toi, certes, mais ils avaient eu toutes les ressources nécessaires pour t'accompagner et t'encourager dans tes projets, les plus petits comme les plus fous. — t'as une bonne mentalité, c'est bien, répondis-tu simplement en acquiesçant ses propos d'un signe de la tête. — ah ouais, pas cool. mais bon, mieux vaut être seul que mal accompagné ? si ces personnes ont agis comme ça, c'est qu'ils ne te méritaient pas. amen, déclaras-tu en bondissant de la table afin de te remettre sur pieds, récupérant tes affaires afin de retrouver ta cabine. hors de question de dormir ici, tu préférais être dans ton con, dans ton chez toi. tu y serais plus à l'aise. prenant la direction du quatrième étage, morgan t'ouvrit la porte menant à l'escalier. semblerait-il qu'elle se soit refermé sur lui, le poussant contre toi. tu te retrouvas contre le mur, ton visage à quelques centimètres du sien. la gêne te monta aux joues, rougissant. — merci, souris-tu, pour finalement te décaler. — allez, plus que quelques escaliers à grimper et j'serai chez moi. tu n'es pas obligé de m'accompagner, t'as déjà bien assez fais, insistas-tu en commençant à grimper les escaliers.

(Invité)

Oui une bonne mentalité il faut bien étant deuxième de la famille avec sept enfants derrières dont un mélange de frères et soeur. Et maintenant je suis le numéro un, car l'aîné est parti pour ses études. Il m'a confié le rôle de l'aîné. Alors, si mes frères et soeurs ont un soucis, je dois gérer comme je peux. Mais le plaisir de se réunir à New-York est toujours un plaisir, surtout pour les deux derniers heureux de nous voir.

Tu souris également, puis tu serres le poings pour éviter de lâcher une larme, car le sujet du départ de ton frère aîné est sensible encore. Tu écoutes la jeune demoiselle parlée sur l'amour, tu en viens à rire.

On ressent que tu as vécu une chose dont la personne mérite la sentence voir une peine à ta façon. Pour ma part, je n'y repense pas, car je sais ce que je vaux et être entouré des gens que j'aime et plus important.

Après être sortis de la cabine, tu marches en sa compagnie pour la ramener à sa cabine. Prenant la direction des escaliers, la porte qui se referme, stupidement sur toi, te pousse vers elle, tu as le temps de poser tes mains contre le mur pour éviter une collision. Tu ne dis rien, mais tu as reçu la porte blindée type coupe feu dans le dos et tu commences à sentir la douleur.

Je sais bien, mais on ne sait pas ce que l'on peut rencontrer sur le chemin. Et je veux m'assurer que tu rentres en sécurité et que la clé fonctionne bien. Ou que tu ne fasses pas d'accident.

Sur le chemin tu croises un homme visiblement en piteux état avec l'alcool, tu viens à te mettre côté du gars pour qu'il ne fasse rien. Mais ce dernier te retiens par ton haut puis tu le regardes. Tu essayes de le retirer et il réussit. Une odeur plane maintenant dans l'air.

Je crois que...Je vais retourner à ma cabine pour nettoyer ce bazar, désolé.

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe tu n'avais qu'une seule et unique envie : retourner dans ta cabine. cette soirée était interminable et tu avais plus que besoin de prendre une douche afin de te glisser toute propre dans tes draps. le plus rapidement tu t'endormirais et le plus tu oublierais cette soirée catastrophique. après un moment gênant accompagné d'un compliment de morgan, tu te faufilas afin de grimper les escaliers, lui rappelant qu'il n'était pas obligé de t'accompagner jusqu'au bout. il en avait déjà fait assez et tu ne voulais pas profiter de sa bonté. — t'es adorable, vraiment, souris-tu, ravie d'être tombée sur quelqu'un d'aussi bienveillant. t'allais tout de même être contente de te retrouver seule dans ta chambre. la solitude, voilà ce qui soignerait tes blessures de cœur. t'avais besoin de te retrouver en tête à tête avec toi-même. arrivant dans le couloir du quatrième étage, tu ne compris pas vraiment ce qui venait de se passer avec un homme qui semblait être amoché par l'alcool, encore pire que toi. arrivant devant la porte de ta chambre, tu passas le pass électronique et dieu merci, la porte s'ouvrit. — merci pour tout morgan, j'ai eu de la chance de tomber sur toi, déclaras-tu, sentant la fatigue t'envahir. — rentre bien et encore désolée du dérangement. ultime sourire, un bref signe de la main et tu t'enfermas dans ta chambre, prête à passer une longue nuit afin de reprendre du poil de la bête.

fin du rp.

(Invité)

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