wrong place — morgan

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe marchant dans l'interminable couloir du bateau, tu sortis ton téléphone de ton sac à main après avoir passé vingt secondes à le chercher. tu regardas l'heure. 5 heures et 26 minutes. mon dieu, tu n'avais pas vu la soirée passer. poussant un profond soupir, tu repris ton chemin à la recherche de ta chambre. voilà plusieurs semaines que le summer camp avait commencé et tu ne te rappelais toujours pas la position exacte de ta cabine. du moins, sobre tu t'en serais rappelée mais actuellement, l'alcool coulait tellement à flots dans ton corps tout entier que tu ne te rappelais même plus du numéro de celle-ci. tu zigzaguais dans le couloir plongé dans la pénombre. tu réalisais tout juste que tu n'avais pas allumé la lumière. tant pis. tu t'arrêtas devant une porte. c'était elle. tu peinas à trouver ton pass dans ton sac à main mais tu finis enfin par le trouver. tu le passas devant le scanneur mais une lumière rouge s'alluma, annonçant donc une erreur. fronçant les sourcils, tu tentas une nouvelle fois, en vain. pourtant c'était ta cabine, tu en étais sûre. tu baissas la poignée et la porte s'ouvrit. — enfin, grommelas-tu en pénétrant dans la chambre d'un profond soupir. tu n'avais nullement réalisé que tu venais d'entrer dans une cabine qui n'était pas la tienne et qui, pour le coup, était occupée.

(Invité)

Tu as réussi à trouver une cabine, tu as profité plus tôt pour prendre l'air et respiré et admirer le paysage. Un peu de repos sur cette croisière après le boulot te fait du bien. D'ailleurs avec toi tu as embarqué ta guitare, ta première on ne sait jamais si un petit concert pourrait être possible.

Également tu évites le bar, pas parce que tu as un souci avec l'alcool non loin de là, mais tu es barman à Boston alors tu veux éviter l'alcool et autres boissons. Tu as préféré le thé de ta gourde magique comme dise tes collègues. Après avoir profité de l'air sur le pont, retour vers les cabines. Tu regardes le numéro et tu vois ta cabine tu prends ton pass et tu actionnes pour rentrer dans ta cabine.

Tu poses tes affaires et tu te changes, puis tu te mets à lire un moment puis tu flânes sur ton ordinateur et tu sens la fatigue arrive et tu viens à t'allonger dans le lit assez grand heureusement pour toi. Dans le sommeil profond tu n'entends pas que quelqu'un essaye de rentrer dans ta cabine. Mais lorsque tu entends un soupir et que tu sens une odeur, tu te réveilles rapidement.

Visualisant dans le noir, tu viens doucement allumé la petite lampe, pour découvrir une jeune femme qui est ivre. Tu viens à soupirer à ton tour, puis tu te caches pour ne pas lui faire peur. Tu espères qu'elle ira se coucher et tu verras ce que tu feras.

En même temps tu cherches à te retenir de ne pas vomir à cause de l'odeur qui émane d'elle, l'odeur que tu as du mal à supporter quand une personne a trop but. C'est pour cela que vous faites votre possible pour que les clients ne partes pas ivre et qu'ils ne vomissent pas hors du bar ou qu'il entame une bagarre sous l'effet de l'alcool.

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe la porte n'était pas verrouillée. t'étais chanceuse, vraiment chanceuse. tu pénétras dans la cabine plongée dans la pénombre sans te douter que tu n'étais absolument pas dans la tienne. à tâtons, tu cherchas un interrupteur. dans le noir, tu te pris les pieds sur quelque chose au sol. tu trébuchas et tu te rattrapas sur une table. — merde, pestas-tu en reprenant tes recherches. ta main finit enfin par tomber sur un interrupteur, que tu allumas. la chambre s'éclaira d'un claquement de doigt, illuminant toute la pièce. tu fronças les sourcils en voyant des affaires qui n'étaient pas les tiennes. tu reculas de quelques pas lorsque tu vis quelqu'un bouger dans le lit et se redresser. — hein ? bredouillas-tu, complétement perdue. — oh putain désolée j'me suis trompée de chambre, grimaças-tu en croisant le regard du jeune homme.

(Invité)

Bon tu n'es pas rapide pour te cacher il faut croire, tu te redresses du haut de tes un mètre quatre-vingt-cinq, puis tu regardes autour de toi, pour voir un frigo que tu ouvres pour en sortir une bouteille d'eau. T'avançant vers la demoiselle qui n'est visiblement pas polie et pour toi tu sais que c'est l'alcool qui parle. Tu ouvres la bouteille pour lui tendre et lui répondre de ta voix grave, enfin plus grave surtout le matin et douce à la fois.

Ce n'est pas grave, tenez une bouteille d'eau, ne vous en faites pas. À cette heure-ci il serait judicieux de ne pas sortir directement. Les caméras ont sûrement tout vus.

Tu poses la bouteille et tu viens prendre un oreiller du placard plus une couette que tu trouves et tu commences à faire un lit. Tu la regardes un moment, puis tu vas voir dans ton frigo ce qui peut faire office pour diminuer la gueule de bois. Tu trouves quelques trucs et tu les poses sur la table.

Prenez le lit, ce n'est pas grave si je dors au sol. Si vous avez besoin de quoique ce soit je suis à côté.

Tu viens à t'allonger au sol puis tu te tournes pour ne pas la déranger. Il est vrai que les vidéos de surveillances on filmée son entré, ce qui pourrait être dérangeant pour elle, mais pour toi, cela ne te dérange aucunement, car tu as ta propre conscience. Tu te retournes un peu pour la regarder.

Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais...pourquoi avoir bu autant et jusqu'à une heure pareille? Vous avez eu le cœur brisé? Vous avez perdu quelqu'un? Je suis barman et je sais que l'on ne boit pas sans raison derrière. D'ailleurs votre visage me semble familier ou peut-être que j'ai dû voir ailleurs.

Tu commences à chercher, puis tu fouilles un de tes magazines, puis tu t'arrêtes enfin dessus. Puis tu l'as regarde. Et tu viens à rire en voyant l'envers du décors.

Je ne m'attendais pas à ce que la styliste du gala de Chanel soit ainsi. C'est vraiment différent de ce que j'ai devant moi et sur la photo. En tous les cas, le naturel vous va mieux.

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe tu bredouillas des paroles inaudibles lorsque tu réalisas que tu étais entrée dans la chambre de quelqu'un. tu venais de pénétrer dans l'intimité d'un étudiant sans même t'en être rendue compte. en croisant le regard du garçon, tu te sentis quelque peu embarrassée mais surtout gênée. tu savais pertinemment que si quelqu'un d'alcoolisé était entré dans ta cabine, tu aurais pété un plomb et tu l'aurais mis dehors en un rien de temps. mais ce n'était pas le cas de ce jeune homme. bien au contraire, il tentait de te mettre à l'aise. tu regardas la bouteille d'eau qu'il venait de poser devant toi. tu hésitas quelque peu et tu la débouchas, la portant aux lèvres pour en boire la moitié. — merci, j'étais assoiffée, répondis-tu d'un soupir. — ah c'est très gentil mais ça ira, je vais retourner dans ma chambre. du moins faut que je me rappelle de son numéro, soupiras-tu. tu posas tes pupilles lorsqu'il te demanda pourquoi est-ce que tu avais autant bu. — pour être dans l'ambiance je suppose ? j'suis pas du genre à finir les soirées comme ce soir donc ouais, j'suppose que des choses doivent me travailler, supposas-tu en haussant les épaules. — tu n'aurais pas un doliprane ? lui demandas-tu en passant une main sur ton front chaud.

(Invité)

Ce n'est rien, je suis barman de profession, donc je sais comment aider une personne qui a autant bu. C'est pour cela que je me pose la question pourquoi avoir autant bu si tout va bien dans votre vie. Vous souhaitez parler de ce qui vous tracasse?

Tu viens à sortir une trousse rouge et un médicament pour la tête, tu prends un verre et tu plonges le médicament qui se réduit avec l'eau que tu as mis avant. Puis tu le poses sur la table. Tu regardes la jeune demoiselle puis tu viens à sortir une compresse de glace, que tu viens poser doucement sur son front.

Le doliprane ne fera passé que le mal de tête, le froid et bien plus efficace après une cuite. Mais dans l'état que vous êtes, dormir un peu ici ce n'est pas grave. Je veillerais sur vous jusqu'à rétablissement. Et je pense que la future styliste de channel doit être présentable au monde extérieur.

Tu entends frappé à la porte, puis tu viens ouvrir doucement. Un ami te demande si tu parles seul, tu réponds que tu regardes un film et que tu as oublié tes écouteurs et que tu es désolé. Tu refermes la porte puis tu viens prendre une bouteille d'eau pour boire ayant soif.

Au faite moi c'est Morgan Langford et vous?

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe tu venais de boire comme si tu n'avais pas bu d'eau depuis une éternité. en même temps, l'alcool n'était pas vraiment une boisson désaltérante. ayant désormais la gorge moins sèche, tu te sentais quelque peu mieux. tu acquiesças ses paroles d'un hochement de la tête. — je suis donc entre de bonnes mains, me voilà rassurée, déclaras-tu d'un pâle sourire, passant une main sur ton front. t'allais être dans le mal le lendemain. grosse gueule de bois que tu allais avoir du mal à éviter. — des histoires de cœur sans importance, mentis-tu en haussant des épaules. — si je me mets à t'en parler, je risque d'avoir besoin d'un verre supplémentaire pour continuer, donc je préfère éviter, renchéris-tu. t'y avais déjà pensé toute la soirée, hors de question de remettre une couche. tu étais suffisamment mal comme ça. tu le remercias d'un petit sourire, mettant le doliprane dans ta bouche tout en l'avant avec quelques gorgées d'eau. — non, c'est gentil mais je vais trouver ma chambre. faut que je me démaquille, que je me mette en pyjama, que je prenne une douche ... ça sera plus simple si je retourne dans ma cabine, affirmas-tu en poussant un profond soupir. — maëlys carmichael. étrange rencontre en tout cas, pouffas-tu amèrement.

(Invité)

Oui vous êtes entre de bonnes mains et je ne profite pas de mon métier, comme souvent pense lorsqu'ils entendent que je suis barman.

Tu entends la raison de toute l'alcool dans son sang, intérieurement tu maudits l'amour. Combien de fois tu as vu tes frères et soeurs détruits par l'amour et se plonger dans l'alcool dans l'espoir d'aller mieux le lendemain, mais au lieu de cela, tu récoltais des appels à l'aide et tu faisais souvent des machines pour effacer l'odeur du vomi et tu veillais jusqu'à tomber de sommeil près d'eux.

Vous pouvez en parler, je suis numéro un pour écouter les peines de coeurs. Après avoir surveillé des énergumènes qui pleurent avec la bouteille à la main à se maudire à cause de la personne qui a choisi de les quitter, je sais comment faire face.

Tu viens faire une chose que tu ne te serais jamais permis. Tu l'as pris dans tes bras, tel un grand-frère. Tu tapotes doucement sa tête, sachant que ça peut raisonner. Tu l'entends détailler sa routine, puis tu souris en pensant qu'une de tes soeurs réagit de la même sorte.

Hm... je pense que c'est démaquiller, prendre une douche et un pyjama. Mais vu votre état je préfère que vous dormiez ici, sinon je viens vous surveiller dans votre cabine. Je déteste voir une femme pleurer surtout pour une peine de coeur, alors choisissez. Et si vous souhaitez savoir, ma copine ne sera pas jalouse, car je n'ai personne. Donc, je peux veiller sur vous jusqu'à ce que vous, vous endormez en toute sérénité.

Tu t'écartes, pour prendre un papier et un stylo, tu écris ton nom et prénom plus ton numéro de portable. Mais aussi tes réseaux sociaux. Tu reviens avec le papier en lui disant.

J'aurais peut-être , besoin de vos services de stylisme dans l'avenir, alors ne perdons pas contact. Je suis dans l'art. Plus exactement je donne du plaisir aux gens, dis comme ça c'est bizarre. Mais je suis artiste et je joue pour les bars, cafés. Même dans la rue si bien que j'ai mon boulot. Je souhaite être sur scène et rendre les gens heureux ,avec ma musique.

@Maëlys Carmichael

(Invité)

@Morgan Langford nuit du vingt-sept juillet, guadeloupe tu fronças quelque peu les sourcils, légèrement vexée par les propos de morgan. — j'me considère pas comme une ivrogne qui pleurniche au comptoir d'un bar, à me lamenter de ma vie, lui répondis-tu. — c'est juste une passade. ma vie est géniale et je suis extrêmement chanceuse d'être là où j'en suis actuellement. me plaindre serait vraiment ingrat de ma part, assuras-tu. ce n'était pas tes histoires de cœur qui freineraient le bonhomme de chemin que tu avais fais depuis tant d'années. — justement, je me sentirai plus en sécurité dans ma chambre, lui répondis-tu d'une légère grimace. — je ne te connais pas, donc je ne me vois pas dormir ici. d'autant plus que je profite suffisamment de ton hospitalité comme ça, renchéris-tu. — et je pense que cette discussion sérieuse m'a fait désaouler en un temps record, conclus-tu. hors de question que tu dormes ici. ne jamais dormir chez un inconnu, encore moins lorsque l'on était amoché par une dure soirée. — besoin de mes services pour confectionner des tenues ? lui demandas-tu tout en reprenant ta bouteille d'eau afin d'y boire quelques gorgées supplémentaires.

(Invité)

Je vois que nous avons le même caractère, je suis pareil. Je me dis que le monde autour de moi à bien plus que moi en problème. Pour être franc, je suis dans une famille d'enfants adoptés. Comme j'ai dit j'aime voir les gens heureux ou redonner le sourire par ma musique. Pour moi la musique est un moyen de rassembler le monde.

Tu viens à t'asseoir sur le fauteuil, puis tu souris en entendent ses mots, décidément c'est exactement comme toi. Limite ton toi au féminin, tu te demandes si elle pleure en solitaire loin du monde. Puis tu viens à passer une main dans tes cheveux. Puis tu réponds.

Exactement pareil pour moi, ça serait horrible que je me plaigne de ma vie, vue tout ce que mes parents m'ont donné pour ma réussite et l'aide que j'ai reçus en petits services ou autres de mes proches qui m'ont fait arriver jusqu'ici.

Tu arques un sourcil à sa remarque, puis tu te dis qu'elle a raison. Tu te lèves, mais tu as oublié que dans ce coin c'est plus bas et tu te prends le meuble dans la tête sans faire exprès et tu portes la main sur ta tête, tu es sur le point de jurer , mais tu te retiens.

Ne soyez jamais géante, voilà ce que l'on récolte. Et ce n'est pas grave d'abuser
de mon hospitalité, c'est mieux que vous soyez en sécurité qu'entre les mains d'un gars pervers. Mais je vous ramène a votre cabine, si vous avez du mal.
Au passage au retour de la croisière, si vous êtes sur Boston, passez au The Sun Rock, peut-être que vous aurez un cocktail gratuit. Oui pour des tenues, mais pas maintenant, car je ne suis qu'un rookie et encore étudiant.

@Maëlys Carmichael

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