Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini

+3
Mala Tenenbaum
Eben Wolford
Katalia Borgia
7 participants
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Darko Behrami


feat. Flamur Ukshini






❝ Il n'y a pas
de malheur
pire que
celui que l'on a.

naissance
Tu es ce que les sociologues pontifiants appellent un "immigré de la seconde génération". Le souffle de la vie t'a embrassé ici-même par une douce matinée de Décembre - le 9 pour être tout à fait précis - en l'an de grâce 1995.

nom & prénoms
Behrami. Des embruns balkaniques soufflés sur The Hub. Un patronyme qui, au pays de l'Oncle Sam, revient à avoir un avis de recherche en Tahoma taille 72 placardé entre les deux yeux. Darko. Cinq lettres de là-bas venues s'échouer ici. Un prénom que l'on traduirait approximativement par "Cadeau". Ironique n'est-ce pas ... .

nationalité(s)
Grâce au droit du sol, tu jouis, en plus du visa kosovar, de la citoyenneté américaine.

origine(s)
Maman et Papa ont laissé derrière eux l'éden de Pristina pour gagner les rives de la première puissance mondiale. Échappant ainsi in extremis aux bombardements et à l'absurdité des combats, ayant mis à feu et à sang la région des Balkans, lors de la Guerre de Bosnie. Quelque part au fond toi reposent les tanins d'un Kosovo méconnu, et le souvenir d'aïeux albanais enfouis sous les décombres d'une capitale en ruine. Enlacés à ceux de plausibles ancêtres turcs perdus et égarés dans les âges.

orientation sexuelle
Pas rancunier pour un sou, tu n'as toujours eu d'yeux que pour les membres de la gent féminine. Même si tu prends désormais grand soin d'éviter les toxiques succubes descendant de Lilith. Tu n'oses même pas imaginer le cataclysme qui se serait abattu sur la famille, si tu avais été de l'autre bord. Papa t'aurait sûrement tabassé jusqu'à ce que mort s'ensuive, tandis que Maman, dévastée par la honte, se serait métamorphosée en cascade lacrymale. Homosexualité et famille musulmane traditionaliste font rarement bon ménage. Et pourtant ... . Depuis quelques années maintenant, tes orbes enténébrés se plaisent à s'attarder et s'appesantir longuement sur des muscles râblés. Plastiques sculpturales et statures gaillardes font naître en toi des envies qu'il devient de plus en plus difficile à réfréner. Trottent les pensées vagabondes. Se dévergondent les idées libidineuses en virile compagnie. La découverte sur le tard d'une homosexualité que tu nies, refoules et rejettes violemment.

statut amoureux
L'amour, c'était pour toi une pimpante lycéenne aux boucles blondes. Une traîtresse de velours qui a mordu dans ta chair au détour d'une étreinte enfiévrée. Pour mieux se jouer de toi à posteriori en te reléguant au rang de risée du lycée, avec la complicité du capitaine de l'équipe de football. Méfiant et constamment sur le qui-vive, tu n'as désormais de cesse de te demander où sont l'arnaque et la lame du surin devant tôt ou tard crever ton myocarde. Ta vie, c'est un parterre de flirts, d'amourettes et d'idylles embryonnaires, qui flétrissent aussitôt dit. Faute d'envie et de temps à leur consacrer. Par crainte d'à nouveau en pâtir et souffrir, aussi.

études
Sans tutoyer l'excellence ni être exemplaire, ta scolarité à proprement parlé a toujours été relativement correcte et admissible. Même si ce fut loin d'être toujours aussi paisible que le cours du Danube au mois d'août. Malheureusement, les maigres économies, et les espoirs, de la famille avaient déjà été mis dans les études de vétérinaire de ta sœur aînée, Dita. Première arrivée, première servie ! Il t'a fallu pleurer misère, et déployer des trésors d'énergie - entrecoupés de coups de gueule et coups de sang - pour convaincre Papa que tu serais parfaitement capable de concilier de front des études et un job étudiant. Et ainsi parachever leur financement. Parole - jusqu'à présent - tenue, puisque suite à l'obtention de ton degree au lycée avec mention "très bien", tu as rejoins les bancs de Harvard pour suivre un cursus en Astrophysique
 dans le but de concrétiser ton rêve de gosse : contempler tes amies les étoiles. Au plus fort de ta huitième année au sein de l'usine à élites, tu ne boudes pas ton bon plaisir à voir ton vieux ronger son frein, à force de ne pouvoir se réjouir de ta déconfiture en te lançant son fameux "J'te l'avais dit ... .".  

bourse
Oui. Impératif et condition sine quo none, pour te permettre de suivre l'enseignement dispensé. Bosser, avoir d'excellents résultats, te tenir à carreau et pas trop faire de vagues : le carré gagnant t'évitant que l'on te coupe les cordons de la bourse - sans mauvais jeu de mots.

statut social
$($). Les fins de mois qui commencent le douze, les agios qui pullulent et les appels de ce rapace de banquier à raison de trois fois par jour. Petit florilège de ce qui fait les réjouissances de ton quotidien.

job étudiant
Toi, c'est un BAC + 8 en démerde et débrouillardise que tu affiches sur ton CV. Tu as essuyé les verres au fond du café. Déchargé les cageots sur les marchés. Roulé à tombeau ouvert et zigzagué sur le bitume, pour livrer en temps et en heures, des colis postaux aux quatre coins de la ville et des localités environnantes. Servi à diacre et à sous diacre les élites, en veillant à ce que rien ne trouble la quiétude de leur déjeuner ou de leur dîner. Aujourd'hui, tu travailles le soir à la billetterie et au vestiaire d'une boîte gay dans le centre-ville. Ce n'est pas le paradis, ni l'enfer et encore moins la lune. Mais ça permet de payer les cours à l'université. Et c'est bien là la seule chose qui vaille.

maison
Aucune.
admission à harvard

"Va falloir songer à te trouver un toit et être autonome. T'as de la chance, j't'ai trouvé du travail sur les quais. Tu commenceras sitôt que t'en auras fini avec le lycée. Et essaye de ne pas tout faire foirer, ni de me faire honte pour une fois ... .". Tels sont en filigrane les propos que ton paternel t'a implicitement tenu, à l'aube de ton année de terminale. En bon marionnettiste, adepte de l'ingérence dans la vie de ses enfants, les choses étaient déjà toutes tracées dans son esprit. Son rejeton ira avec lui au turbin sur le port - et en mer - dès lors que sonnera sa dix-huitième année. Perspective que tu as toujours virulemment rejetée. Dans les cris, les accès de colère, les injures et parfois même les larmes. Autant de fulgurants coups de sang qui t'ont valu à toi "le sale gosse", bon nombre de roustes et de dérouillées patriarcales.

Animé par la volonté de faire ravaler sa langue à ton vieux - convaincu, soit dit en passant, que ton envie d'étudier l'Astronomie n'était rien d'autre "qu'une fumeuse lubie vouée à l’échec" - tu as mis toutes les chances de ton côté, en commençant à rassembler les diverses pièces essentielles à l'élaboration de ton dossier d'admission, dès le premier trimestre de terminale. Faisant par la même occasion - et pour la première fois - totalement fi de l'assentiment parental, pour entreprendre quelque chose. Vint ensuite le temps du tant redouté test Stats. Une épreuve que tu as passé presque la fleur fusil. Conscient que tu n'avais en l'espèce rien à perdre. Hormis ce bras de fer avec ton père. Fort d'un résultat de 1570 points, tu poursuivis sur ta lancée en t’attelant à la rédaction de l'incontournable essay.

Probablement ton plus gros coup d'audace à ce jour. Tu n'as pas voulu tricher. Ni te cacher derrière ce sempiternel masque, que tu arbores depuis presque toujours. Alors, tu as retiré cette cuirasse te protégeant de la souffrance, autant qu'elle t'isole du plaisir. Afin de te mettre à nu, et te présenter tel que tu es. Sans, façade, barreaux, ni armure. Oui ... tu as véritablement mis tes tripes dans cet écrit. Un seul mot d'ordre : prendre tout les risques. Jouer le tout pour le tout. Pour ne pas avoir de regrets en cas de bad ending. Pour cela ; nulle autre solution que de montrer ton vrai visage. Le vrai Darko. Chose que tu as réalisé au détour d'une dissertation sur "Les recours potentiels et existants à la disposition de l'ONU, pour sanctionner les pays condamnant l'homosexualité." Sous-titré "Vers une dépénalisation mondiale de l'homosexualité". Sujet qui, à lui seul, en dit long sur qui tu es. Et qu'il est sans nul doute plus facile d'aborder en présence d'inconnus que tu ne seras vraisemblablement pas amené à recroiser ; plutôt que de personnes que tu côtoies au quotidien. En parallèle, tu as rempli une demande de bourse et commencé à prospecter, afin de trouver un job étudiant pour joindre les deux bouts financièrement.

Des jours et de longues semaines d'attente plus tard, le verdict tomba sous forme d'une missive officielle échouée dans la boîte aux lettres. "Invitation à la réflexion très intéressante et aboutie, bien que parfois utopiste et irréalisable ..." bla bla bla ... "... veuillez vous présenter à tel endroit à tel heure, pour l'entretien qui décidera de votre admission.". Aux anges, tu n'as cependant guère eu le temps de célébrer ce semi-triomphe. Le plus difficile restait encore à faire. Grande princesse et généreuse, ta sœur t'a trainé dans une boutique clinquante de Manhattan, pour que tu sois nippé de pied en cap le jour J. Engoncé dans un tuxedo hors de prix qu'il te tardait de quitter ; c'est donc sapé comme un Milord que tu as fait face à un jury constitué d'une brochette de grands pontes. Plutôt confiant. Souriant et respectueux, au moment de saluer le parterre d'huiles et de leur serrer la main. Calme et serein, ce fut armé d'une pensée claire, intelligible, logique, structurée et organisée, que tu répondis à la salve de questions qui s'abattit sur ta carcasse. Assis convenablement. Le maintien droit, à la limite de la rigidité. Le ton olympien et assuré. Les yeux incrustés dans ceux de tes interlocuteurs. Sans jamais ciller ou fuir. Présentation formelle et consensuelle de ta personne. Avec valorisation de tes qualités. Et minoration de tes points faibles et défauts. Comme ton dossier scolaire - correct mais sans plus - pour n'en citer qu'un. Brève exposition de ton projet. Avec l'emphase mis sur le fait de vouloir désacraliser le savoir, et le rendre accessible aux plus modestes. Ainsi que l'envie de susciter des vocations et faire rêver les plus jeunes. Trois quarts d'heure qui se passèrent sans embûche ... ou presque.

C'était sans compter sur cet homme ventripotent et grisonnant de la tempe, chargé de jouer "le méchant flic". Sa mission : te déstabiliser, te casser, te dénigrer. Te faire comprendre que tu n'es pas assez bien pour ces murs. Que ta place est avec ton père, "les smicards et les parasites d'étrangers". Tu as essayé. De prendre sur toi. De sourire en serrant les dents. Les poings fermés et les molaires broyant l'intérieur des joues. En vain. Tu as fini par craquer et exploser. Pointant de l'index cet inquisiteur. Avant de te lancer dans une véhémente diatribe, où - presque - tout y passa. "Sectarisme", "Elitisme", "Discrimination sociale et sociétale" "Atteinte au droit d'accès à l'enseignement", "Mépris du prolétariat" ... . La voix furibarde s'étranglant à mesure que l'émotion t'étreignit la gorge. Une veine saillant sur ta tempe. La carotide et le cœur battant tambour. Le front imbibé de sueur. Les yeux orageux, exorbités et au blanc criblé de fins vaisseaux rouges.  

Le holà fut finalement mis et le jeu se calma. Beaucoup moins fringant qu'à ton arrivée, c'est le visage blême et les pommettes encore empourprées par l'emportement, que tu pris congé des personnes présentes. Touché. Dans ta singularité d'individu. Blessé. Au plus profond de tes chairs. Plus groggy qu'un boxeur soulé de coups au sortir d'un combat, tu te souviens avoir gagné les toilettes d'un pas saccadé. Le regard hagard, perdu dans le vague. Barricadé dans une cabine. Coulé. La trogne enfoui dans les paumes. Les larmes qui ruissellent en silence sur les joues. Incapables d'être endiguées. Et la tête qui ne cesse de remuer négativement. Sûr et certain que la chronique d'un fiasco annoncé par ton daron, est en passe d'aboutir. Et pourtant ... le précieux sésame vint un beau jour trouver lui aussi le chemin de la boîte aux lettres familiale. "... nous avons le plaisir et l'honneur de vous annoncer que vous êtes officiellement admis ..." bla bla bla "... le jury salue votre intelligence, votre ouverture sur le monde ainsi que votre soif d'apprendre et être riche d'autrui. Au même titre que votre passion et votre sensibilité. Veillez cependant à ne pas vous laisser dévorer par vos émotions, et à bien les canaliser quand cela s'avère nécessaire. Veuillez agréer ... . bla bla bla. Incroyable mais vrai. Darko, ou l'autre nom pour le gamin de la plèbe aux pays des filles et fils à papa.
caractère du personnage

Tu croques les individus sur le vif avec des réparties pleines d'esprit qui font mouche. Sous tes airs bonhommes, tu es quelqu'un de très cynique qui énonce des vérités mettant à mal la bien-pensance des individus, se complaisant dans le politiquement correct et le conformisme. Subversif, tu ne manques jamais une occasion de mettre en exergue les inégalités, ou de sortir de dessous le tapis tout ce qui dérange et que les élites veulent à tout prix ignorer. D'un naturel avenant et volontaire, tu ne rechignes pas face à l'effort ou l'autorité. Sans pour autant être corvéable à merci. Etre un subalterne ne fait pas de toi un paillasson sur lequel on peut s'essuyer les pieds impudemment. Comme tout bon méridional qui se respecte, tu es doté d'un côté sanguin. Quand l'on te prend pour un larbin ou un chien servile, tu dégoupilles tel une grenade, exploses et vas jusqu'au clash. Tant verbal que physique. Méfiant et sceptique, tu n'accordes ta confiance qu'aux tiens, et ne te fies sous aucun prétexte aux dehors bienveillants affichés par autrui. Social ? Tu le serais peut-être, si tu avais encore foi en l'être humain. Fêtard ? Très volontiers, mais encore faut-il en avoir le temps et les ressources financières. Plus fier qu'un Sultan ottoman, tu exècres voir luire la pitié ou la compassion au fond des yeux. Tu trouves cela encore plus humiliant et déshumanisant, que les injures ou les propos xénophobes. Débrouillard, tu refuses virulemment avec fin de non recevoir tout ce qui vient des autres. Même les "je te paye un café ?", offert et proposé de bon cœur. Tu voues une haine sans merci envers toutes celles et ceux nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Ceux pour qui tout tombe tout cuit du ciel dans le bec. Ceux qui passent leur temps à s'amuser, qui n'ont pas la moindre notion de l'argent et qui claquent sans compter dans des frivolités. Toutes celles et ceux ignorant à quoi ressemble la vraie vie, et qui seraient incapables de survivre une journée loin de leur petit confort. Oui, tu les détestes ... . Pourtant, et comble de l'ironie, avoir été toute ta vie durant à leur service t'a permis d'avoir un toit sur la tête et de t'endormir l'estomac plus ou moins repu.
anecdotes

anecdote une Né le 9 décembre 1995 à Boston, il est le second et dernier enfant d'un couple d'immigrés kosovars. anecdote deux Ses parents ont fui Pristina, pour échapper au chaos et aux ravages de la Guerre Bosnie ayant déchiré Serbes et Bosniens. Et à une plus large échelle, toutes les minorités ethniques des Balkans, attisées par un sentiment nationaliste exacerbé. anecdote trois Avides de rejoindre le pays de l'Oncle Sam, leurs camarades d'infortune et eux firent escale dans The Beantown, pour réparer leur van, méchamment endommagé par l'usure des chaussées reliant le New Hampshire et le Massachusetts. Conquis par le dynamisme, la festivité et l'esprit melting-pot émanant du lieu, ils changèrent leur plans et renoncèrent à gagner New York pour s'installer ici-même dans The Cradle of Liberty. anecdote quatre Cinq mois plus tard, il naquit. Deuxième et dernier enfant de la famille, sa grande sœur Dita est de trois ans son aînée.
anecdote cinq Issu d'une famille très pieuse, rigoriste et attachée aux traditions, son père s'est toujours montré dur - mais juste - à son encontre. Il le craint autant qu'il l'admire, et ne vit que pour le rendre fier. Depuis son plus jeune âge, il le prépare à endosser l'habit de chef de famille afin qu'il soit prêt - et surtout à la hauteur - quand viendra l'heure du passage de flambeau. Entretiens en tête-à-tête et "conversations d'hommes", quant aux devoirs, aux obligations et au sens des responsabilités ont jalonné sa jeunesse - et continuent d'émailler sa vie, à vrai dire.  anecdote six Sa mère est une femme douce et aimante, lui ayant de tout temps apporté l'amour et la tendresse nécessaires à son bon épanouissement. Très à cheval sur la religion, elle a mis un point d'honneur à inculquer à ses enfants les préceptes étiquetés par le Coran ainsi que la morale et les valeurs chères à ses yeux. Lorsque les finances du foyer le permettaient, la petite smala embarquait dans le train faisant la navette entre la mégalopole et la banlieue, afin de pouvoir suivre l'office de l'Imam à la mosquée le week-end. anecdote sept S'il s'est dans un premier temps rigoureusement conformé à toutes les composantes de son éducation qu'il a suivi à la lettre, Darko en a petit à petit "laissé de côté" en grandissant. Notamment en ce qui concerne la religion. Se définissant comme un "croyant sceptique", il considère Allah comme une sorte de thérapeute auprès de qui il déverse ses états d'âmes, ses névroses et autres problèmes. Il ne fréquente le lieu de prières que lorsqu'il en ressent le besoin, qu'il a mauvaise conscience, qu'il se sent perdu, impuissant ou qu'il estime avoir quelque chose à se faire pardonner.  anecdote huit Pêcheur en haute mer, son père enchaînait les trois huit pour subvenir à leurs besoins. Femme au foyer, sa mère s'est quant à elle privée et saignée aux quatre veines pour élever au mieux ses enfants et faire en sorte qu'ils ne manquent de rien. anecdote neuf Hormis quelques convocations récurrentes chez le proviseur pour cause de bagarres, ta scolarité à proprement parlé fut exemplaire et plus que correcte. Féru et incollable en astronomie, c'est donc le plus naturellement du monde que tu émis le souhait de te destiner à une carrière d'Astrophysicien, après l'obtention de ton Degree avec mention "très bien". Malheureusement, les maigres économies de la famille avaient déjà été placées dans les études de vétérinaire de ta sœur Dilshad. Ton père t'a dés lors clairement fait comprendre qu'il était à présent grand temps d'entrer dans la vie active. Précisant au passage qu'il leur était désormais financièrement compliqué de "te garder ici", que tu devais de quitter le nid et prendre ton indépendance. Constat sur lequel tu fus d'accord sur le fond. Pour ce qui est de la forme en revanche ... ce fut une toute autre histoire. Refusant la fatalité et la carrière de docker servie par ton vieux sur un plateau d'argent, tu t'es pour la première fois opposé à sa volonté et son autorité. Dans les cris, les coups de gueule, les coups de sang et parfois même les larmes. La panoplie du parfait ado' en pleine crise. Affirmant que tu avais toi aussi le droit d'aspirer à autre chose qu'une vie de forçât. Que tu en étais capable, malgré les difficultés et l'adversité. Une irrémédiable dissension avec un inflexible patriarche, qui t'a contraint à te débrouiller tout seul pour procéder aux formalités, afin de poursuivre tes études dans le secondaire. Ton obstination, ta volonté, ton opiniâtreté et ta ténacité ont jusqu'à présent payé, puisque le "petit prolo" que tu es, réalise aujourd'hui l'exploit d'avoir passé huit ans au sein de la prestigieuse Université de Harvard. Un triomphe ? Indéniablement. Même si le plus beau d'entre tous, reste incontestablement celui d'être parvenu à clouer le bec à ton père et de lui avoir fait ravaler ses paroles. Un incommensurable succès qui n'a pas de prix. anecdote dix Entré sur le marché de l'emploi à tout juste dix-huit ans, Darko a enchaîné les petits boulots, les emplois de subsistance et les tâches ingrates que personne ne souhaite réaliser, mais qui se doivent d'être effectuées. Il a tour à tout été : garçon de café, saisonnier dans les champs et les serres quand vient le temps de la récolte et de la moisson, éboueur, agent d'entretien, employé sur les marchés et coursier aux quatre coins de la ville et sa périphérie. Sa fierté le poussant à rendre son tablier, sitôt qu'il se sent chosifié, déshumanisé, traité en sous-homme ou qu'on ne daigne plus lui accorder une once d'égard et de considération. Aujourd'hui, il travaille de nuit à la billetterie et au vestiaire d'une boîte gay dans le centre-ville. anecdote onze Côté cœur, il enchaîne les flirts, les amourettes et les idylles embryonnaires, qui flétrissent aussitôt dit. Faute d'envie et de temps à leur consacrer. Ses premiers émois de lycéen lui ayant laissé un goût amer teinté de déception et d'humiliation, il se montre en effet extrêmement méfiant et défiant en amour. Constamment sur le qui-vive, il craint et redoute l'engagement de peur d'avoir à essuyer de nouveau les affres de la souffrance. anecdote douze Sa vie est celle de "Monsieur Tout-le-monde". D'une banalité affligeante et dépourvue du moindre fait saillant, digne d'une quelconque once d'intérêt. Une existence de forçât des temps modernes, réglée comme du papier à musique, et enlisée dans le sempiternel schéma du "métro, boulot, dodo". Rien qui ne vaille la peine que l'on s'attarde, se réjouisse ou s'émeuve. Hormis peut-être ... "son problème", comme il l'appelle. Ce plaisir coupable qu'il prend - depuis plusieurs années maintenant - en s'adonnant à une fiévreuse contemplation à la dérobée de ses congénères dotés d'un phallus. En particulier quand son ami Samaël se trouve dans les parages. Alors, oui ... Darko le confesse : il laisse parfois ses amandes caresser la largueur d'une solide carrure. Dévaler des dorsaux bien dessinés. Skier le long d’une chute de reins. Pour finalement se vautrer allégrement sur de jolis culs fermes et toniques. De fieffées observations qui valent à son cœur quelques loopings incontrôlables et des cavalcades effrénées. Ne pouvant que se mordre la lippe inférieure, et laisser les braises de la turpitude crépiter dans sa région pelvienne. Et quand vient le soir ... dans le plus simple appareil, sous la douche. Quand le jet chaud du pommeau poussé à pleine puissance cajole son épiderme caramel. Que les épaules nouées s'affaissent. Les muscles se délassent. La carcasse se prélasse, alors qu’il clôt ses paupières et fait don de son faciès à la réconfortante pluie battante. Armé d’une noisette de gel douche embaumant l’ylang-ylang de synthèse au creux de la paume, la mousse parfumée habille son derme tanné et humecté. Pectoraux bombés choyés. Trapèzes râblés dorlotés. Biceps renflés malaxés. Solide grappe d’abdominaux frictionnés. Quadriceps joliment découplés pétris. Mollets galbés massés. Fessiers rebondis flagornés. Et entrejambe abondamment flatté, alors que les idées se dévergondent. Au même titre que d’inavouables pensées, jugées honteuses, avilissantes et contre-natures par un patriarche un poil réactionnaire. Concupiscence, envie de frémir et pulsions libidineuses convergent et s’embouteillent en direction de la zone stimulée. Cils tressés et avant-bras apposé contre la paroi, le pauvre pêcheur ligote ses doigts autour de son ityphalle fièrement dressé. De grisantes visions dansent et défilent devant ses iris goudronneuses. Accompagnant et égayant sa coupable session d’onanisme. Des lèvres voraces et urticantes courant sur son corps. Des bras vaillants l’enserrant avec ardeur. De puissantes mains, alternant le fort et le docile, qui inondent sa peau pralinée de caresses. Les sens en effervescence et le sang qui bouillonne. Des torses vigoureux et luisant qui s’entremêlent. Des morsures assénées au creux d’un cou enfiévré. Des poings serrés et ruinant des draps froissés. Quand ils ne se cramponnent pas à une épaisse tignasse trempée. L’exquis son moite d’un peau contre peau qui claque, sous l’œuvre de fougueux coups de reins. Des cambrures accentuées. Des ongles implantés dans une nuque ruisselante. Des suppliques extatiques égrenées hors d’haleine, pour que jamais cette succulente torture ne s’arrête. Tout cela pour finir en apothéose, dans un râle crépitant et étouffé venant mourir sur la faïence. La tête qui ploie sous le poids de la culpabilité et de la honte. L’eau flagellant la nuque bistrée du repentant aux paupières abaissées. Lui qui emmitouflé dans les nuages de vapeur, croule sous les tourments que lui coûtent ses vilains petits penchants et sa délictueuse inclination envers la si délicieuse mâle engeance. Oui mais … est-ce que fantasmer et rêver à ces choses plutôt que de s’y adonner, n’atténue pas l’opprobre ? Peut-il être absout, ou est-il déjà en état de pêché irrémissible ?

en vrac En sa qualité "d'enfant sacrifié", ses parents ont tenu à lui offrir des cours de sport en guise d'activité extrascolaire, afin de réparer le préjudice de ses rêves prématurément portés en terre dans le cimetière à passions. L'idée étant que frère et sœur maintiennent une relation saine et affectueuse. Empêchant ainsi Darko de nourrir d'hypothétiques jalousies, aigreurs, ressentiments et amertumes vis-à-vis de son aînée. Obnubilé par le culte archaïque de l'homme fort, viril et machistador, son père l'a inscrit - sans le consulter, ni lui demander son avis - à des cours de football américain. Absolument pas porté sur le sport de prédilection de Tom Brady, le gamin sécha très vite les entraînements. Zonant dans le quartier pour tuer le temps avant de rentrer à la maison, ses pas le ramenaient inéluctablement devant la patinoire. Où il contemplait à travers la baie vitrée depuis le trottoir, une horde d'enfants de son âge virevolter sur la glace. Les billes de tourmaline songeuses, luisant d'admiration et d'émerveillement. Un jour devant les locaux, il trouva une vieille paire de patins élimés dans un carton jouxtant une benne à ordure à la peinture écaillée. Pour une fois, il semblerait que le "grand patron" soit de son côté, puisque l'équipement pédestre sied à sa pointure. Avec la complicité d'un agent d'entretien le faisant entrer en douce par une issue de secours, l'ami des étoiles pu approcher le sein des seins pour s'adonner à la discipline de prédilection d'Alois Lutz les mercredis après-midi. Autodidacte, il apprit en observant les autres. S'adonnant à la glisse artistique en dilettante, amateur et pur profane, il parvint néanmoins à se constituer au fil des ans un niveau que l'on qualifierait de semi-pro. Au point de s'attirer à huit ans les félicitations d'un professeur, qui lui dispensa bénévolement sur son temps libre quelques cours, afin de parfaire sa technique. Tout cela sans que son père n'en sache jamais rien, bien évidemment. Les idées reçues et stéréotypées concernant les patineurs, n'étant plus à énumérer. Aujourd'hui, Darko continue volontiers de faire crisser la lame de ses patins sur la glace, lorsque ses obligations le lui permettent et qu'il en a l'énergie. Cependant, la puberté étant passée par-là ; son gabarit d'homme adulte et sa considérable prise de masse musculaire, lui ont quelque peu fait perdre en fluidité, agilité, vitesse et souplesse.

Premier amour et première déception. Au sortir d'un émoi de lycéen - où il croqua pour la première fois à dents pleines dans le fruit de la luxure - la cruelle lui ayant subtilisé sa fleur ne trouva rien de mieux que de l'humilier, le tourner en ridicule et en faire la risée de tout le bahut. Une estocade portée à l'amour-propre, qui aura par la suite de sérieuses répercutions sur le psychisme de l'homme en devenir. L'orgueil foulé au pied saigne et crie vengeance. En son for intérieur, le smicard à perpétuité se fit le serment de ne plus jamais être la cible de pareilles avanies. Une seule solution - virant à la lubie - s'imposa alors : quitter ce corps efflanqué et de grand dégingandé. Se façonner une plastique d'antique statue helléniques en marbre blanc. Pour que plus jamais aucune créature de Vénus n'ose le quitter, sans au minimum éprouver une fraction de regret. Le sport, le sport, le sport. Elevé au rang de religion. Un culte auquel il se dévoue corps et âme dès qu'il en a l'occasion. Obsession frisant la démence, et allant même jusqu'à rogner sur son sommeil. La satisfaction puisée dans le flot d'endorphines sécrétées par le cerveau lors de l'effort. Des travaux forcés réalisés inlassablement. En particulier sur les plages horaires normalement dédiées aux repas. Avec pour unique motivation, l'obtention d'une vaillante charpente de bodybuildeur en herbe. Mission accomplie. Oui, mais ... à quel prix ? Si la pratique sportive seule suffisait pour ressembler aux armoires à glace trustant la couverture des magazines de fitness ; il y a bien longtemps que cela se saurait. Sans une alimentation saine et équilibrée : tout ces efforts sont vains et voués à l'échec. Chose que Darko a très bien compris. Même trop bien compris. Depuis plus d'une décennie, il s'astreint en effet à un régime alimentaire drastique et draconien. Pas de matières grasses, de sucre, de sel, de gluten, de lait d'origines animales. Rarement de la viande ; beaucoup de poisson, de féculents, de fruits, de légumes. Une discipline de fer à laquelle il se soumet de son propre chef. Sans broncher. Sans ciller. Et sans jamais y déroger. Une hystérisation qui le pousse même à peser au gramme près ses portions, et à les restreindre au minimum syndical préconisé par l'Organisation Mondiale de la Santé. Traînant comme un boulet de bagnard depuis l'adolescence des troubles du comportement alimentaire ; manger est aujourd'hui devenu pour lui une corvée, dont il ne retire pas une traître particule de plaisir. Les aliments dans son assiette lui apparaissent comme une montagne de calories, qu'il faudra rapidement brûler en soulevant de la fonte ou en multipliant les rotations autour du plan d'eau dans le parc lors de son footing.

Contrairement à d’autres, et n’ayant pas la chance de jouir d’un salaire de véto’ qui lui permettrait d’être propriétaire d’une magnifique bâtisse sur les hauteurs de Boston ; la question du logement a toujours été soumise pour lui à l’impératif de la colocation. Après moult cohabitations s’étant soldées par un fiasco, pour cause incompatibilité d’humeur ; le rejeton d’immigrés semble avoir trouvé chaussure à son pied en la personne de [...]. Une véritable petite pile électrique, qui le fatigue souvent, mais dont il ne saurait se passer aujourd’hui. Son côté artiste le touche et trouve une résonance toute particulière en lui. Même s’il se garde bien de le dire au/à la principal.e intéressé.e, le kosovar raffole de sa douceur, sa tendresse, sa gentillesse et son empathie. Autant de qualités qui lui apportent la sécurité, la stabilité et la confiance qui lui font cruellement défaut. Ensemble, ils louent un appartement dans Cambridge, à deux pas de l'Université. Facile à vivre, bonne pâte et de bonne constitution, la vie sous le même toit et en collectivité se déroule sous les meilleurs auspices. Hormis quelques petits coups de sang piqués, lorsque l’appartement ressemble à Los Angeles après le séisme ; aucun désaccord majeur et irrémédiable n’a pour l’heure troublé leur improbable duo. Un exemple de petite querelle ? Hmm … les fois où il lui prend comme une envie de pisser de retaper et offrir une seconde jeunesse à un meuble ? Jouant ainsi du marteau et de la perceuse aux aurores un samedi matin. Routinier, casanier et un brin pantouflard ; les sorties dans les lieux de festivités et les loisirs ne sont pas vraiment sa came. Peut-être le seraient-ils, s’il en avait davantage les moyens ? A quoi ressemble une soirée type pour lui ? Se barricader dans sa chambre. S’installer à la fenêtre. Accoler sa tempe contre la vitre, et  lever le nez vers le firmament pour lorgner sous les jupons scintillants des ses amantes astrales. Piètre économe, il tente depuis des années d’épargner afin de réunir la somme qui lui permettrait de faire l’acquisition d’un télescope. Cassiopée et ses courbes en W qui aguichent la rétine. Shedir qui fait sa belle, et s’efforce de voler la vedette à ses sœurs, en luisant d’un éclat sans pareil. Rendez-vous galant nocturne, accompagné d’un mug de thé tenu entre ses doigts gourds, et d’une clope – quand il ne s’agit pas d’un joint – calée entre ses pulpeuses. L’occasion de songer à ses envies d'envers. A des endroits mille pieds sous terre, où il pourrait sourire sans soupirer.    
& irl, ça donne quoi ?

pseudo M.T.E
âge 27 ans  :sadface:
nationalité 🇫🇷
forum connu par... Top Site DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f44d
ILH, j'en pense quoi ? Que ça a l'air trop chill et poseeeeey ici  DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 80508888
autres comptes ? N/A
avatar utilisé Flamur Ukshini  :heaart:
crédits images Cosmic Light & Aeroplane
nombre de mots par rp +500 à ... no limit.
type personnage Inventé et pré-lien par @Léonie Burgess  DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 4046487928

code études
astrophysique ;; science and engineering complex ;; huitième année
Code:
@"Darko Behrami" » <i>(astrophysique)</i>

summer camp ?
participe au summer camp : [X] oui [] non
veut être dans une équipe : [] oui [X] non

code bottin
Code:
<span class="pris">FLAMUR UKSHINI</span> <span class="inv/scena/pl"></span> @"Darko Behrami"








i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 3973297885
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Canon :loukas:
Bienvenue à toi DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1562094367
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Flamur !! Ce choix, je valide !
Bienvenue chez toi. DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 2109348208
(Invité)
Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86


DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f342 DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f342 DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f342 Loéva Berry DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
Préférences de jeu
veritas
Katalia Borgia
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
bienvenue par ici DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 208576344 hanwii
(Katalia Borgia)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
quel bg.
bienvenue sur ilh DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1230098378
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Coucou bienvenue par ici :) Ce prénom est trop canon ! et Flamur, (je connaissais pas, belle, très belle découverte ;) )
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue par ici DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1001568715 DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1001568715
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 3850463188 :heaart:
(Invité)
Eben Wolford

Âge : 28
Lieu de naissance : londres où je suis né et où j'ai grandi.
Quartier d'habitation / Colocation : avec coda dans un appartement longeant la rivière charles.
Situation sentimentale : officiellement en couple avec un fauteur de trouble du nom de coda weaver depuis le 14/02/2023.
Études / Métier : ingénieur en informatique et robotique.
Date d'inscription : 20/01/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : GOLD ANTHEM (he/they).
Icon : lol
Faceclaim : Moritz Hau.
Crédits : GOLD ANTHEM (avatar + gifs profil et descriptions), mathoumatoufait (profil), heresy. (signature).
Multicomptes : Adrian Fitzgerald (Jacob Rott) & Daemin Weaver (Wi Ha Jun).
Description (1) :
DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini YPjjeH8N_o

jeune homme aux origines à moitié connues, eben est né à londres où il a grandi et vécu jusqu'à ses années lycée incluses. il s'assume pansexuel avant sa majorité et vit relativement bien cela. considéré comme geek à privilégier les moments seul plutôt que les interactions sociales, il s'est engagé dans des études en ingénierie robotique. entre ses lectures personnelles, ses soirées à jouer aux jeux vidéos et ses études, il n'est pas du genre le plus extraverti au monde, et vient de commencer à sortir comme un étudiant lambda depuis la rentrée deux mille vingt . c'est quelqu'un de travailleur, organisé et sérieux. il ravale énormément ses émotions en se plongeant dans des sueurs mentales intenses, c'est ainsi qu'il purge la négativité accumulée. il fait également du sport, principalement le nécessaire pour se dépenser, de la musculation à un niveau débutant mais surtout de la course à pied quasiment tous les matins. comme beaucoup, deux facettes principales l'habitent ; l'une est calme, sérieuse et civilisée tandis que l'autre est impulsive, agressive et désagréable. cela dépend d'énormément de facteurs mais lorsque quelque chose lui tient à coeur, lorsqu'il sent un manque de respect ou un danger, il peut se métamorphoser. il est surtout conscient de ses besoins de se ressourcer qui le poussent de temps en temps à s'isoler. néanmoins, il est surtout caractérisé par sa bienveillance naturelle et le côté humble qu'il arbore. par contre, une chose est certaine : si la trahison l'assiège, le pardon est quasi impossible. il peut se montrer rancunier au point de balayer la personne et ses souvenirs en un revers de main.

Description (2) :
DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini DMOe94qI_o DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini S5kIdeOR_o

DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini Liens11

[ FAMILY WOLFORD ]
OSCAR WOLFORD (★★★★☆) description du lien ; BLAISE WOLFORD (★★★☆☆) description du lien ; XAVI WOLFORD (★★★★☆) description du lien ; ZANE WOLFORD (★★★☆☆) description du lien ; AMBRE WOLFORD (★★★★☆) description du lien.

[ FRIENDS FROM NEUTRAL TO EXPLOSIVE ]
ELSIE BARLOW (★★★★★) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien.

[ LOVE, SEX AND ATTRACTION ]
(P R E S E N T) PSEUDO (★★★★☆) (groupe) description du lien ; PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien.
(P A S S E) PSEUDO (★★☆☆☆) description du lien.

Description (3) :
DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini Qp0r08KA_o
[ — sweet and tender ]

RPS en cours :
DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini VW0iKvbE_o
[ c o d e n — coda weaver ]

DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini G1fpQsQG_o
[ k i r k l a n d — proud member ]

Summer Camp 2021:


Summer Camp 2023:
Warnings : mention de traumatisme d'agression + propos explicites à caractère sexuelle + relation toxique.
RPS : 258
Messages : 25421
Préférences de jeu
veritas
Eben Wolford
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t127873-eben-wolford-moritz-hau#4993844Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t154909-eben-ethanael-adrian-oscar-repertoire-rps#6920621Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t127914-eben-tobias-adrian-julian-fiche-de-liens#4996147Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155475-meetsachussets-ebwolf#6935410Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t163716-eben-wolford-complement-de-personnage#7654463
Oh le chat, le FC précédent de Eben DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1365124802 prends soin de lui. DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1365124802
Comme tu dois le comprendre, excellent choix. DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 152426858

Et ce début de fiche, pardon ? Cette plume ?
Rien que pour ça, j'exige un lien. DARKO BEHRAMI ► Flamur Ukshini 1815259351

Bienvenue sur le forum. :heaart:
(Eben Wolford)


the sweet kingcut like a jewel,
I repair myself


Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)