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NOVA YANG ► lily maymac

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nova yang-cruz

naissance
pittsburgh, pennsylvania, pousse ses premiers cris dans un hôpital au coeur d'une nuit estivale ; 7 septembre 1997, et avec, la vingt-troisième année qui bientôt fleurit.
nom et prénom (s)
nova l'étoile dévastatrice, porte le nom d'époux de sa mère, défunt qu'elle n'aura jamais connu, à défaut d'un père pour la couvrir de son regard ou de son attention ; yang she shall be. mais aussi cruz, patronyme de jeune fille.
nationalité(s)
living the american way.
origine(s)
le père demeure inconnu, l'enfant reste dans le flou sur l'identité de cet ancien patron américain, mais elle sait d'où elle tire ses traits délicats, nova, mère d'origine philippine.
orientation sexuelle
bisexuelle, ne danse pas que sous les regards masculins, la belle indomptée ; se plait à caresser les courbes féminines, du regard et de ses doigts.
statut amoureux
célibataire ; le cœur est forteresse, imprenable, indomptable, car les humains sont tous des infidèles. elle joue puis elle laisse, pour ne pas (re)devenir marionnette.
études
danseuse, d'abord à columbia, ny, puis sur les bancs d'harvard à partir de septembre 2019 ; danse sur les parquets cirés de boston depuis un peu plus d'un an.
bourse
talent reconnu, bourse accordée, la grâce lui ouvre les portes de columbia, puis celles d'harvard, aide à vivre le rêve en plus des dettes cumulées pour payer l'université.
statut social
trop moyen, à peiner à joindre les deux bouts en fin de mois, donner l'illusion de l'opulence quand chaque semaine est un véritable challenge ; l'habitude, à vivre avec ce qu'on peut depuis l'enfance.
job étudiant
serveuse dans un bar, elle manie les bouteilles comme elle joue de ses regards, ange et diable, aguicheuse contre quelques billets supplémentaires pour arrondir les fins de mois. ça et d'autres petits boulots. moins dans les bonnes mœurs, dira-t-on simplement.


— le désir d'appartenance n'a jamais été là, n'a pas pointé le bout de son nez. arrivée en même temps que les nouvelles maisons à harvard, en septembre 2019, nova a fait le choix de se démarquer. si elle devait briller, elle le ferait comme elle l'a toujours fait : seule, et sans dépendre de personne. elle préfère s'incruster aux soirées ouvertes des maisons, et repartir avant l'aube. comme une étoile (( filante )).
le talent et la détermination farouche se sont alliés pour lui ouvrir, d'abord, les portes de columbia. université new-yorkaise prestigieuse, nova y a fait les trois premières années de son cursus de danse. se voit offrir des places à juilliard, et d'autres écoles de danse new yorkaise, mais elles demeurent trop proches du bourreau, à vouloir s'écarter de la génitrice une bonne fois pour toutes. secrètement, elle passe alors les entretiens pour harvard, enfant passionnée, séduit le jury de par sa danse et son esprit vif. décroche une bourse, précieuse aide financière pour une école bien trop chère pour ses moyens, et enfin, enfin les heures de voiture la séparent de la vie qu'elle fuit avec acharnement.



MOODBOARD

i'm gonna show you ; vertigo ; playing dumb but knows exactly what she's going ; i n d e c e n c e ; are you too good to be true ? ; she stared at the moon, and left the stars blushing for a lifetime ; beauty may be dangerous but intelligence is lethal ; if we fall, we fall together ; inspire ; wild child ; not ur pretty gurl ;

nova l'étoile, douceur trop rare, évaporée dans la nuit. autrefois discrète, tendre, terriblement naïve, manipulée avant tant d'aisance, poupée maléable au gré des envie, se plie, se tend, se tord mais jamais ne brise. les sourires se fânent avec les années, e m p o i s o n n é s, deviennent factices ; fleur fânée, en sommeil, devient prédatrice ; (super)nova, dévastatrice ; c'est une lionne, une acharnée de la vie. aujourd'hui elle prend, et quand elle est d'humeur, elle donne. enfant des bas quartiers, n'a jamais vécu dans le luxe, a grandi en sachant pertinemment combien le monde est impitoyable, combien les gens peuvent être faux. (( don't trust anyone )) alors pourquoi, pourquoi rester gentille, quand tout le monde parle sur ton dos quoi qu'il arrive ? elle a essuyé les critiques, les jugements, les regards en biais. et en quittant la vie à deux, en s'émancipant, lorsque l'oiseau a déployé ses ailes, elle s'est promis de ne jamais être la victime. égoïste, c'est sa gueule d'abord, celle des autres ensuite. éventuellement. elle est possessive avec ceux qui lui sont proches, mais peut prendre et jeter les autres à sa guise. et surtout, elle se veut intouchable, invulnérable, et pourtant... et pourtant quiconque tire sur les mauvaises cordes peut rapidement lui faire mal, et faire émerger une gamine blessée, et déçue par la vie.



if we go down,


then, we go down


together.


pseudo everdosis/mélanie
âge ew, trop vieille
nationalité fr.
forum connu par... ma pomme
ILH, j'en pense quoi ? c le sang de la veine
autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé lily maymac
crédits images everdosis, et j'crédite quand même j'me suis inspirée de zak pour la partie anecdotes de ma fiche.
nombre de mots par rp aléatoire.
type personnage pré-lien

code études
danse ;; Department of art, litterature and history ;; 5eme année
Code:
@"nova yang" » <i>(danse)</i>

code bottin
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» <span class="pris">lily maymac</span> » @"nova yang"
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Un jour, une histoire




l'individualisme ancré dans les chairs, she was born alone, made alone ; mère célibataire, l'enfant brille au coeur d'une nuit estivale, premiers cris poussés vers trois heures du matin dans un hôpital de pittsburgh, pennsylvanie. elle n'en verra les bâtiments que trois jours, avant de quitter la ville dans les bras de la génitrice, cap vers une autre vie. puis une autre. et une autre.boston, montgomery, washington. l'enfant ombre vit de famille en famille, un an à gauche, deux à droite, avec un père aux abonnés absents, et à suivre chaque fois une mère gouvernante sur ses boulots ; poupée tenue sous l'emprise d'une femme exigeante, transfère ses rêves sur sa progéniture : tu brilleras, nova, à tous les faire tomber, tu décrocheras les astres ; la posture est droite, les traits délicats, la parole sage, calquée sur ces bonnes familles qu'elle observe à la dérobée pendant que sa mère nettoie leurs vêtements sales, les étoffes d'une souillon couvrant le corps fin pour l'attitude d'une princesse du beau monde ; et elle a la grâce d'un cygne, nova, rose délicate (( qui s'y frotte, s'y pique(ra) )) ; c'est là que vient l'idée de la mère yang, envoie sa poupée sur les planchers cirés et sous les miroirs intimidants ; la danse comme refuge et exutoire dès huit ans, comme une évidence dès les premiers jours. gamine forgée dans la grâce, sa mère attend d'elle la plus belle des étoiles, saigne ses salaires pour entretenir son rêve à travers sa fille : tu brilleras, nova.


l'innocence si tendrement abusée, treize ans quand elle arrive à philadelphie dans une nouvelle famille à observer : s i n, la famille n'a jamais si bien porté son nom, poupée innocente incapable de se douter de ce qui l'attendait dès lors qu'elle a sourit timidement aux deux frères présents pour les saluer avant de vaquer à leurs occupations. et elle ignore, nova, ignore qu'un simple compliment prononcé par le plus jeune des frères aura suffit à la condamner à devenir jouet du diable. et elle plaira, nova. ignore encore qu'elle séduit par sa candeur et ses sourires, qu'elle attisera la passion autant que la colère. et quand la semaine, l'un attire l'étoile comme un papillon vers une lumière froide, de l'autre côté le week end, l'autre lui vole des sourires tendres et curieux qui se fanent chaque fois qu'ils se retrouvent à trois. il n'y aura de place que pour deux dans cette pièce de théâtre.

elle s'épanouit. (( lente chute vers les enfers )), grandit en terrain trouble. peu à peu, elle découvre les protagonistes de sa nouvelle vie, famille au cadre apparemment parfait, quand dans les ombres, c'est le pire qui fleurit. à deviner les vices du père enterrés par les sourires et la politesse, devine à sa mère qui fait toujours attention à ce qu'elle ne soit jamais seule à la fin de la journée avec lui dans la même pièce. le patriarche sin aux milles facettes, aux dîners qui défilent au bras de femmes différentes. il en épouse certaines. joue avec les autres. concept de la femme-objet de collection, et si elle est jeune, l'étoile ne tarde pas à comprendre qu'à trop jouer avec les corps, il en a eu deux fils de mères différentes.

light
iseul, le fils prodige, l'aura insaisissable. nova elle le découvre, pas à pas. les week-ends, quand il n'est pas à l'internat, ce sont les discussions simples qui les rapprochent, les rires qu'il lui vole parfois, les sourires qu'elle parvient à arracher à sa façade d'ordinaire si froide. constamment sur la réserve, elle n'arrive pas à se positionner vis à vis de lui, nova. ne sait si les échanges sont courtois ou sincèrement intéressés. s'il est bon acteur, ou si les passages qu'il fait parfois pour lui demander comment elle va sont imprégnés d'une sincérité qui lui échappe. échanges fugaces, quand il ne fuit pas chez d'autres. amis, soirées, filles qui se pavanent à son bras. il semble inatteignable, iseul, enterre le mal par le mal, fermeture de l'esprit quand pourtant, parfois, il lui semble lire une lueur dans son regard. éternellement hors de portée, les absences répétées et les discussions écourtées laissent l'étoile se salir au contact de celui qui l'a subtilisée pour lui faire mal.

darkness
l'aîné nonchalant, brille par sa jalousie depuis la naissance de ce frère d'une autre mère, syndrome maladif, à vouloir entreprendre de voler tous ses jouets. et nova, c'est la poupée idéale à corrompre, l'étoile à éteindre. et si iseul la trouve belle, elle brûlera, incandescente, entre ses doigts. et il captive par son aura sombre, à observer l'enfant à la dérobée chaque soir après les cours, fait exprès de travailler dans les salles communes plutôt que dans sa chambre pour mieux attirer les iris d'or. et sans s'en rendre compte, elle laisse le venin s'infiltrer dans ses veines, tendre innocente, refuse de voir les manipulations du garçon (( démon )) , deux années à le suivre, comme une ombre ( se veut pourtant lumière ) à s'espérer sauveuse quand c'est lui qui l'attire en enfer. avocat du diable, la mère n'est pas dupe, n'a de cesse de protéger l'enfant prodige en l'éloignant des enfants sin ; et à mesure qu'elle grandit, nova, elle se perd, elle défend, ignore le mal quand bien même le voit-elle, les disputes et la distance se creusent avec la génitrice. elle grandit, nova, l'adolescence qui se dessine à l'aube de ses seize ans, et avec, l'oppression qui la consume, peu à peu, pouvoir qui échappe à une génitrice qui voit les fils de sa poupée subtilisés par un autre.

jusqu'au soir de trop, celui où elle cède, où elle suit, goûte pour la première fois aux affres des soirées dorées, celles où les jus de fruits sont empoisonnés, belle innocente suit son ange (déchu) dans les ombres, laisse ses ailes se teinter d'encre, se souvient s'être senti à l'étroit, avoir fuit vers les jardins. puis les souvenirs sont flous, auréolés d'un parfum étranger, d'une veste chaude sur ses épaules, d'un premier baiser volé, médaillon suspendu à sa nuque, et des lèvres d'un fils, la promesse de lui offrir l'attention qu'elle mérite. une attention qu'elle n'aura jamais. car l'aîné reprend ses droits, récupère la belle endormie ivre. et entre deux black out, quand il la conduit jusque la demeure sin, une phrase, une seule, pour provoquer son déclin : en fait, il m'aime vraiment, mais pas toi. la marionnette s'échappe, s'évade, retombe dans les vapes. la colère gonfle les veines d'un aîné qui ne saurait discerner les émotions qui s'affrontent, contraires : mépris, colère, jalousie, détresse ? le pion se perd à son propre jeu devant l'innocente, alors il abat sa dernière carte. celle qui abattra leur château.

et lorsque l'aube pointe à travers les rideaux, elle s'éveille au creux des draps, sous les cris d'une mère scandalisée, gamine étourdie, gueule de bois sévère, arrachée aux draps de son diable, la promesse d'un plus jamais qui grimpe, floue, jusque l'esprit encore anesthésié par l'alcool. à trop vouloir faire comme les grands, elle a perdu le nord, nova, à ne pas savoir si les reproches sont légitimes, si elle a osé goûter au poison du corps, à franchir ses limites. elle n'aura jamais le temps de poser les questions importantes, nova (( douce torture qui l'aura longuement hantée )) car à trop vouloir faire comme lui, la voilà écartée, démission de la mère yang, emporte son joyau loin de la couronne brisée. tirée loin du garçon poison, parties sans se retourner, quand le plus jeune s'apprêtait justement à l'en sauver.

installées dans un appartement minable de new york, fini les familles riches, madame yang choisit de devenir femme de ménage , à qui la faute ? les reproches pleuvent, l'enfant se défend, ne comprend pas, puis la vérité explose : gamine née d'un adultère entre sa mère et un précédent patron, l'argent pour payer le silence, pour payer la distance, enfant non désirée. (( tu te rends compte, nova, que t'aurais pu reproduire ses erreurs passées ? )) elle insiste, elle fait mal, le fossé se creuse en parallèle de l'emprise qui se fait plus fort, à l'accuser d'être irresponsable, d'avoir presque fini comme elle quand de sa peau, il n'en aura probablement que frôlé l'épiderme ; mais l'innocente se referme, la confiance s'effrite, la patience s'envole, don't trust anyone but yourself. tous des menteurs, des manipulateurs, à se servir d'elle comme d'une poupée dont on dispose et qu'on jette. elle sera pantin des sin, danseuse de sa mère, non, elle sera elle, vivra pour elle et pour personne d'autre. les années passent et le cœur se couvre d'une fine couche de glace. puis à dix-sept ans, le précieux sésame en poche, fuir vers une chambre de columbia et son programme de danse, respirer et au passage, pouvoir enfin jouir d'une liberté qui manquait à son âme ; elle se découvre enfin nova (( no more )) la douceur envolée, confiance abusée, elle se prône pleinement indépendante, ne dépend de personne, ne vit plus que pour elle et pour elle seule, perfide actrice devant maman, à suivre le chemin qu'elle lui a tracé (( mais le veut-elle vraiment ? )).

mais aussi grande soit-elle, new york demeure trop étroite pour elles deux, à ne plus supporter le contrôle abusif, prétexte un meilleur programme, elle s'entraîne, danse, danse encore, s'épuise ; puis enfin elle s'éloigne plus encore, quand harvard la recueille. orpheline d'affection, alors elle vole l'attention, pose ses valises, jongle entre les petits boulots pour vendre l'illusion d'une vie de luxe, quand elle demeure, finalement, cette même gamine trop abusée par la vie.

(Invité)