ASHTON VAN HORN ► Can Yaman

naissance
23 Mai 1993 à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Le pays où tu as plus de moutons que d'habitants, avec un piaf douteux comme symbole mais on a les All Blacks et de supers vagues pour surfer, donc ça rattrape tout.

nom & prénoms
Ashton Van Horn. Mes parents auraient pu faire dans l'originalité mais non, la banalité. Bien à l'opposé de moi.

nationalité(s)
Néo-zélandaise et Américaine. Impossible de choisir entre la patrie de naissance et celle du cœur.

origine(s)
Une multitude pour créer tant de beauté, moi. Australienne (grand-mère maternelle), Néo-zélandaise (mère), Américaine (famille paternelle), française et grecque de lointains aïeux mais on peut aussi trouver, turques, kosovar albanais. Pour le plaisir de tes yeux.

orientation sexuelle
Bisexuelle. Plaisir pour tous.tes, et surtout partout. On ne le dirait pas ainsi mais oui, je peux faiblir autant devant les courbes masculines que  feminines. Après, faut attirer mon attention.

statut amoureux
J'ai été fiancé. Mais c'est bien trop d'engagements pour moi. Le coeur niché dans son écrin. A ne vouloir aimer que les corps et l'esprit. Célibataire ou à tout le monde, ce qui t'arrange.

statut social
Je ne manque de rien. Cuillère d'or dans la bouche. On peut dire que je suis bien né. Merci les parents ambitieux. Flambant rapidement les billets. Aisé, et ça me plait. Héritage de la grand-mère venant de tomber sur le compte en banque en prime. Que demande le peuple ?

emploi
Professeur de langues étrangères à Harvard dont l'Anglais, le Chinois Mandarin, le Français et l'Arabe. Toutes classes confondues.

Je distingue deux types d’amour ; familiale et passionnel. Ma famille est toute ma Vie. Je pourrais franchir la ligne de Justice pour eux. Ils rythment mon quotidien. Leur amour me rend vivant. Sans eux, je serais entrain d'errer. La Passion, celui qui te prend aux tripes. J’aime aimer. Je me donne entièrement, sans filtres. A mes yeux, sans amour, la Vie est bien trop fade. J'aime que ce sentiment m'anime, qu'importe sa durée.

On dit que je peux être très impulsif. Je ne peux pas le nier. Je vis intensément. Je réagis à chaud. Je m'excuse tout aussi rapidement. J'apprends à rester modeste ! Je reste quand même une personne fiable. Pour mes proches, je suis capable de tout. Du meilleur comme du pire. Je sais que je peux me montrer sans coeur, mais ne t'y trompe pas, c'est juste que je reste méfiant avec les inconnu.e.s. Une fois qu'on se connait, je peux être un véritable bout-en-train et un gros fêtard, je l'admets. Cela dit, je peux me montrer raisonnable, notamment dans mon travail. Ainsi qu'être discret, parce qu'ouvrir sa gueule à tout va, ça mène jamais bien loin. Pour le reste, tu te demerdes, tu grattes et on voit si on s'entend bien ou non.

Origines. Je suis né à Auckland, en Nouvelle-Zélande et j’ai grandi là-bas, puis nous avons déménagé à Brisbane en Australie, avant de s’envoler vers un bout de paradis nommé Saint-Denis de la Réunion pour s’échouer à Denver dans le Colorado. J’ai fait mes quatre ans de fac là-bas puis ensuite, mon dossier a été à Harvard.  

Privilèges. Fratrie de trois. Ainé de deux chieuses mais j’aurais aucun scrupule à te briser les genoux, si tu fissures leur cœur. Mais j’étais surtout le fils, l’héritier d’un père à la tête de Van Horn Automobile et d’une mère détenant des parts dans l’entreprise Woolworths. Comment te dire, qu’avant même que tu le comprennes, t’es déjà quelqu’un. Et on te le rappelle chaque fois. Cela ne me dérangeait pas, au début. C’était un jeu pour moi. Des facilités pour atteindre la réussite. L’envie que la fierté règne dans ma famille. Alors même en étant fêtard, je bossais. Entrer dans l’entreprise de mon père était mon objectif. Puis tout a changé.  

Chute. Tout a commencé par une ligne sur le blanc nacré de la table basse de cette baraque. Mes potes de lycée devenant, haut placés dans la société, mes acolytes de soirées...  J’avais toujours dit non. Esprit sain, corps sain. Je n’avais pas besoin de me détruire. Puis la hardiesse m’avait gagné, un défi de merde. Oui, je peux arrêter comme je le veux. Et ce fut la ligne de l’enfer. Une nouvelle réalité s’ouvrait à moi. Je ne voulais plus arrêter, je ne le pouvais plus. Moi l’héritier, je devais être brillant. Être parfait. Alors juste une ligne pour tenir bon. C'est ainsi que je m'étais convaincu, juste un booster. Tout s’est arrêté le jour où j’ai commencé à voler ma famille, à piquer leur économie. Déconnecté, je ne songeais pas au mal que je leur infligeais. Puis ce fut deux paires d’yeux innocentes, me voyant sniffer qui m’a brisé le cœur. Cette petite sœur pour qui j’étais le modèle. La plus grande dont je ne saurais jamais comment décrire son regard. J’en cauchemarde encore. Me sevrer. Pour elles. La Tentation demeure à tout instant. Tel un funambule, je suis conscient, je peux chuter et sombrer de nouveau.

Elle. J’ai fait ma quatrième année à distance, pour voyager en même temps. J’ai fui un an pour me remettre d’équerre. Puis, je l’ai rencontré Elle. Ce caractère incroyable, une Aura à vous laisser sur le carreau. Le coup de foudre. Moi qui passais mon temps à enchainer les relations, je ne voulais qu’Elle. Des mois, à oublier ma famille, mon passé. Le Renouveau à ses côtés. Je l'ai aimé. Si fort. Au point de la laisser devant l’autel le grand jour. Ai-je paniqué ? Possible. Me suis-je rendu compte que j’étais trop jeune pour me marier ? Plus que possible. La vérité qui écorche le cœur. Je ne l’ai pas revue depuis.  

Meurtrier. Je suis revenu à la raison. Je suis rentré à la maison. Et j’ai dit à mes parents que je ne voulais plus être une marionnette. Je veux vivre comme je l’entends. Vivre paisiblement. Et non jouer avec la pression comme je pensais pouvoir la supporter. Et puis, le jour où j’ai su que j’étais stérile, j’ai décidé que je voulais travailler avec les enfants. Certains auraient fui mais pas moi, je le voulais à tout prix. Je visais la primaire, j’ai fini par être professeur de langues, notamment à utiliser dans le monde professionnel. Je me suis arrêté à la Maitrise pour professer pleinement. J’étais en compétition pour devenir le mentor nec plus ultra du département. Compétition intra groupe qui avait été lancé. L’idée de choisir les étudiants pour les accompagner, c’était le divertissement de l’année mais aussi pour avoir les faveurs du Directeur. J’avais bossé dur, parce qu’il allait se fier à nos notes, aux résultats de nos classes. Mais la place me fut prise. Exæquo avec ma principale adversaire, il l’avait choisi. Je n’ai pas supporté. L’annonce fut trop dure à accepter. J’avais travaillé comme un dératé pour qu’au final, cette place qu’on m’avait tant fait miroiter, me passe sous le nez. Elle. Elle avait fait en sorte de me voler ce qui me revenait de droit. Elle. Celle qui me donnait chaque fois, de l’urticaire. Alors j’ai agi. Elle. N'est plus. La voiture bricolée, elle devait juste avoir un accident, entrainant une capacité longue durée. Juste lui faire peur. Mais .. Le frein a lâché plus que prévu. Un boulevard, des feux au vert mais elle n’a jamais pu s’arrêter, la collision fut inévitable. Mon méfait me hante. Je pourrais me sentir serein – ou presque – mais toi, tu étais là, et tu m’as vu penché sur sa voiture.  

Vrac. Horny Ash’ est son surnom. Pendant un an, a tenté de devenir une star du porno, s'est fait engueuler par ses parents, toutes les vidéos sont sous scellées et ses partenaires sous contrat pour se taire. Fait du surf depuis ses dix ans, remportant la championship Tour en junior. La notion de couple, trop peu pour lui depuis qu'il a fui le jour de son mariage. Je fais du rugby depuis qu'il a découvert les All Blacks à l'écran. Est entrain d’apprendre le Russe, le Bengali et l’Italien.  Joue de la guitare & de l’harmonica. Est allergique aux fruits de mer et au pollen.  

Auckland (0 - 6ans)
Brisbane (6 - 16 ans)
St Denis de la Réunion (16 - 19 ans)
Denver (19 - 22 ans) 
Cours à distance – tour du monde (22 ans - 24 ans) 
Boston - Harvard (23 - 28 ans) 

pseudo Patate full Douce
âge Je me suis arrêtée à 25 ans.
nationalité la région Elle & Vire
forum connu par... des voies impénétrables.
ILH, j'en pense quoi ? Roro, je t'aime.
autres comptes ? @Kassim Malacki @Aaron Kaine @Nathaniel Ducret @Yoni Joseph @"Johan de Monpezat" @Anton Azarov
avatar utilisé Can Yaman
crédits images lotusgraphics
nombre de mots par rp 100 à 500
type personnage inventé

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faculté d'art, litterature et histoire + professeur de langues étrangères :  explicatif pour remplir correctement dans ce sujet

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@"Ashton Van Horn" » <i>(professeur de langues étrangères)</i>

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