dance to this — oren

@Oren Koch l'ambiance était explosive ce soir. il y avait un monde fou dans cette boîte de nuit, vraiment beaucoup de monde. c'était surprenant puisque les étudiants sortaient habituellement du bateau le soir, afin d'aller de bar en bar mais pas ce soir. installé au comptoir aux côtés d'oren, tu n'arrêtais pas de sourire et de rigoler, à croire que tu étais pompette alors que pas du tout. comme à ton habitude, tu tournais à la limonade et au coca, rien de quoi te faire tourner la tête. prenant ton verre dans la main, tu le terminas d'une traite, le déposant lourdement contre le comptoir. — cul sec de soda, j'suis un malade, plaisantas-tu en descendant de ta chaise. plantant tes prunelles malicieuses dans celles d'oren, tu lui tendis une main. — ils viennent de lancer du rosalia donc c'est clairement l'heure d'aller danser, souris-tu en serrant sa main contre la tienne tandis que tu te faufilas dans la foule afin de vous trouver une place sous les néons colorées du dance floor.

(Invité)

Il a pas tant d’expérience dans les boites que ça au final. Avoir été kidnappé durant plus d’une décennie aide pas à multiplier les expériences, évidemment, mais même après son arrivée à Boston, c’était pas devenu forcément une habitude non plus. Il sortait beaucoup, mais il était plus coutumier aux bars qu’aux boites. Peut-être car on étouffe moins dans les premiers que dans les secondes. Il s’attendait pas à trouver tant de monde à la discothèque du bateau, après tout il fait beau dehors, mais qu’importe. Ça fait partie de l’ambiance de ce genre d’endroits. Posé au bar avec Clyde, il secoue la tête un sourire aux lèvres quand son ami boit son soda cul sec. Whoa. De son côté, Oren touche le fond de sa première bouteille de bière. Il compte pas se foutre mal ce soir, c’est pas l’idée. Il ne serait pas sorti avec Clyde sinon, pour ça. Non. Il a envie de sortir sa tête de l’eau ce soir. De se laisser happer par le fait qu’il est en vacances et que rien de mal ne va arriver. Distancer un peu ses problèmes, ne serait-ce que l’affaire de quelques heures. Ainsi quand Clyde lui tend la main pour le guider sur la piste, il la saisit et progresse dans son sillage alors qu’ils évoluent parmi les autres étudiants. Au bout de quelques instants ils dégotent un espace suffisant pour bouger sans se cogner et Oren lâche la main de Clyde pour commencer à onduler sur la musique, le temps de prendre ses marques. Son regard ne dévie pas de Clyde alors que la musique palpite, diffusant une vraie ambiance appuyée par les spots colorés. Oren ferme brièvement les yeux, comme pour déconnecter sa tête. Laisser tout le reste derrière. « J’avais pas fais ça depuis une éternité » qu’il lance à voix haute, assez fort pour être entendu malgré les bruits ambiants. Une éternité ou ce qui y ressemble. Il a une conception mal foutue du temps qui passe. @Clyde Stenberg

(Invité)

@Oren Koch en entendant du rosalia, ta chanteuse espagnole favorite, s'échapper des grosses basses de la boîte de nuit, tu terminas d'une traite ton verre de soda et tu pris la main d'oren avait de l'amener sur la piste de danse. le tenant fermement afin de ne pas le perdre dans cette foule en délire, tu serpentas entre les nombreux étudiants jusqu'à ce que tu trouves une place suffisante pour tous les deux. tu lui lâchas la main, te plaçant face à lui, et tu commenças à danser en rythme avec le tempo urbain et latin. danser sur ce genre de musique était bien loin de tes arabesques d'harvard. danser autre chose que du classique te faisait du bien. tu laissais ton corps s'exprimer librement, laissant tes hanches se perdre dans le rythme du morceau. ton sourire s'élargit aux paroles d'oren. — et tu fais ça très bien, rigolas-tu en tapant dans tes mains, t'approchant quelque peu de lui. — tu bouges bien les fesses putain, j'ai trouvé un adversaire redoutable, plaisantas-tu, une lueur malicieuse dans les yeux tandis que tu pris la main du garçon afin de le tirer contre toi, déhanchant ton corps sur lui.

(Invité)

Il sait pas précisément à quoi ça tiens, il sait juste qu'il se sent bien et qu'il n'est pas très alcoolisé. Ces dernières années, ces deux choses n'ont pas été très compatibles. Peut-être que c'est dû à la danse et au naturel que ça a de se mouvoir là, hors du cadre strict de la danse classique. Et il aime ça, il aime la rigueur de sa danse de prédilection, mais c'est le lâcher prise que son corps exige en cet instant. La présence de Clyde aide aussi. Si Oren se sent pour une fois plus ou moins en adéquation avec les corps massés autour de lui, son ami lui fait l'effet d'un poisson dans l'eau. Il en est un peu jaloux, Oren. Il se mâchonne brièvement la lèvre en exigeant mentalement à ses pensées négatives d'aller se faire voir. Clyde se rapproche de lui et Oren se focalise exclusivement sur lui et sur la musique qui palpite, contribuant fortement à la création d'une ambiance. Il ne fait pas davantage de résistance quand Clyde se rapproche davantage, dansant contre lui. Il lui rend la pareil, son regard planté dans le sien. « J’ai encore un peu de boulot pour dépasser le maître » ses lèvres s'incurvent en un sourire, une étincelle de défi nichée dans ses yeux bleus. @Clyde Stenberg

(Invité)

@Oren Koch danser librement, voilà quelque chose que tu appréciais particulièrement lors des vacances d'été. tu avais totalement décroché de la danse classique que tu suivais avec détermination et concentration à harvard. la rigueur et la raideur de cette discipline feront leur retour en septembre. pour le moment, tu voulais te lâcher, profiter sans te soucier du placement de tes pieds, de si tu paraissais aérien, gracieux ou souple. t'étais dans la piste de dancefloor, à te déhancher sur le son entraînant de rosalia, et tes yeux ne pouvaient pas quitter ton ami. oren était face à toi, bougeant en rythme avec le tempo latin. après ses examens de fin d'année dont il n'avait pas été satisfait, tu étais content de le voir prendre du plaisir à danser en ta compagnie. sourire greffé aux lèvres, tu t'approchas de lui afin de coller ton corps au sien, bougeant ton bassin contre lui sans le quitter du regard. — c'est vrai, rigolas-tu. tu lui tournas le dos, de façon à ce que tes fesses bougent sensuellement contre lui. — ça, c'est du haut niveau, plaisantas-tu tout en continuant de te frotter avec provocation contre lui. la danse classique était loin de vous et ça faisait du bien.

(Invité)

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