ALIZ LIU ► jessie mei li.

naissance
navrants étaient les astres lorsque ses maigres poumons ont expulsé l'air. les larmes poupons sur les joues bonbons. et tout un univers s'effondrant autour des parents, face à ce cadeau empoisonné, ayant vu le jour un cinq février.

nom & prénoms
pourrie jusqu'à l'âme, la vipère aux poings. aliz est devenue viper, viper est devenue aliz. elle est ce qu'elle appelle, un passe-partout. couverte par l'apparence juvénile et chétive, aliz se joue des autres, en tâchant d'oublier d'où elle vient.

nationalité(s)
born and raised, sur le sol des états-unis, avec pour foyer new york et boston, depuis trois années.

origine(s)
douloureuses cicatrices de ces origines qu'elle aimerait oublier. tout lui fait penser à ses parents incapables qu'elle a eu, aux adoptants maudits. c'est l'angleterre et la chine qu'elle a dans le sang, aliz. goût amer.

orientation sexuelle
glissent les doigts sur torse sculpté. brillent les pupilles dont l'esprit occupé se revêt d'intérêt. ce sont les hommes qui ont sa préférence morbide, sinistre et eux, qu'elle contrôle, malmène, détruit, sous ses griffes acérées de monstre affamé.

statut amoureux
odieuse, infâme, furie avare de sang et de papiers colorés. elle ne voit que par l'argent et le contrôle, frissonnant face à la soumission de ces hommes emparés. jamais attrapée, jamais capturée, aliz, elle est la tentation à l'état pur. le poison qui rampe.

statut social
brillants ces bijoux et parures, dont le corps se vêtit. les revenus sont modérés, aisés, parfois, mais elle n'en dit rien, aliz. savoure en silence les avantages de ses deux statuts, en rêvant de tous ces tissus vaporeux, épousant ses galbes.

emploi
jane doe se faufile dans les rues agitées, dans les artères bouchées. elle frime, accélère le pas et se glisse, de justesse, dans le prochain métro. serveuse pour cacher l'activité illégale au sein du gang brotherhood, aliz, elle sait parfaitement effacer les traces et se jouer du monde, qu'elle veut à ses pieds.

aliz, elle a le nez plongé dans la noirceur, depuis son plus jeune âge. amochée, pervertie, le cerveau a grillé et ne fait que suivre ses instincts. envie de pouvoir, d'être adulée, elle en a réduit plus d'un au silence éternel et continue d'exercer cette influence néfaste, au péril de sa vie, s'il le faut. l'interdit la fait vibrer, ponctue son existence de délicieuses sensations. elle aime se sentir et se savoir dangereuse, que personne ne lui résiste, quitte à répandre du carmin sur le sol.

aliz, yeux papillons. paupières battantes sur prunelles charmantes. elle joue des apparences, avec le feu et sait comment parvenir à ses fins. charmeuse, tentatrice impitoyable, les fils se resserrent lorsqu'ils rentrent dans ses pièges. elle ne pense qu'aux intérêts, se complaît du pouvoir brûlant ses paumes pâles et renaît de ses cendres, après avoir été bafouée, malmenée, une longue partie de son existence. égoïste, aliz, elle a les yeux tournés vers elle, se voue une confiance imperturbable et sait comment s'y prendre pour verser, goûte à goûte le poison. acharnée, elle ne recule devant rien et se montre insensible face au malheur provoqué. le cœur a cessé de fonctionner, aliz. elle ne ressent plus rien que l'envie d'être admirée, célébrée, vénérée, à la manière d'une déesse et se fiche d'en détruire, des essences. les ongles s'enfoncent, déchirent, face à une poupée qui sait s'y prendre pour arriver à ses fins. c'est aussi une fierté et une rancœur, immenses, qu'elle se trimballe, sur les épaules frêles, aliz. elle a mal à l'âme, se venge de toutes ces sombres années et se détache, petit à petit, de cet univers, qu'elle souhaite mettre à feu et à sang. sa vengeance porte le sceau de la mort et de la violence, sans concessions.

les coups pleuvent, ce soir. les larmes perlent, ce soir. aliz a la peau abimée, les joues creusées et les cris des géniteurs, comme mélodie mortuaire. dix ans, la sombre enfant, à trouver refuge dans les rues, où les loups traînaient. elle n'en pouvait plus, à un si jeune âge, de cette violence inouïe, s'abattant sur ses traits enfantins. la faute d'un déni de grossesse, puis d'une enfant, dont ils ne parvenaient pas à se défaire. aliz, elle a enduré, payé le prix fort d'une arrivée non désirée. marquée au fer rouge, d'une absence d'amour. gamine piétinée, victimisée, aimée de personne. elle a enduré, trop souffert et a vrillé, lorsqu'ils l'ont largué devant la porte de l'orphelinat. elle n'a pas grogné ni gueulé, aliz. elle s'est mise à frapper, cogner et faire mal, si mal, que l'on se souvient d'elle, comme martyre infantile. les familles d'accueil se sont enchaînées, sans que l'on garde le bébé trop longtemps. trop froide, renfermée, à attirer les problèmes et fréquenter des mauvaises graines pas germées, aliz, elle a rapidement mal tourné. si jeune, la crasse dans les mains et des allers-retours incessants entre l'orphelinat et des familles perdues. pour n'jamais être adoptée, aliz. l'esprit grillé. s'est rien passé, depuis. aliz, elle a grandi seule au milieu d'une foule d'assoiffé, d'affamé. le sang sur les mains, de cette tentative de viol avortée, par un couteau dans la gorge. seize ans, âme morcelée. et baker qu'elle rencontre, aliz. qu'elle murmure à son oreille, de lui donner ce qu'elle désire : billets colorés. le poison qu'elle distille lentement dans ses veines. comme dans d'autres. elle gagne sa vie, aliz. en susurrant aux oreilles, de sa langue serpentine. elle survit, en noyant ses phalanges de vermeille. et en rentrant, seule, incomprise. c'est le chemin sombre qu'elle a choisi, aliz, s'accrochant à baker, qui la surprend, devient influent, au milieu du sinistre et du mortel. elle se voue à cette cause grandissante, à baker qui l'impressionne, agissant selon ses commandements et ses envies, pour qu'il l'accepte, la remarque, le vilain petit canard. c'est qu'en 2018 qu'elle quitte tout, petite tyrannie, qu'elle le rejoint à boston, en laissant sous contrôle l'empire vipère de new york. elle creuse sa place, dans le gang brotherhood, survit de ce qu'elle sait si bien faire : ensorceler, frapper. cogner, influencer. sans cesser d'apprendre, la mordue de pouvoir, auprès des autres, de baker. devenant son ombre, son monstre. le carmin jouvence.

pseudo achillée.
âge nope.
nationalité française.
forum connu par... discord.
ILH, j'en pense quoi ? très beau.  
avatar utilisé l'adorable jessie mei li.
crédits images ultraviolences.
nombre de mots par rp entre 500 et 1000 mots.
type personnage scénario de @Baker Ridley-B.    

code métier
barking crab + serveuse :  explicatif pour remplir correctement dans ce sujet

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@"aliz liu" » <i>(serveuse)</i>

gang brotherhood + veuve noire :  explicatif pour remplir correctement dans ce sujet

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@"aliz liu" » <i>(veuve noire)</i>

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<span class="pris">JESSIE MEI LI</span> <span class="scena"></span> @"Aliz Liu"