Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAccroche toi à moi, je serai ton repère dans le noir (keelan)
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Accroche toi à moi, je serai ton repère dans le noir (keelan)

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« e paʻa mai iaʻu, ʻo wau kou hōʻailona ma ka pouli. »
ft. @Keelan Malacki

Faut toujours que les discussions familiales s'enveniment. Alors qu'une fois que les discussions se font en tête à tête, tout s'apaise. Tu sais que le petit va mal, que pour lui, tout est bien plus difficile que pour toi. Tu ne vis pas cette situation aisément, mais tu as un certain recul sur tout ça, parce que tu t'es éloignée de tout ça pendant plus de deux ans. Après une explosion, il ne reste que des débris, et pour votre famille, c'est un peu pareil. Mais il vous faut recoller les morceaux et vous resouder. C'est pour ça que tu restes, que tu t'es à nouveau établie en ville, dans ce super appartement avec ce gars sympa que tu apprends à connaître un peu plus chaque jours depuis deux semaines. Mais ce soir, le petit a besoin de toi, et t'as pas hésité une seconde pour lui dire de venir. Tu as même eu l'idée saugrenue de t'improviser cuistot pour la soirée, concoctant le plat signature de maman. Parce que tu l'as vue faire des centaines de fois, parce que tu l'as écoutée à chaque fois, et parfois même tu l'as aidée à le préparer. Alors tu as tous les secrets de préparation, même si ça n'aura plus jamais le même goût qu'à la maison. Parce que ça n'aura pas la même saveur qu'avant. Mais tu le fais pour lui, avec l'amour qu'y mettait la mère quand elle le faisait.

Tu laisses mijoter, le temps de nourrir les deux fauves. Le chipmunk devrait pas tarder, et tu vas te mettre à l'aise dans un débardeur et un short de bain en attendant qu'il se manifeste. Et si lors des premières retrouvailles sous tensions, les élans affectifs n'étaient pas de mise, ce soir, tu as bien l'intention de le serrer dans tes bras.
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J’ai du mal à remonter la pente, cette impression de dégringolé sans avoir aucune prise pour me rattraper, maman en cavale, mon pilier, une partie de moi qui me faisais avancer, passer de se voir tous les jours, habiter ensemble a plus rien du tout, à peine un appel de quelques minutes par semaine. Me tourner vers les autres impossibles, ils ne devaient pas savoir, ils ne comprendraient pas. Comment je pouvais leur dire que durant toutes ses années que j’avais gardé le secret sur ce que je subissais, ne rien dire, jamais, dissimuler la vérité toujours plus de cachoterie j’étais une vraie bombe à retardement, il m’en fallait peu pour que j’explose et c’est aussi pour ça que j’évitais Kassim...

Des cernes sous les yeux trahissant mes heures à bosser au Lord Hobo, mes nuits blanches à faire le gogo et mon manque cruel de sommeil. M’endormir, cauchemarder, retenir mes hurlements, me réveiller, plus d’un mois sans avoir passer une vraie nuit et cette impression que je ne dormirais plus jamais.

Je me gare en bas de l’immeuble, sac sur l’épaule et casque sous le bras je grimpe les escaliers et sonne, porte qui s’ouvre, sourire aux lèvres et l’adulte que je suis censé être redeviens aussitôt un enfant face à sa grande sœur je laisse tomber mon sac, je pose mon casque et je viens aussitôt me loger dans les bras de Kehlani “Repars plus jamais stp...” suppliais je alors que mes larmes coulaient sans que je ne puisse les contrôler
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T'as raté tant de choses, quand t'étais en vadrouille aux quatre coins du pays. Deux ans, c'est long. Et ce n'étaient pas les quelques messages que tu envoyais de temps en temps aux plus jeunes qui allaient combler l'absence, qui allaient apaiser leurs maux, leurs problèmes. Parce que c'est si simple de mentir derrière des mots qui s'échangent derrière un écran. Dire que tout va bien alors que la réalité est toute autre. Tu t'en rends compte maintenant. T'as raté le mariage de Kassidy et t'as pris conscience qu'il n'était pas heureux. T'as pas vu que la relation de tes parents prenait une tournure aussi chaotique. Qu'Adel continuait ses études. Que Desmond était devenu un autre homme. Que Kassim n'avait pas tant changé, au-delà du fait qu'il soit père. Qu'Azraël était devenu cynique. Et que Keelan avait besoin de toi. Et maintenant que le mal est fait, tu tentes de rattraper celui qui file sans jamais laisser le temps de le retrouver.

Le temps ne se rattrape pas, mais tu peux toujours combler l'absence que d'autres ont laissé en étant de nouveau présente. L'absence d'un père mort qui aurait pu être plus aimant autrement qu'en donnant des coups, l'absence d'une mère qui s'est enfuie pour vivre loin de la cage qu'on a construit pour elle, ta propre absence passée pour une énième querelle inutile. Aujourd'hui, tu es bien décidée à ne plus fuir cette vie, à rester près des tiens, malgré tout ce qu'il pourrait encore se passer à l'avenir, car vos vies ne seront jamais de longs fleuves tranquilles.

La sonnette se fait entendre, le petit est enfin arrivé, entier. Etrangement, perdre un nouveau membre de ta famille semble devenir une forme de hantise. Toi, l'égoïste, tu as pris conscience de bien des choses en l'espace de quelques semaines. T'es heureuse de le voir malgré sa mine fatiguée, si bien que le sourire est partagé. Le gosse dans tes bras, tu le serres comme tu aurais voulu le faire le mois dernier, et c'est sans doute trop d'émotions pour lui. « Je te le promets, bébé. Je reste ici, avec toi. Avec vous tous... » Ca te brise le coeur de le voir dans cet état. Un bisou sur sa joue et tu te recules un peu de cette étreinte. « Tu veux que je te fasse visiter ? Promis t'auras le droit de faire des bombes dans la piscine avant de manger, et Anton viendra dans une vingtaine de minutes avec des bières et des comics. » Tu lui souris, avant de passer tes pouces sur ses perles salées.
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L’un de mes repères venait de se faire la mal quelques parts dans le monde, loin de moi et cette voix dans mon crâne qui me hurlait que ma place n’était pas ici, qui me disait qu’une fois que les siblings serait au courant de tout ils allaient me tourner le dos, les perdre eux aussi était au-dessus de mes forces, déjà que me tenir à l’écart d’eux depuis plus de deux mois était un véritable supplice, mais ses derniers jours ça devenait de plus en plus dure. Alors quand la silhouette de Kehlani apparait devant moi la seule chose que j’ai envie de faire c’est de la prendre dans mes bras, parce que ça fait bien trop longtemps que je ne l’ai pas vu, parce que ce soir-là dans la forêt la surprise était grandes et ce n'étais pas vraiment le lieu pour les effusions de joie. J’avais eu du mal quand elle était partie, déjà quand tout le monde avait quitté la maison les uns après les autres, mais quand Keh était partie de Boston du jour au lendemain j’avais eu la sensation que je ne comptais pas, que personne ne comptait, que nous n’étions pas assez bien j’avais mis quelques jours à m’en remettre, passant des heures dans mon coin de mauvaises humeurs jusqu’à ce que maman vienne me rassurer et m’expliquer que “ce n’est pas parce qu’elle est loin que tu n’es pas dans son cœur" et elle avait réussis à la joindre pour me la passer au téléphone alors que j’avais passé des jours à refuser tout contact avec elle.

Elle était là enfin et dans ma tête la voix de maman résonnait “le bébé à Kehkeh” disait -elle souvent quand elle venait au mobil home, tel un bébé koala je m’accrochait à elle, je crois qu’entre elle et Kassim c’est eux qui ont le plus subit mon affection. La retrouver me faisait du bien, loin d’apaiser toutes mes angoisses c’est certain, mais au moins elle était là. Je hoche la tête quand elle me propose de visiter, légers sourires quand elle me parle de la piscine et tout innocent je demande “Anton ? Ton coloc ? Il est mignon ?” le grand sourire s’affiche alors qu'elle essuis mes larmes et le sens olfactive se réveil “Ca sens comme chez maman” impression de quelques secondes qu’elle pourrait débarquer d’une seconde à l’autre.  
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T'avais pas l'intention de briser les liens qui t'unissais à tes adelphes, mais tu pensais que c'était préférable que tu t'éloignes de tout le monde plutôt que de laisser la colère s'emparer de toi un peu plus et de faire encore plus de mal autour de toi. T'as fait du mal, c'est une chose que tu peux pas changer, surtout à Keelan, parce que c'était le plus jeune, parce qu'il était toujours après toi. Même ta mère disait que c'était ton bébé, et t'as toujours agi comme telle avec lui. Sa deuxième maman, c'était toi. Bien sûr, ça t'a fait mal au cœur quand t'es partie, parce que le seul que tu voulais éviter c'était Kassim et pas les autres. Mais t'avais fait ton choix, t'avais déjà roulé assez loin de Boston pour faire machine arrière trop rapidement. Quand ta mère t'a appelée et t'a passé Keekee, tu lui as dit que tu l'aimais et que tu serais toujours là pour lui. Mais ça a pris du temps avant que tu ne reviennes. L'issue tragique de la mort du paternel a été le déclencheur à retardement. Te retrouver de nouveau avec tout le monde, sans maman pour tous vous rassembler, vous enlacer comme elle le faisait si bien, ça avait étrangement un goût amer. Mais s'il faut à nouveau cimenter cette base, autant en faire partie et ne pas laisser l'emplacement de ta pierre vide.

Tu sais que tu ne peux pas tout effacer, que tu ne peux pas tout réparer. Mais t'es là et t'as promis que tu resterais, peu importe ce qui allait se passer, peu importe les disputes, les prises de tête avec Kassim. Tu ne prendras plus la tangente. Le cadet ne perd pas le nord, te fait rire. « Ouais, c'est mon coloc. Je pense qu'il pourrait te plaire. Mais s'il te plait, si tu te le tapes, envoie moi un message pour que je mette des écouteurs, je veux pas vous entendre copuler. » Grand sourire moqueur avant de passer une main dans tes cheveux. Quand il te dit que ça sent comme chez maman, tu souris timidement. D'un côté ça te fait plaisir parce que ça veut dire que t'as réussi ton plat, de l'autre, ça te fait de la peine parce que tu sais même pas si un jour, tu pourras regoûter à ses plats à elle. « Ca veut dire que j'ai rien oublié de la recette. » Tu lui fais faire le tour de la maison, la cuisine d'où s'échappe l'odeur alléchante, le salon où trônent Big et Bang sur le canapé, ta chambre, la chambre que tu lui as préparée, la chambre d'Anton, les deux autres chambres libres, la salle de bain et enfin l'extérieur, avec la piscine. « Le dernier à l'eau fera la vaisselle ! »
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Toujours garder en tête l’essentiel, le colocataire. Quitte à être là autant doubler le plaisir non ? Concentre toi Keelan. En vrai, ça me faisait du bien d’être là, de retrouver Keh, de passer un moment seul avec elle, je pensais moins aux drames qui rythmais ma vie parce que j’avais juste envie de rattraper tout le temps perdu et vu qu’elle n’avait pas été là depuis que je m’étais éloigné de tout le monde elle allait surement me poser moins de question que les autres. Je ris quand elle parle de ce mystérieux colocataire “Quand ça arrivera je te dirais carrément de quitter l’appartement les écouteurs ne suffiront pas” surement trop ambitieux alors que je ne l’avais jamais vu, sans doute aussi que je me vantais un peu trop de mes prouesses. “Je te dirais si tu l’as parfaitement réussi quand je le gouterais” ou comment un simple plat pouvait nous rendre tous les deux nostalgiques en quelques seconde. Je la suivais dans l’appartement, une caresse faite à ses deux petits matous je la suivais chambre après chambre “Ca va être le top de squatter ici!” pour finir sur la terrasse et sur le défi qu’elle me lançait. Yeux qui s’écarquillent rapidement je sors mon téléphone de ma poche et je pars en courant, t shirt lancé à la volé un seau et une bombe réalisé à la perfection je sors la tête de l’eau “J’ai gagné ?” hors de question que je me tape la vaisselle, c’est bien un truc que j’avais horreur.  
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Tu lèves les yeux au ciel. Finalement, tu vas peut-être ne pas vendre ton van aménagé, il risque de te servir encore un moment, surtout si ces deux-là se plaisent. En même temps, t'as pas vraiment évoqué le sujet sexualité avec Anton, peut-être que tu vends du rêve au gosse pour rien, mais ton gaydar a émit un léger ping quand t'as vu le jeune russe la première fois, et c'est rare que tu te plantes sur ce sujet-là. Mais pour le moment, tu veux profiter du petit, ça fait longtemps que tu t'es pas retrouvée avec lui. « Ouais bah en attendant, tu restes avec Moune et tu commences pas à essayer de pécho mon coloc, j'ai besoin de garder cette baraque. » que tu dis en riant, pas pressée de retourner vivre dans ton van. Quand on retrouve le confort d'une maison, on a pas spécialement envie de le quitter si précipitamment. « Si t'avales tout, ça voudra dire que l'élève a dépassé le maître. Mais laisses-en pour Anton et moi, quand même. » Tu le charries le gamin, t'as envie de retrouver cette complicité entre vous. T'as besoin de retrouver ce gosse qui se tenait à ta jambe pour avoir ton attention. « Je sens que tu vas pas garder une chambre en solitaire bien longtemps. » Tu ricanes. Arrivés dans le jardin, défi lancé, le gosse ne perd pas une seconde pour se jeter à l'eau, bombe parfaite de sa part qui éclate avant que tu ne sois sous l'eau. Tu lui envoies une vague dans la tête. « Ouais champion, t'as gagné le droit de me regarder la faire. Sauf si on compte qu'Anton n'est pas arrivé et donc pas dans l'eau, dans ce cas ça sera pour lui. » Est-ce que t'as la flemme ? Oui.
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Je souris, Est-ce que je devais prendre ça pour une mini crise de jalousie ? Ça me faisait vraiment plaisir, qu’après tout ce temps elle veuille passer du temps avec moi, qu’elle me fasse passer avant, parce que je ne doute pas que son retour amène pas mal de retrouvaille autour d’elle. “Tu auras besoin de moi pour qu’il veuille bien vivre avec toi ! Je le ferais rester, parce que tu risques de lui faire peur !” Bien sûr je ris tout de suite après déposant un baiser rapide sur sa joue. Je ne suis pas objectif, mais moi ça me plairait de vivre avec Keh, surtout après ses longues années d’absence. “Je vais essayer de vous en garder une part, mais tâcher d’être rapide, si c’est ultra bon je ne réponds de rien !” La gourmandise faisant clairement partit de ma vie, combien de fois lors des grands repas de famille je me battais avec Kassim pour finir le plat. Sourire nostalgique, une nouvelle pensée pour maman, ce manque au creux de mon ventre, tenter de ne pas pleurer. “Je ne suis pas contre un peu de compagnie, surtout dans mon lit !” sourire du petit con gravé sur mon visage et je file rapidement dans la piscine, ne laissant pas le temps à ma grande sœur de réagir. Je remonte à la surface secoue la tête et ris comme un gosse quand elle m’éclabousse, mains qui passe sur le visage, rabattre mes cheveux en arrière. “Je suis d’accord, les absents ont toujours tords ! J’irais le regarder faire pour l’encourager si il veut” dis-je en l’éclaboussant à mon tour. Je redeviens sérieux quelques seconde “Moune... tu crois qu’on va y arriver sans maman ?”

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T'es pas du genre jalouse, genre loin de là, tu connais pas vraiment ce genre d'émotions. Ca picote parfois quand tu tiens aux gens, mais de là à parler de jalousie, pas que tu saches. Ou bien à un stade minimal. Parce que t'en as vu des couples rongés par une jalousie excessive. Des familles brisées par la jalousie, et clairement, tu veux pas reproduire ce schéma dans ta vie. Tu veux juste retrouver la place que tu avais laissée il y a deux ans passés, retrouver la complicité que tu as laissé s'étioler. Tu ris doucement, haussant les épaules. « C'est clairement pas impossible ! Parce que je gueule toujours autant, si ce n'est pire ! » C'est sans aucun doute pire, en vérité. Mais tu seras heureuse de garder le petit près de toi. Il ne manque plus que ton fils près de toi et tu seras sans doute entièrement comblée, bien qu'il manquera toujours le ciment de cette famille, maman. « Je vais réserver des tupperwares pour Anton et moi, juste au cas où. » Il a toujours été un estomac sur pattes, et tu te demandes où est-ce qu'il met tout ça. Ce gosse, c'est Kirby. Il avale tout sur son passage, mais il reste toujours tout beau et mignon. Tu lèves les yeux au ciel. « Tant que vous ne folâtrez pas dans mon lit, et dans les parties communes genre le salon et tout, vous faites ce que vous voulez de vos fesses, ça ne me regarde pas. Je fais l'autruche ! » Savoir ça, c'est comme si tu venais lui raconter le nombre de femmes qui sont passées sous tes doigts. C'est carrément gênant. Finir à l'eau et dire adieu à tes cheveux domptés, dire bonjour à la crinière de lionne qui va se présenter une fois qu'ils seront secs. « Ce que tu ferais pas pour mater un cul, c'est hallucinant ! Mais si ça m'évite la corvée vaisselle.. Mate autant que tu veux bébé ! » Puis tu vois bien qu'il replonge dans ses peurs. Tu t'approches de lui et tu prends son visage entre tes mains. « Ca sera pas facile tous les jours, mais on sera tous ensemble. Et tant qu'on est ensemble, on s'en sortira. Accroche toi à moi, je serai ton repère dans le noir. » que tu souffles comme une promesse indesctructible.
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