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Charles 2e Prénom Nom
« La magie du premier amour est d’ignorer qu’il puisse finir un jour. »
Son profil
études au choix ● 4ème ou 5ème année
célibataire ● Winthrop ou Mather ou Quincy ou Citizen
Son histoire
Pour l'histoire, elle est assez libre du moment que vous respectez ces quelques points :❖ Est arrivé à New-York vers l'âge de sept ans et y a vécu jusqu'à ses 18/20 ans.
❖ N'est pas issu d'un milieu aisé. (moyen ou pauvre à votre convenance donc)
❖ A quitté précipitamment New-York vers 18/20 ans alors que Léo était hospitalisée à cause de son insuffisance cardiaque. Il n'a semble-t-il donné nulle explication, encore moins à Léo, qui est d'ailleurs restée sans la moindre nouvelle de lui pendant près de quatre ans.
❖ Vient de débarquer à Harvard avec l'espoir de reconquérir Léo, qui ne veut plus entendre parler de lui, elle a trop souffert mais sa réapparition vient ébranler ses certitudes.
❖ Tout ceci promet d'être plutôt houleux ^^
❖ Sociable, charmeur, borné, doté d'un bon fond, drôle, protecteur, jaloux, impulsif, loyal, peut se la jouer bad boy, parfois violent -mais juste envers du matériel, miroir, mur, ou autre-, intelligent, casse-cou etc.
Ses liens
Léopoldine Y. Swarovski ft. Astrid Bergès-FrisbeyToute cette histoire de dingue a commencé alors que vous n'étiez que des enfants bien loin d'imaginer où cela vous transporterait. Tu venais d'arriver à New-York et tu avais déjà trouvé ton repaire, cette vieille balançoire dans ce parc où ta mère t'emmener passer le mercredi après-midi. Sauf que cet après-midi là une petite fille était assise sur ta balançoire, tu t'es d'abord dit que tu allais faire déguerpir celle qui avait osé s'approprier ton espace et puis tu as remarqué qu'elle ne se balançait pas vraiment. Elle était juste assise, les pieds ne touchant pas même la terre battue, le regard embué de larmes fixé vers ses mains. Pour une raison que tu ne comprenais pas, cette vision t'as attendri et tu n'avais qu'une envie réconforter cette poupée de porcelaine qui semblait prête à se fracasser de la hauteur de son perchoir. Cette après-midi là vous avez forgé les prémisses d'une amitié autour d'une balançoire, autour de votre balançoire. Vous n'étiez pas du même monde, vous étiez si différents l'un de l'autre et pourtant si complémentaires, tellement unis l'un à l'autre. Vous vous disputiez bien souvent mais ne pouviez vous passer de l'autre. Tu te comportais un peu comme son grand frère, mais avec ce quelque chose qui rendait votre relation unique, et tu t'étais fait la promesse de la protéger surtout depuis que tu avais appris pour ses soucis de coeur. Cela ne t'a pas empêché à l'adolescence de sortir avec nombreuses filles alors qu'une certaine attirance se développait indéniablement entre vous. Tu n'osais pas faire le premier pas vers elle, tu ne voulais pas faire le salop avec elle, tu refusais qu'elle souffre. Pendant ce temps tu la voyais flirter avec des garçons de son école pour riches et ça te rendait complètement fou mais tu refusais de lui faire une scène, tu gardais toute ta hargne en toi, surtout ne pas craquer, pas devant elle. Elle qui est si douce elle qui ne doit pas voir ce qui se cache en toi. Et puis un soir elle a abandonné ses stupides bouquins et t'a avoué qu'elle n'avait jamais aimé que toi et qu'elle voulait que ce soit toi. L'évidence semblait enfin s'accomplir. Elle et toi. Vous deux. Ensemble. Vous vous preniez toujours la tête pour des broutilles. Tu lui disais quand ses manies t'exaspéraient alors que tu les adorais toutes ces listes qu'elle faisait. Mais c'était vous et tu n'avais jamais été pus heureux. Sans que tu saches comment ni pourquoi, comportement auto destructeur inconscient ?, tu t'es un jour retrouvé dans le lit d'une charmante demoiselle qui n'était pas elle. Mais elle est arrivée. Et son regard, son regard tu ne l'oublieras jamais, bien pire que celui dans le parc le jour de votre rencontre, ce regard que tu t'étais juré de faire disparaître à jamais de son beau visage. Par un miracle que tu ne t'expliques pas, elle t'a pardonné et vous avez pu recoller les morceaux. Vous reconstruire votre bonheur autour de votre balançoire. Elle était en dernière année de lycée et te parlait d'Harvard qu'elle rêvait d'intégrer mais que ses parents pensaient qu'elle n'y parviendrait pas, qu'ils n'avaient jamais fait attention à son parcours scolaire de toute façon. Qu'importent ces deux idiots. Harvard. Dans un autre Etat, elle voulait s'en aller. Loin de toi. Elle avait beau t'assurer qu'il n'en était rien, l'idée s'était emparée de toi et ne te lâchait plus. Paradoxalement tu commençais à être distant et puis elle a eu un problème de santé lié à son coeur en toc et a été hospitalisée quelques jours. Tu as toi même eu un problème important (AU CHOIX) et as jugé bon de t’éclipser. Un simple "Je t'aime" susurré à l'oreille de ta belle endormie et tu étais parti. Tu n'as jamais répondu à ses appels ni ses messages, rien, tu préférais croire qu'il soit plus facile pour tout le monde qu'elle te déteste et t'oublie.Tu en as terriblement souffert mais c'est ce qu'il fallait faire, tu craignais de la blesser à nouveau et tu ne l'empêcherais pas de réaliser son rêve. Son hospitalisation t'as rappelé que son temps était compté et tu refusais qu'elle le gâche avec toi, pas en dépit de ce à quoi elle voulait accéder. Quatre années, tu as mis quatre années à oser revenir vers elle. Harvard, ben sûr elle a réussi, tu n'en as jamais douté. Tu ne sais au juste ce que tu vas lui dire mais tu veux la revoir, alors tu l'observes de loin et quand enfin vous vous retrouvez elle t'envoie paître et s'enfuit en courant mais tu as eu le temps d'apercevoir ses yeux bleus s'humidifier. Tu lui laisseras peut être du temps mais tu n'as pas l'intention de la laisser filer, plus maintenant, plusjamais. |
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