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with @Eva Jimenez ;; L’annonce de ta disparition avec tes deux très bons amis tourne en boucle depuis lundi. En particulier en raison du rang des deux jeunes hommes. Après plus de quarante-huit heures perdu au milieu de nulle part, à vous réfugier dans une vielle cabane, dans l’attente que l’on vienne vous retrouver. T’as lutté le contre le sommeil, angoissé et paniqué de ne jamais pouvoir te réveiller. Les examens médicaux tous passés, tu peux enfin souffler et faire ce dont pour quoi tu luttes depuis tant d’heures. A bout de nerfs, épuisé comme jamais tu l’as déjà été, tu te cloitres dans ton lit au milieu de l’obscurité et d’un silence de plomb. La tête grosse comme une pastèque, t’espères que le sommeil et les médicaments calmeront se mal insupportable. Au moins les nausées sont passées et tu as moins mal à cette plaie au front. Dormant depuis un moment maintenant, tu entends la porte se refermer et quelqu’un marcher à petits pas jusqu’à ton lit. T’espères que ce n’est pas un infirmier ou un médecin qui vient encore faire des tests. Tu en as assez fait pour aujourd’hui.
(Invité)
je suis totalement paniquée depuis deux jours. j'ai vu les infos à la télévision et danae m'a contacté parce qu'on parlait surtout de son petit ami, il a un titre important alors il est affiché de partout et ça l'inquiétait autant que moi. immédiatement, on a pas cherché à comprendre, on a pris son jet privé et on a atterri à Monaco. j'ai alerté tout le monde, j'ai retourné toute la ville pour te retrouver, le coeur battant la chamade, m'imaginant le pire. si tu savais le soulagement que j'ai eu quand la police m'a prévenu que t'étais à l'hôpital enfin soulagement mais aussi anxieuse de savoir ce qu'il t'es arrivé. j'accoure illico presto là bas et on me prévient qu'on t'as retrouvé dans une cabane et m'informe les séquelles que t'as. doucement, j'ouvre la porte et m'avance à petit pas de loups pour ne pas te réveiller. t'avais besoin de repos et je compte bien être là, te coller encore plus qu'avant. arrivant près de ton lit, je te caresse les cheveux, te dépose un baiser sur ton front. petite affection qui fait du bien et j'ai envie de te serrer dans mes bras, mais j'attends que t'émerges un peu. hey, mon amour. c'est que moi... je suis là, maintenant... te mururais-je, ma main se pose sur la tienne, entrelaçant mes doigts dans les tiens. tu m'as fait tellement peur... j'en ai encore les larmes aux yeux, bordel, que d'émotions.