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@Trent N. Miller
Partir, prendre le large, mettre le chaotique sur pause, pour s’essayer à autre chose. Reprendre le dessus, et ne pas sombrer, ne pas me dire que Trent pourrait bien avoir l’idée, l’envie, ici, de me noyer. Je ne sais plus vraiment si mes conneries, il les a digérées. La chambre et mes façons de m’éclipser. La voiture de golf, aussi. Mais le fait est qu’on est tous les deux, ici. Que l’on fait une nouvelle fois semblant, et parfois je me demande pour combien de temps. Mais je n’ai pas de quoi me plaindre, parce que je l’ai choisi, ma prison, j’ai même dit et prôné que c’était tout ce que je pouvais désirer. Aider un ami et me protéger des aléas qui m’ont conduite, justement, jusqu’à lui. Des hommes qui mentent lorsqu’ils sourient. Sauf qu’à présent, c’est moi, qui le fait, le mensonge comme on peut respirer. Puis sur quoi je pourrais m’apitoyer, à la vérité, quand on voit la vie que Trent peut m’offrir en étant à ses côtés ? Il me suffit de regarder la vue du balcon de la chambre d’hôtel pour le constater. Les journées sur la plage, à me prélasser, et le goût du sel qui perle encore sur ma peau malgré le fait de l’avoir rincé.

Je ne suis que cette pauvre gamine pleine d’espoir de voir un jour son rêve de chef de la chirurgie se réaliser, en attendant, mes études m’ont trop coûté, l’hospitalisation de ma mère aussi à dire vrai, je déteste me le dire, mais sans Trent, cette année, j’aurai sombré au niveau financier. Pourtant je ne fais pas partie des femmes atteintes par la vénalité. Pas tout à fait. Les yeux posés sur les rivages, l’air battant l’ébène de mes boucles, je me retourne pour l’observer en train de parler au téléphone, à emmerder, le room service, son activité préférée depuis que nous sommes arrivés. Ca m’arrache un sourire avant que mon regard dévie à nouveau, sur les équipements luxueux de cette chambre au prix probablement trop onéreux. Fiancés, mais un lit double qu’il est possible de séparer et partout des fauteuils et autres canapés, et je retourne à l’intérieur, ignorant même pourquoi j’ai mal au cœur. Du décor, je m’étonne encore, peu certaine de le mériter, pour n’avoir été la parfaite fausse petite amie. « Pose ça. » arrête de traumatiser le monde, autrement dit. « J’ai choisi notre activité pour cette nuit. » face à l’interrogation de son regard, je précise « Non, pas dans un lit. » C'est assez le bordel, ma vie. Une occupation pour que l’on fasse au mieux semblant, et qu’on en profite un instant, que j’appuie sur le bouton arrêt, mes tourments. Et peut-être pour que je m’enfonce encore plus profondément. « On va devenir riches. » Me dis pas que tu l’es déjà, je le sais, ça ira. Je veux juste être inconsciente, encore une fois. Tenter de te rembourser, tout ce que je te dois. « Ou se ruiner. » Dans ce casino devant lequel on est trop souvent passé sans s’arrêter. « Au pire, si c’est le cas, on pourra toujours se noyer après. »
         
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Il en a passé des coups de fil depuis qu’ils ont pris le large, qu’ils soient de nature professionnelle ou personnelle, tous plus ou moins long dans la durée mais tous se sont terminés par les mêmes éclats de voix très enjoués de sa part : « Bisous ma nouille. » Mais cette fois-ci, il perdure plus que de raison parce qu’il s’est mis en tête d’obtenir pleinement satisfaction. « Je vous le répète, ma serviette est encore humide. » Catastrophe et déconvenue, la femme de chambre a omit, après les nombreuses suites qu’elle a dû astiquer toute la journée, de la lui changer. Et si ce drap de bain n’a pas bougé, cela signifie que le service a été négligé alors au prix exorbitant qu’il a payé, il ne peut le laisser passer sans un peu les asticoter. Qui sait, la prochaine coupe de mangues leur sera peut-être offerte par la compagnie. C’est à souhaiter.


Affalé sur le sofa parce qu’il en a eu assez de faire les milles pas en les écoutant tenter de se décharger de leurs responsabilités, il se gratte machinalement le ventre par-dessus son t-shirt lorsqu’il détourne vers elle les yeux. « Pose ça. » Hors de question, je n’ai pas gagné la guerre, n’ai pas eu gain de cause encore… Et elle devrait prendre son parti si elle souhaite se voir recevoir cette fameuse corbeille de fruits gratis. « J’ai choisi notre activité pour cette nuit. » Intérêt grandissant puisqu’elle a su éveiller quelque chose depuis bien longtemps anesthésié, sa libido sous clef depuis qu’il hésite à revenir chez lui accompagné sous peine d’être par elle jugé. Déjà que la mégère hispanique ne s’en gênait pas pour lui glisser quelques réflexions bien placées lorsqu’elle devait passer après qu'il ait forniqué… « Non, pas dans un lit. » Ah, dommage…. Leurs deux esprits n’ont pas communié. Il leur a raccroché au nez pour balancer le téléphone entre ses jambes quitte à les harceler derechef dans 5 min, prétextant une mauvaise réception 4G. « On va devenir riches. » Et croisant ses bras derrière sa tête nonchalamment, il n’est pas peu fier de le lui rappeler que : «  Mais moi je le suis déjà, » friqué, plein aux as mais toujours célibataire faute de son petit déséquilibre.  « Ou se ruiner. » Et là, elle retouche à ce point sensible parce que malheureux en amour, il devrait repartir fortuné, une montagne d’or à ses pieds.  « Au pire, si c’est le cas, on pourra toujours se noyer après. » Mais s’il faut vraiment en arriver là, lui a d’autres cordes à son arc pour mourir en beauté. « J’te regarderais, » partisan du moindre effort alors qu’il se roule sur le coté pour s’aider à se relever, déjà claqué par cette journée à ne faire que paresser. « Est-ce que cette activité nécessite un brin de toilette ? »

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@Trent N. Miller
« Mais moi je le suis déjà, » le dédain dans mon regard lorsqu’il se permet de préciser ça, comme si je ne le savais pas. Peut-être oui, mais moi, j’en suis loin, et je n’ai pas encore le salaire qui va avec le boulot de chirurgien. Alors, je préfère me contenter hocher de la tête pour l’approuver, plutôt que de dire à haute voix que ce n’est pas un état que nous partageons, malgré que ce soit pour le meilleur et le pire qu’est censée être notre… condition. Et continue sur ma lancée pour préciser qu’au pire des cas, il finira ruiné, au même point que sa dulcinée, et que l’on pourra toujours se consoler dans des cocktails alcoolisés et l’océan tout à côté.

Mais si j’avais pu m’adoucir à son sujet et me dire que le subterfuge, malgré le bazar de ma vie pourrait, après tout, fonctionner, il me fait ravaler ma douceur au moment d’énoncer. « J’te regarderais, » me noyer ? Super. Ce n’est pas comme si je comptais sur lui pour me sauver, de toutes les manières. Mais parce qu’il est toujours avachi sur le canapé, je commence légèrement à m’agacer, il sait bien que c’est au quart de tour que je peux démarrer. A deux doigts de lui intimer de s’activer, quand enfin après quelques secondes à le regarder, il semble m’approuver. Se roule à moitié pour se relever, et à la fin de son mouvement, me demander ; « Est-ce que cette activité nécessite un brin de toilette ? » J’en secoue la tête, fronce mes traits, est-ce véritablement nécessaire de lui souligner qu’il fait comme il lui plaît ? Que je suis la compagne et non le parent surtout que je ne suis pas connue pour mon amour inconditionnel porté aux enfants. Alors en avoir un de … trente quatre ans, non merci, je passe mon tour, réellement. « Comme tu veux ? » Et le détaille de la tête aux pieds, ne notant rien d’inapproprié, « T’es très bien comme ça. » et me souviens de cet instant où j’ai montré une photo de lui au restaurant, à Ella. La façon dont je l’ai vu ce jour-là. Pas si mal à regarder, quand sa bouche reste fermée et qu’il ne me balance donc aucune phrase déplacée. « Et si la fiancée approuve… » Ce n’est pas plus loin qu’il faut chercher, surtout que nous sommes en vacances et que dans l’idée, ici, personne ne nous connait.
         
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« Comme tu veux ? » Son dédain il ne le note même pas, s’en désintéresse complètement parce qu’il sait déjà que quoiqu’elle dira, il n’aura ni la force ni le courage de faire autrement. « T’es très bien comme ça. » Ses yeux découlent sur sa propre personne pour lentement se détailler, vulgairement habillé d’un jeans et d’une chemise hawaïenne achetée à leur dernière escale parce que la petite fleur dessinée à la droite de la poche lui plaisait… Très jolie, avait-il pensé en la voyant, succombant à cette lubie passagère en se l’achetant, prétextant un «  Souvenir » faute de mieux. Depuis le début elle ne souhaite se voir en photo avec lui ou se soustrait subtilement au dernier instant de l’objectif. Alors il s’en créer tout seul de son coté, peu attristé parce qu'il en faut plus pour l'achever, achetant des bricoles, objets dont il n’aura jamais l’utilité et qu’il finira dès son retour par jeter. Parce qu’on se le dise, malgré ce brin de folie qui le caractérise, sa capacité hors du commun à se rabaisser, l’autodérision innée, même lui ne sera jamais capable de la revêtir une fois de retour dans la grande métropole. « Et si la fiancée approuve… » Le problème c’est qu’elle serait prête à tout accepter venant de lui, ou presque, pour… Pourquoi elle me supporte déjà… Ah oui, jouir d’une belle villa, de mon compte en banque et de… Voilà qu’il réfléchit faute d’avoir encore oublié le nom de sa domestique bien qu'il lui signe un chèque à la fin de chaque mois. Consuela ? Ou un truc comme çà…

« La fiancée. » Titre qu’elle porte uniquement juridiquement parlant parce que depuis le début, même si certains se les imaginent bien tous les deux consommer pour croire niaisement qu’elle pourrait se laisser avec lui aller, il se la met derrière l’oreille depuis tout ce temps avec elle. « Faudrait se décider sur une date »quitte à pousser le vice, histoire que la chose soit encore plus crédible.

artemis | www


 
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@Trent N. Miller

Tandis que je patiente pour le voir réellement s’activer, il semble réfléchir à quelque chose que je n’entends pas. Si elle lui déplaît tant que ça, sa tenue… Je peux bien attendre quelques minutes de plus, je ne comptais pas en faire un existentiel débat. « La fiancée. » Il reprend et derechef mes sourcils en sont rendus à se froncer. Ne comprenant pas le problème qu’il songe à exposer. Ce n’est pas comme si c’était une nouveauté, ça dure depuis plusieurs mois déjà, alors on est, pour ainsi dire, habitués. Mais dans sa tête, ça tourne encore, et ça, je n’en démords. A vivre à ses côtés, c’est petit à petit que je le connais. De mieux en mieux, à la vérité.

Mes doigts je suis en train de les tortiller lorsqu’il se décide à mettre au clair sa pensée. « Faudrait se décider sur une date » Alors là, je dois dire que je ne m’y attendais pas. Finalement, c’est la bague que je triture, capable de saigner ma phalange si l’action perdure. La date. Rien que ça. Sans trop savoir comment commencer ou plutôt par quoi. Acculée par l’envie de lui demander si on va vraiment aller jusqu’au bout dans tout ça ; je n’ai peut-être jamais pris le mariage au sérieux… Mais ici c’est un drôle de jeu. « On ne peut pas aller au casino d’abord ? » Ou bien il faut se décider ici et maintenant, comme si nous n’avions plus de temps ? Et arrache le cuir de mon crâne lorsque ma main je la lâche et qu’elle s’échoue dans mes cheveux, ça se mélange dans ma tête, ça tourne et ça se répète, jusqu’à questionner au moment où je m’approche de la porte d’entrée. « On va aller jusque-là ? » Jusqu’à la date, jusqu’à la cérémonie, jusqu’à se dire oui ?
 

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Tant qu’elle n’a pas la bague au doigt, qu’il soit habillé comme un vieil excentrique dérangé ne lui fera que très peu d’effet parce que même lorsqu’il s’était trainé, les genoux fléchis devant ce couple d’amis, elle n’avait pas renoncé. Les femmes… vénales parce qu’il se doute que par appât du gain elle ne renoncera à rien, même pas à sa propre fierté. Amer ? Oui il l’est, pour cette corbeille de fruits encore et toujours, au prix où est séjour. Ce n’est pas une question d’argent attention parce que le féru des injections en tout genre en a largement les moyens. Juste de considération. Il s’est roulé sur le coté pour l’admirer elle en train de piaffer. Si ça continue elle va creuser le parquet, s’il ne se bouge pas pour la contenter mais l’envie de la voir en user le cirage est plus forte que toute sa bonne volonté. « On ne peut pas aller au casino d’abord ? » Subitement de sa droite il empoigne brutalement un coussin pour se l’écraser sur son visage et ne réapparaitre qu’une fois ses traits calmés. « L’argent ! Toujours l’argent ! »  Vénale, c’est bien ce qu’il pensait… « On va aller jusque-là ? » Et de quoi elle a peur…. C’est lui qui risque le plus gros dans cette histoire : son patrimoine, sa fortune, sa maison, son chien… Ah non ce n’est pas l’mien, cet héritage qui ne peut léguer à aucun descendant puisque trop dément. Jouant des sourcils il a rejeté le pseudo oreiller sur le côté pour la mettre devant les faits, réajustant sa chemise qu’il défroisse, mais toujours couché. « On a peur de la nuit de noces ? » Ce doit être çà, l’objet de ses plus profondes craintes, un rituel archaïque auquel elle devra s’adonner et d’ailleurs il affiche aussitôt une mine mitigée à cette idée. « Ce pourrait être pire John, bien pire. » En référence à l'un de ses films préférés, récupérant le coussin pour le lui lancer.

artemis | www


 
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@Trent N. Miller

J’en suis encore soufflée par sa question, ou plutôt son affirmation, si bien que lorsqu’il prend le coussin avec violence pour s’étouffer, je comprends qu’il s’attendait à, de ma part, une tout autre réaction. Une seconde et puis… « L’argent ! Toujours l’argent ! » Pardon ? Sérieusement ? J’en grince des dents, à la lisière de chercher à l’asphyxier réellement. Dans l’idée, je voulais juste qu’on passe un bon moment, qu’on se vide la tête, et que de me prendre la mienne, j’arrête. Mais une fois n’est pas coutume, à se faire des déductions sur moi, il y a tout dans le contexte qui soudainement me débecte. Quand j’ai accepté cet arrangement, de son porte-monnaie, je m’en foutais complétement, et c’est toujours le cas maintenant. Néanmoins je me dois d’être honnête et de confier que je n’aurais jamais pensé qu’il soit à ce niveau… aussi aisé.

Alors il délaisse l'oreiller, lisse sa chemise de ses mains, et je me dis que le sujet est clos et que du casino on va enfin prendre le chemin. « On a peur de la nuit de noces ? » Okay, donc toujours pas de casino. Pour le coup, j’en lève les yeux au ciel, car je me dois d’avouer que c’est une chose à laquelle je n’ai pas vraiment pensé, la nuit de noces, ce que ça pourrait donner. Enfin une ou deux fois, peut-être, durant ces quatre mois de colocation, j’imagine que ça semblait logique dans ma raison. « Ce pourrait être pire John, bien pire. » Et je ne peux pas m’empêcher de soupirer en un rire, parce que je les reconnais, ses dires, et que dans le fond, j'aime bien, qu'il soit capable de retenir ce qui teinte mon quotidien, plus encore lorsqu’il me lance le coussin. Et qu’avec un reflex douteux, à le rattraper, je parviens. « D’une, » je débute en lui en renvoyant dans le visage, « je ne suis pas vénale, » je trouve sincèrement que c’est important de le préciser, « sinon, je t’aurais déjà supplié de payer mon crédit étudiant, » et l’établissement qui s’occupe de ma mère à pleins temps, « De deux, » et je le regarde, en m’asseyant, « je voulais juste qu’on aille s’amuser. » Rien de plus, rien de moins, un aparté, « De trois, » et quand je le dis je pose ma main sur toi, au niveau de son tibias, juste là. « j’ai peur de rien. » Menteuse, forcément, même si mes peurs ne s'amalgament absolument pas avec ce qui pourrait un jour se passer entre lui et moi. Et parce que je pense que je pourrais prévoir sa réaction avant même de le voir l’effectuer, je termine d’un « Tu veux qu’on s’entraîne ? » Ou alors on va au Casino et on oublie ce délire qui n’en vaut pas la peine ?

 

HARLEY-
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