the nicest asshole you've ever met (bailee)

Il s'est levé tôt ce matin. En fait, ce n'est pas tant qu'il s'est levé tôt, c'est qu'il n'a quasiment pas dormi. Rien d'exceptionnel pour Oren Koch, l'habitué des insomnies mais ça le saoule quand même. Quoiqu'il en soit, au lieu de passer trop de temps à tourner et retourner dans son lit, il a décidé de sortir faire un jogging, enfilant short et basket avant de quitter son appart au petit matin, airpods enfoncés dans les oreilles. Il a gambadé durant une bonne heure, la musique pulsant dans ses oreilles, un peu trop fort. Il ne s'est pas encore ce qu'il va faire dans ses journées maintenant que son jogging prend fin. Peut-être rejoindre le studio de danse après une bonne douche, tant qu'il est dans une séquence sportive. Enfin, pour l'instant c'est la porte de la meilleure boulangerie du centre qu'il pousse. Il fait rapidement la queue, sélectionne un muffin au chocolat pour lequel il paie vite avant. de faire volte face pour aller prendre son petit déj à l'air libre. Il regagne la porte mais quand il l'ouvre une fille lui rentre dedans, manquant de lui faire lâcher sa pâtisserie. Sauvant son muffin in extremis, il croise le regard de l'inconnue qui s'avère ne pas en être une d'inconnue. Bailee. Oren se fige, tel un cerf immobile devant les phares d'une voiture. « Salut. » Il s'était bien débrouillé pour l'éviter depuis le bal, mais faut croire que sa chance a fini par tourner. @Bailee Rothschild

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the nicest asshole you've ever met

@Oren Koch

bientôt les vacances d'été et j'ai hâte d'aller au summer camp d'autant que la destination est fabuleuse. les caraïbes, le rêve. il fallait déjà que je prenne du temps pour moi afin de faire un peu de shopping, mais entre mon stage chez p-industries puis sanae dont je voulais m'occuper dès que j'ai du temps libre c'était difficile. ce matin je pouvais me permettre de me promener un peu parce qu'il fait trop beau, le soleil est au rendez-vous et sanae est avec mon meilleur ami qui adore s'occuper d'elle. en attendant je décide d'aller prendre un petit truc à manger parce que je suis gourmande et j'ai trop envie. j'ouvre la porte de la pâtisserie et je me fais bousculer par quelqu'un. finalement quand mes prunelles se posent sur cette fameuse personne et que je te reconnais j'ai eu un pincement au coeur et une bouffée de chaleur dans mon corps. parce que depuis cette soirée après le bal de fin d'année, depuis cette dispute et surtout tes propos je me sentais blessée et malgré que tu te sois excusé par message, tu ressentais le besoin de t'éloigner. on avait évité de se croiser jusqu'à maintenant. comme quoi, le destin veut qu'on se retrouve. salut. que faire? que dire dans ces moments là? je devrais faire comme si on ne se connaissait pas et continuer mon chemin? je sens ce malaise. ça va? question idiote quand tu nous tiens. à vrai dire ça me fait chier que t'as décidé de t'éloigner, mais c'était ton choix pour ton bien et sûrement ne pas se faire plus de mal qu'autre chose alors en y repensant je me reprends. désolée, je ne te dérange pas plus longtemps... et surtout tu ne voulais pas qu'on se revoit donc c'est mieux que je parte, non?

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Il n'est pas habitué à ce sentiment de malaise, tout du moins pas entre Bailee et lui. Ça ne devrait pas être comme ça. Ça n'aurait jamais du le devenir. Oren est le seul à blâmer pour tout ça. et il a assumé cette erreur. Pas de vive voix, soit, mais il s'est quand même excusé, encaissant la responsabilité des mots qu'il a eut lors de l'after du bal, alors qu'il était complètement bourré. Il se sent merdeux, Oren. Merdeux car il a pété un plomb. Merdeux car il lui a certainement fait de la peine sur le moment et qu'il lui en fait sûrement toujours maintenant. Elle le salue, lui demande si ça va, mais c'est dans un automatisme. Des mots douloureux, lâchés pour dire quelque chose, mais qui valent pour ainsi dire rien. Elle le sait d'ailleurs, elle se reprend vite, prête à couper court à la conversation, si on peut seulement appeler ça comme ça. Il pourrait la laisser faire, Oren. Il aurait même pas à ouvrir la bouche. Juste à acquiescer gauchement, avec raideur avant de la planter là. Il n'arrive pas à s'y résoudre. Quelques secondes pénibles s'écoulent avant que les mots ne sortent, teintés de gêne. « Je sais que je l'ai déjà dis, mais je suis vraiment désolé. J'ai jamais eut l'intention de te faire de la peine. » Il regrette tellement. @Bailee Rothschild

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@Oren Koch

le pire c'est que je ne sais pas comment me comporter dans ce genre de situation. autant je t'apprécie vraiment, mais c'est vrai que t'as été très irrespectueux et blessant à mon propos. tu t'es excusé, mais t'as décidé de vouloir prendre des distances. et maintenant qu'on se voit, comment ça se passe? de quoi il en retourne? je ne devrais pas demander si ça va, mais c'est automatique. je comptais te laisser comme tu l'avais dit par message, c'est mieux ainsi. ne plus se voir, ne plus partager tous ces bons moments que ce soit dans nos draps ou ailleurs, en toute intimité ou non. je me pince les lèvres à tes mots, regarde le sol puis te regarde dans les yeux. tu me vois vraiment comme ça, oren? comme une femme qui écarte ses jambes au premier venu? c'était une réelle question. je ne voulais pas donner cette image de moi et encore moins en public, autant être honnête. au moins je pourrais corriger cela. tu m'as dit être jaloux, mais pourquoi? on s'était toujours dit qu'on profitait et qu'on ne voulait pas une relation sérieuse tous les deux... tu sais je t'apprécie vraiment beaucoup et j'avoue que je suis aussi jalouse quand je te vois avec une autre femme, tu crois que ça me fait quoi? mais jamais j'oserais t'humilier de la sorte. comme tu l'as si bien fait, tu t'en rends compte c'est déjà bien. ma tête est en vrac en ce moment en plus avec le retour de mon ex et père de ma fille ça n'arrange rien.

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S'il pouvait disparaître, là tout de suite, il s'y laisserait sans doute tenter. Il ne peut pas toutefois, et il ne veut pas non plus, s'il se montre vraiment honnête sur la question. Ce n'est pas vivable sur la longueur, de se fuir, de s'éviter. Et quand bien même. ça serait une option vivable, il n'a pas envie de fuir Bailee. Son ventre se noue un peu quand elle baisse les yeux avant de lever de nouveau la tête vers lui. Elle lui renvoie les mots très durs qu'il a eut son égard. Des mots qu'il ne pense pas. Et quand bien même il les penserait, ça voudrait dire quoi de lui ? Sa vie sentimentale est dissolue, uniquement orienté sur des parties de jambes en l'air déconnectées de sentiments plus complexes. Et ce n'est pas une honte. Il n'y a rien de critiquable là-dedans, pas plus que dans les choix de Bailee. Il ne l'interrompt pas, la laisse continuer. Il se mord la lèvre et s'écarte un peu dans l'embrasure de la porte du café quand quelqu'un cherche à passer, non sans lui jeter un regard agacé. Oren ne formule pas d'excuse envers la personne gênée. Son attention est trop portée sur Bailee dans cet instant pour se préoccuper sérieusement de quoi que ce soit ou qui que ce soit d'autre. Dégageant l'entrée du café, il avance un peu dans la rue, laissant Bailee pivoter un peu pour lui faire face. « Je sais pas quoi te dire Bailee. Je te considère pas comme une fille facile, je sais pas pourquoi ces horreurs sont sorties de ma bouche. Je sais pas pourquoi te voir avec un autre m'a mis autant en colère tout à coup, c'est pas que je veux... » Il secoue la tête. Sortir avec toi. Elle est géniale, c'est pas le problème. Elle vaut même plus 100 fois mieux que lui, si c'est pas encore plus. « J'en sais rien, peut-être que j'ai pas la moindre idée de ce que je veux. » Il a l'impression de s'enliser plus qu'autres chose. Les mots le fuient, il les attrape à grand mal et les assemblent en des tournures vaseuses qui ne résoudront rien. Le problème est situé plus profondément et il n'est même pas sûr de sa capacité ne serait-ce qu'à le chatouiller du doigt. @Bailee Rothschild

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@Oren Koch

est-ce que c'est vraiment nécessaire d'en parler à nouveau de cette scène? ça ne ferait qu'empirer la situation, mais j'avais besoin d'éclaircissement, je ne voulais juste pas que tu penses ça de moi. que je suis une femme qui écarte ses jambes à tout va et je voulais avoir cette conviction que tu ne le pensais pas vraiment. on dit toujours que quand on a de l'alcool dans le sang, la vérité en ressort souvent sauf que si c'est vraiment ça alors ça craint. apparemment t'es aussi gêné que moi et tu n'aurais pas cette image de ma part, c'est juste la colère et la jalousie qui l'a emporté. je ne fais même plus attention du lieu où on se trouve en réalité et je me décale à mon tour quand tu le fais pour laisser passer un inconnu. je sens que t'es assez mal à l'aise, mais voilà on en est là. je me sens soulagée par tes mots et à la fois flattée comme surprise que tu sois jaloux. enfin on ne va pas se mentir, ça flatte mon égo même si avec jayson il ne s'était rien passé enfin pas à ce moment là où t'as piqué ta crise de jalousie. mais je me demande si il ne faudrait pas que j'arrête toutes ces relations sans lendemain. ce n'est plus trop fait pour moi et j'ai aucune envie de salir mon image de mère de famille pour une partie de jambes en l'air. à quoi bon au fond? si c'est pour se détruire et se faire du mal l'un et l'autre? je lâche un soupir, tu ne sais pas ce que tu veux et c'est bien tout le problème. ça serait bizarre qu'on reste amis? ou tu ne voudrais plus me voir? à moins que ça soit tendu pour toi comme pour moi à chaque fois qu'on se verra... et quand je dis tendu, je parle de tension sexuelle bien entendu. parce qu'il y aura toujours cette envie d'aller plus loin. te perdre ce n'est pas ce que je souhaiterais non plus, mais je ne sais pas quoi faire pour notre bien. je suis aussi paumée que toi, oren.

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Il aurait jamais dut dire ce qu'il a dit. Et ça arrive trop souvent, il le sait. Quand il perds pied, quand il se met sous l'influence de quelque chose, une part de lui qu'il exècre prend le pas sur le reste et il deviens une personne immonde, amère et brute, une créature de cauchemar dont il trancherait bien la tête s'il ne s'agissait pas de la sienne. C'est le soucis, en fait. Il ne peut pas abattre le monde, car il est monstre. Et s'abattre lui-même serait contre-productif. Il ne veut pas causer davantage de chagrin qu'il ne l'a fait jusque-là. Il pourrait parler vraiment à Bailee, plus qu'ils n'ont jamais parlé jusqu'alors. Lui expliquer qu'il est à la dérive. Plus que ça en fait. Il est submergé. Les flots se referment sur lui depuis des mois, des années, et il ne parviens pas à rassembler la force nécessaire pour se projeter à l'air libre, en sécurité. Mais ça constituerait même pas une excuse suffisante en fait, de lui dire tout ça. Il n'a jamais vraiment cru au pouvoir des excuses, en fait, pour ce que ça peut bien valoir. Les mots ont de la portée, bien sûr, parfois même trop, mais ils ne peuvent gommer le chagrin. Toutes les excuses qu'il pourra offrir à Bailee ne suffiront pas à nettoyer le souvenir de leur altercation. La vie ne fonctionne juste pas comme ça. Franchement, elle est mieux sans lui. Il n'est qu'une bombe, Oren, et peut-être qu'il devrait s'isoler, purement et simple, histoire de limiter les dégâts le jour de l'explosion. Lorsque Bailee rouvre la bouche, il la sent aussi confuse que lui. Elle n'a pas envie de l'évincer de sa vie, mais quelles sont leurs options au fond ? Oren se mâchouille la lèvre. Sa prise sur la pâtisserie qu'il tiens encore la main se resserre, menaçant de déchiqueter le gâteau. « On peut essayer, j'imagine. D'être amis. » Juste amis. « J'aime à penser qu'on l'est déjà en fait. » Ou du moins qu'on l'est encore. @Bailee Rothschild

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@Oren Koch

j'aurais tant voulu que ça se passe autrement. ça me fait mal qu'on en arrive à se disputer pour une histoire de jalousie à la con et pourtant on en avait l'habitude de ces crises de trois fois rien d'habitude. celle-ci a pris des proportions qu'on aurait jamais pu connaître à l'avance et contrôler sur l'instant. faut dire que je suis attachée à toi et malgré ce qui a pu se passer, que t'as eu des mots plus haut que les autres, que t'as été blessant, je passe au dessus de tout ça. enfin j'essaye. seulement j'ignore comment me comporter avec toi. parce que par message t'étais sérieux quand tu parlais de prendre des distances et ça je le comprends, je le respecte. je ne veux juste pas me séparer de toi, c'est indéniable. on vit une belle histoire même si il y a certaines complications en étant sexfriends et éprouvant une certaine possessivité l'un pour l'autre. j'ai jamais vraiment eu de relations de ce genre, c'est la première fois que ça m'arrive alors j'suis encore paumée sur comment faire, quels actions à ne pas faire. était-ce si mal de me rapprocher d'un autre sous tes yeux sans que ce soit pour te provoquer ou te rendre jaloux? j'ignorais même que t'étais présent à vrai dire. là maintenant, il en vient quoi de nous? si il peut y avoir encore un "nous". ça me soulage que tu penses qu'on peut rester amis, un sourire s'étire sur mes lèvres. juste amis, alors? ça te va? ça me brise le coeur d'avoir tout gâché de ce petit "bonus" auquel on s'accordait terriblement bien. on est toujours en accord que ce soit lors de nos ébats comme extérieur à cela. on l'est déjà, oui. c'était un petit plus qui était sensationnel... mais soit. restons juste amis. est-ce qu'on va seulement réussir? à ne pas craquer et céder à la tentation? nous ne sommes pas des animaux, mais quand même. il y a toujours cette attirance entre nous. t'as quelque chose à faire là maintenant? parce qu'on peut toujours passer un peu de temps ensemble si tu le souhaites.

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Est-ce qu'il veut n'être que son ami ? Oren, il n'en sait trop rien. Ce n'est pas simple pour lui d'identifier ce qu'il veut et encore moins ce dont il a besoin. Il est plus simple pour lui de mettre le doigt sur ce qu'il ne veut pas. Et il ne veut pas perdre Bailee. Parce qu'est trop con. Parce qu'ils s'entendent vraiment trop bien. Parce que la vie est assez compliquée comme ça et qu'il croule pas non plus sous la joie et le plaisir alors pourquoi gâcher une relation qui lui apporte quelque chose de positif ? Dans le fond, il flippe surtout. Car il n'a pas envie de commettre d'erreurs, de gâcher des pans de sa vie qu'il est jusqu'ici parvenu à garder debout. L'amitié c'est plus simple, quand le sexe ne s'invite pas dedans, susceptible de troubler des lignes qui gagneraient à être plus définies. Sauf que le sexe fait partie de la relation qu'il a avec Bailee et peut-être que ça fait aussi partie de leur équilibre. Elle a l'air déçue, elle aussi. Déçue de perdre quelque chose, quelque chose de sain jusqu'à cette maudite de nuit. Quelque chose de bien. Il se mâchouille la lèvre, en proie au doute. Il porte sa pâtisserie à sa bouche, prend une petite bouchée de muffin. Il essaie de faire les bons choix, pour une fois. Sauf que c'est pas simple, ça ne l'est jamais. Les coins de ses lèvres se soulèvent quand Bailee place le mot sensationnel. Rien que ça, ouais. Elle se plie à sa décision et il est presque déçu de l'entendre. Presque déçu qu'elle force pas un peu le truc pour le faire plier. Ouais.. Il est à deux doigts de rouvrir la bouche, de faire un pas en arrière. Il peut encore. Et puis elle reprend la parole, lui demande ce qu'il à faire là, tout de suite. L'invitant à passer un moment avec elle. C'est ce qu'il a à prendre, là, tout de suite. Une main tendue. Et il s'en saisit. Inclinant légèrement la tête pour approuver les conditions de leur nouvelle amitié, il ouvre ensuite la bouche pour répondre. « Je comptais aller danser, mais j'ai ma journée alors on peut traîner un peu avant, si tu veux? » De la tête, il désigne le café derrière eux. « Tu as qu'à aller prendre ce que tu voulais acheter et on se pose ailleurs après ? » Pas franchement original, mais ils n'ont pas besoin de plus. @Bailee Rothschild

(Invité)

the nicest asshole you've ever met

@Oren Koch

on ne va pas se mentir, ça va être assez difficile de résister à la tentation quand on se reverra. encore pire en privé, rien que tous les deux sans aucun public autour. parce que c'est toujours comme ça que ça se passe notre relation et elle était si belle, sans prise de tête si ce n'est que quelques crises de jalousie parfois par ci et par là. ça va être un challenge compliqué à relever, qui cédera le premier? de toute évidence on le fera tous les deux, mais va falloir qu'on essaye. une pointe de déception dans ma voix et même de chagrin de ne pas pouvoir continuer sur la voie qu'on avait aboutie. sensationnel, ça ne décrit pas tout à fait nos ébats qui sont torrides, qui sont à couper le souffle à chacun d'eux. et bon sang cette complicité c'était vraiment quelque chose. ça donnait un petit plus le côté relation sexuelle qui faisait des étincelles. comment allons-nous tenir? ça on ne le sait pas encore. en attendant je voulais quand même passer du temps avec toi, ta compagnie me fait du bien. balayons ce qu'il s'est passé après le bal de fin d'année et reprenons notre relation de base. je t'adresse un sourire avant de répondre. génial ! j'arrive, je fais vite. je me retourne afin d'acheter un café ainsi qu'un cupcake qui m'a largement donné envie par la vitrine. une fois l'achat effectué, je me saisis du tout et te rejoins à l'extérieur où on s'installe sur un banc au parc. on discute, rigole et passe du bon temps ensemble, ça fait plaisir et on garde même cette complicité qu'on a toujours eu.

the end

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