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Noah Au Choix Thompson
L’année prochaine j’arrête les études et je deviens dresseur de pokémons !
Son profil
études : au choix ● cinq ans
statut : au choix ● maison 1 ou groupe : au choix • (maison 2) : au choix
Son histoire
- Né le 1er avril à Oxford, sa mère à quitter la France pour rejoindre sa ville natale après avoir appris qu’elle était enceinte se retrouvant seule après la fuite de son petit ami français devant les responsabilités qu’impliquaient des enfants.
- Il a une sœur jumelle : Sasha. Ils vivent avec leur mère chez leur grand parents jusqu’à l’âge de trois ans.
- A trois ans, il perde leur mère qui décède dans un accident de la route en rentrant de son travail à l’hôpital à cause d’un chauffard ivre.
- Noah et Sasha partent donc vivre chez leur tante qui ne peut pas avoir d’enfant et voit donc en eux les enfants qu’elle n’a jamais eu.
- Lors de la mort de leur mère, Sasha c’est rendu malade. Se privant de nourriture et refusant de dire un seul mot, Noah suit sa sœur qu’il ne supporte pas de voir dans un tel état.
- Ils ont tout les deux une relation très fusionnel et on le besoin d’avoir sans arrêt des nouvelles, l’avis, l’opinion de l’un ou de l’autre.
- C’est fait tatouer le signe de l’infini à l’âge de dix-huit ans sur le poignet droit (car il est droitier), symbole de son lien éternel avec Sasha qui à le même à gauche.
Autres idées facultatives :
- Noah est fumeur en soirée, il aime faire la fête même si contrairement à Sasha l’école à tout de même une place dans sa vie.
- Il a perdu sa virginité à l’âge de dix huit ans, il a d’ailleurs manqué de peu d’être père.
- Diabétique.
- Aime beaucoup le sport mais seulement à la télévision.
- Hétérosexuel.
- …
Ses liens
Sasha Hope Thompson ft. Pixie Lott « Noah, pourquoi tu pleures ? », « Mon doudou … Il, il .. Il est perdu ! ». Mon frère sanglotait pendant que je le serrais fort contre moi, je n’avais que quatre ans mais j’avais déjà très bien compris ce que Noah représentait pour moi. Ce besoin de le voir sourire, ce besoin de sentir sa présence. Je savais que c’était différent des autres frères et sœurs et malgré les moqueries des enfants de nos écoles je restais fière d’être la jumelle de mon frère. La moindre alerte de l’un ou de l’autre et nous accourions pour nous entraider. [color=crimson] « Noah ? Elle est où maman ? », « Elle est au pays des anges Sasha. », « Est-ce qu’elle va rentrer un jour ? », « Ben oui, elle va pas nous laisser chez tata toute la vie c’est trop long ! ». Mon frère avait compris mieux que moi la disparition soudaine de notre mère. Même s’il s’obstinait à y croire, il savait parfaitement qu’elle ne rentrerait pas. Du haut de ses cinq ans, il comprenait déjà extrêmement bien les choses … « Sasha, mange un peu sinon ton ventre il va maigrir et t’en aura plu après ! ». Je refusais de manger, je vivais très mal l’absence de ma mère et malgré les efforts vains de ma tante et de Noah, je ne répondais pas, pas un mot, pas un geste, je restais figée, comme si plus rien ne se passait dans ma tête, comme si je n’étais plus là mentalement. Ca a durée quelques mois avant que Noah, à force de câlins et de souffrance face à mon état, ne vienne à bout de mon silence et de ma détresse… Finalement, nous avons grandit et même si nous restions très proches, nous avions nos petits accrochages aussi. « Sasha ! Qu’est-ce que tu fou ! C’est quoi ça ? Je ne t’avais pas dit t’arrêter ! C’est pas bon pour toi, quand est-ce que tu va comprendre ça ! », « Mais pour qui tu te prends à me parler comme ça ! T’es qui pour juger de ce qui est bon ou pas pour moi ! Hein ? », « Probablement la seule personne qui est toujours été là pour toi Sasha. ». A chaque fois il avait le mot qui faisait regretter. A chaque fois je ressentais cette boule dans le fond de la gorge qui vous donne envie de pleure et de suffoquer à la fois. Etais-je donc assez idiote pour m’en prendre à la seule personne qui ne me laisserait jamais tomber ? J’étais dans l’âge stupide où les seules maîtres mots étaient : copains, s’amuser et braver les interdits. Noah vivait les choses différemment, il était plus mature, comparativement à moi, probablement parce qu’il avait du grandir plus vite pour me protéger des autres et de moi-même. Mais peut importe ce qu’il se passait, la violence de mes propos, Noah était le seul qui me pardonnait toujours quoi que je dise et le seul à qui je ne pouvais pas en vouloir. Et je me rappellerais toute ma vie de ce moment à nos dix huit ans où l’on c’est fait tatouer le signe de l’infini sur le poignet du côté où l’on écrivait : « Moi sans toi c’est pas possible Noah. », « Alors ne tentons pas l’impossible. Pour toujours frangine ! », « Pour toujours. » … |
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