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Coucou ! Je peux squattais, bien sûr ! ✜ Galilea | Heathcliff

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Coucou ! Je peux squatter, bien sûr !

Heathcliff commençait à en avoir marre de toute cette pression qui croulait sur ses épaules. Il voulait juste être au calme, profiter de la vie comme avant et glander. Oh oui ! Glander ! Tout ce qu'il ne pouvait plus faire aujourd'hui, à cause de son mémoire. Il avait beau se convaincre que tout ça serait bientôt fini, qu'il n'avait plus de pression à avoir mais non, il n'y arrivait pas. Il semblait dormir mémoire, manger mémoire, vivre mémoire, mourir mémoire !
Ce jour-là, cependant, il décida de se libérer de ce lourd fardeau, de lui faire un doigt le temps d'une après-midi. Il sortit donc de sa chambre, habillé avec ce qu'il avait réussi à trouver dans ses armoires, c'est à dire un jean et un t-shirt avec les jolies têtes des Beatles qui se décomposaient depuis plusieurs années, et coiffé à la va-vite -c'est à dire, pas du tout !-. Il sortit de la maison des Winthrop, en profita pour allumer une cigarette et se dirigea sans trop savoir sur l'allée des dieux, autrement dit, des étudiants. Il croisa plusieurs personnes sur cette allée, qu'il connaissait ou non, mais bizarrement une idée vint se fourrer dans sa tête, ne lui donnant pas l'occasion de faire connaissance avec de charmantes créatures inconnues. Oui, la maison des Dunster, qu'il connaissait bien trop avec le temps ! Il voulait que tout soit comme avant, qu'il retrouve sa fainéantise d'antan et quoi de meilleur pour cela que de s'allonger sur le lit de Galy et de mater des séries pourries à la télé ? Un léger sourire malicieux se dessina alors sur les lèvres du jeune homme qui, sans hésiter, jeta le mégot de sa cigarette et passa les portes de la maison.
Tout semblait calme -en même temps, on était un jeudi après-midi- mais Heathcliff n'en tint pas compte. Non ! Ni une, ni deux, il monta les escaliers et se retrouva rapidement devant la chambre qu'il connaissait bien. Repliant ses doigts pour ne former qu'un poing, il toqua timidement à la porte et cela sans s'arrêter, jusqu'à ce que la porte s'ouvre.
Faites qu'elle était là ! Faites qu'elle était là !
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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“ we do not remember days ... we remember moments.”


Tu étais tranquillement couchée sur ton lit. Tu fixais le plafond un brin pensif. Les mains sur ton ventre plat, tu fixais longuement ce plafond d'une couleur terne. Tu pensais, encore et encore. Ta peine. Ton chagrin. Ils alimentaient chacun de tes pas. Tu pensais encore à ton défunt copain. Il était mort récemment dans l'explosion de la bombe et depuis, les choses n'allaient pas comme tu le désirais. Tu souffrais, mais tu souriais afin de démontrer que tu survivais. Tu avais mal, mais tu ne voulais point pleurer. En fait, tu ne pouvais pas pleurer. Tu savais bel et bien que tes larmes ne serviraient à rien, alors tu t'abstenais et tu encaissais. Tu tentais, vainement, d'occuper ton esprit. Tu étudiais beaucoup pour maintenir tes songes occupés, car à force de penser, tu devenais ta pire ennemie. Tu n'avais pas eu une existence facile, après le meurtre de ta mère, ta vie de conte de fée avait pris les allures d'une vie cauchemardesque. Toutefois, dernièrement, tu pensais avoir trouver une vie stable. Mais, encore une fois, ton monde s'effondrait. Tu revivais le même enfer qu'à tes quinze ans, après le meurtre de ta mère et l'exil de ton pays d'origine pour celui-ci. Évidemment, tu avais eu la chance de reconstruire ton existence après ça, mais cette fois, tu ne pensais pas être capable de le faire. Tu n'avais plus envie de lutter pour le bonheur. Tu soupirais lorsque, soudainement, tu entendis quelqu'un frapper à ta porte. Tu grimaçais, légèrement, alors que tu te levais de sur ton lit, d'un pas lourd en direction de ta porte. Tu jetais un bref coup d'oeil sur ta chambre avant d'ouvrir la porte. Tu devais avouer que c'était un peu le bordel, tu avais plusieurs bouquins et feuilles éparpillés un peu partout sur ton lit, ton bureau et même sur le sol. Disons que choisir d'étudier la médecine n'était pas une chose facile. Tu ouvris la porte. Immédiatement, un sourire naquit sur tes lèvres à sa vision. Évidemment, tu aurais dû te douter qu'il s'agissait de Heath', ton meilleur ami. « Tu tombes bien, j'allais finir par devenir folle à force d'étudier.» Tu fis la bise à ce dernier, avant de te décaler un peu pour le laisser entrer. Tu étais contente qu'il soit, sa présence ne pourrait qu'être bénéfique. Tu fermais la porte derrière lui, puis tu t'afférais à ramasser un peu le bordel sur ton lit et jonchant le sol pour balancer le tout sur ton bureau grossièrement. « Merci de me faire l'honneur de ta visite, j'étais sur le point de croire que ton mémoire comptait plus que moi.» Tu pris une moue faussement triste, alors que tu étais d'humeur à taquiner ton ami. Tu t'assis sur ton lit en préservant cette même moue triste.« Je me sens négligée, tu sais.» Tu exagérais, évidemment, après tout, tu l'avais vu pas plus tard qu'hier!
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Allé ! Faites qu'elle était là ! De toute façon, il n'y avait pas de réelles raisons pour que ce ne soit pas le cas ! Les yeux mi-clos et le poing toujours collé contre la porte, en attendant un grand cri du genre "je suis dans la salle de bain, j'arriiiiive !" ou que la porte s'ouvre, le jeune homme patienta difficilement. Et si elle n'était pas là ? Vers qui se tournerait-il ? Il ne savait pas vraiment qui allait voir d'autre ! Une fille ? Non ! ça faisait bien longtemps maintenant que peu de ravissants jolis minois lui accordaient de l'attention -la faute à ses cernes, se disait-il- ce qui était largement inquiétant. Un winthrop ? Son cousin Kol ? Il ne savait pas. Il avait l'impression que toutes les vies de ses amis changeaient, évoluaient, et que lui seul restait au stade d'étudiant attardé.
Enfin, la porte s'ouvrit, coupant net ses remises en questions incessantes. Un large sourire fendit son visage, remontant légèrement ses pommettes. Galy ! La femme de sa vie. Enfin...pas vraiment. La seule en tout cas qui ne lui ferait jamais la gueule vraiment, qui le comprendrait et qui ne le prendrait jamais pour un salaud. Après tout, elle ne pourrait jamais puisqu'Heath était bien conscient que jamais il n'aurait la force de lui briser le coeur. Il se pencha légèrement vers la jeune fille, histoire de lui faire la bise et finit par entrer dans la chambre étudiante de Galy. Ben dis-donc ! C'était le souque d’Istanbul ici, non d'un canard mal peigné ! Il regarda les livres s'empiler sur le lit de la jeune fille et, après en avoir poussé quelques uns pour se faire une petite place, constata avec plus d'attention l'état de la chambre. Tu m'étonnes ! En même temps, beaucoup de gens sont devenus fous en vivant sur un champ de bataille. Il sourit à la jeune fille d'un air légèrement moqueur. il aurait pu d'ailleurs rajouter une référence historique à sa blague pas drôle mais il se dit que la jeune femme ne comprendrait sûrement pas -comme lui ne comprendrait pas des références du monde médical-. Han ! De rien ! Je passais par là, l'air de rien, pensant que toi aussi tu m'oubliais sous tes piles de bouquins. Les bras posés sous sa tête, le jeune homme s'était allongé sur le lit de sa meilleure amie, sans véritablement se gêner. Aah ! Qu'est-ce que ça faisait du bien de retrouver des contacts humains ! Il releva cependant les yeux et regarda Galy d'abord inquiet puis une petite moue malicieuse sur les lèvres. Au départ, il avait eu peur qu'elle soit sérieuse et qu'elle fasse référence à son copain, mort pendant la bombe. Mais bien vite, il se rendit compte qu'elle rigolait et qu'il valait mieux cacher toutes références potentielles au feu jeune homme. Haan ! Pov' choupette ! Galy était assise à côté de lui et il s'empressa de la serrer dans ses bras en un bon gros câlin, câlin tellement gros qu'il aurait pu étrangler la jeune fille. Quoique...Galy, c'était une solide, pas vrai ?
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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