Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDes yeux bleus et un sourire...peut-être ✜ Kara | Heathcliff
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


Des yeux bleus et un sourire...peut-être ✜ Kara | Heathcliff

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Des yeux bleus et un sourire...peut-être

Tout l'énervait dans cette faculté, tout le mettait hors de lui ! Il avait envie de tout envoyer valser, de jeter son mémoire du haut de l'amphi, de prendre sa voiture et de s'enfuir loin, de retourner en Irlande pour ne jamais plus remettre le nez dans un bouquin. Il était rare, en règle générale, de voir notre bel Adonis de si mauvaise humeur. Heathcliff était en général le genre de mec qui se fiche de tout, qui prend le moindre petit pépin avec le sourire. Heathcliff était un bisounours ambulant avec un sourire figé scotché sur la figure. C'est d'ailleurs comme ça qu'il arrivait à séduire la gazelle sauvage. Mais aujourd'hui, l'irlandais n'avait pas envie de rire et cela à cause de son directeur de mémoire. Que lui avait-il dit, déjà ? Ah oui ! "les deux cent dernières pages sont à réécrire". Comment ça les deux cents dernières pages étaient à réécrire ?! Ce n'était quand même pas parce Mössieur ne pouvait pas piffrer Catherine de Médicis qu'il avait forcément tord. D'ailleurs, il l'avait lu, dans des bouquins, que la reine et régente n'était pas celle qu'on croyait. Il l'avait LU !! Il avait été vain, cependant, de s'opposer au professeur et Heath était sorti de son bureau bougon avec de furieuses envies meurtrières.
Le beau blond sortit enfin du bâtiment et une bouffée d'air frais vint nourrir ses poumons. Pas pour bien longtemps ! Quelques secondes après, la fumée de cigarette se mit à servir d'air au garçon. Il s'assit d'ailleurs quelques minutes sur les marches du bâtiment principal et un ravissant défilé de popotins se dévoila devant ses yeux. Sans même le regarder, parce qu'il n'avait vraiment pas la tête à ça, les yeux azurs du garçon se posèrent sur une personne en particulier qui venait de passer à côté de lui sans le remarquer. Il ne voyait que son dos et sa chevelure brune mais il ne pouvait pas se tromper. Il la connaissait trop bien. Kara ?! Kara...la fille qu'il avait voulu et qu'il avait eu, celle qui faisait bondir joyeusement son coeur lorsqu'elle le transperçait de son regard marin, celle qu'il protègerait sans l'ombre d'un doute parce qu'elle était fragile sans qu'elle ne le sache peut-être. Hop ! Le blondinet se hissa sur ses deux gambettes et s'approcha de la jeune fille qui ne l'avait apparemment pas entendu. Kara, ça va ? C'est Heath ! Il l'avait attrapé doucement par le bras pour qu'elle lui fasse enfin face.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce matin, j'étais une véritable catastrophe ambulante. On venait de rentrer du Spring Break et j'avais déjà retrouvé ma capacité à être du maladresse incroyable, mais comme on dit, c'est ce qui fait mon charme ou pas. Enfin, voilà, je dormais seulement depuis deux nuits dans la Cabot House et je pense m’être déjà faite remarqué surtout par ma colocataire avec cette fameuse maladresse. Je n'en dirais pas plus. Du coup, après mille et une connerie de ma part, j'avais quitté la chambre pour aller en cours. Le premier cours avait été une tuerie nucléaire dans mon petit esprit fatigué pourtant je faisais parti des élèves bons pas très très bons, mais pas les très moyens ou très nuls, enfin vous voyez. Je me contentais de regarder le prof comme une carpe, la bouche ouverte comme si j'étais dans un état ébahi et que je ne pouvais plus bouger, oui, telle une statut. Quand une sonnerie de portable retentit, je fus sortie de cette semi-léthargie, râlant déjà qu'un camarade est laissé son téléphone m’empêcher de pseudo comater mais en fait, c'était le mien alors je m'excusais auprès de mon professeur qui me vira nette parce que j'étais soi disant pas du tout entrain de suivre, pas du tout entrain d'écouter et en plus, mon téléphone avait dérangé tout le monde alors je devais me ressaisir pour le prochain cours. Croyez-moi dès que je suis sortie de la pièce, j'ai eu le sourire, c'était comme une libération. Oh sur ce coup là, je suis choquée .. En fait, j'avais juste besoin de me sentir libre ? De vivre ? De bouger ? De faire la folle ? Et oui, le spring break m'avait rappelé ce qui m'avait tant manqué avant celui-ci quand la déprime m'avait conquise et que je n'étais qu'une loque.

Je courais presque ou du moins, allais en marche rapide vers la sortie du bâtiment. J'entrepris ensuite d'allumer une cigarette avant de commencer tout en fumant à marcher le long du parking vers le bâtiment principal qui se trouvait plus loin. Je n'étais pas la seule dehors loin de là. Une marée de fille était comme moi entrain de se dégourdir les jambes. Le petit vent frai qui faisait virevolter doucement mes cheveux me faisait un bien fou et je rigolais toute seule. Oui, je suis folle et alors ? Je ne regardais rien, j'étais totalement dans mes pensées, à réfléchir à quoi faire, même si j'avouais que dans un coin de ma tête, je m'en voulais d'avoir été viré de cours. Je marchais donc quand j'eus l'impression d'avoir été appelé. Je continuais d'avancer, mais cette fois, j'entendis vraiment une voix connue m'appeler. C'était Heath, il s'était annoncé tout seul, ce qui me fit légèrement rire. Je me retournais fonçant dans ses bras, ça faisait du bien de le revoir. Je ne l'avais pas revu depuis un moment, c'était le cas de le dire. En fait, on s'était réconcilié puis, on n'avait pas cessé de se rater, avant qu'il y est la bombe, que je déprime, que je ne le vois donc pas, que je parte au spring break et voilà une preuve que ça faisait bien un long moment que je ne l'avais pas vu alors je prenais grand plaisir à mes bras autour de son cou, à sentir que j'étais contre lui, à sentir ma tête dans son cou. On s'était appelé mais sans grande conviction, déclarant néanmoins qu'on devait se voir, mais bon, au téléphone sans s’être revu, on préfère pas se dire les choses importantes. Pareil concernant les sms, vaut mieux se retrouver avant. Le sentir comme ça, près de moi, ça me rappelait le temps où nous étions ensemble même si ce n'est pas spécialement joyeux, j'ai beaucoup de souvenir charnel très bon avec lui. A cette pensée, je riais dans son cou avant de me détacher de lui en déposant un baiser sur sa joue. J'ai l'impression de ne pas t'avoir vu depuis une éternité ... Je le regardais, le détaillant, il n'avait clairement pas changé, toujours aussi craquant. Un sourire vint illuminer mon visage. J'étais bien heureuse de retrouver celui qui du statut d'Ex était devenu mon ami, malgré l'étrangeté de notre relation parfois. Ça faisait tellement longtemps que j'imaginais déjà que ça allait bien le surprendre quand j'allais lui apprendre qu'il n'avait pas une Lowell dans ses bras mais plutôt une Cabot. Que de changement s'était produit depuis quelques mois alors ça tombait bien, on avait beaucoup de temps à rattraper je pense ...

hj; désolé pour ce rp pas formidable du tout ... mdr (aa)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Des yeux bleus et un sourire...peut-être

ça y est ! Elle avait enfin capté qu'il était là. La preuve, c'est que juste après s'être retournée, elle avait foncé dans ses bras. Le jeune homme légèrement étonné, ouvrit de grands yeux ébahis et sourit en la sentant fort serrée contre son coeur. Rapidement, il la saisit à son tour, enfonça son visage dans sa chevelure brune et respira son parfum...ou son shampooing. Enfin BREF, l'odeur de la jeune fille. Elle ne semblait pas avoir changé, cette odeur. Toujours douce, à lui caresser les poils des narines comme un léger souffle d'air frais printanier. Il sourit en pensant à cela. Kara ! Il l'avait serrée dans ses bras tellement de fois qu'il n'aurait pu les compter. Il l'avait aimée, plus que beaucoup d'autres filles et l'avait eu, il ne savait trop comment. Aujourd'hui, cependant, plus rien de leur amour n'avait survécu, à part de la tendresse, beaucoup de tendresse. Il ferma les yeux en se rappelant ces doux instants passés à ses côtés, inspirant un grand coup, comme pour oublier les problèmes actuels. Puis, soudain, la vie recommença, les souvenirs s’éteignirent et Kara se trouva face à lui, un grand sourire aux lèvres.
Oui, ça faisait longtemps. Enfin...longtemps ! Si ? Il n'y avait même pas pensé, bien trop plongé dans son mémoire et son travail. L'air perplexe, il croisa les bras sur son torse, dévisagea avec une attention assez particulière les pupilles bleues de Kara et, après n'y avoir trouvé aucune once de doute ou de mensonge, passa une main dans ses cheveux puis dans sa barbe, l'air légèrement gêné. Tu rigoles, j'espère. J'ai l'impression de t'avoir vu même pas hier ! En effet, elle ne semblait pas avoir changé, ou alors très légèrement. Quelques cernes se dessinaient peut-être sous ses yeux, ou ses cheveux avaient peut-être poussé, il n'aurait pu le dire. Kara restait la même. Cependant, mentalement, le blondinet fit un calcul des jours écoulés depuis leur dernière rencontre. Bon, ils n'avaient pas pu se voir ce mois-ci, à cause de son travail, ni le mois d'avant, où ils avaient promis, par téléphone, de se faire une soirée sympa, ni...le mois d'avant, lorsqu'Heath s'était dit qu'il était peut-être temps de commencer à bosser. Plus ses neurones cogitaient, plus les yeux bleus du jeune s'agrandissaient pour former des sortes de billes. Non ! ça ne pouvait...Impossible ! Ne me dis pas que ça fait trois mois qu'on s'est pas vus ?! En oubliant le nouvel an et Noël, bien sûr ! Il se sentait terriblement gêné, et mal, et il avait envie de se faire pardonner. Saisissant la main de la brunette avec vitalité, il l'entraîna sans ménagement avec lui. Au bout d'un moment, il se retourna cependant pour regarder Kara. Il va nous falloir rattraper le temps perdu ! Je veux tout savoir de ces quelques mois loin de moi ! Où l'entrainait-il ? Nul ne le savait, même pas la joueuse --'

Spoiler:

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais ses bras caresser mon dos, son souffle dans mon cou puis le sentir respirer mon odeur. ça me rappelait tant de bonnes choses même si certaines l'était moins. Je le regardais tandis qu'il ne semblait ne pas en revenir, oui il ne revenait pas du fait que cela faisait tant de temps qu'on ne s'était pas vu, face à face, yeux dans les yeux, tous les deux presque en amoureux même si ce n'était plus le cas. Il avait l'impression de m'avoir vu hier disait-il et il est vrai que le temps passait tellement rapidement aussi, mais moi pour une fois, je l'avais trouvé lent le temps. Il me regardait, comme si il cherchait à voir chaque parcelle de peau, chaque endroit de mon corps, mais en même temps, je voyais ces deux yeux s'agrandirent, ces deux petits yeux fatigués laissaient peu à peu la place à de grosses billes pleine d'étonnement et il ne manque de montrer son étonnement car suite à ses calculs, ça faisait bien trois mois qu'on ne s'était pas revu. Et oui, mon cher ! Nous sommes si négligent, pensais-je en riant quand il fit sa remarque. Je balançais mes cheveux pour qu'ils ne restent plus sur mon épaule. Je le sentis attraper vigoureusement ma main. Se toucher me rappeler encore un peu plus nos moments de couple. Il m'entraina je ne sais où, un peu plus loin dans le parking ou dans les parages avant de se retourner quand même vers moi. Il se contenta d'annoncer qu'il voulait qu'on rattrape le temps perdu et savoir tous ce qui était nouveau dans ces derniers mois. Je lui souriais et on repartit de plus belles, je pris les devants, le tirant bien plus loin, à coté d'un bâtiment restant non loin du parking, sur un grand espace vert. Je m'asseyais et attendait qu'à son tour, il se pose sachant qu'on ne manquerait pas d'etre bien proche physiquement. Oui, notre amitié était très tendre, très proche, mais il n'y avait plus de risque qu'entre nous ça aille plus loin. Enfin, je le crois fermement. Je le sentais proche de moi et j'aimais ça, nous aimions ça. Il avait été là quand ça allait mal avec Castiel même si c'est parce que je le croyais coupable d'une chose horrible, et malgré qu'il ne soit pas blanc dans l'histoire, il avait été là quand même. C'était trop compliqué. Je me tournais un peu tentant de croiser son regard, et du m'y plonger. J'admirais son regard toujours brillant, toujours beau. Je sentais aussi notre proximité encore et toujours, mais très vite, je brisa le silence pour demander : Alors tu me racontes chéri ? Je souriais, j'étais heureuse de le retrouver et rien ne m’empêcherait de le montrer même si malheureusement, Castiel devait passer par là, ou bien qui que ce soit. J'aimais passer du temps avec lui quoique les gens disent, même si beaucoup nous croyaient encore en couple, je me fichais des rumeurs, il était mon ami et personne ne nous changerait. Tu m'as manqué .... Avais-je dis en me collant encore plus à lui. Je savais qu'il n'était pas indifférent, si bien que je rigolais en m'approchant de lui malgré toute la sincérité du message, mais en même temps, je savais que tous cela devait l'étonné car la dernière fois qu'il m'avait vu, j'étais encore la Kara toute folle certes, mais qui ne montrait pas ce qu'elle avait au fond, ce qu'elle pensait des gens au fond d'elle et ne disait pas tous ce qu'elle avait envie de dire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Des yeux bleus et un sourire...peut-être

Il avait voulu l'emmener loin. Loin des regards indiscrets, et des étudiants qui passaient. Il voulait la serrer dans ses bras, comme avant. Enfin...peut-être pas comme avant, bien sûr. Enfin, pas de la même manière surtout. Quoique. Et puis, il voulait être au calme. Loin du bruit constant. On était au printemps, il devait donc bien exister un petit endroit, tranquille, dehors, où ils pourraient se poser sans être jugés pour mauvais comportement. Heath fronça légèrement les sourcils, sans vraiment savoir où il l'emmènerait. Peut-être un petit tour en voiture, au pire ?
Cependant, la brunette prit bien vite les choses en mains, tirant sur la sienne pour l'emmener sur une pelouse, derrière les bâtiments, dans la prolongation du parking. Il sourit à cette idée, n'y ayant pas spécialement pensé.
Enfin, ils trouvèrent l'endroit parfait, près d'un arbre, qui s'élevait déjà haut dans le ciel. Se demandant s'il était judicieux ou non de s'asseoir par terre -après tout, l'herbe, ça salissait les pantalons !- il regarda son amie s'installer et sourit à cette vision. Elle ressemblait presque à une enfant et le regardait de ses grands yeux bleus, un léger sourire aux lèvres. Heath, se sentit fondre sous ce regard et cela se vit. En effet, il s'assit à ses côtés, les mains caressant rêveusement les brins d'herbe qui se faufilait sous ses doigts. Etonné par le silence naissant qui s'installait entre eux, Heath finit cependant par lever les yeux vers son amie, regard qu'il croisa aussitôt et auquel il sourit, gêné, en baissant la tête. Elle était proche, mais cela ne le dérangeait pas. Il l'aimait l'avoir près de lui, sentir cette chaleur qu'elle seule pouvait dégager et ce parfum qui enflammait parfois ses veines. Et bien...tout va bien ! Voila... Il releva la tête, son sourire toujours figé sur ses lèvres. Devait-il lui dire ? Il avait peur d'être chiant ! Bon, je suis juste un peu en train de stresser pour mon mémoire. Et puis...j'ai pas mal de problèmes...avec des filles ! Ouch ! Parler à son ex de ses problèmes d'adultère, n'était-ce pas un peu too much ? Heath se moqua bien fort de cette idée. Après tout, ils étaient amis maintenant, non ? C'est juste qu'il y a plusieurs filles que j'ai essayées de séduire et le problème c'est que ça marche un peu trop bien. je crois que dans peu de temps, ton pauvre Heathcliff se verra découpé en rondelles par des folles hystériques ! Il rigola à cette idée. Bon, bien sûr, il ne donna aucun nom, par peur que son amie connaisse ses futures victimes...ou ses futures meurtrières !
Alors qu'il racontait ses malheurs, la chaleur qu'il adorait tant vint se blottir un peu plus contre lui, tout comme le parfum envoûtant que Kara portait. Un léger frisson parcourut les bras du jeune homme qui profita de ce rapprochement pour passer une main autour de la taille de son amie, rejoindre sa main et enfin enlacer ses doigts. Il murmura presque, appréciant ces retrouvailles plus qu'appréciées. Toi aussi, tu m'as manqué...je ne sais pas comment on a fait pour ne pas se voir pendant si longtemps ! Il plaça son menton sur le crâne brun de la jeune femme et, après un moment, embrassa sa chevelure ébène.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je m'étais assise rapidement sur l'herbe, près de ce valeureux arbre qui grimpait jusque dans le ciel. Mon ami n'avait pas hésité plus longtemps à me rejoindre et à s'assoir. Je le voyais quand même toucher l'herbe, laissant filer ses doigt sur l'herbe, la toucher. Je ne pouvais m’empêcher de le regarder, de le bouffer des yeux, je devais avouer qu'il n'avait pas changé et que je ne regrettais rien de ce qui avait pu se passer entre nous même si c'était du passé. Il était mon ami maintenant même si parfois ça paraissait bizarre et ambigu entre nous. Il semblait heureux de m'avoir près de lui et je ne pouvais pas dire que la chaleur de son corps me rendait indifférente. Non, j'aimais sentir sa chaleur, son parfum, sa peau, j'aimais ce jeune homme, pas d'amour mais j'aimais le souvenir de notre histoire si courte quand on y repense. Il se contenta de dire que tout va bien, montrant qu'un grand silence c'était installée. Je ris doucement à la fin de sa phrase tant c'était drôle de le sentir ... gêné. Il souriait toujours, me regardant et face à ce si beau regard posé sur moi, je rougissais tandis qu'il reprenait me parlant du fait qu'il était stressé pour son mémoire avant de me parler de problème avec des filles et là, je sentis que j'étais entrain de me retenir de rire, d'exploser de rire parce que je voulais pas le gêné mais que c'était hilarant qu'il me parle de ça ... Je ne pouvais m’empêcher de me dire intérieurement qu'il n'imaginait pas mon problème à moi niveau mec. Je souriais néanmoins face à ses dires mais on devait sentir ma retenue et que j'avais grande envie de rire. Je ne parlais plus, je me contentais de l'admirer, le laissant lui faire la conversation. Il reprit sur un ton humoristique parlant que plusieurs filles étaient séduite par lui et que c'était bizarre avant de sortir une blague de choix. Du coup, je me laissais aller et me mit à rire en même temps que lui alors que pour ma part, ce qui l'avait déclenché n'était pas seulement sa remarque. Je me contentais juste de dire ; Eh bah dis donc ... Va falloir qu'elles viennent me demander l'autorisation ! Avais-je dit en riant en l'accompagnant d'un clin d’œil bien provocateur. Je m'étais blotti contre lui, j'aimais ça et je l'avais fait en connaissance de cause, parce que je savais pertinemment qu'il adorait ça aussi. D'ailleurs, on nous croyait souvent toujours en couple, justement parce que voilà, on aimait être l'un contre l'autre, sentir nos corps presque prêt à se sauter dessus alors que non, on ne dépasserait pas la limite. Je le sentis prendre ma main, m'enlacer doucement celle-ci et l’emprisonner dans la sienne. j'aimais tant ce contact. J'étais bien là, j'étais si bien. Il avait très vite répondu à mes dires selon lesquels il me manquait par la même chose : Toi aussi, tu m'as manqué...je ne sais pas comment on a fait pour ne pas se voir pendant si longtemps ! Je sentis ensuite qu'il posait sa tête sur mon crane avant d'y déposer un baiser. Sa présence m'apaisait. J'étais heureuse de le retrouver. Je restais blotti contre lui, encore et encore avant de reprendre : Tu sais pour tes nénettes, je les comprends ... quand tu dis qu'elle te poursuive en quelques sortes ! Faudrait juste que tu fasses tes choix beau gosse ! Je me frottais presque à lui comme pour activer plus encore la chaleur, la proximité de nos corps. Je savais ... enfin j'espérais qu'il était conscient que c'était juste comme ça et non, l'envie de redevenir plus que des amis qui me faisait être si proche. J'étais consciente de le provoquer sans vraiment le chercher par ses contacts répétés mais c'était plus fort que moi et je pense pouvoir dire que ... nous ! Mais tu sais ... j'ai fais de la merde aussi ces derniers temps niveau mec donc je peux te comprendre totalement, je suis un peu pommée aussi ... Je riais jaune en repensant à ma connerie, qui me faisait me sentir mal, mais d'avoir retrouvé ses bras, pansé mes maux.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)