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w. @Oliver Berry, vermont, week-end pfo (22/05) Te remettre un minimum en cause ? Toi ? Sans savoir ce qui dérangeait dans votre relation ? Il te brise le cœur et tu es sensée par la suite, lui demander à genoux de rester avec toi, de creuser… ? Mais il a fumé quoi à l’époque ? C’était obligé que tu allais te braquer. ❝ Tu plaisantes là ? Tu me plaques et je dois te courir après ? Non, mais je t’explique, assumes ton choix, ne viens pas me remettre la faute dessus. Ce n’est pas moi qui ai pris la décision à ce que je sache ? Tu n’as pas non plus cherché à arranger les choses de toi-même. T’as préféré le radical et prendre la fuite. Tu dois deviner ce qui posait problème ? Jusqu’à preuve du contraire, tu n’es pas médium. Tu ne peux pas deviner ce qui lui passe par la tête. S’il souhaitait que tu te remettes en question fallait-il encore qu’il vienne t’en parler. ❝ Entre guillemets, d’a-ccord ! Et donc ça te dérange que je dorme avec un ami ? Tu reprends ses guillemets les signant de tes doigts, et prends cet air saoulé, car t’en as marre de rendre des comptes sur ta relation avec Iwan. Cela ne regarde personne. On pourra la remettre en question le jour où il se passera quelque chose. C’est comme le fait qu’Oliver ne croit pas ce qui se passe dans la tente, tant pis pour lui. Tu roules des yeux. Qu’il croit ce qu’il veut ! Et ça dérive sur ton infidélité et ta relation passée. ❝ Ah ouais, o-k. dis-tu avec beaucoup d’exagération. Allez, pas besoin d’en parler plus. Enfin, il te demande pourquoi ça aurait été différent avec lui, et tu cries ta sincérité. Tu n’as pas envie d’en ajouter, de faire un dessin. Tu en as déjà bien assez dit. Même trop peut-être. Et là, il vient te piquer, critiquant tes talents de dessinatrice. Tu lui lances un regard noir. S’il y a bien quelque chose dont il ne faut pas toucher ce sont tes talents. Tu fais du dessin depuis ton enfance et en fait même une source de revenue actuelle. ❝ Tu plaisantes, j’espère ? Tu t’étais un peu ouverte, mais l’huître se referme. Du moins, jusqu’à rire à son commentaire sur Léo. Forcément, tu ne peux t’empêcher de rire à nouveau. Chez toi, c’est comme dans une montagne russe. Tu passes rapidement d’un état à un autre. Et les choses s’apaisent. Il vient alors s’asseoir à tes côtés sur le rondin, venant te parler de ce regard de travers que tu as lancé plus tôt. ❝ Euh, je ne vois pas de quoi tu parles… Fais l’innocente t’as raison. ❝ Rigole pas… Taquine, tu viens lui donner un coup d’épaule, avec ta voix d’enfant.
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