RON WARNER ► na jaemin

simple, basique, une évidence. enfant de new-york, se doit d’être dans l’une des plus prestigieuses universités du pays. être l’enfant d’une famille aussi réputée que la famille warner offre la possibilité d’être l’un des jeunes hommes qu’harvard aura bercé. alors, c’est les sats qu’il travaille, d’arrache pied (parfois à s’y cramer le crâne). encore un peu plus sérieux, il s’avance, se tient prêt, c’est l’image courageuse qui l’aide à obtenir l’entretien. aujourd’hui, le voilà à harvard, prêt à vivre sa première année.

découvre ses rêves, les épouse du bout de ses songes. à l'addiction de l'éternelle passion, à quérir les plus beaux instants. môme qui inspire la fierté, quand il s'inspire d'une réalité assistée des plus beaux rires. à défendre les personnages qui prennent vie quand ce sont les étudiants qui valsent autour de lui. harvard, berceau de son imagination loufoque, pureté des études qu'il réussit quand il n'a guère besoin d'être le plus brillant.

KING 98% ■■■■□□ 97% SWEET
PRETENTIOUS 82% □□■■■■ 88% COMPLICATED
SYMPAPETHIC 90% ■■■■□□ 89% LOST BOY
NERD 100% □□■■■■ 90% DUMB
BRILLANT 94% ■■■■□□ 99.9% CHILDISH

perfide un peu, le môme. c’est les beaux traits, les fines peintures de son visage qui persistent dans l’esprit. il plaît, il attire, et lui se rejette, s’éloigne, disparaît, traverse le spectre de lui-même. la fossette adorable - y mettre une claque ou déposer un baiser, y’a mille choses à y faire. c’est là qu’on admire l’encre de corée. on murmure l’adorable, on se permet les fantasmes sur le visage aguicheur). entretenir l’image du gamin heureux et on vole presque les fausses illusions des films de mauvaise qualité. charmant, charmeur, il envoûte, hypnotise, sirène et tantôt marin. l’enfant prodige, le warner, quand il oublie être han. l’accent de busan qu’il fout en l’air, c’est l’amérique sur le coin des lèvres, il oublie, trop souvent - c’est conscient. bordel ce qu’il fait du bien, l’humain. c’est sa présence qui apaise (quand il est pas foutu de s’aider lui-même). à trop vouloir prendre le chaos des autres - quand c’est le sien qui le bouffe, y’en reste pas une seule bouchée. il renaît pas de ses cendres, il est les cendres, celles qu’on souffle, dans l’espoir d’un autre autrefois. il a du mal, le môme, à se supporter, quand c’est les autres qu’il pousse vers le mieux. trop compliqué, il s’évade sur le bout des doigts, dessinent sans une hâte, crayon comme instrument du bien - instrument des dieux). gamin (a)normal. se crame la rétine sur the witcher, devient cendrillon de minuit, à devenir l'accro des images, c'est la technologie qui l'envoûte, à guérir les terreurs nocturnes dont il est victime de (ses propres) terreur nocturne.

anecdote une l’encre de corée tâche l’épiderme, c’est les effrois de la nuit, les cris à terrifier la nuit elle-même, à sa dose d’horreur. il se remémore, le môme qui oublie, les rues fraîches, à venir croquer sa peau. il s’ennuie, le môme amnésique- c’est volontaire, à jamais vouloir entacher le renouveau. le monstre qui s’éveille, à venir le bouffer dans une terreur nocturne. il s’enferme, dans les regards qui jugent. et lui, il veut corriger l’injustice, voyez les airs de justicier. anecdote deux dans l’orphelinat, c’est le gamin à la bouille adorable. on le prend pour le démon, paraître si gentil alors que le regard est terrifiant. il reflète la vie qu’il a vécu, là-dehors, les parents faussement dans l’amour, qui parlent trop pour savoir agir. ils l’ont abandonné, c’était sûrement la meilleure décision. anecdote trois souvenirs de busan... c’est la sueur, le front moite, la respiration hachée, et on observe l’heure : toujours 1:00. à tuer les insomnies par les somnifères, aux débuts d'une drogue pure. et le petit garçon aux merveilles, on sait plus réellement où il est passé, ce monde. il s’y accroche, à en saigner parfois, retrouver l’essence du malheur.à se demander quelle vie il aurait eu si la corée ne l’avait jamais abandonné au détour d'une ruelle. anecdote quatre à se souvenir des nuits d’ivresse des astres, les pas qui mènent nul part, et là le sourire droit, à se tenir auprès d’une famille qui n’est pas la sienne. grandir sous les airs de quelqu’un d’autre, les terreurs nocturnes qui éveillent, l’enfant qui pleure qui le surplombe.jamais savoir le prendre dans ses bras, le réconfort qui s’évanouit, le cœur lourd. et l'addiction aux cachets blancs, à s'en cramer les rêves. étouffer les insomnies, et compter les moutons funèbres. anecdote cinq you’re my last hopе, my answer. you’re the missing last piеce. you know what ? you’re the reason for my existence, the beginning and the end. the most important piece. à s'écrire à lui-même, seul étranger à ses yeux. au reflet que parfois, il arrête de croire. gueule d'ange qu'il rejette.

p l a y l i s t

hot sauce - NCT DREAM •• make a wish - NCT U •• crazy over you - BLACKPINK •• power - EXO •• okey dokey - MINO & ZICO •• naughty boy - PENTAGON •• fighter - MONSTA X •• angel or devil - TOMORROW X TOGETHER •• pop/stars - KDA •• peek-a-boo - RED VELVET

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@"Ron Warner" » <i>(arts plastiques)</i>

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<span class="pris">na jaemin</span> <span class="inv"></span> @"Ron Warner"