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Evil is close to you. [Coco&Eden]

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† It's your pleasure.

Grace St-James, un nom tant salit que réputé chez quelques garçons désormais. Des regards, des rumeurs, des à priori. Indirectement touché par ce que faisait ma sœur, je lui rendais la pareille en augmentant la sainteté de sa réputation. Une honte de voir un St-James aussi traîné dans la boue, mais que pouvait-elle faire ? Elle s'amusait, sûrement trop souvent, et réellement pas assez discrètement. Elle ne faisait pas attention aux répercussions, elle avait toujours eu cette fougue et ce côté rebelle. Mais je la protégerais, quoiqu'il m'en coûte. On venait souvent me voir, m'accablant de ses derniers faits et gestes. Impulsif, énervé et irrité par ces rumeurs qui tâchait mon nom de famille je me devais, devoir de grand frère, de la ramener à la raison, de la sauver de la perdition. Je la remettais dans le chemin de la raison, le seul et l'unique possible, loin des Mather, mais cela n'était pas tâche aisée. Loin de là, très très loin de là. Ils avaient pervertit ma sœur, la poussant au vice plus qu'elle ne supporterait. Grace n'avait pas mon côté rassurant et cette imposante ressource du refus et du déni. Je les méprisais tellement, tous, ces Mather, ces gueux, ces paysans, je les traînerais plus bas qu'ils ne le sont déjà pour leur prouver qu'on ne touchait pas impunément à un St-James.

Les derniers dires du moment parlaient d'un certain Noah, lui, ce gars plus pourri que les chiottes de la maison des Mather après une soirée de débauche. Lui qui poussait le vice chez Grace, si innocente et imprudente. Je devais l'en empêcher, et si mes conseils et mes menaces sur ma sœur ne fonctionnaient plus depuis longtemps, j'avais appris à veiller sur elle, de loin. Devenu presque malsain et tordu à force de détourner son accord, ça devenait presque facile aujourd'hui. Oui, j'avais ce côté presque sociopathe lorsqu'il s'agissait de ma sœur. Je récoltais déjà pendant ces quelques dernières semaines toutes les rumeurs, les informations, ou tout et n'importe le concernant. J'y croyais presque plus lorsque je surprenais une conversation évoquant son amour malsain envers Coco, une fille de la Eliot House. Parfait. Moi même de cette maison, je me devais de la rencontrer, lui entretenir mon embêtement, accentuant sa douleur pour le Noah. Si elle aimait les ratés, elle faisait ce qu'elle voulait, mais je ne laisserais pas ma sœur finir dans les bras de quelqu'un de si sale. Bref, je devais lui parler, échafauder quelque chose à deux pour lui rendre son bad boy. Et je devais agir, très vite.

Et c'est donc ainsi, que les jours suivants, je parcourais Harvard pour savoir où et qui était cette Coco, pour enfin trouver sa description et l'endroit où elle se trouvait. Aujourd'hui marquait mon empressement car j'avais appris qu'elle serait dans notre résidence. Souriant, fumant ma clope, c'est devant la Eliot House que je me retrouvais face à cette jolie fille répondant au nom de Coco. J'engageais alors la discussion.


« Coco Harper Archibald ? »


Relâchant la fumée de ma cigarette, mon air froid et hautain. Je la regardais, ne prenant pas la peine de vraiment la détailler, je reprenais.

« Je suis E. Yolan St-James. J'aimerai que nous discutions. »


Toujours dans une neutralité me présentant à une inconnu, je n'énonçais que mon deuxième prénom. Oui, j'avais trop de mépris pour les gens pour donner mon prénom originel dès notre première rencontre. J'attendais donc sa réponse, elle avait peut être fait le lien.
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Noah, Noah, Noah.. ce nom ne pouvait plus me sortir de la tête, ce n'était plus possible. Je n'arrivais plus à penser à autre chose qu'à lui. MOI, Coco Harper Doillon-Archibald, qui n'était jamais ô grand jamais tombée amoureuse de ma vie, ce n'était surement pas maintenant que ça devait m'arriver, certainement pas. L'amour ça te pourris de l'intérieur, ça t'empêche de réfléchir par toi même. Ça te brouille totalement l'esprit. Et moi, j'ai besoin d'un esprit clair, net, pour être tranquille. Et ce con.. Il avait fallu qu'il me sorte ses sentiments pour moi juste après m'avoir ôté ma virginité. Il ne pouvait pas faire plus simple et éviter les frais à tout le monde. Il avait pourtant déclenché en moi quelque chose de beau, de magique, d'unique, seulement je ne supportais pas le fait d'être dépendante de quelqu'un, je ne pouvais pas accepter qu'il occupe mes pensées. C'était encombrant, je l'avais donc envoyé sur les roses, ne voulant plus jamais le revoir.. Quelle piètre blague, me voilà accro à lui. A ses baisers, ses lèvres, ses paroles, la chaleur de sa peau.. ses traits, sa puissance. Je l'aimais carrément, en fait.

Au finale, nous ne nous étions pas parlés depuis ce matin là du Spring Break, où je l'avais quitté pour de bon. Ah.. Non, c'est vrai, je l'avais revu le lendemain à la plage, près de cette pauvre catin de Mather... Son nom déjà ? St-James. Une pauvre fadasse que je lui avais demandé de vite fait rejoindre dans la cabane où elle l'attendait sans doute impatiemment. Biensur il n'avait pas traîné, pour vite fait aller tirer son coup avec elle. Malgré le fait que je la détestais d'une force incroyable, je ne pouvais m’empêcher de la jalouser de la même intensité. Surement autant que j'aimais Noah. Qu'avait-elle de plus que moi sérieusement ? Rien ! C'était une Mather, en plus. Je savais que j'avais bien plus de classe qu'elle, et au moins, je ne me faisais pas sauter par la moitié des garçons du campus.

J'étais passée chez les Eliots pour aller voir mes amies avec qui j'étais censée organiser un gala de charité, et aux alentours de 15h nous terminions la réunion. Je me levais avec hâte, enfilant mon long manteau Carven et mon sac Proenza Schouler, alors que je me dirigeais vers la sortie de la Eliot House, mon portable en main, texto-tant mon chauffeur qu'il vienne me chercher devant pour me ramener à la maison. Mais alors que mes pensées étaient encore vers le malheureux élu de mon coeur, j'entendis une voix m’appeler de mon nom complet.

« Coco Harper Archibald ? »

Je me retourna interloquée, et je vis un homme posté devant moi, l'air grave. En me retournant, je le regarda furtivement de haut en bas, toujours avec cet air arrogant.

' A qui ai-je l'honneur ?.. '
« Je suis E. Yolan St-James. J'aimerai que nous discutions. »

Il me regarda d'un air froid et hautain. A moi ? Mon égo en pris un coup, personne n'osait me regarder de cette façon. Je releva la tête. Un adversaire de taille ? Mais c'est alors que je fis le rapprochement. St-James.. Il serait de la famille de cette catin ? Sans blague ?! Je finis par le regarder avec mépris.

' Je n'aime pas spécialement les familiarités avec les St-James, mais je vous accorde cinq minutes puisque je ne vous connais pas. '

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† Come with me in my mind.

Face à cette brune, on remarquait rapidement son côté Eliot House. M'accordant à peine de valeur, j'en faisais de même, tout deux avec deux regards intenses dans le taux du mépris. Cet orgueil immensurable fricotant parfaitement avec mon arrogance digne de Narcisse, nous étions tous ainsi, nous, l'élite. J'avais en plus de la dose basique eut du renfort de part des réussites exemplaires et une bonne popularité. J'étais simplement un être fabuleux et je ne mélangeais sûrement pas avec la populace répugnante. Bien trop misérable pour moi, le commun des mortels n'avaient aucun valeur à mes yeux. Oui, ce n'était que des pauvres êtres accusant le coup, subissant leurs existences, un bille de 100 dollars et ils jouissaient dans leurs pantalons dans le rêve d'un jour l'avoir entre leurs mains. Mais non, jamais, ils n'auront jamais cette chance car ils échoueront comme tout pécores qu'ils étaient. Noblesse oblige. Torturé par l'idée que ma sœur puisse un jour tellement aimer cette vie de débauche et d'échec il fallait que j'agisse et que j'intervienne en son honneur. Tout pour son bien. J'étais exemplaire jusqu'à la protection et la surveillance que je lui donnais. Je méritais le titre de meilleur grand frère de tous les temps, car effectivement, ce n'était pas tâche aisée de la remettre sur la bonne route. Vraiment pas.

J'avais donc suivis les dernières rumeurs pour remonter jusqu'à cette brunette de ma maison, Coco. Lié étroitement par Noah et ma sœur, je devais la rencontrer pour que nous parlions sérieusement de notre cause commune. Solidarité de l'élite, oui, ça faisait toujours plaisir d'être riche et d'être soutenu par ces gens tous aussi riche que vous. L'argent dominait le monde, et ceux qui ne l'avaient pas encore compris gaspillaient leur temps précieux à le laisser filer entre leurs doigts. Les abrutis ne savaient pas ce qu'ils loupaient, les inconscients. Quel spectacle délectable et dégoûtant d'observer ces pauvres Hommes agir selon leurs sauvageries. Rendu à l'état de bête sauvage, je me trouvais devant la Eliot House, fumant ma clope. Coco arrivait, comme convenu avec mes diverses sources. Je l'interpellais me présentant. Je su, par son regard se transformant et son ton accusateur qu'elle avait fait le lien entre ma sœur et moi. Esquissant un sourire narquois et taquin, la suite lui serait sûrement plus appréciable.


« Loin de moi l'idée de prendre sur ton temps. Mais je pense que nous avons un problème commun et qu'il serait préférable d'agir ensemble. »


Une alliance, c'était en quelque sorte ce que je proposais. Une conspiration pour faire tomber Noah des bras de ma chère sœur. Moi je récupérais un peu de la pureté de cette dernière, et Coco, elle prenait plaisir à garder près d'elle son Noah. Donnant donnant, sans gagnant, tout était là pour que ce soit machiavéliquement merveilleux.

« Je fais évidemment référence à Noah et Grace. »


Accentuant le problème je ne prenais pas la peine de la vouvoyer, après tout elle ne m'était pas supérieure. Elle avait déjà de la chance que je ne la dénigre pas avec tout mon mépris.

« Puis-je bénéficier d'un temps rallongé désormais ? »


Dans un anglais parfaitement maîtrisé, un léger sourire taquin en coin, je marquais des points en sympathie. Nous devions être ensemble pour se livrer à ce combat qui devait rester discret et plausible. Maintenant, elle n'avait plu qu'à accepter mon offre.
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Cet homme avait certes une classe incontestable, on devinait sans aucun doute un membre de la Eliot House, cependant, même si j'aimais m'affairer avec mes acolytes de ma confréries, je n'aimais pas beaucoup que ces derniers me regardent de la sortent encore moins lorsque je ne les connaissais pas encore. Il avait ce regard distant et froid, on aurait presque pu s'amuser à geler tout le campus avec nos rayons lasers, car oui, j'ai été logée à la même enseigne, bonhomme.

« Loin de moi l'idée de prendre sur ton temps. Mais je pense que nous avons un problème commun et qu'il serait préférable d'agir ensemble. »

J'arqua un sourcil. Je doute que Grace soit également son problème, mais qui sait ? J'avoue que je l'aimerais finalement plus, s'il était de mon avis que sa soeur soit la traînée du campus.. Enfin.. l'une des traînées du campus, sinon ils finiraient par bien vite se lasser les pauvres étudiants ! Je souris intérieurement de manière sarcastique devant ma pensée, c'est vrai qu'elle est plutôt fade. Je ne vois vraiment pas ce que Noah peut lui trouver, et même, qu'il passe de moi, à.. elle, ça me fend le coeur. Mais bon, s'il prétend avoir un problème en commun avec moi, c'est qu'il doit avoir ses sources, néanmoins, je le trouve bien sur de lui pour oser penser que j'ai un problème..

' Et qu'elle est ce problème en question ? '

lui demandais-je sur le ton de la méfiance, mais quand même aussi de l'arrogance.

« Je fais évidemment référence à Noah et Grace. »

Tout de suite, en entendant ces deux prénoms ensemble, mon sang se glaçai. Je serra la mâchoire, gardant parfaitement mon sang froid, y ajoutant même un léger sourire de diplomatie. Malheureusement, je n'étais pas sure d'être sur le coup, sachant que je l'avais moi même envoyé sur les roses. Logiquement, il faisait ce qu'il voulait, que ça me répugne et me rende jalouse ou pas.

' Noah et .. Grace.. humm. Dis moi, toi non plus, tu n'aimes pas trop que ces deux là traînent ensemble ? Désolée. Je ne peux pas t'aider sur ce coup là, Noah fait ce qu'il veut à qui il veut... '

Pourtant, je réfléchissais. Je le regardais en même temps, lui et son sourire White Now de futur politicien. Même si Noah ne m'appartenait pas, je voulais tout de même lui prouver que je pouvais avoir ce que je voulais dans la vie, ça avait toujours été le cas, et ce n'était certainement pas prêt de changer. Je le regarda alors, esquissant un sourire à mon tour.

« Puis-je bénéficier d'un temps rallongé désormais ? »

' Oui, je pense que oui. Suis-moi. '

J'acquiesça, finalement, l'invitant à me rejoindre dans la limousine, je connaissais un bon bar chic au rez-de-chaussez de l’hôtel d'Aleksei, où nous pouvions discuter affaires tranquillement.




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† I follow you & You follw me.

Ma nouvelle rencontre semblait du même avis que moi. Outre ce point commun, nous avions tout deux cet air qui nous allait si bien. Oui, ce côté supérieur à la fois charmant et effrayant lorsqu'on était qu'un pauvre personnage lambda. Une électricité de domination et d'arrogance, montrant que même si nous étions civilisés et raisonnables, nous n'éprouvions aucune sympathie réelle face aux autres. La compassion, jamais, la pitié remplaçait cette émotion si bien, et ce n'était qu'un exemple face à toute ces émotions agréables que j'avais chassé de mes habitudes. Je regardais pas, je dosais mon mépris sur les gens en ne leur jetant qu'un coup d'œil, je ne discutais pas, j'inculquais mon savoir, etc. Trop orgueilleux et hautain pour avouer une défaite ou un tort, j'avais un ego et une fierté incroyable. J'étais comme ça, et on m'acceptais ainsi. J'étais de ceux qu'on préférais avoir en ami plutôt qu'en ennemi. Destructeur, je laissais parfois mon mépris prendre le dessus et alors plus rien ne m'arrêtait. Je ne lâchais pas prise avant d'avoir écopé d'un succès, et croyez moi, je gagnais toujours quoiqu'il m'en coûtait. On sous-estime tellement le pouvoir de l'argent et la volonté des narcissiques malsains.

J'essuyais donc un demi refus de la part de Coco. Elle semblait être d'accord avec moi sur le principe mais ne s'octroyait pas le droit de le faire tomber. Ce qui était dommage, à vrai dire, je n'éprouvais jamais aucun remords. J'étais ce que j'étais, et je ne regrettais pas d'être hargneux. Cependant, je vis son regard et son léger sourire, elle était intéressée, c'était indéniable. On avait tous ce léger rictus sur le visage, ce blocage impulsif qui démasquait en nous un désir ardent d'une vengeance terrible. Et c'était ce que je ressentais en la regardant. Mes sources m'avaient prévenues qu'elle ne laisserait pas une occasion de récupérer discrètement Noah. En plus, aucun risque n'était de mise, jamais je ne ferais transparaître ce côté machiavélique. Cela ne m'apporterait rien de très bon, loin de là. J'avais cette gueule d'ange, cette fausse modestie et cette gentillesse touchante et amusante devant les gens. Derrière ce cachait un monstre prêt à tout pour arriver à ses fins. Tordu, malsain, narquois, taquin, autant d'adjectifs qualifiant mon esprit digne d'un sociopathe. Quand j'étais déterminé à faire quelque chose, aucun obstacle ne m'arrivait à la cheville. Personne ne pouvait me stopper.

Ainsi je m'efforçais de lui demander un laps de temps plus long. Et après mûre réflexion, elle m'indiqua la porte de sa limousine. Je n'en attendais pas moins d'une telle fille à vrai dire. Moi j'aimais conduire, me pavaner avec ma richesse, sans forcément penser à la frime, j'aimais montrer aux gens que j'étais différent, que j'étais meilleur qu'eux. Oui, j'avais déjà plus de chiffre sur mon compte en banque qu'ils n'en auraient en toute une vie. Bref, j'acceptais volontiers de la suivre. Gentleman et bien éduqué, je tenais la porte, congédiant le chauffeur. Ce dernier reprit sa place au devant de la voiture, et je faisais un signe de main pour la laisser entrer en première. C'était comme ça que je m'étais éduqué. Pénétrant à mon tour à l'intérieur, je m'asseyais face à Coco, et je repris la parole directement, le temps du trajet.


« Je ne te propose pas d'intervenir directement. Mais disons, qu'il se peut, à tout hasard, qu'entre eux ça ne fonctionne pas si bien. »


Esquissant un sourire, il était vrai que cela ressemblait presque à une conspiration pour un meurtre maquillé en accident. Loin de là, il fallait que Noah et Grace filent loin l'un de l'autre. C'était obligatoire, et je savais que ma proposition ne ferait que de l'allécher encore plus.

« On ne se mouille pas. On fait en sorte qu'ils se haïssent tellement qu'ils décident de plus jamais se voir. Simple, limpide, efficace. »

Et machiavélique. Regardant mon vis à vis droit dans les yeux, j'attendais que nous nous arrêtions, voir ce que le plan donnerait si on l'échafaudait à deux.
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Ce mystérieux inconnu m'avait prise au dépourvu et avec des sources sures, pour assurer ma contribution dans son plan. Et évidemment, me connaissant, il fallait que je participe à ce dessein tout aussi machiavélique que ma personne. Néanmoins, j'aimais penser que je ferais d'une pierre deux coups grâce à cette opportunité, puisque de un, j'aurais de l'emprise sur Noah, et de deux, j'aurais enfin remis cette petite pimbêche de St-James à sa place. Noah lui allait de toute façon être plus difficile à manipuler, car il avait été fait de le même genre de moules que moi. Je savais que si je lui enlevais Grace, et qu'il savait que j'étais dans le coup, il allait être encore plus cruel autour de lui et de toute façon se trouver une autre potiche de base, certainement une Cabot .. D'ailleurs, depuis cette histoire d'enterrement, il était devenu en quelques sortes l'ennemi public numéro 1 d'Harvard, et je pouvais comprendre qu'Eden ne voulait pas qu'il s'approche de sa soeur avec toutes ces rumeurs de meurtres, etc. Ce que je faisais était également risqué, puisque je le fréquentais, risquant de perdre ma place au sein des Eliots, après ce qu'ils leur avait fait. Mais je m'en fichais, je faisais ce qu'il me plaisait pour une fois.. par amour sans doute..

Mon nouvel acolyte, je commençais à bien l'aimer. Bien qu'il n'était autre qu'un membre de la famille de cette .. catin, je trouvais qu'il n'avait rien en commun avec elle, si ce n'est déjà que la confrérie. D'ailleurs, je constatais que nous avions à peu près le même caractère, je ne le connaissais qu'à peine, mais mon discernement aiguisé et ma perspicacité me permettait de le détecter. Et puis c'était indéniable, il avait la prestance d'un vrai Eliot. C'est pourquoi je n'eu pas trop de mal à accepter de faire affaires avec lui. Je lui demanda ainsi poliment de me suivre dans la limousine qui nous conduirait alors dans ce bar qui servait ces Martinis délicieux. En vrai gentleman, le jeune Eliot me tint la porte afin que je puisse m'installer dans la limousine avant qu'il ne fasse de même, s'asseyant en face de moi. Il avait reçu la même éducation que moi, ce qui me surprenait au vu du comportement de sa jeune soeur. Le chauffeur pris place, et alors que je lui indiquais notre lieu de destination, je déposais mon sac Proenza sur le siège près de moi. Alors que la voiture démarrait, le jeune homme commença à m'expliquer son plan.

« Je ne te propose pas d'intervenir directement. Mais disons, qu'il se peut, à tout hasard, qu'entre eux ça ne fonctionne pas si bien. »

Il esquissait un sourire si sur de lui, presque hautain. Je me contentais de l'écouter, m'accoudant, le dos de l'index glissant doucement sur mes lèvres en réfléchissant à la façon dont il comptait s'y prendre. Je le regardais attentivement puis finalement pris la parole.

' Comment peux-tu être certain que ça ne fonctionne pas si bien entre eux ? Tu veux qu'on envoie des gens saboter leur couple ? '

J'insistais sur le mot couple en faisant le signe des guillemets avec mes doigts. Oui, parce que pour moi il était évident qu'il ne s'agissait pas là d'un couple, mais d'un prétexte, d'un plan cul, d'une amitié rapprochée, de tout ce qu'on voulait, mais surement pas d'un couple ! Non pas parce que je ne le voulais pas, mais parce que ce n'était simplement pas possible de la part de Noah qui m'avait dépucelée un peu plus tôt, de se mettre en couple avec une Mather, si ce n'est que pour me faire chier. D'ailleurs, ce n'était même pas son genre.

« On ne se mouille pas. On fait en sorte qu'ils se haïssent tellement qu'ils décident de plus jamais se voir. Simple, limpide, efficace. »

Le jeune étudiant me regarde dans les yeux, je fais de même un petit sourire en coin, je dois avouer que c'est la technique qui fonctionne à tout les coups, attention tout de même pour le sentiment de haine que Noah ne cultive pas tout à fait comme les autres humains. Pour lui la haine est semblable à l'amour, et il n'a pas tout à fait tord, puisque c'est le sentiments à la mode ces temps ci entre nous deux.

' Il suffit simplement qu'ils se dégoûtent l'un de l'autre, ou que l'un d'entre eux trouve mieux ailleurs .. Nous sommes arrivés. '

Espérant que ça soit Grace, je me préparais à descendre de la limousine puisque nous étions en effet arrivés. Eden sortait de l'autre coté, et je prenais mon sac, entrant avec mon nouvel acolyte dans l'endroit chic et branché. On nous installais à une table basse cosy dans un coin tranquille, j'y déposais mon long manteau et mes affaires m'installant en face d'Eden, commandant mon Martini, et regardant le jeune homme afin qu'il fasse également sa commande. Lorsque le barman partit, je repris la conversation là où elle s'était arrêtée.

' Il va falloir réfléchir aux moyens d'y parvenir, maintenant .. '

Je le regardais avec ce petit sourire en coin qui voulait rien dire et en même temps tout dire.

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† Invade your mind.

Simplement trop facile. Oui, savoir ce genre de rumeurs étaient d'une simplicité enfantine lorsqu'on avait mes ressources. J'agitais une liasse de billet pour voir un certains nombreux de misérables ramper vers moi, me donnant tout ce que je souhaitais savoir. Grace, ma sœur, avec la perdition en marche dans son existence je ne pouvais la laisser faire ce qu'elle voulait. Je devais avoir des yeux et des oreilles partout, ce n'était pas si compliqué finalement. Un problème résolu rapidement d'ailleurs. Mais pour empêcher ces gueux de la toucher, de la pervertir encore, et de détruite sa rédemption, je devais bien évidemment surveiller de loin ces gens là. Mes enquêtes que je faisais faire, bien sûr, j'avais d'autres choses qui m'occupaient, je n'étais pas un esclave de l'argent. Non, moi, je le contrôlais, m'entraînant pour mon bel avenir qui sera certainement presque similaire. Coco Harper D.- Archibald, j'avais tant d'information sur toi que je pouvais m'assurer de t'avoir de mon côté. Tu étais là, face à moi, me prenant de haut comme une bonne Eliot de la haute que tu étais, mais tu n'avais aucune idée à quel point je pouvais te dépasser. Mon orgueil même véridique pour les grandes personnes et les instances du monde ne s'éteignait pas devant cette jolie jeune demoiselle qui me faisait face. J'étais ce genre de personne, j'en avais conscience car j'avais déjà cette supériorité en mon esprit, oui, j'étais ce gars là qu'on osait à peine regarder. Pourquoi ? Simplement car mon arrogance écrasait les faibles. La tête haute, le regard froid, j'étais un Eliot fier et orgueilleux. Menaçant par son compte bancaire et surtout par mon esprit parfois malsain. Souvent un sourire narquois aux lèvres, une clope à la main et un regard aussi intense dans son dégoût pour l'être humain que dans la clarté du bleu de mes pupilles. Une gueule d'ange sur un esprit démoniaque prêt à tout pour son intérêt et celui de son nom de famille.

Les St-James étaient réputés aux Etats-Unis, notre nom avait une importance, et malgré mon éducation personnelle j'avais toujours refusé d'être une absence dans ce monde. Haineux contre mes parents je n'avais pas d'autre choix que de leur prouver ma valeur. Je voulais qu'ils soient là, oui, enfin, qu'ils soient autour de moi. Qu'ils me regardent enfin avec fierté, qu'ils s'occupent de Grace en disant qu'ils avaient ratés quelque chose. Mais ce jour n'arriva jamais, et aujourd'hui, il était bien trop tard pour espérer un retournement de situation. Ils m'avaient très vite transformé en un monstre remplit de mépris et destructeur. J'étais cette personne qui ne pouvait être calmée et saine qu'auprès des gens que je considérais apte à me côtoyer. Et il n'y en avait pas énormément. C'était d'ailleurs les seules personnes que j'autorisais à m'appeler Eden, les autres se retrouvant avec Yolan, comme s'ils n'étaient pas assez purs pour énoncer mon prénom sans le souiller.

J'avais donc présenté rapidement mon idée à mon vis à vis. Mais si elle semblait intéressée elle avait commencé par refuser en quelque sorte l'offre. Mais on ne refusait rien à Eden Yolan St-James, ainsi je demandais plus de temps qu'elle accepta, forcément. Poussant son intérêt, elle m'invita dans sa limousine. C'était un véhicule qu'on voyait souvent près de la Eliot House, entouré par un certain nombre de voitures de sport, nous étions ces personnes riches qui le montraient sans vergogne. Nous avions des habits sortant de l'ordinaire, nous dépensions énormément sans vraiment compter, nous avions des valeurs différentes et nous en n'avions rien à foutre des pauvres. C'était ainsi, nous étions tous des ordures faisant quelques fois des offrandes à diverses associations pour garder une conscience pure, mais autrement, on n'en avait rien à faire de ces pauvres gens, ces pécores du monde entier tellement plus nombreux que nous. Néanmoins, le chemin fut prit par son accord pour préparer quelque chose de pas encore définit. Qu'ils se dégoûtent l'un l'autre ou qu'ils trouvent ailleurs ? Oui, c'était bien sûr une solution simple, mon véritable soucis était qu'il fallait que je choisisse quelqu'un pour Grace, et il était évident que ce quelqu'un d'autre pour Noah serait Coco, oui, c'était ce qu'elle voulait plus que tout malgré sa réticence. Souriant, y pensant tranquillement, nous arrivions.

Un bar chic et huppé, prévisible mais agréable. Sortant du côté de la route pour lui éviter ce désagrément, je ne perdais pas mes habitudes de gentleman. Refermant la porte, attendant que les quelques voitures passent, je contournais la limousine, pour rejoindre la jeune fille. Ensemble, nous pénétrions la porte d'entrée pour nous installer dans un coin tranquille, loin des autres consommateurs vraiment pas à la hauteur de notre classe naturelle. Bien supérieur, on s'asseyait l'un en face de l'autre, elle commanda un Martini et je suivais sa commande avec un whisky sec, leur meilleur, cela allait sans dire. Dès qu'il partit, on pouvait reprendre, elle me demanda des idées sur comment procéder. Souriant, je reprenais la parole.


« Pleins de moyens s'offrent à nous. On commencera par lancer des rumeurs sur quelques écarts des deux jeunes. »


J'attendais que nos verres se posent sur la table, laissant le barman s'écarter avant de reprendre mes idées. J'en profitais pour prendre quelques gorgées sur mon whisky.

« Après on peut facilement les tenter par diverses choses pour qu'ils s'écartent l'un de l'autre. Tu peux mettre le doute chez Noah, je peux contrôler un minimum Grace. Moins ils se voient et plus ils voient d'autres gens, mieux c'est pour nous. »


Les éloigner, lancer des rumeurs pour que le doute s'installent entre eux. C'était des idées basiques, il fallait une dernière étape bien plus grande qui romprait totalement leur lien.
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Vous étiez là, tous deux, enfin assis dans cet espace presque privé de ce bar de l’hôtel de ton meilleur ami. Le serveur venait enfin vous ramener vos verre, ton Martini, et pour monsieur, un Whisky. Tu trinquais à sa santé et à votre plan, le regardant droit dans les yeux de ton regard froid et presque perçant. Tu buvais une petite gorgée de ton Martini, regardant autour de toi, les jambes croisée te tenant droite mais détendue dans ton fauteuil design. Tu regardes les gens autour de vous. Sans vouloir nourrir ton égo, tu te dis que tu n'as rien à voir avec eux. D'ailleurs, ce Yolan non plus n'a rien à voir avec eux, tu ne serais pas là, installée en face de lui à boire un Martini en faisant affaires, si c'était le cas. Ton verre à la main, tu observes les lieux et tu te dis qu'il est réellement en train de changer. Il pourraient laisser rentrer n'importe qui te dis-tu intérieurement en levant les yeux au ciel. Tu soupires désespérée, il va falloir que tu te trouves un endroit un peu plus distingué, bientôt. Yolan te sort de tes pensées de sa voix grave. Tu relèves vers lui.

« Pleins de moyens s'offrent à nous. On commencera par lancer des rumeurs sur quelques écarts des deux jeunes. » te disait-il, souriant avant de boire une gorgée de son whisky. Tu le regardais réceptive devant ses dires, acquiesçant doucement. Tu rétorquas d'ailleurs.

' J'ai pas mal de rumeurs qui se tiennent sur les écarts de ta Grace. Reste à savoir si elle en aura quelque chose à faire, que ça se sache ... ' tu bois à ton tour une gorgée de Martini. Quelle mauvaise langue tu fais, après tout, tout le monde sait que cette petite pimbêche écarte ses cuisses à tous vas, et ça n'a pas l'air de la préoccuper tant que ça. Tu le regardes pensive. Ce Yolan. Accoudée au rebord du fauteuil, tes doigts passent doucement dans ta soyeuse chevelure brune. Tu le nargues presque du regard, un petit sourire au coin de tes lèvres. Tu n'arrives pas à comprendre comment un homme aussi distingué que lui, avec autant de classe et de prestance, peut avoir le même sang qu'une catin du genre de Grace. Ça te perturbe à vrai dire. D'ailleurs aussitôt que tu avais entendu son nom de famille, tu avais juste eu envie de tracer ta route sans un mot. Juste le fait de fréquenter un St-James te dégoûtait car tu ne pouvais te sortir de la tête ce moment à la plage lors du Spring Break où tu avais surpris Noah et Grace partir vers le cabanon. Tu lui avais même demandé ce qu'il attendait pour la rejoindre, et ce dernier s'était levé aussitôt la rejoindre en te regardant droit dans les yeux. Tu ne pouvais t’empêcher de penser à la façon dont il la touchait, la façon dont il lui faisait l'amour, alors qu'il t'avais ôté ta première fois juste la veille. Ça te dégoûtait, ça t'énervait presque, mais rien ne paraissait sur ton visage, tu continuais de sourire avec ce petit air malicieux, regardant Yolan.

« Après on peut facilement les tenter par diverses choses pour qu'ils s'écartent l'un de l'autre. Tu peux mettre le doute chez Noah, je peux contrôler un minimum Grace. Moins ils se voient et plus ils voient d'autres gens, mieux c'est pour nous. » répliquait-il.

Toi, tu ne voulais pas que Noah voit quelqu'un d'autre. Même si Grace tu ne pouvais pas la voir, le fait que Noah change simplement de pseudo copine ne faisait qu'élargir le nombre de filles à supprimer du paysage. Ça sera la même chose avec la prochaine, te dis-tu. Grace, elle tu t'en fiche. T'as juste envie de lui poster un pauvre petit Winthrop écervelé en face d'elle afin qu'elle lâche un peu ta propriété. Oui, ta propriété. Toi, t'as envie de le rendre jaloux. D'une terrible jalousie qui le dévorerait tout autant que la passion que tu as pour lui qui te consume jour après jour, nuit après nuit. Tu regardes le jeune homme un peu plus sérieuse, te redressant finalement.

' Je pourrais, en effet .. Grace je pense qu'un couvent lui ferait pas mal de bien, j'ai entendu dire qu'il y en avait un pas mal non loin de Cambridge... Le problème c'est que si Noah remarque que j'accorde trop d'importance à leur relation, il ne va pas la lâcher. Juste pour m'énerver. Et il risque de réussir .. à m'énerver. '

Ce que ça fait quand tu m'énerves ? Généralement, une personne repart dans son pays d'origine, ou elle change d'université. Et ce n'est certainement pas toi dans tous les cas. Tu ne voudrais tout de même pas en arriver là.. non non. Pas du tout.

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† My name is Samaël.

Machiavélique. Elle l'était tout autant que moi, et c'était ainsi qu'on pouvait créer les alliances les plus puissantes. Oui, la sournoiserie, le malsain, le mal, le vil, tout était bien qui finissait bien. A l'image de Scapin, les sournois se relèvent tout le temps, ils sont de loin les plus dur à exterminer. Et c'était notre avantage sur les gueux. Même s'ils n'avaient plus rien à perdre, la plupart se laissaient facilement battre, sachant que la volonté ne fonctionne que dans la fiction. Oubliez ces héros de séries, de manga, de film, de livre, ou que sais-je, oubliez leurs mauvais exemples. Les méchants riches qui échouent à chaque fois ne sont que légendes. La différence entre Robin des Bois et le Shérif de Nothimgam, c'est que l'un des deux est mort après avoir existé, et que l'autre est mort après avoir vécu à travers la légende. Oubliez le combat pauvreté contre richesse, peut importe ce que les contes racontent, dans la vie, la vraie, l'argent contrôle ce qui peut être contrôlé. Et aujourd'hui, même les Hommes le sont.

Je sirotais mon whisky laissant quelques brides d'idées pénétrer à l'intérieur de mon interlocutrice. Elle semblait tiraillée, toujours, entre faire le mal et le bien. Non pas qu'elle était réticente à mon idée de faire éclater le couple Grace/Noah, mais elle ne voulait pas aller au bout des choses, elle ne voulait pas s'éloigner pour mieux se rapprocher. C'était amusant, elle était comme un poisson privé d'eau à quelques mètres d'un lac. Avoir la force de reculer pour mieux rebondir vers la vie, ou se débattre tant bien que mal pour mourir assoiffé. Je laissais apparaître un léger sourire camouflé dans mon verre. Il fallait qu'elle choisisse, et elle manquait de chance. Je serais celui qui fera chavirer son esprit.


« Personne ne dit que tu dois te rapprocher pour qu'il se rapproche. »


Maître des mots, et détenteur d'assez de perfidie pour amener la discorde, je savais déjà comment faire.

« Suis le, il te fuit, fuis le, il te suit. »


Simple et efficace, tout le monde connaissait cette formule pourtant si peu utilisé. Il n'y avait pas qu'un seul chemin pour arriver à la réussite de cette phrase, non, il fallait déployer les moyens nécessaires.

« Je m'explique. Je pousse ma sœur vers lui, sûrement trop. En contre partie, tu t'échappes. On invente quelque chose, on lance des rumeurs, tu sors de la vérité pour que le mensonge le ramène. »


Ce n'était pas compliqué à réaliser. Coco se trouvait quelqu'un, n'importe qui, il pouvait ne pas exister, rien n'avait d'importance. On pouvait dire qu'ils s'enfuyaient tout les deux un week end, ou une semaine, dans un pays autre, en amoureux. On laissait croire à un détachement total. Lui, il n'aura que Grace, cette jeune fille paumée qui se serait accrochée trop vite à lui. Un pot de colle. Certes le revers de la médaille sera dur, mais c'était le prix à payer. C'était ma chance de la redresser comme il le fallait. Toucher le fond pour remonter, et elle avait tellement creusé que son retour risque d'être flamboyant. Au bûcher les méfaits, elle reviendrait sur la route que je lui avais construis. Quand à Noah, il aura tout perdu, et il ne pourra qu'aller vers une seule destination, Coco, son amour de toujours, avec l'intérêt magnifique de la sauver d'une relation fausse. Machiavélique, plus qu'une chose à faire, lancer les rumeurs, dans l'ombre, pour que jamais cela ne se sache. Jamais.

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