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au mauvais endroit, au mauvais moment. (layla)

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Le trafic routier est loin d'être fluide à cette heure de là, 19h n'étant jamais le point de chute pour rentrer tôt chez soi. Pour autant, se déplacer sur une bicyclette à bien des avantages car cela te permet de slalomer tout en prudence entre les véhicules. La plupart des conducteurs clament leur agacement, leur impatience mais tout cela te déroule dans le silence car la musique des Beatles joue dans tes écouteurs sans fil. Accélérant la cadence sur la dernière ligne droite qui te mène jusque chez toi, tu apprécies les embruns salés qui viennent chatouiller tes narines et se glisser dans ta chevelure. Une fois arrivé devant le grand immeuble qui prédomine par sa hauteur, tu viens accrocher ton vélo au sein de l'enclos privatisé et propre aux locataires. Tu réajustes les lanières de ton étuis en cuire qui abrite ton violoncelle avant de prendre le sac de course encore dans le panier à vélo. Tu pénètres à l'intérieur du bâtiment, glisse ton badge dans la fente de l'ascenseur et appuie ensuite sur le bouton du dernier étage où tu partages un penthouse avec Layla. Cette dernière t'a annoncé rentré très tard ce soir, certainement était-elle invitée à l'une des soirées de sa confrérie ? Sur cette pensée, les portes de l'engin mécanique s'ouvre sur le couloir dans lequel tu avances jusqu'à la porte. Tu sors tes clés afin de l'insérer dans la serrure lorsque tu te rends compte que la porte d'entrée est ouverte … Penchant quelque peu la tête pour voir plus en amont, tu perçois un bruit de fonds de casserole et de vaisselle que l'on jette à terre. Le cœur battant à tout rompre à l'intérieur de ta poitrine, le sac de course que tu tenais de la main droite t'échappe s'écrasant sur la moquette du hall dans le couloir. Tes pensées se bousculent dans ton esprit, tu sais que tu dois faire demi-tour et appeler la police et c'est ce que tu es en train de faire lorsque tu entends un cri strident transpercer jusque dans le corridor. Layla ! Elle est à l'intérieur, mais elle ne devrait pas y être ! Mécaniquement, tes pieds te porte à nouveau jusque devant la porte du penthouse. La porte entre ouverte te permet de voir ta colocataire figé devant deux garçons avoisinant certainement l'âge de ton frère aîné. Tu dois appeler quelqu'un, tu dois … et à ce moment précis que la sonnerie de ton téléphone retentit, attirant l'attention de l'un des deux cambrioleurs. A peine as-tu le temps de faire un pas, qu'il t'attrape par le bras et te pousse violemment à l'intérieur du logement.
@Layla Rothschild
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Le corps tétanisé. Immobilisé. Incapable de faire le moindre pas. Incapable de bouger. Le sang qui se fige, instantanément. Tu les vois. Ils te voient. Et le temps s’arrête. En l’espace de quelques secondes, t’as l’impression que ton monde vole en éclat. Le corps qui frémit, les lèvres qui tremblent, et le palpitant qui s’affole. Ta fameuse soirée débauche qui s’était terminée plus rapidement que prévue. Faut dire que l’ennui avait rapidement pointé le bout de son nez. Et t’avais eu cette envie de rentrer.  Le plus vite possible. Pour te détendre. Prendre une douche et t’avachir sur ton lit. Tes prunelles apeurées qui viennent se poser sur le comptoir de l’entrée. Là où t’avais posé ton téléphone portable. L’idée d’appeler la police qui te traverse l’esprit. Idée qui s’envole aussi rapidement qu’une braise de cendres. Dès lors que l’un des deux cambrioleurs fonce sur toi pour venir te plaquer contre le mur. « N’y penses même pas » qu’il t’ordonne, le ton sec. Geste brutal qui te coupe net ton souffle face à l’impact du choc. Cri de stupeur qui s’échappe de tes lèvres. Les sourcils qui se froncent, rassemblant un minimum de courage. Tu lèves ton pied pour venir frapper son entrejambe mais tu t’arrêtes net lorsque tu la vois apparaitre dans ton champ de vision. Amren. Non. Tout sauf ça. Pas elle. « AMREN COURS » tu cries, détresse sincère dans ta voix. Le visage déformé par la peur. La bouche entravée par sa main. Et les larmes qui se déchainent lorsque tu la vois entrainée de force à l’intérieur de la pièce. L’espoir qui s’évanouit aussitôt à ce moment précis.
@Amren Wolford
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La sonnerie de ton téléphone s'essouffle au même moment où tu tombes sur le plancher en bois massif du grand salon. Amer et froid est le regard de l'homme qui t'a rattrapé par le bras qui te toise d'une œillade imposant le silence et une violence imprévisible. Une ivresse qu'il contrôle, bien loin de celle que tu as pu subir il y a tout juste deux années. La voix stridente de la jeune Rothschild se répercutent encore à ton ouïe à l'image du bruissement des branches en pleine nature. L'homme recule sans pour autant perdre la capture de tes iris tandis que tu sens que ton corps plus lourd sous la pression du stress. Un climat anxiogène qui n'est pas faire pour aider la crise d'angoisse qui bien presser lourdement ton myocarde. Les pincements sont si forts que tu grimaces légèrement, le silence scellant tes lèvres. Ton agresseur hausse alors le ton en une parole étrangère que tu ne connais pas, tandis que son acolyte jure entre ses dents avant de répliquer à son tour. Tu baisses alors la tête, ton smartphone est toujours a porté de ta main bien qu'il ait glissé sous le canapé en cuir noir lorsque tu es tombé sur le sol. D'une œillade furtive, tu les vois toujours discuter entre eux alors que Layla est toujours sous l'emprise du second jeune homme. Tu en profites étendre le bras afin d'appeler le premier numéro qui siège sur ton journal d'appel et la photo du visage d'Eben s'affiche. Une espérance bien maigre dans ce capharnaüm de problèmes. L'homme reporte soudainement son attention sur toi avant de te relever par les lanière de ton étuis en cuir abritant ton instrument. L'expression faciale défiguré par la colère et l'impatience, il saisi avec brusquerie ton étui et l'envoie à même le sol. Tes yeux s'écarquillent alors qu'il ouvre l'étui détachant les ceintures de ton violoncelle qu'il observe sous toutes ses coutures. L'ire s'agite d'une aigreur que l'on ne te connaît pas Ame, reste calme, tu le dois pour Layla. Ta conscience ne t'abandonne pas et te rappelle d'agir avec prudence sous peine de conséquences tant pour toi que pour la jeune blonde. Le son d'un rictus sardonique, narquois, le cambrioleur s'approche de toi, relevant ton menton sans ménagement. Une longue minute qui s'éternise dans la vague d'un sablier. Tu ne sais pas ce qu'il dit à l'autre homme mais quelques minutes plus tard, Layla se retrouve à coté de toi et tu essais tant bien que mal de la rattraper mais vous tombez de nouveau sur le sol. Énième œillade furtive en direction du cellulaire toujours niché sous le canapé, l'écran allumé comme détails que ton frère écoute l’appel. Puis soudain, un bruit sourd attire ton regard alors que tu vois ton instrument de musique projeté violemment contre le mur, fendu en deux uniquement relié par les cordes … des larmes coulent lentement sur tes joues car la peur primaire se rejoue encore une fois sous tes yeux.
@Layla Rothschild
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