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trapped (edie)

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Il émerge du sommeil, brutalement, comme d'habitude. Le souffle un peu court, le corps un peu retrait. Il lâche un juron en scrutant peu à peu l'obscurité. Il n'est pas chez lui. Pas même sur un lit. Il met un peu de temps à comprendre qu'il est encore à la bibliothèque. Il se lève, la tête lourde et qui tourne un peu. Il grimace, porte une main à son visage. Autour de lui, que du noir, que du silence. Et un très mauvais pressentiment. En faisant glisser ses mains sur le sol autour de lui, il arrive à dégoter quelques bouquins, mais surtout son portable. L'écran s'illumine immédiatement. 22h30. Merde. Pas tard, mais assurément trop pour être écroulé comme une loque à la bibliothèque. Oren se lève et commence à arpenter la Widener au fur et à mesure que son regard s'adapte à l'obscurité. Rapidement, il arrive à atteindre l'entrée, mais n'en tire aucun soulagement. Sa main atteins la poignée, la fait tournoyer, mais rien. Coincé. Un nouveau chapelet de jurons lui échappe alors qu'un sentiment de panique commence à grimper en lui. Sa main serre son téléphone et il ferme un instant les yeux, essayant de s'inciter au calme. Ça va aller, tu vas sortir ici. Y a toujours quelqu'un dans le coin. Quelqu'un qui va l'entendre. Quelqu'un qui va l'aider. Mais c'est plus fort que lui. Il se glace, se fait instantanément des films. Son coeur s'emballe, sourd à la logique. En un instant, il est de retour à la ferme, et puis dans le bunker. Il se met à crier, à marteler la porte. Il faut qu'il sorte de là. Il faut qu'il sorte de là maintenant.  @Edie Reuben
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Le temps n'est pas réellement quantifiable, d'autant plus lorsque que l'on est occupé. Même l'attrait de ponctualité – ou même d'organisation – ne change guère grand chose. Assis en tailleur sur l'un des fauteuils de la salle des ordinateurs, tes doigts pianotent activement sur le clavier telle une chorégraphie dont tu connais chaque pas, chaque mouvement. La vitesse est déconcertante que tu n'as même pas besoin de regarder les touches. Les prunelles plongées sur l'écran, tu relis et raisonne de telle manière à ne rien laisser au hasard. Étudier  pendant des heures n'est pas un problème pour toi, au contraire mais tu préfères de loin le faire chez toi au calme et à l'aise. Seulement ton ordinateur portable vient de passer l'arme à gauche en fin d'après midi et les  dires du réparateur sont sans appel : tu dois en racheter un. Okay, mais à 19h passé du soir, aucun magasin n'est ouvert. Tu aurais pu emprunter celui de frère mais fouiller dans ses affaires n'est pas ton genre quand à ta petite sœur, autant dire qu'elle peine à prêter quoi que cela soit. La seule solution évidente était alors d'emprunter ceux de l'université. Tu  devais absolument rendre un dossier à l'un de tes professeurs afin d'assurer ton stage pour l'an prochain. Tu tapes sur la touche « enter », le point finale et tu soupires tout en te laissant aller contre le dossier du siège du bureau. Enfin terminé, il était plus que temps de rentrer chez toi. Tu éteins l'ordinateur, récupère ton sac et enfile ta veste en jean avant d'éteindre les lumières et de fermer la porte à clé. Tout en marchant, tu jettes une œillade à toi poignet gauche où ta montre affiche 22h31. Cela faisait plus de deux heures trente que tu étais là. Tu descends les escaliers puisse bifurque dans le couloir principale afin de déposer les clés dans la boite aux lettres de l'accueil lorsqu'un bruit sourd résonne en fond sonore. Le bruit d'un bourdonnement couplé à tes coups portés. Instinctivement, tu fronces les sourcils tout en te laissant guide par la sonorité grondante des coups martelés. Tu presses de plus en plus le pas bien que prudente avant de t'arrêter devant la double porte de la bibliothèque du bâtiment. Une voix se dégage manifestement de tout ce vacarme sourd, un jeune homme sans aucun doute. La litanie d'une désespérance soudaine, celle d'une peur primaire. Un ressentiment qui te ramène à l'époque de l'adolescence où le noir t'a tenue compagnie pendant plusieurs jours. Tu t'en souviens Edison ? Ta conscience est malicieuse des tourments que l'on t'a infligé par le passé. Tu secoues la tête afin de rafraîchir tes idées et tu toques à ton tour à la porte pour informer à la personne de l'autre coté de la porte que tu es là. « Hé, du calme ça va aller. ». une assertion emplit d'une sérénité afin d'apaiser la situation même si tu as l'impression que la personne semble comme toi sensible aux espaces clos. Le temps n'est pas réellement quantifiable, surtout lorsque la peur régit tout le reste.
@Oren Koch
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Le bourdonnement dans sa tête, toujours plus assourdissant. Ses poings, qui rebondissent contre la porte. Sa voix paniquée, enfin, qui troue le silence. Il persiste, incapable de se détendre. Il ne crains rien et pourtant c’est tout comme. Une angoisse irrationnelle, totale, qui le fait vriller complètement. Il s’interrompt un instant, le temps de ravaler ce qui commence à ressembler dangereusement à un sanglot et c’est à ce moment là qu’une fois lui parviens. Il s’immobilise, se retiens de balancer un nouveau coup sur la porte. Ça va aller. Il se passe une main sur la nuque, respire fort, laissant un petit silence s’étirer. Il essaie de se reprendre en main. Qui que soit la fille de l’autre côté, elle doit le prendre pour un taré. Non pas qu’il s’en soucie des masses à l’heure actuelle. Toutes ses pensées sont tournées vers l’extérieur. Il met un moment avant de rouvrir la bouche, prenant le temps qu’il lui faut pour réussir à s’exprimer d’une voix hachée, éprouvée, mais plus calme. « Il faut que tu me sortes d'ici.. » Le ton est plus posé, mais la peur et l'inconfort restent bien perceptibles, massés dans sa voix. « J'ai du mal à supporter... Je ne supporte pas d'être enfermé. » Il évite même de fermer les portes que le besoin de sécurité ne le pousse pas au contraire à fermer à doubles tours. Il doute que cela change jamais. Certaines choses laissent des traces dans la vie et la vie d'Oren est maculée d'une crasse si longuement incrustée qu'elle demeurera sans doute pour toujours. @Edie Reuben
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Le son d'une voix, le flot d'une présence peut parfois tout changer, inverser une tendance que l'on songeait, vaine pour ne pas dire close. De l'autre coté de la porte, une voix un éraillé s'élève et tu distingues nettement la voix d'un jeune homme, il n'y a pas de doute. Et comme tu le pensais, il peine à supporter les lieux clos car l'angoisse transpire dans son timbre de voix, chacune de ses paroles. Des paroles que tu es la seule à recevoir car il n'y a visiblement personne d'autre que vous deux dans cette aile du bâtiment. Si ses premiers propos se parent d'un certain calme, les seconds exposent une anxiété sous-jacente mais palpable qui peut surgit à tous moments. Les émotions sont mécaniquement instable à ce se moment, à l’image d'une mer agité dont on ne peut dompter les vagues déchaînées. « Je vais te sortir de là, sois en certain. ». La franchise de ton intonation ne trompe aucunement la fidélité de ta personnalité mais quand bien même il ne te connaît pas, cela apparaît comme une évidence à ce moment là. S'il parvient à te faire confiance, peut être cela apaisera peut être son angoisse. « Tu veux bien continuer à parler pendant que je cherche un moyen de te faire sortir de la ? ». Bien évidement, c'est un moyen de faire diversion mais aussi de tisser le lien de confiance entre vous deux. C'est ainsi que ton grand-frère à agit avec toi à l'époque où il t'a trouvé dans les sous-sols du collège. Ilan n'a cessé de te faire parler pour éclipsé ta panique et cela avait plutôt bien marché sur toi. Tu t'agenouilles par terre tout en cherchant ton téléphone dans ton sac à bandoulière dans l'espoir d'appeler quelqu'un comme le concierge de l'un des bâtiments, il avait forcément la clé de la bibliothèque sur lui. Constatant que le jeune étudiant ne prenait toujours pas la parole, tu décides de la prendre tout en continuant à chercher ton cellulaire. « Ce n'est pas très intéressant, et tu t'en fiches certainement mais sache que tout comme toi je n'aime pas les espaces clos et obscurs. J'ai été … j'ai connu ta situation par le passé et ça m'a marqué ... ». Une vérité qui te blesse encore aujourd'hui car les stigmates demeurent même si tu as fais de gros efforts depuis.
@Oren Koch
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La présence de la fille de l'autre côté de la porte, qui qu'elle soit, le rassure. Si le rythme des battements de son coeur est toujours plus élevé que la normale, porté par une angoisse qu'il doute de pouvoir jamais laisser derrière lui, il sent sa panique vorace, inquiétante, qui commence à refluer. Dans sa tête, il continue de se répéter que c'est différent de ce qu'il a connu avant. Qu'il s'est retrouvé enfermé par mégarde seulement, que personne ne lui veut du mal. Qu'il n'est pas en danger. De l'autre côté, la fille lui assure qu'elle va le libérer et sa voix est gorgée d'une conviction qu'il n'a pas l'idée de remettre en doute. Il s'en remet à elle, ce qu'il est bien forcé de faire de toute façon. Elle lui suggère de parler en attendant et il se mord la lèvre avant d'acquiescer vainement d'un hochement de tête qu'elle ne peut pas voir. Il a du mal à dénouer sa langue toutefois et quelques instants s'écoulent. Il ferme les yeux, s'enfonce brièvement dans l'obscurité en continuant à s'inciter au calme. Il met trop de temps à répondre et au bout d'un petit moment la voix de la fille s'élève à nouveau. Lorsqu'elle lui délivre un bout de sa propre vie, il s'appuie contre la porte, laisse sa tête reposer contre la surface dure. « Je suis désolé que t'ai vécu ça. » Sa voix toujours un peu éraillée commence à se raffermir un peu. Il passe une main sur sa visage, pousse un petit soupire. « Ça crains vraiment. » Être enfermé, coincé, piégé. C'est un sentiment terrible. @Edie Reuben
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Pour avoir déjà vécue cette situation, tu sais que la solitude est le pire élément pour paniquer davantage. A l'époque où tes angoisses prenaient le pas sur ton quotidien, ton grand-frère Ilan avait été ce rempart sur lequel t'appuyer tel un vieux  aurait besoin de sa béquille. Ainsi, tu avais pris pour habitude d'écouter son timbre de voix  , de te laisser guider mais surtout de conserver ton esprit à l'occupation. C'est pourquoi tu t'es mise à parler à haute voix et les premières paroles qui te sont venus tout naturellement était de lui faire partager ton expérience. De lui conter de manière évasive mais compréhensive ce que tu avais vécue à la période du collège. De l'autre coté de la porte, tu peux l'entendre te répondre qu'il est désolé que tu ais subit cela. Une phrase courte mais témoigne de la prise en main de ton intonation moins imprégné de son anxiété. Un équilibre recouvré certes mais qui peut basculé à tout instant, tu le sais mieux que quiconque. Toujours a genoux sur le sol tu farfouilles dans le fond de ton sac et tu parviens enfin à dénicher ton cellulaire. « Ouais, je suis d'accord ça craint mais ça va s'arranger, okay ? ». Dis-tu tout en cherchant le numéro des concierges du bâtiment voisins   qui remplacent l'équipe de jour. Comme quoi avoir l'esprit pratique et voir plus loin que le bout de son nez sert toujours. Un homme prend enfin l'appel et tu lui expliques la situation. Le concierge t'accorde un langage fleurit pour exprimer son mécontentement avant de te dire qu'il arrive d'ici un quart d'heure avec la clé de la bibliothèque. Tu soupires légèrement avant de raccrocher, agacé par le comportement du personnel de l'université. « J'ai réussi a avoir quelqu'un, il arrive avec la clé d'ici quelques minutes. ». L'informes-tu d'une voix posée et véridique avant de te relever pour t'appuyer contre le mur de la porte. « Au fait, je m'appelle Edie. ». Une parole qui était sortie toute seule et qui t'arrache un léger rire amusé, spontané. Après tout c'est loin d'être commode comme première rencontre.
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Ouais, ça crains vraiment. Ça crains d'être saturé d'angoisses parfois purement irrationnelles. Ça crains de sursauter dès qu'une porte se referme de façon un peu trop vive,  de peur qu'un esprit malingre soit derrière, prêt à vous maintenir ainsi, en captivité. Dans ces moments là, il a l'impression d'être toujours en cage, Oren. De n'être jamais sorti. Et c'est terrifiant car la certitude enfle alors en lui que ça ne changera jamais. Qu'il ne parviendra pas à distancer ça. Que toute sa vie, il éprouvera cette peur vorace qui lui coupe méchamment le souffle. « Ouais.. » Qu'il répond quand elle lui dit que ça va s'arranger. Elle va le faire libérer, mais pour combien de temps ?Il se laisse glisser au sol, laissant sa fatigue aller bon train. Il entend vaguement la fille, qui qu'elle soit, discuter au téléphone. Avec un membre du personnel sans doute, quelqu'un qui soit en possession des clés de la bibliothèque. Tout en tendant l'oreille pour ne rien rater, Oren se concentre sur sa respiration. Il se maintiens à flot. La fille raccroche rapidement avant de l'informer d'une voix qui se veut assurée, teintée de certitude, que quelqu'un va venir le sortir de là d'ici quelques minutes. A travers la porte, il acquiesce, la laissant sans affirmation orale. Elle lui délivre brusquement son prénom et il l'enregistre dans son esprit brouillé. « Oren. » Il lui délivre son propre nom sans fioriture, toujours focus sur lui pour ne pas virer.à nouveau dans un bad trip mental. Quelques instants de silence s'écoulent avant qu'il ne reprenne la parole, se forçant à faire la conversation. Après tout, ça fera passer les minutes restantes plus vite. « Il est tard. » Enfin, façon de parler. Tard pour trainer ici, disons plutôt. « Pourquoi t'es dans cette partie du campus à cette heure ? » Non pas qu'il s'en plaigne, au contraire. Il referme sa main sur son téléphone, envoie un texto pour s'occuper les mains la tête. @Edie Reuben
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Les minutes peuvent être d'une longitude interminable telle une sensation de lourdeur fantôme. Si la sensation n'a rien de physique, le psychique bien au contraire à la fâcheuse tendance à se rappeler de tout. Et lorsque le plus infime détail hante encore votre esprit alors la réalité s’accroît plus aisément. Jetant un regard à ta montre pour mesurer à peu de chose près l'arrivée prochaine du concierge du bâtiment voisin, tu te rends compte qu'il ne devrait plus réellement tarder. Quoi que grincheux et mécontent comme il était au téléphone il serait bien capable de prendre tout son temps exprès. De l'autre coté de la porte de la bibliothèque, tu perçois le timbre fatigué de Oren qui mentionne le fait qu'il soit tard. Il faut dire que les angoisses répétitives et l'environnement qui complaisent son comportement ont tendance à pousser à l'extrême la fatigue du corps. C'est vrai que l'heure de la soirée est fort avancée, toi-même tu n'avais pas vu les deux aiguilles faire leur bout de chemin sur le cadran. Et l'interrogation soudaine du jeune homme à le don de t'arracher un rire silencieux car elle va de paire avec le filon de tes songes. « Mon ordinateur a rendu l'âme alors dans l'urgence je suis venue ici pour emprunter l'un des pc de la faculté ... Et toi ? Tu t'es assoupie dans la bibliothèque ? ». Une question qui partait plus d'une déduction de logique, car cela t'était déjà arrivé par le passé mais depuis ta mésaventure il y a de cela plusieurs années, tu ne t'attardes plus réellement dans les espaces de ce genre surtout lorsque tu es crevée. Au bout du couloir, tu aperçois alors la dégaine  du personnel nocturne de l'université dont l'expression faciale est toujours aussi renfermée et ronchonne. Toujours adossé contre le mur de la porte principale, tu l'observes et l'entend marmonner dans sa moustache tandis qu'il insert la clé dans la serrure. La porte s'ouvre  et tu te penches alors pour observer l'étudiant assis à même le sol. Tu t'avances alors à l'intérieur, lui tend une main pour l'aider à se relever. « Ça va aller ? ».
@Oren Koch
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La dénommée Edie a une raison tout à fait raisonnable et studieuse de se trouver dans cette partie du campus à cette heure avancée de la soirée. Contrairement à Oren. Et pourtant elle devine, elle met le doigt sur le comment du pourquoi il est parvenu à se faire enfermer dans une foutue bibliothèque. Il secoue la tête, s'étrangle un peu sur éclat de rire. Elle doit le prendre pour un parfait idiot. Il est presque tenté de dénicher un bobard pour se donner une forme de contenance. Mais rien ne lui viens. Il se sent trop vidé pour pondre un mensonge convaincant. « Tu as très justement deviné. » Il s'apprête à ajouter des mots, histoire d'essayer de justifier cette mésaventure passablement absurde, mais il n'en fait rien en entendant des bruits de pas dans le couloir. Son coeur se met à battre un peu plus vite et il ne fait pas mine de se relever, tout focalisé qu'il est sur le fait que ça y est, il va être sorti de là. Il tend l'oreille, entend les ronchonnements de son sauveur. Ouais. Il va peut-être se faire tirer un peu les oreilles, Oren, mais honnêtement il s'en fou. Il veut juste sortir. Au dessus de la tête d'Oren, une clé tournoie dans la serrure, marquant l'instant de sa libération. Il a à peine le temps de se décoller un peu de la porte qu'elle s'ouvre, dévoilant non pas le type du personnel mais la fille qui a entendu ses cris de détresse. Oren lève les yeux sur elle et attrape la main qu'il lui tend. Il s'arrache au sol, se fend d'un sourire un peu égratigné. « Ca va, ouais, merci » qu'il lui répond gentiment en portant une main à sa propre joue, histoire d'effacer toute trace de larme malencontreuse. Il se sent un peu stupide maintenant et le type du personnel qu'il entrevoit hors de la bibliothèque ne l'aide pas à dissoudre ce sentiment. L'employé prend la parole, leur demande de ficher le camp de là. Pour la compassion on repassera. Oren sort de la bibliothèque avec Edie et marmonne un désolé à l'égard de l'homme qui se contente de secouer la tête avant de re-verrouiller la porte et de les planter là. Merci bien. Oren le suit un peu du regard avant de reporter son attention sur Edie. « Merci de l'avoir appelé » il est gêné, passe une main sur sa nuque. « Et d'être restée avec moi en attendant. » Elle aurait pu partir, après tout, une fois le personnel averti. D'autres ne se seraient pas gênés. @Edie Reuben
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Pour avoir longtemps fréquenté les bibliothèques durant ton enfance mais également durant ton adolescence mais surtout pour avoir été enfermé à ton insu, tu sais qu'il n'y a pas trente-six solutions et la déduction la plus logique – dans le cas du jeune homme – c'est qu'il s'est assoupi peu de temps avant la fermeture des lieux. Cela arrive et le manque de sommeil est un excellent moteur pour s'endormir dans un endroit silencieux. Rapidement, le concierge ronchon arrive à ta hauteur puis glisse la clé dans la serrure afin d'ouvrir la porte de la bibliothèque. Dès lors, tu ne te préoccupes plus réellement de la présence du bougon qui marmonnent son mécontentement perpétuel. Non, tu entres à l'intérieur de la pièce afin de voir comment va Oren. Tu lui tends la main pour l'aider à se relever, une main tendue qu'il accepte avant de confirme d'une intonation ancré mais certaine que tout va bien. L'anxiété a laissé certain stigmates sur ses joues alors qu'il chasse les traces salées. Impertinence ou impatience, le concierge rumine sa colère en vous pressant pour déguerpir assez vite. Il claque la porte et la ferme à double tour avant d'emprunter le chemin du retour. « Ne me remercie pas, c'est normal. Et comme je te l'ai dit, je suis passé par là alors … ne me remercie pas okay. ». Lui dis-tu doucement tout en le considérant avec un sourire sincère et rassurant à la fois. « Je peux te déposer quelque part peut être? ». après tout, tu étais en voiture alors si tu pouvais rendre service, aucun problème.
@Oren Koch
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