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Tribulation d'un caillou (nate)

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Mars

Tribulation d'un caillou (nate)  Superthumb



V
ivre est la chose la plus rare du monde. La plupart des gens ne font qu'exister. [wilde]



[until 2021 : u.c]

28.03, je me suis creusé les méninges pour demander à la vieille Nevada A. d'être ma cavalière pour le bal, faut croire que j'ai réussi mon coup.

29.03, nouvelle expérience pour moi : vivre dans une coloc'. J'aime recevoir mes potes, partir en weekend mais j'adore être tranquille chez moi. Et savoir que j'allais vivre pendant un mois avec des inconnu.e.s est une grande premiere pour moi. Jessie G. n'étant pas là, m'a proposé sa chambre. C'est la jolie Cleo S. qui m'y accueille.

30.03, séance de boxe où mon attention est détournée par un nouveau. Eros DK. Le naturel revient au galop, l'envie de le connaitre. De savoir ce qui se cache sous cette couche d'encre. Un https://www.i-love-harvard.com/t131169-je-les-prend-pas-au-berceau-nathsur lui et le match est lancé.

31.03, j'ai tremblé. Un message et tout est remonté à la surface. Le passé revenu en force. Des réminiscences en cascade. L'enfer est pavé de bonne intentions. Stupeur. Tremblent. Lui. Entre temps, je fais la connaissance de Mingi J. qui sera mon cuisto personnel parce que mes parents me trouvent trop maigre.


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Avril

Tribulation d'un caillou (nate)  Superthumb



A
u mois d'Avril, ne te découvre pas d'un fil.


01.04, journée aux urgences où je m'habituerais jamais à la précipitation des soins afin de ne pas faire trop attendre les patients. Je n'interviens pas toujours mais cette fois, tuteur est appelé ailleurs alors je suis amené à terminer les blessures de Solis M. et ce que j'apprends me désarme. Dans la nuit, j'ai cru que c'était une blague mais non Tentation s'est ramené jusqu'à moi. Myocarde ratant quelques battements.

02.04, besoin de me vider la tête, alors je décide d'aller courir au complexe sportif. Séance bénéfique suivi d'un gros fou rire en voyant Meloe S. à qui je viens en aide, quand sa cheville est en souffrance.

04.04, peut-on dire que j'ai croisé un boule qui chamboule au point de bousculer Lucifer B. Boissons chaudes achetées plus tôt, terminant sur son torse. Oups.

06.04, Tentation grandissante et il ne m'a pas fallu beaucoup de temps pour céder. L'envie de le retrouver, de me rappeler de notre relation. La peur présente qui s'envole quand il me me fait face. Amphithéâtre en guise de témoin de nos retrouvailles.

08.04, Courir pour éclater ma colère. Courir pour ne plus penser. Mais quand l'égo prend un coup, parce que je me fais dépasser par Guoliang R. Mais le cardio en carton, je finis à même le sable.  soirée underground où je rencontre Lys M. Soirée illégale dont je me délecte chaque fois qu'on reçoit une invitation. Advienne ce qui pourra.

09.04, paintball avec les pfo. J'aurais pu ragequit, on s'est fait canardé, j'ai mué en schtroumf. On a perdu deux fois. J'ai la défaite dans la gorge et le gage avec. J'ai eu quand même espoir que ces deux matchs et les conversations qui ont suivi aient pu encore plus rapproché Lyse P.B et Ilan R. (spoiler : pas franchement gagné.). Après une discussion avec Celio HW, on décide de se faire un weekend chill à Monaco avec sa soeur Jihyo HW (et Arnault qui nous lâche pour Coachella.)

12.04, doux hasard me fait rencontrer la Déesse Jo Hee S. prenant les devants, conversation distillant l'envie et la curiosité menant à une première fois pour la demoiselle dans un lieu original.

18.04, au fil de nos conversations, on a fini par se lier avec Eros, toujours plus d'ambiguïté et de doutes de sa part mais monsieur a quand même décidé d'emménager avec moi.. A ses risques et périls.

26.04, le cœur mort en apprenant la nouvelle. Neal et sa mémoire effacé. Il a payé son héroïsme. Et moi, je découvre toute sa Vie, son mec, ses amis. Son entourage. Le songe, et tous nos échanges deviennent des doutes, des rêves .. Des mensonges ? Je crève. Je n'existe plus. J'assiste aux visites, observant de loin, sans jamais faire quoi que soit. Non, je devais rester à ma place. J'étais rien au final. Juste un passe-temps.

28.04, état lamentable où je m'accroche à Eros K.D, mes sauts d'humeur, les révisions. Mais le Destin bien décidé à me tourmenter, nuit d'hôpital où je dois faire les visites. Et je redoute. Parce que depuis l'accident, même si je passe devant la chambre de Neal T.H je n'ose pas m'en approcher. Effacé, je suis devenu, je ne veux pas lui faire revivre notre relation. Malheureusement, je vais devoir lui faire et ranger toute l'affection que je lui porte.


30.04 - 01.05 - 02.05, Genève. Chalet. J’ai fait le choix de partir. Seul. J’aurais pu embarquer du monde mais par respect pour Lui, je n'avais pas pu le faire. J’avais débarqué. Seul. Personnel surpris. Et je réalise que je ne les avais pas prévenu. Vérité élargissant ma peine. J’ordonne qu’on ne me dérange pas. Détour au mini bar, deux bouteilles. Je monte dans ma chambre. Porte verrouillé. Lit immense. On aurait probablement sauter dessus avant de se sauter.  Mais non, le lit ne sera pas défait. Seul. Je le fixe de longues minutes. Avant de me foutre au sol. Position fœtale. J’ouvre la première bouteille. Rituel en avance. Gorgées après gorgées, je laisse les souvenirs m’envahir. Hier encore en le voyant j’ai vacillé. L'envie de le prendre dans mes bras. Alors je bois. Encore et encore. Oublier cette fracture au cœur qui me déchire l’âme. Je repenses à nos disputes, à ses amant.e.s. Son .. Mari. Rage fulgurante. Je me redresse d’un bond. J’attrape la chaise .. fracturée au sol hurlant des pourquoi. Des heures à ravager la chambre. Frapper. Boire. Détruire. Boire. Hurler. Boire. Haïr. Boire. Effacé... C’est dans ce chaos que je m’allonge au sol. Ma place. Je suis à terre. Je tire la couverture pour m’enrouler dedans. Et je m’endors, épuisé. Terreur. Hurlements. Cauchemar. Lui courant mais se laisse jamais attraper. Balle que je ne peux arrêter. Réveil. Boire. Se rendormir. Trois jours ainsi. Enfin je crois.



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Mai

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A
u mois de Mai, fais ce qu'il te plait.



04. Venir à la rescousse de Polochon quand elle se fait remonter les bretelles par sa mamie au sujet des hommes et des mariages. Le bonheur de la retrouver, et surtout une bouche en feu victime d'un prank.

09. L'Amant qui débarque à l'appartement, échappé de l'hôpital. Le choc de l'entendre ce surnom qui me fait tant de bien. Découvrir que j'étais quelque part dans son esprit. S'unir d'une unique façon. Lui reveler la verité. Ce mensonge d'ami qui n'a guère tenu et m'a tant fait souffrir.

10. Quand j'annonce à mon meilleur ami, la vérité sur ma situation amoureuse. quand le coeur flanche et côtoie la peine. Trouver du réconfort dans ses mots. Etre soulagé de ne plus avoir à mentir. Accepter ses réactions. Et le voir toujours à mes côtés.

14. Proposer une partie de console à l'Amant. Savoir qu'il était marié mais ne pas taire ses sentiments grandissants pour sa personne. Partie qui se mue en tentation chaque seconde. Etre insouciant. Etre aimé. Etre Nous.

15. Retrouver Polochon pour noyer notre peine et notre mélancolie dans la bouteille. Dans des réalites douloureuses et panser mutuellement nos plaies avec nos mots. Déblatérer sur l'Amour, se réunir dans l'amitié.

17. L'Amant voulant gouter à liberté mais l'angoisse que son état empire m'avait rendu malade tout un weekend Etre en colère contre lui. Retrouver le Mystérieux dans les couloirs d'une fac. Se défouler pour apaiser le feu d'un sentiment négatif. L'Amant voulant gouter à liberté mais l'angoisse que son état empire m'avait rendu malade tout un weekend. Froides retrouvailles. Se faire violence pour ne pas lui faire la morale. M'engager à ne pas le traiter comme un enfant. Essayer de taire ses sentiments d'angoisse. Retour du coloc' après des jours d'absence. Me jouer de lui, en boudant faussement.

21. J'étais entré dans ces toilettes. Je l'avais vu. Avec deux autres. La certitude d'y voir des amants. La certitude d'être de trop. Aller-retour quand le cœur hurle de l'emmener loin. on s'était dit qu'on allait s'échanger nos sentiments avec l'Amant, le soir du bal. Ce qui devait être une féérie s'est transformé une dispute cauchemardesque. Quand les doutes s'insinuent chez l'Amant. Les mots tranchent. Les mots enflamment le coeur. Souffrance. Panique. Et pourtant, ne pas flancher. Rassurer pour s'aimer. S'échapper une heure pour renouer.

22. Weekend dans le Vermont avec les pfo. Feu de camp, chamallow, bouées tractées. Fêter mon anniversaire.

27. Revenir de 48h à NY après une nouvelle dispute avec l'Amant. Le colocataire exprimant sa jalousie. Espérer lui faire plaisir dans cette amitié prenant des tournants moins chastes. Après des mois à chercher l'auteur d'un portrait de moi. Ce sont des amis communs qui m'aident à le trouver. Ravi, je ne tarde pas à entrer en contact avec lui et les discussions s'enchainent jusqu'à qu'il me défie de le retrouver. Enquêteur employé pour m'aider dans ma recherche. Découvrir sa Vie ou presque et me pointer devant chez lui. Rencontrer un homme avec tant de sensibilité et une vision que j'aurais voulu partagé sur bien des sujets.

28. Continuer cette semaine d'anniversaire en l'honneur de mon Polochon. Amitié indelébile. Se faire tatouer. Une première pour elle. Un acte héroïque à mes yeux. Le bonheur aux larmes. Douce demoiselle représentant cette bulle d'oxygène. Elle devenue si indispensable à mon quotidien.

31. Le cauchemard se poursuit quand j'apprends que Jessie a eu un accident de moto. Nouvelle apprise par message. Mais l'interdit d'aller lui rendre visite. Impatience de le voir. Dévasté. C'est ma meilleure amie qui m'y accompagnera. La sensation de perdre mon monde à petits feux. De perdre un pilier de ma Vie. Il vit mais il est inconscient. La douleur de le voir ainsi. Et garder espoir de vite le retrouver.










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Juin

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A
u mois de Juin, ne tombe pas dans le ravin

01. Aller voir Céleste à l'hopital. oser enfin. Me poser sur le fauteuil. Elle semble si apaisée. Et pourtant depuis le bal, je me sens si mal. Chaque pensée pour elle, me met les larmes. Sa présence manque tant. Je sais qu'elle peut percevoir des brides. Je me mets à lui parler sans vraiment me dire si ça peut aider. Je suis peut-être parano. Peut-être nombriliste. Mais je ne cesse de me dire que c'est de ma faute si tu es là, dans ce lit. Ou ai-je merdé ... Et je n'ose pas imaginé si tu reviens... Je te demande pardon Celeste ..... J'ai l'impression que j'ai raté un geste ... Moi qui veut aider les femmes ... Sauver des vies ... Tu te retrouves là ... J'ai honte ....... Je sais qu'on se parle pas souvent mais tu me manques tellement. J'aimerais tellement que tu sortes de là. Egayer les journées avec un sourire. Le weekend sans toi n'était pas le même. Reviens vite. Revient rayonner dans nos journée. Je t'en prie, reviens. Merde Princesse, ne nous lâche pas.

02. Appeler Caesar. Lui demander de m'empêcher de m'en aller. Ne pas supporter de savoir Celeste dans le coma. Ne pas supporter de ne plus entendre Jessie. Essuyer une enième dispute avec l'Amant. Se sentir oppressé dans ma ville. Tenter d'être raisonner. Mais en vain. J'étais prêt à m'en aller. Fuir. Mais je n'étais pas le seul à avoir eu l'idée. Et croiser l'Amant à l'aéroport me fait réaliser à quel point, on ne sera jamais suffisant pour s'apaiser mutuellement. Et pourtant, c'est bien dans le réconfort de ses bras, de se parler qu'on se retient de partir.

03. La folie s'empare de nous. Se réengager de nouveau. Projet qui m'avait angoissé. Chaque fois, il partait en fumée. Et pourtant, l'Amant et moi avions de nouveau une phrase. Dans cette Vie. Et les suivantes. Espoir de ne jamais se séparer. D'être présent l'un pour l'autre.

04. Sublime tornade entrant dans ma Vie. Et ce vent de fraicheur me plait beaucoup. Aucune attente amoureuse mais la séduction est de mise. Et se confirme en se retrouvant dans une proposition de boxer. Revoir Jagger pour apprendre à cuisiner. Je pense qu'il ne sait pas dans quel merdier, il se met. Mais je me dis que je pourrais être davantage indépendant. Et cuisiner pour deux également. Le retrouver parce qu'on discutait assez. L'ombre au tableau : le faire sans le dire à l'Amant, alors qu'une crise de jalousie avait eclaté au sujet de l'artiste. Mais ces derniers temps, j'avais besoin d'avoir des moments feels good, de ne pas craquer totalement. Ne pas arriver à la rupture.

07. Rupture avec l'Amant. Je n'aurais jamais pensé le faire. C'était impensable. Quand, je reprenais secrètement espoir d'une union. Et pourtant, c'est bel et bien arrivé. Annonce d'un souvenir brisant le cœur. Souvenir le plus dévastateur. Et j'ai compris que je ne pourrais le supporter davantage. J'ai compris que j'étais de trop. Que je ne voulais plus partager. Alors j'ai cessé. L'impensable acté. Pour le bien de nous. Pour conserver ce que nous avons tissé. Ne pas lui imposer cette jalousie qui me rongeait si fort ces derniers temps. Ne pas lui imposer de choix. Sombrer. Coeur brisé. Coeur espérant qu'un jour, l'Amant se muera en Confident, en Ami. Un binôme. Dans cette Vie. Et les suivantes. Lui en vouloir de s'en rappeler. Appeler Doudou pour ne pas cramer l'appartement et ses souvenirs qui me condamnent. M'en remettre à ses bras qui ne m'aideront pas plus à supporter.  

08. L'Enfer. Quelques heures depuis que l'Amant n'est plus mien. Quelques heures à hurler ma peine. Quelques heures n'être plus rien. Quelques heures à me demander ce que j'avais bien pu faire. J'avais décidé de ne plus remettre les pieds à l'appartement. Ne plus supporter chaque mètre carré respirant l'Amant. Annoncer au colocataire, que je voulais déménager. J'avais accepté toutes les présences possibles. Et là, encore, un homme se faisait récurent. Jagger. Décidé à m'aider à éclater ma peine, m'embarquant dans une rage room. J'ai littéralement explosé et terminé à l'hôpital, à bout de force.

Semaines du 09 au 20



09. Départ. Personne ne savait ma destination. J’avais demandé qu’aucun garde ne me suive. Mais je sais qu’il n’y en a toujours un de caché. J’étais entré dans cet aéroport. Première ligne de l’écran. Bali. Sac de sport sur l’épaule. Il restait de la place. Alors j’avais pris mon billet. Partir sans me retourner. Surmonter la rupture sans être le fardeau de quiconque. Sans qu’on hésite entre moi et un autre. Sans qu’on se sente obligé de me consoler. J’étais de trop dans cette équation. J’étais de trop pour tout le monde. Je ne voulais plus ressentir. Partir pour accepter. Accepter de ne plus être une source d’angoisse. Atterir dans un pays dont je ne sais rien. Dormir dans une ruelle. Etre récupéré par une jeune fille. Emporté sans vraiment résister. Choyé par une famille. Mais le fantôme n'a cure des bons soins. Juste être cloitré dans le noir. Et ressassé.

Provocation. Haine ambulante qui se déplace depuis des jours. Pleurer, c’est tout ce que je faisais. Pleurer. Membres de la maison que je voyais peu. La maman râlant toujours de ne pas me voir manger. L’appétit n’est plus. Le cœur bousillé. La Vie vidée. Puis la fille avait fini par faire irruption, elle jactait. Pour qu’elle se taise, j’ai accepte. Premier repas. Première sortie. Boire un verre avec ses amis. Jusque là, c’était dans mes compétences. J’ai cru. Un regard insistant. Un rire. Et je me suis levé. Haineux que j’étais, devenait intolérable. Verre dans la gueule de celui qui riait. Provoquer. Frapper. L’appel du sang. Et il y avait répondu. Cinq personnes précisément. On tentait de nous calmer, de nous séparer. Mais j’attisais davantage. Bagarre générale. Les coups ont plu. Et je souriais. La douleur, ce que je voulais ressentir. Cœur brisé n’était apte a rien, si ce n’est exprimer par la violence, ce mal qui le ronge tant.

Proposition « Tu provoques. Tu attises. Tu paies. » Père de famille qui me fait la morale pendant qu’on me bande les plaies. « Tu veux te battre ? » Oui sans hésitation. Je grimace quand je bouge et on quitte la maison pour arriver dans un sous sol, à quelques ruelles plus loin. Et j’arrive devant une structure en métal. « La cage sera ton exécutoire. Tu pourras frapper autant que tu veux. Entraine toi. Et délaisse celui qui te fait souffrir. » L'interdiction d'user de mes années de boxe. Normalement. Mais je ne savais plus comment vivre. La seule solution pour surmonter. Ce n'était pas un chagrin que je vivais. Mais la décision d'une Vie qui n'est plus. D'un amour qui ne vivra autrement. D'un chapitre de ma Vie que je refuse de tourner. Qui se tournera quoi qu'il arrive. Alors je m'entraine jour après jour.

Frapper. Une semaine. Frapper. Apprendre les règles. S’entraîner. Ca grouillait en moi. Cette noirceur qui s’éveillait à chaque colère, que je taisais chaque fois. J’aurais dû rentrer. C’était aujourd’hui mais non. J’étais bien dans ma cage. Bien devant mon adversaire. Mains bandées, regard déterminé. Il était plus grand. Mais qu’importe. Je voulais enterrer le Nate de Boston. Il frappe. Douleur qui irradie dans tout le corps. Et je ris. Étudiant désespéré. Meurtri. Pas choisi. Optionnel. Je ris d’être terré dans cette cage. Je le laisse faire. J’attends qu’il s’essouffle. J’encaisse. Chaque poing me fait revivre tous les souvenirs avec l’Amant. Raviver chaque instants. Larmes qui refont surface. Il se recule essoufflé. Je reste un temps au sol. Je souffle un coup. Des jours à pleurer. A me sentir merdique. J’étais pas le choix. Je l’aurais jamais été. Aimé l’Inaccessible. J’ai voulu. Je me suis brûlé les ailes. Espoir d’un autre binôme pulse. Mais dans cette cage, je ne suis que Rage. Je me redresse et c’est à mon tour d’assener ma peine. « Je ne suis pas un bebe. Je ne suis pas un enfant. Trésor n’a plus d’éclats. J’ai tout perdu. Mais j’irais mieux. J’ai fait le bon choix. Pour nous. » Je frappe. Je le brise. Je me vide de toute cette souffrance. J’aime. J’aimerais. Je l’aimerais autrement. C’est une certitude. Une autre personne aussi, un jour. Le dernier coup et il s’évanouit. Je titube. Mais je ne tombe pas. C’est terminé.

Paisible. Des combats, j’en ai fait d’autres. J’ai pleuré. J’ai hurlé. Une remise en question. C’est dans cette violence que je trouvais enfin la paix. Enfin que j’y voyais clair. Laver de cette folie qui m’empêchait de redevenir ce petit gars joyeux et rieur. J'ai appris à vivre dans cette famille. La loger dans mon cœur. Comprendre les rites. La suivre partout. Apprendre à connaitre une autre Vie. Oublier Boston. Oublier la souffrance. Le téléphone toujours éteint. Je vivais de nouveau. Je vivais avec elle. Aucune promesse. Juste son affection pour panser mes maux. « Tu dois rentrer Alix. Tu dois rentrer. Tu dois vivre. Tu as tant traversé. Mais ne laisse pas la peur t’empêcher de retrouver les tiens. N’aies pas peur de Le croiser. Tu as bien fait. Et vous le savez. Je t'aime mais ta place n'est pas ici. Je ne sais pas qui tu es réellement mais tu dois rentrer. Il est temps. » Moue triste de devoir la quitter mais elle avait raison. Mes proches me manquent. Mes parents commencent à grogner de ma retraite, le garde qui me suivait et tenait en secret mes combats me l'avait dit un soir. Alors j'avais empaqueter mes affaires. Bracelet de bonheur multicolore accrocher à mon poignet. J'avais proposé à ma douce amie de venir avec moi. Et je n'avais eu que pour seule réponse, un haussement d'épaule.

20. Rentrer. Je suis posé sur un banc de l'aéroport de Boston. Prendre le temps d'accepter que je retourne dans cette réalité. Je sais que je ne serais pas totalement guéri. Une partie de moi s'est envolée avec l'Amant. Mais ces dernières semaines m'ont permises d'accepter. D'être apaisé. Alors j'avais osé rallumé mon téléphone. Lire tous les messages. Secouer la tête à l'un, sourire à d'autres. J'étais rentré. Et j'allais vivre. Assumer cette décision. Ne pas abandonner. Continuer d'apaiser le cœur meurtri. Vivre.








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Septembre

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A
oût mûrit, septembre vendange, en ces deux mois, tout bien s'arrange.


Deux mois de vacances à défendre une association. La première n'a pas été remporté mais j'ai quand même pu m'amuser, faire de belles rencontres. oser avoir J., plus qu'un simple ami. Vivre une romance, qui je l'espère durera aussi longtemps qu'on la chérira. Me surpasser durant les épreuves. Reparler à N. quand bien même, ce n'est finalement pas une mince affaire. Apprendre que Tova est la mère de ma filleule et l'ex incroyable de mon meilleur ami. Le monde est si petit. Amant debarquant, continuant la serie des tentations. J'avais pas été épargné. Une rentrée débutant par souhaite une bonne reprise aux autres confréries en allant taguer leur maison. En route pour de nouvelles aventures.

10. Ascenseur émotionnelle quand j'apprends l'ex a été [url=https://www.i-love-harvard.com/t138417-tw-life-hangs-on-a-thread-o-teal[/url]. Rien n'est fluide entre nous. Et le mal-être est fréquent. Enième tentative d'être à ses côtés. Mais le rejette à nouveau. Et je finis par vider mon sac, violemment.

16. Je sais que ma filleule n'accepte pas le retour de sa mère. Alors pour tenter d'aider Z. dans sa tâche, je decide de passer du temps avec T. pour parler de sa file. Et puis aussi, j'arrivais toujours pas à le croire.

17. Se faire un weekend avec la Queen. Le plaisir de se retrouver entre nous. Programme nous ressemblant. Taquineries et good vibes. Parfait pour recharger ses batteries.

20. La culpabilité. L'alcool. Un endroit où je m'étais interdit d'aller. Et encore une fois, chercher l'ex, comprendre son attitude. Ne pas accepter que notre précédente dispute soit la derniere alors que le joug d'une mort plane sur sa tête. Le revoir absolument.





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Octobre

Tribulation d'un caillou (nate)  Af6d2513737cca91c56fabfc13f4873e



E
n octobre, brume passe, beau temps passe.


07. Après avoir clarifié tout ce qui s'embrouillait dans ma tête avec l'Ex. J'ai fini par avouer à J. que j'avais des sentiments pour lui. Et pas qu'un peu. La peur d'oser prononcer cette phrase si importante mais finalement, le besoin et l'envie de lui dire s'est faite naturellement.

16. Participer à l'evg de son Ex est un concept que je referais pas. Déjà, j'étais pas forcément pour son mariage. Mais je voulais pas être une tâche dans son bonheur. Bien que j'ai refusé d'assister à son mariage. On va pas trop pousser le bouchon. Découvrir tout son entourage durant une chasse aux indices au Paint bar puis une soirée sur un rooftop. C'était étrange mais deux events bien préparés.

25. Crise d'angoisse en découvrant N. blessé. Le soigner et ne pas aller en cours. Découvrir que J. m'avait préparé une attention que j'ai loupé. Etre de mauvaise foi quand il me met sur le fait accompli. Alors que je n'avais rien dit à personne pour N.

31. Aller dans ce fameux hôtel avec tous les Chastes. Groupe qui s'est finalement vite disséminé pour aller faire des soirées dans leur coin. Finir par dormir dans une chambre - difficilement - avec J. Plus jamais !




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