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forget, to find peace. (coco)

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    forget, to find peace.
Depuis qu'il était mort, tu n'étais plus la même. En l'espace de quelques semaines, tu avais bien changé. Les premiers jours, tu t'étais plongée dans une léthargie totale. Avec mutisme à la clé. Tu ne voulais rien faire, tu ne voulais voir personne et encore moins parler. Tu te contentais de rester dans ton lit, de pleurer toute les larmes de ton corps et de ne rien faire de plus. Parce que tu n'en avais absolument pas la force. Et puis, à quoi bon, puisqu'il était mort ? Tu n'avais plus le goût de rien et la seule façon pour que ça puisse changer, c'est qu'il ne soit pas mort. Mais c'était impossible. Après une semaine à être resté enfermée dans ta chambre à l'Eliot House, tu avais finis par concéder à sortir. Mais pas pour de bonnes raisons. Tu avais la ferme intention d'oublier. Tu voulais en oublier jusqu'à ton propre prénom. Pourvu que ça fasse moins mal, pourvu que la douleur se taise. Pourvu que ce cauchemar s'arrête. Malheureusement, cela ne durait pas bien longtemps. Juste le temps d'une cuite, d'une soirée défonce et puis quelques heures plus tard, la douleur était toujours présente. Te ravageant de l'intérieur. Doucement, tu t'étais laissé glisser dans un monde où tu pensais pouvoir oublier. Même si ça ne durait que l'espace de quelques heures. C'était toujours ça d'acquis. Et puis, t'avais demandé ton transfert. Pour connaître cette sensation bien plus longtemps que quelques heures. Tu voulais être dans un endroit où tu n'aurai personne pour te juger si tu fumais dès le réveil ou si tu rentrais à quatre pattes jusqu'à ta chambre. La Mather House semblait donc un espace où tu pourrai tomber encore plus bas dans le déni, dans le rejet total, dans l'oubli.

Cette nuit-là n’échappait pas aux précédentes et d’autant plus parce que c’était un samedi. Et qui disait week end, disait soirée à la Mather House. Les quelques étudiants qui étaient parti en Thaïlande étaient de retour depuis le début de la semaine, vous aviez donc quelque chose à fêter. Mais toi, tu n’avais pas le cœur à la fête, loin de là. Tu étais d’une toute autre humeur. Une humeur qui te collait à la peau depuis que tu t’étais retrouvée toute seule comme une conne. Habitée par cette envie d’en oublier jusqu’à ton prénom, tu n’avais donc pas fais les choses à moitié. Résultat, il était 6h30 du matin et tu te retrouvais dans un état pitoyable. Avec aucune envie de retourner dans ton lit. L’esprit complétement ailleurs, tu étais sortie de la Mather House, de l’enceinte même d’Harvard, te laissant guider par tes pas. Tu ne savais pas où tu allais, mais apparemment, tu y allais quand même. Sur le chemin, tu te mis à penser à la seule chose à laquelle tu n’arrêtais pas de penser : Diego. Et sans que tu t’en rends compte, les larmes s’étaient mises d’elle-même à couler sur tes joues. Bien vite, tu t’arrêtais. Tu levais les yeux et remarquais que tu étais devant un lieu que tu ne connaissais que trop bien : l’appartement de Coco. Tu ne savais absolument pas ce qui te poussait à être ici et tu te demandais si c’était une bonne idée. Après tout, cette dernière t’ignorais complétement depuis que tu avais quitté l’Eliot House. Réticente, tu tapais à la porte de cette dernière alors que tes larmes ne s’étaient absolument pas arrêter de couler. Tu frappais, encore et encore. « Coco.. c’est moi.. C’est Mai-Lan. S’il te plaît, me laisse pas dehors.. » que tu disais, tes mots entrecoupaient par des sanglots.
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Ce n'était pas vraiment le pur bonheur en ce moment, non. Noah me manquait. Depuis le Spring Break et cette histoire furtive entre nous, j'avais l'esprit totalement embrumé, je n'avais aucune idée de la nature de mes sentiments pour lui, d'ailleurs, comment peut-on savoir lorsque l'on a jamais été amoureux ? De toute façon, il était hors de question qu'une telle chose m'arrive. J'ai besoin d'un esprit clair pour étudier et réfléchir correctement. Je lui avais pourtant offert ma première fois une nuit au Summer Camp, et ce con m'avait balancé ses sentiments pour moi en pleine face. Il avait tout gâché, absolument tout. Peut-être était-ce moi qui était entrain de tout gâcher ? Mille questions se posaient dans mon esprit, m’empêchant de penser au programme de ma journée. Je buvais mon café brûlant, essayant de ne plus penser à Noah.

Soudainement, alors que je buvais tranquillement mon café au comptoir de ma cuisine, j'entendis quelqu'un frapper à la porte. Je fronçais les sourcils me demandant qui pouvait bien vouloir me faire chier de si bon matin, mais bizarrement cette expression froide s'en alla vite, entendant les sanglots de Mai-Lan. J'avais tout de suite reconnu sa voix, bien que nous ne nous étions pas parlées depuis des mois. « Coco.. c’est moi.. C’est Mai-Lan. S’il te plaît, me laisse pas dehors.. » Je n'aimais pas m'énerver contre mes amies, je préférais les ignorer, et c'était sans doute pire. Elle avait trahit notre confrérie pour des .. Mathers. Elle avait bien plus de classe que ça, elle valait largement une confrérie de marque, et elle en était partie pour des Mathers. Je savais qu'elle avait vécu des choses affreuses, notamment à cause de l'attentat, et j'avais vraiment essayé d'être là pour elle, l'aidant à surmonter, mais un deuil est bien plus lent et difficile à surmonter. Et elle était parti. Je soupirais me levant de ma chaise haute, déposant ma tasse en porcelaine sur le comptoir. Je marchais finalement vers ma porte d'entrer, ouvrant lentement la porte, et voyant ma petite Mai en larmes. Même si ça ne se voyait pas du tout, ça me fendait le coeur de la voir comme ça, seulement, je n'avais pas l'habitude de montrer mon ressenti, et aussi, j'étais toujours en colère contre elle, malgré le manque. Ce qui était certain, c'était que je ne pouvais pas la laisser plantée là, sur le paillasson, je m'écarta sans rien dire, tendant le bras en direction de mon salon, sans même la regarder dans les yeux. Quelle lâcheté. Elle entrait finalement dans la pièce mais avant que je la laisse s'installer, je sentis une forte odeur d'alcool. Je la regarda finalement en fronçant les sourcils. ' Mai, t'es bourrée ? '

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Tu ne comprenais pas pourquoi ton esprit avait décidé de te mener jusqu'ici. C'était stupide parce que comme Andy et Esteban, Coco te détestait à ce jour. Du moins, c'était ce que son comportement te poussait à croire. Puisque cette dernière s'était appliquée à t'ignorer royalement comme elle savait si bien le faire depuis que tu avais quitté l'Eliot House pour la Mather House. Tu lui avais laissé de l'espace, en attendant qu'elle revienne. Mais elle n'était pas revenue pour le moment. Et tu craignais fortement qu'elle te laissait dehors. Même si en dépit de tout, elle était ton amie. Du moins, l'avait été. Finalement, tu frappais à sa porte. La suppliant presque entre deux sanglots de ne surtout pas te laisser devant sa porte. T'étais pitoyable, pathétique et à vrai dire, aucun mot assez puissant ne pouvait définir ce que tu représentais là tout de suite. Bordel, ce que tu pouvais te détester là tout de suite ou même la plupart du temps ces temps ci. Mais t'étais tellement poussée par cette envie d'oublier que c'était plus fort que toi. Que c'était plus fort que toi de vouloir te détruire à petit feu, comme tu le faisais dernièrement. Finalement, la porte s'ouvrait, te laissant découvrir Coco sur le seuil de la porte. Tu passais une main devant tes yeux, essayant de sécher tes larmes qui ne s'étaient toujours pas arrêté de couler. Aucun mots ne fut prononcer. Elle te regardait juste alors que toi, tu venais de baisser le regard en direction du sol. Essayant de te calmer un tant soit peu. Alors que tu relevais le regard, Coco s'écartait de devant la porte pour te laisser passer. Te montrant son salon du bout de son bras. Tu ne disais rien, te contenant juste d'entrer et d'évoluer dans son appartement. Seulement à peine tu eus fais quelques pas, elle te posait une question. Mai, t'es bourrée ? Tes joues à nouveau mouillées, tu reniflais doucement avant de lui répondre. Oui.. Tu titubais légèrement jusque dans son salon pour aller t'asseoir dans son canapé. Tes pleurs redoublant. Décidément, l'usine à liquide lacrymal avait décidé de laisser ses pompes ouvertes. Et c'était horrible de pleurer comme ça, sans pouvoir s'arrêter. T'avais la nette impression de retourner quelques semaines en arrière et tu n'aimais pas vraiment ça. Et j'arrête pas de pleurer depuis bien vingt minutes.. que tu disais, entre deux nouveaux sanglots. Repassant une main devant tes yeux pour les essuyer.
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Je n'aimais pas la voir comme ça. Je sais pertinemment que je n'avais pas été tendre avec elle, mais je n'étais de toute façon pas vraiment réputée pour ma tendresse, et c'était d'ailleurs pour ça que je n'avais pas beaucoup d'amies filles, et que j'avais rembarré Noah.. alors que je l'aimais. Du moins je crois.. J'espère pas. Et Mai était là devant moi, me balançant son petit Oui.. les joues et les yeux mouillés, la voix tremblante. Non, je n'aimais pas la voir dans cet état là, et encore moins bourrée. Elle qui avait été logée à la même enseigne que moi, qui avait reçu les mêmes valeurs, la même éducation, il fallait sérieusement que quelqu'un la remette sur les bons rails, et la je ne parlais pas de poudre blanche. Elle tituba jusqu'au salon, se dirigeant vers mon canapé, Et j'arrête pas de pleurer depuis bien vingt minutes.. je l'observais avant de soupirer de tristesse. ' Ok. Mets-toi à l'aise, je reviens. ' Je me dirigeais à la cuisine pour nous préparer deux café, je ne carburais qu'à ça, et celui que j'avais déposé sur le comptoir un peu plus tôt était déjà froid. Je revins finalement deux tasses en mains, et pris place près d'elle, lui déposant sa tasse sur la table basse en face d'elle avec un sucre et une petite cuillère. Je la regarda longuement avant de lui dire ' Mai.. faut que t’arrêtes sérieusement de fréquenter ces.. personnes. ' Je parlais bien entendu des Mathers qui me l'avaient totalement transformée. ' J'aime pas te voir dans cet état Mai.. '

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Coco t'avais ouvert la porte de chez elle, t'avais laissé entrer. Et même si elle n'avait pas dis un seul mot, si c'n'est pour te demander si t'étais bourrée, ça t'avais enlevé un certain poids. Depuis que t'avais quitté l'Eliot House, bon nombre de tes anciens amis t'avais tourné le dos. Prenant ça comme une trahison, parce que tu les avais quitté pour la Mather House, la maison ennemie. T'avais fais avec. Mais c'était l'ignorance de Coco, qui t'avais fais le plus de mal. Et ça te faisait un peu de bien, qu'elle ne t'ai pas laissé dehors. Tu titubais jusque dans son salon, avant qu'elle ne te dise : Ok. Mets-toi à l'aise, je reviens. Tu fis ce qu'elle te demandant et vint t'asseoir dans son canapé. En essayant de sécher les larmes qui ne voulaient pas arrêter de couler depuis que t'avais quitté la Mather House au petit matin. Elle revint bien vite, deux cafés à la main. Prenant place à tes côtés, elle posait ta tasse devant toi avant de te regarder, sans ne rien dire. Jusqu'à ce qu'elle parle, enfin. Mai.. faut que t’arrêtes sérieusement de fréquenter ces.. personnes. Tu savais bien de qui elle parlait, tu ne disais rien. Pour le moment. J'aime pas te voir dans cet état Mai.. Et c'est cette dernière phrase qui te fit sortir de ta léthargie. Ne me dis pas ça Coco.. Ne me dis pas que je dois pas fréquenter ces personnes comme tu dis quand tu ne me parlais plus toute ces semaines. Tu crois que je suis dans cet état pourquoi ? A cause d'eux ? Certainement pas. J'suis comme ça à cause de toute les merdes qui me tombent sur la gueule ces dernières semaines. Alors ne me dis pas quoi faire, quand t'étais même pas là pour voir l'étendu des dégâts, pour voir le bordel qu'est devenu ma vie. C'était pas méchant mais fallait que ça sorte, parce qu'elle t'avait fait du mal, en t'ignorant. Coco, j'ai perdu l'homme que j'aimais.. Je suis plus bas que terre et j'ai aussi perdu une amie très proche. Et failli perdre ma cousine et ma meilleure amie. Tu crois que c'est la faute des Mathers ça aussi ? demandais-tu, reniflant.
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Je m'étais rassise près d'elle, lui donnant son café. Très vite, j'engagea la discussion sur des leçons de morale. Sur ses fréquentations. Mais elle me balança ce qu'elle avait sur le coeur.
Ne me dis pas ça Coco.. Ne me dis pas que je dois pas fréquenter ces personnes comme tu dis quand tu ne me parlais plus toute ces semaines. Tu crois que je suis dans cet état pourquoi ? A cause d'eux ? Certainement pas. J'suis comme ça à cause de toute les merdes qui me tombent sur la gueule ces dernières semaines. Alors ne me dis pas quoi faire, quand t'étais même pas là pour voir l'étendu des dégâts, pour voir le bordel qu'est devenu ma vie.
me déballa t-elle. Elle n'avait pas tord. Mais elle oubliait une chose, son entrée chez les Mathers était la raison même de mon ignorance. J'avais vraiment essayé d'être là pour elle plus tôt, mais.. je n'étais clairement pas l'amie qu'il fallait avoir dans ces moments là. Depuis la mort subite de mes parents, j'étais devenue totalement insensible à la peine des autres. J'étais devenue hermétique au chagrin, je n'avais fais qu'accentuer mon égocentrisme. Surement une façon de me protéger de ma propre peine.. Je soupira ' Mai, tu sais très bien que je ne voulais pas ça, mais t'es allée chez les Mathers ! Mai. Chez les Mathers. Tu as abandonné ton éducation, tes principes alors qu'on aurait pu t'aider chez les Eliots. On aurait pu te sortir de là. ' Elle continua après ses sanglots. Coco, j'ai perdu l'homme que j'aimais.. Je suis plus bas que terre et j'ai aussi perdu une amie très proche. Et failli perdre ma cousine et ma meilleure amie. Tu crois que c'est la faute des Mathers ça aussi ? Je la regarda droit dans les yeux, haussant légèrement le ton. ' Non, ce n'est pas de leur faute, mais ça ! ' disais-je en pointant elle et son état du doigt avant de reprendre ' ça ! C'est de leur faute. ' Je laissais un blanc de quelques secondes avant de reprendre. ' Arrête ces conneries, sérieux. D'accord, c'est dur. Mais tous ces états dans lesquels tu te mets et ces nouvelles fréquentations ne ramèneront personne à la vie. ' J'étais peut-être dure, mais elle me connaissait, elle savait que je n'étais pas une fille très tendre, mais je voulais son bien, ça c'était indéniable. Je buvais mon café sans le sucre, c'était surement l'occasion de discuter, et de tenter de la ramener à la maison, chez les Eliots.


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T'étais encore un peu saoule, t'en avais gros sur le coeur et ton déballage tomba sur Coco. Qui cette dernière t'avais ignoré ce dernier mois et tu ne manquais pas de le lui rappelais. Même si tu savais très bien pourquoi elle avait fait ça, ça n'avait pas empêché le fait que ça t'avais fais du mal. Et elle ne tarda pas à te répondre. Mai, tu sais très bien que je ne voulais pas ça, mais t'es allée chez les Mathers ! Mai. Chez les Mathers. Tu as abandonné ton éducation, tes principes alors qu'on aurait pu t'aider chez les Eliots. On aurait pu te sortir de là. Tu reniflais une nouvelle fois alors que t'écoutais ce qu'elle avait à dire. A la fin de sa phrase, tu t'étais mise à rire. Dans un rire sans aucune joie, d'un rire plutôt froid. Ah oui, ils sont beaux les Eliots. Même leur président à déserté, tellement ils sont parfait les Eliots, tellement ils sont solidaires. Bien sûr que t'étais au courant du départ d'Andy. Comme si ce genre de choses pouvaient ne pas être arrivées à tes oreilles. Et tu t'en servais pour montrer à quel point la Mather House n'avait rien à envier à l'Eliot House. Elle poursuivait, haussant le ton et te regardant droit dans les yeux. Non, ce n'est pas de leur faute, mais ça ! qu'elle te disait, en te pointant du doigt. Ça ! C'est de leur faute. Et puis elle se tue, le temps de quelques secondes. Avant de reprendre de plus belle sur les leçons de morale. Arrête ces conneries, sérieux. D'accord, c'est dur. Mais tous ces états dans lesquels tu te mets et ces nouvelles fréquentations ne ramèneront personne à la vie. Tu la regardais quelques instants boire son café avant de te lever du canapé. Tu sais Coco, je sais même pas ce que je fous ici. J'ai pas besoin de tes leçons de morale. C'est mon amie dont j'ai besoin. Tu t'avançais de quelques pas avant de te tourner vers elle, la regardant dans les yeux après avoir essuyer tes yeux. Tu ne pleurais plus à présent. Tu crois que je le sais pas tout ça ? C'est que tu ne connais plus mal que je le croyais. Je voulais te dire un truc, j'avais besoin de te le dire. Mais tu peux oublier. Continue à m'ignorer, tu sais très bien le faire. terminais-tu en t'éloignant, avec l'envie de fuir cet appartement le plus vite possible.
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Alors que j'essaye de lui parler de ses fréquentations et de ce qu'auraient été sa vie si elle était restée avec nous les Eliots, elle me réponds avec un rire sarcastique. Ah oui, ils sont beaux les Eliots. Même leur président à déserté, tellement ils sont parfait les Eliots, tellement ils sont solidaires. Je soupire. Elle peut pas dire ça, même si le fait qu'Andy parte n'a pas du tout plu à tout le monde, personne ne pouvait nier que ses raisons étaient bonnes, et nous avons fait des efforts pour lui, bien que personnellement j'étais bien plus concernée par mon manque de solidarité que par mon débit à me doper au speed. ' Je ne te parles même pas forcément des Eliots en général, mais là je te parle de tes amis. Et je te signale qu'ils sont nombreux chez les Eliots, que tu le veuilles ou non. '

Finalement, après un leger silence, Mai décide de se lever et de se retourner quelques secondes vers moi Tu sais Coco, je sais même pas ce que je fous ici. J'ai pas besoin de tes leçons de morale. C'est mon amie dont j'ai besoin. je la regarda faire avant de me lever à mon tour pour la suivre. ' Tu vas quand même pas t'en aller, c'est ridicule. ' Elle se dirigeait vers la porte d'entrée avant de se retourner une dernière fois. Tu crois que je le sais pas tout ça ? C'est que tu ne connais plus mal que je le croyais. Je voulais te dire un truc, j'avais besoin de te le dire. Mais tu peux oublier. Continue à m'ignorer, tu sais très bien le faire. ' Mai.. attends, j'veux pas que tu partes ! ' je soupirais, c'était dur de tout déballer comme ça. ' T'as bien fais de venir ici, au contraire, toi et moi on avait grand besoin de parler. Mais tu comprends juste pas que c'est pour ton bien que j'te dis tout ça, je tiens à toi, Mai, on tiens tous à toi chez les Eliots.. mais reviens t'asseoir. ' disais-je avant de reprendre une dernière fois. ' Allez..' J'alla me rasseoir, je ne disais rien mais n'empêche que ce truc en question qu'elle voulait me dire m'intriguait énormément.
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T'étais pas venue pour une leçon de morale. Bon, à la base tu savais pas vraiment pourquoi t'étais là, qu'est ce que tu venais y faire. Mais t'étais sûrement pas venu pour ça, non. C'est pourtant ce que Coco faisait. Avec ses belles paroles et ses préjugés sur les habitants de la Mather House. Alors quand elle avait parler d'aide au sein des Eliot, t'en avais eu marre. Et tu t'étais laissée aller. T'avais ouvert la bouche et dis tout ce que tu pensais. Elle soupirait juste après et tu te demandais ce qu'elle allait encore pouvoir te sortir. Je ne te parles même pas forcément des Eliots en général, mais là je te parle de tes amis. Et je te signale qu'ils sont nombreux chez les Eliots, que tu le veuilles ou non. Là, t'avais véritablement envie de lui rire au nez quand elle te parlait d'amitié. Des amis qui t'avais tourné le dos pour un transfert de maison. Une maison rivale, certes. Mais t'étais pourtant leur amie comme elle disait non ? Oh, tu veux parler d'amitié Coco. Mais je me demande si vous savez ce que ça veut dire au sein de l'Eliot House. Parce que je crois pas que des amis doivent agir comme tu l'as fais, comme vous l'avez fais. Je suis partie chez la Mather House, et alors ? Ah oui.. et alors, t'as décidé de m'ignorer. Andy et Esteban préfère ne même plus me parler. Et Apple ne se contente juste de me dire bonjour quand elle me croise. Oh si.. Il y a bien Anya, qui relève le niveau de tout ça et qui continue à me parler, à essayer de m'aider malgré tout. Malgré le fait que je sois à la Mather House. Tu te taisais enfin, après ton petit monologue sur l'amitié.

Et puis finalement, t'en avais marre des leçons de morale, t'avais juste envie de partir de là et de faire comme si t'étais jamais venue. Chose qui ne devrait pas trop être difficile pour elle, après tout. Tu te levais donc, signalant le fait que t'allais partir, n'ayant pas besoin de leçon de morale. Tu vas quand même pas t'en aller, c'est ridicule. Elle te suivait et tu décidais de te retourner vers elle une dernière fois. Signifiant dans ta phrase que t'avais besoin de lui dire quelque chose mais que c'était plus la peine maintenant. Mai.. attends, j'veux pas que tu partes ! Tu t'arrêtais devant la porte d'entrée alors qu'elle continuait. T'as bien fais de venir ici, au contraire, toi et moi on avait grand besoin de parler. Mais tu comprends juste pas que c'est pour ton bien que j'te dis tout ça, je tiens à toi, Mai, on tiens tous à toi chez les Eliots.. mais reviens t'asseoir. Tu ne bougeais toujours pas de devant la porte, te contenant juste de lui répondre. Tu peux parler en ton nom si tu veux, mais ne parle pas au nom de tout les Eliots quand il s'agit de moi. Elle t'adressait un dernier petit Allez.. pour te presser de revenir. Pendant quelques secondes, tu restais devant la porte, te demandant quoi faire. Et finalement, tu te retournais et marchais sans rien dire vers elle, allant te rassoir à ses côtés. Tu ne disais toujours rien et prenais la tasse de café pour en boire une gorgée.
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