(borgia²) unstable

@Rosalia C. Borgia Tu détestes ton père de t'avoir fait un coup pareil. Comme si ça ne suffisait pas de te forcer à te rendre à cette soirée mondaine ce samedi 17 avril à New York pour représenter le nom Borgia, il a fallu qu'il décide d'y envoyer aussi Rosalia… Tu sais que c'est la propre peine que tu t'es infligée, tu t'es toi même infligée cette sentence, il y a quelques jours lorsque t'as appelé grand père pour l'informer que Rosie sortait avec un roturier. T'aurais juste pu prévenir son père ton oncle, il aurait fait la tête mais aurait accepté car lui, il veut votre bonheur peu importe avec qui. Mais grand père… grand père il avait déjà refusé Toni corps et âme et tu savais pertinemment que ce serait pareil avec Asher. Il n'y a avec que des hommes du même milieu social que votre famille qui saurait combler des filles comme vous, tu le sais tu l'as déjà expérimenté. L'aventure c'est sympa, mais c'est effectivement une aventure, pas une vie. Depuis l'aéroport, dans l'avion et jusqu'au hall du grand hôtel dans lequel se tient la soirée, pas un mot pas un regard. Ou sinon juste des regards noirs. Et enfin le masque arrive, le temps de saluer le monde ici, les connaissances de ton père, vous faire bien voir, être unies au reste du monde, ce que au fond, vous n'êtes plus du tout. "Mary, vous vous souvenez surement de Rosalia ?" tu lances joyeusement avec un sourire forcé lorsque tu présentes ta cousine à la femme à la tête d'une firme ici sur le continent américain.

New York. Borgia Cie. Et surtout Katalia. Lorsque mon grand père m'a contacté pour me convier à m'éclipser quelques instants avec @Katalia Borgia j'aurai cru le maudire. Mais aussi la maudire elle. Le temps calme entre nous commence de nouveau à s'agiter par les promesses qu'elle a su me faire pour briser mon couple. Donnant donnant, ou simple retour de bâton, je la détestais de ne pas vouloir mon bonheur malgré qu'elle se plaise à crier haut et fort que tout ceci était pour moi. Dans le taxi qui nous mène à la réception, le silence est d'or. Vêtue comme la famille Borgia l'aurait souhaité, classe et divine, un sourire figé aux lèvres pour une soirée mondaine que je n'aurai su louper, bien que mon côté rebelle aurait eu envie de contredire ma famille, la raison ne laissait plâner aucun doute que tout ceci m'avait terriblement manqué. Oui les paillettes, les robes de soirées, les cocktails et les familles de renoms. C'était mon monde, ma vie ! Sur cela Katalia et @Jayson King ne s'étaient pas trompés, là j'étais dans mon élément, heureuse d'être entourée de personnes influentes. On descend du taxi pour rejoindre le parvis, Katalia un pas devant comme la reine et moi la princesse qui la suivait, elle était après tout mon supérieur dans la société, mais qu'elle ne prenne pas trop ses aises, la riposte pourrait être plus hargneuse que jamais. Enchantée Mary ! Quel est le programme pour la soirée ? Formulais-je assurée et déterminée à représenter le plus dignement la famille. Sauf que brusquement mon téléphone vibre dans ma poche, l'attrapant alors que Mary nous mène à l'intérieur. Un message de mon grand père. Incapable de le lire pour l'instant bien trop peur de ce que ses mots pourraient encore m'apporter comme rebondissements. Tu ne crois pas qu'on aurait du venir à avec Ottis et un homme à mon bras, pour cette soirée Kat' ? C'est révolu le temps où nos coeurs étaient libres de voguer parmi les plus riches descendants de la société ... Cela m'aurait surement rassuré aussi de ne pas me retrouver seule avec et face à Katalia, son côté manipulateur à cet instant m'angoissait, peur de voir ce qu'elle alalit me réserver .

@Rosalia C. Borgia Ici et maintenant, ça à la saveur d'un bond dans le temps, d'un retour en arrière. Les soirées les mondanités, sur le sol américain il y a en a moins mais… il y a quand même. D'habitude, tu y vas seule, ou bien avec Ottis, cette fois c'est Rosalia qui t'a été collé dans les pattes. T'es dégoutée mais tu ne le montres pas. T'as envie de lui parler, une part de toi à aussi envie de lui expliquer, peut être même un peu de t'excuser… Mais c'est trop tôt. Pour l'instant tu prends juste le rôle de la grande méchante, comme elle l'avait prise pour toi l'an dernier au bal. T'aurais aimé laisser couler quelques jours voir quelques semaines mais il semblerait que ton père en ai décidé autrement en vous obligeant à y aller toutes les deux, ensemble. Suivant Mary à l'intérieur pour vous présenter à toutes les plus grandes têtes fortunées de la ville, tu vois du coin de l'œil Rosie regarder son téléphone. Tu fronces les sourcils, ignores son geste et seulement te tournes vers elle à ses mots "bien sur que non, il a mérité son repos hors de la fosse aux serpents." Ottis ne mérite pas d'être témoin de votre guerre froide. Au fond, c'est surtout qu'il n'aurait pas approuvé, tu le sais. T'as promis de ne plus le décevoir, alors tu ne pas le faire. Ce soir c'est juste les Borgia et sans filets, sans vrais filets, du moins. T'approches du bar, prends deux flutes et en tends une à ta cousine "une coupe ? elle n'est pas empoisonnée." tu tournes autour du pot, grands sourires et mots charmants. T'as besoin de jauger la température, voir dans quel esprit elle se trouve là avec toi.

Le grand gratin des US réunis dans cet hôtel pour une soirée digne de ce nom et personne de mieux pour m' accompagner que ma charmante cousine, ou le démon qui me sert de cousine. Parce que son côté angélique s'est envolé il y a quelques jours à présent et son machiavélisme a ressurgi pour mon plus grand malheur. En direction de l'intérieur de l'hôtel, Mary nous accompagne vers le buffet en attendant que les organisateurs n'ouvrent la soirée avec quelques mots. La dame nous laisse un instant seules, bonne ou mauvaise idée, je me force à lui faire la conversation. Je crois qu'il a déjà la pire des vipères chez lui, donc au moins il aurait pu voir de nouvelles personnes. Parce que oui c'est bien toi @Katalia Borgia qui ne supportant pas que je puisse être heureuse, ou loin de toi tu as semé ton venin une ultime fois. Portant mon téléphone, j'ouvre le sms de mon grand père, un sourire sombre se dessinant sur mes lèvres. Je le montre à la jeune femme qui fait la queen, preuve à l'appui que tu es la pire des Borgia. Que cette soirée dans TON monde te fasse revenir dans le droit chemin. La famille compte sur toi. Une seule phrase et je laisse en suspens la suite du sms, ces quelques mots qui me dégoûtent déjà. A la pire cousine qui existe ! A la briseuse de vie !   Je porte le toast en ne la quittant pas des yeux, venant faire tinter nos coupes dans un sourire glacial, à croire que la guerre était de retour ...  

@Rosalia C. Borgia Elle ne comprend rien, c'est clairement l'impression que t'as ici et maintenant. Tu forces le rire, beaucoup trop poli parce qu'il y a du monde autour de vous "il sera tranquille alors, loin de la vipère que je suis." C'était trop facile trop simple, alors t'as pas été cherché bien plus loin toi non plus. Son attention plongée sur le petit écran, elle redresse le nez et ton regard lui se baisse légèrement vers l'écran ou tu peux deviner le nom du contact même à l'envers "grand-père". Donc ça y est, ta bombe lâchée il y a quelques jours commence à faire son petit bout de chemin, à repartir du vieux continent pour revenir jusqu'à vous. Est-ce que tu regrettes d'avoir balancé l'information comme ça sur un coup de nerfs ? oui. est-ce que tu regrettes d'avoir pris la meilleure décision pour elle à sa place ? certainement pas. Car aussi compliqué que celui puisse paraitre, oui, tu l'as fait pour elle. T'es pas avec eux, tu ne connais pas leur intimité, mais t'es prête à mettre ta main ou couper que plusieurs fois sur le tapis est déjà revenu le fait que le monde de la Borgia paraisse complétement incompréhensible et oppressant aux yeux du jeune homme… La preuve, sinon il sera là ici ce soir avec vous. Rosalia aurait parlé de lui à la famille, elle ne l'aurait pas gardé tel un secret honteux au fin fond du placard. "au moins, moi je ne le fais pas avec un grand sourire sur les lèvres." tu lui lâches un clin d'œil forcé, référence à l'an dernier, au bal. "Richard ! ça fait un bail comment vas-tu ?" tu déportes ton attention de la brune sans préavis, attirant d'un regard, de la main et de mots chantants le grand brun, héritier comme vous mais sur le sol canadien. "qu'est ce que tu fais ici ? la dernière fois qu'on s'est croisés c'était… à Toronto, si je me souviens, quelle soirée. comment se portent les affaires ?" pas le temps de lui laisser en placer une que tu tires ton italienne de cousine par la taille. Elle frisonne tu le sens, elle n'est pas au bout de ses peines, à la guerre comme à la guerre. "je te présentes ma cousine Rosalia, elle étudie le commerce international comme toi si je me souviens bien." Sourire charmant et tes doigts qui appuient le plus discrètement possible dans le dos de la belle, pour la forcer à faire un pas vers lui.

Et moi aussi d'ailleurs quand tu seras loin je revivrais ... Tu pars quand d'ailleurs ? Parce que voir ton visage de traitre, ton sourire d'espiègle va un temps mais lorsqu'il dure trop longtemps c'est de mes mains que j'aimerais les étouffer. Trahir une Borgia était pire que tout. Et être trahie par une Borgia te faisait te sentir plus bas que terre. L'association des deux ici et maintenant en faisant le cocktail glacial qui se tramait entre @Katalia Borgia et moi. Une coupe de champagne à la main, alors que je laisse la tête bien portée et le corps bien allongé, faire semblant était une deuxième nature et bien que mes dents grincées entre elles de se serrer trop fort devant l'arrogance de ma cousine, le sourire ne voulait se défiger de mon visage. Portant de faisant distnguée la coupe à mes lèvres voilà que Katalia se faisait de nouveau présentatrice de rencontre. Je la regarde faire son numéro d'hypocrisie, que nous avions tant joué à la perfection durant des soirées et des soirées. Alors qu'elle me pousse vers lui, je la dévisage d'un regard, sa pression dans mon dos me fait m'embêler les talons que la coupe de champagne se renverse sur le parfait inconnu. Oh je suis navré ! Je tente de feindre une gêne quelconque bien que le je m'en foutisme m'anime, fuck Katalia et fuck les Borgia. Je vous hais à ce moment mêmet plus encore. Katalia tu pourrais m'attraper une serviette que je ne répare mes erreurs ... Car bon laver du linge sale en public cela a l'air ta spécialité, je vais tâcher de faire de même.   Jeu de mots bien placés, comme une promesse de ne pas trop me chercher si tu veux que cette soirée ne soit pas totalement un fiasco. Alors qu'elle s'éxécute comme pour me faire promettre de ne pas m'afficher ici, je me régale de l'avoir sous mon aile quelques instants, je savoure ! Enchanté en tout cas Richard ! Dans quel domaine sont vos affaires ? ... Attends je dirais le luxe ! En faire trop alors que j'essuie son costume, jouer la comédie et la séduction, tu veux jouer Borgia, on va jouer. Une main qui vient se poser sur l'épaule du jeune homme plutôt réceptif, j'en meurs de rire d'avance.

@Rosalia C. Borgia Les grands numéros d'hypocrisie ça vous connait. C'est toute votre enfance, adolescence et après, à vrai dire. C'était une douce illusion que de penser que les choses pourraient vrai-ment aller mieux entre vous ces derniers mois… Tu réalises que c'est pas juste une histoire de mec de copain, non non, ça va bien au delà de ça. Vos crasses perpétuelles, vos coups en douce, vos mots blessants, tout ça est irréversible et ne sera oublié, pour l'une comme pour l'autre. T'es triste de l'admettre et pourtant une part de toi veut plus que tout retrouver la Rosie de décembre. Noël en famille, ta main dans la sienne, paume son son épaule lorsque vous êtes retournées sur sa tombe… le nouvel an, les confidences, l'aide mutuelle, les mots doux les mots sincères. Tout ça te manque tu veux le retrouver, en fait tu veux juste son bonheur car elle a changé depuis des années, elle le mérite. Elle mérite d'être comblée et si elle doit te haïr un temps avant de l'être, qu'il en soit ainsi. Tu la connais par cœur, c'est ton double, ton reflet dans le miroir. Elle aurait beau dire tout ce qu'elle, tu le sais, comme au fond elle est pas pleinement heureuse. C'est comme si elle tentait de mentir à sa part d'ombre, à toi. Jeu de mots bien placé, tu ne retorques pas pour autant et joues à la fille parfaite "bien sur Rosie, je reviens." Tu t'approches d'un serveur pour lui souffler ta demande, attends sagement qu'il ne revienne avec une serviette humide en observant au loin ta cousine jouer à son petit numéro. Tu souris largement, fière de l'avoir fait mordre à l'hameçon et sors discrètement ton téléphone pour prendre une photo, on sait jamais ça peut toujours être utile. On t'apporte la serviette et tu reviens d'un pas décidé, faisant claquer tes talons hauts sur le marbre "et voici les amis !" tu passes un regard sur la main de ta cousine déposée sur l'épaule du canadien avant de continuer "whaouh, on dirait presque que je dérange, continuez continuez." Grand sourire hypocrite et rire cristallin avant de porter une gorgée à tes lèvres et te rapprocher du brun pour lui souffler comme un secret, les billes foncées plantées sur la pforzheimer "mon cher Richard, tu sais que je n'arrive toujours pas à admettre à quel point cette jeune femme est amoureuse. c'est dingue hin ? la vie est tellement pleine de bonnes surprises et d'aventures." léger rire avant de redresser le buste et planter ton regard vif dans celui de ta cousine pour répéter avec un ton narquois "a-mou-reuse."

L'hypocrisie Borgia était l'art d'être hypocrite en toutes circonstances ou le coeur ne pouvait pas se frayer un chemin pour se laisser aller. Non le coeur n'avait pas de place dans le monde des italiennes, il était bien souvent cadenassé et d'autant plus lorsque l'une et l'autre s'affrontait. Nous étions les mêmes, les deux mêmes faces d'une pièce, sans aucuns mystères l'une pour l'autre car à chaque coup bas les réactions de l'autre étaient prévisibles. Cela en devenait facile pour jouer, pour faire mal, pour abattre, pour affaiblir mais lorsque le jeu se retournait contre moi cela en était destructeur, ravageur, tel un ouragan elle connaissait les mots pour trancher, assassiner. Et damn qu'elle savait y être une Queen dans ce domaine, comme dans bien des domaines d'ailleurs ! Et ces dernières semaines en étaient le reflet, l'esquisse de ses meilleurs coups, de ses meilleurs atouts, qui pique le coeur de plein fouet, à tout rompre. Rompre le renouveau de complicté qui nous avait ralliée depuis septembre et l'avortement, puis après le kidnapping et la séquestration et les bons moments en Italie où sa simple présence avait pu faire taire les larmes de mes yeux qui auraient voulu pleurer ma maman, mon modèle, mon tout, cette femme qui s'en était allée un an auparavant, raflant tout le peu de sentiments humains, vivants. Suite au décès de ma mère, tous les espoirs avaient été redonné sur @Katalia Borgia, inconsciemment elle était la seule femme qui pouvait me tenir debout encore un peu, mais son souhait de me faire vaciller, m'effondrer était de nouveau devenu plus fort. Son sourire hypocrite encore qu'elle me lance avant de partir me laissant avec cet inconnu, au combien inintéressant, ou alors étais ce juste mon esprit de contradiction face à Borgia qui ne me donnait pas envie de le découvrir autrement que pour faire rager ma cousine. Faire semblant de le charmer pour donner les crocs à Kat', un jeu d'enfant, des rires bien placés, des sourires faussement affichés sur le visage, elle revient et je la voudroie du regard. Non tu ne déranges pas Katalia, bien au contraire, on était en train de parler du fait qu'il aurait préféré me rencontrer dès la première fois , tu vois histoire de loupé l'étape Katalia, inintéressante au possible ! Oui cela avait été plus difficile que prévue de me contenir, mais pour rattraper le coup je m'approchais de Kat' la prenant un instant dans les bras. Oh Richard on est comme ça entre cousine, bien trop proche et amie, on se cherche un peu tout le temps, c'est purement com-pl-ce !   Un sourire ravi aux lèvres, focus à la perfection. A son tour Kat' se rapproche et je la laisse jouer son petit tour de piste, alors que je prends une coupe pour la boire et lorsqu'elle insiste sur le mot amoureuse, j'avale de travers, me mettant à tousser à plein poumons. La saleté, comment ose t elle ? Toujours le même refrain, à croire qu'elle préférait me voir mal folle amoureuse de Edgar, brisée, apeurée, détruite, sans vie.

@Rosalia C. Borgia T'es pas dupe. A aucune seconde tu ne crois au petit numéro de théâtre que ta cousine est en train de t'offrir à cet instant, ni même au grand numéro qu'elle offre au monde depuis des semaines. Enfin… c'est plutôt ça le problème. Elle épuise cette histoire dans l'ombre, et vous avez eu beau passé énormément d'années séparées, tu la connais comme personne d'autre au monde. C'est facile, c'est ton double. Un reflet dans le miroir au regard glaçant. Une éducation et des principes similaires, et tu te souviens encore de ta propre expérience catastrophique, quand t'as cru que tu aurais le gout de l'aventure d'une vie lambda… un pur échec cuisant. Rosalia elle est comme toi, mais ça elle ne le sait pas encore. Au fond de ses yeux tu vois bien qu'il y a quelque, qu'elle ment à tout le monde, qu'elle te ment, mais avec le temps t'as réussi à contourner ses mensonges pour voir la vérité, comme elle-même sait si bien le faire avec toi. Tu reviens au niveau du binôme, pas peu fière du cliché que tu viens d'obtenir, tout sourire et guillerette malgré son attaque à champ ouvert. Le fameux Richard rit avant de rapprocher de toi, faisant mentir la belle italienne en affirmant qu'il avait été plus que ravi de te rencontrer la première. Ok ok, le piège dans lequel t'as tenté de la pousser est clairement en train de se refermer sur toi. Pousser Rosalia dans la gueule du loup, chercher à faire vaciller son couple c'est ok, mais faire ça avec la tien, c'est vraiment pas possible. Ca va trop loin et tu dois mettre un terme à cette mascarade avant de le regretter pour toujours. Tu laisses la belle manquer de s'étouffer à tes propos, avant de faire un pas vers elle et délicatement passer tes doigts sous son coude. "Richard, c'était un véritable plaisir de te croiser ce soir, mais je dois te piquer l'attention de cette belle brune, on doit parler de quelque chose d'important, tu connais bien ça toi aussi, les affaires n'ont pas de sommeil." Tu lui laisses à peine le temps de répondre que tu entraines Rosalia vers la terrasse accessible directement depuis l'immense hall de réception. "j'en ai marre des sous entendus, on doit parler Rosalia." tu lui lances en croisant les bras devant ta poitrine.