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Aidara + teach me how to fight, i'll show you how to win

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un dernier coup de rein avant le moment de jouissance. mes lèvres quittent les tiennes et je viens me laisser tomber sur le dos, en sueur. sourire qui nait sur mes lèvres avant de se transformer en petit rire. je file dans la salle de bain pour me nettoyer, reviens avec un boxer propre et une bouteille d'eau fraiche. « te rhabille pas tout de suite »  que je dis en débarquant dans la chambre. « déjà parce que t'es pas à l'abri d'un round deux et en plus parce que j'aime bien la vue »  que j'ajoute, petit sourire en coin de lèvre. je me pose sur le lit, te tend la bouteille d'eau avant de sortir un petit pochon de ma table de chevet et de me faire un petit rail de coke sur mon livre de politique international. mauvaise habitude du premier départ d'Aubrey qui est resté. heureusement pour moi, contrairement à elle, je suis pas tombé la tête la première dedans. je me contrôle, j'en prends pas tout le temps. je suis pas accro, mais quand je fais ça j'ai l'impression d'être prêt d'elle. « t'en veux ? » que je te demande dans une détente complète, pas peur le moins du monde que tu me dénonces.



  
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ultime soupir de satisfaction. la tête entre les moelleux oreillers, tu repris petit à petit ta respiration. en voyant aidan rigoler, tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour, t'accoudant contre le matelas tandis qu'il se levait pour aller dans la salle de bain. il se retrouva de nouveau à tes côtés quelques minutes plus tard, cette fois-ci habillé d'un caleçon. « t'en fais pas, je ne comptais pas me rhabiller, » lui répondis-tu d'un clin d'œil malicieux. « t'aurais encore la force pour un deuxième round ? t'es jamais fatigué putain, » rigolas-tu. après votre torride partie de jambes en l'air, tu te sentais endolorie de partout. tu savais pertinemment que si tu fermais les yeux, tu t'endormirais en quelques secondes. l'attraction était tellement forte avec ce garçon que tu te vidais de toute énergie, physique comme psychologique. c'était le premier mec qui te rendait ko alors que dieu seul savait que tu avais toujours été dotée d'une énergie débordante et indomptable. prenant la bouteille d'eau qu'il te tendait, tu pris une gorgée, posant la bouteille par terre. en te redressant, tu le vis se faire un rail de coke sur un livre qui devait lui servir à l'université. « sur tes bouquins d'harvard ? t'es vraiment barré toi, » gloussas-tu en te redressant. « j'passe mon tour, c'est pas mon truc, » déclaras-tu en descendant du lit. tu regagnas la salle de bain où tu t'installas pendant quelques instants sur les toilettes. tu te relevas tant bien que mal du siège. demain, tu aurais de sacrées courbatures, tu en étais persuadée. retournant dans la chambre, tu te glissas sous les draps, te tournant vers aidan. « tu consommes beaucoup de ces trucs ? » lui demandas-tu.
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c'est quand même fou d'être autant sur la même longueur d'onde. je veux pas d'une relation, je veux plus de ça. je crois que je suis clairement pas fait pour être en couple. je détruis tout ce que je touche. alors je préfère toucher uniquement pour une nuit, avant de détruire encore une vie. coucher avec toi, c'est déjà rompre une promesse. deux mêmes. celle de laisser Laïa s'en aller, alors coucher avec son sosie c'est pas la meilleure des idées. mais aussi celle de ne pas toucher une Dudley. j'ai promis à Sofia que je ne coucherais pas avec des filles de sa confrérie et en passant ma nuit avec toi, je manque à ma promesse. mais je suis Aidan Nesbitt, je prends ce que j'ai à prendre, en faisant du mal aux autres sur mon passage. raison de plus de me tenir loin de Sofia, pour ne pas lui briser le coeur encore un peu plus. « j'suis une machine. un round c'est pas assez pour moi. je te laisse te reposer avant de t'épuiser à nouveau » insatiable je suis. surtout depuis que je peux à nouveau baiser. j'ai eu un blocage après ma rupture, j'ai cru que ça ne fonctionnerait plus.. je mate tes fesses quand tu te lève pour aller à la salle de bain. putain qu'elle cul. une merveille. sourire aux lèvres quand tu me fais la réflexion que je suis taré d'utiliser mon bouquin de fac pour me faire mon rail. « faut bien qu'il serve à quelque chose non ? » nez que je pince en reniflant pour faire passer la poudre blanche avant de secouer la tête. pfiou, ça démonte la tête ce truc. « non, juste de temps en temps comme ça » j'ai pas cours demain, je peux me permettre de récupérer dans la journée. « t'es complètement anti drogue ? » que je demande par curiosité. histoire de savoir si t'es du genre à me balancer ou pas.



  
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tu étais vidée d'énergie, te donnant l'impression d'avoir couru un marathon de plus de cinquante kilomètres sans t'être arrêtée. mais non, tu avais tout simplement partagé un moment charnel avec aidan, qui s'avérait être le meilleur coup de toute ta vie. t'étais surprise de voir qu'il n'était pas plus que ça fatigué, carrément partant pour un deuxième round alors que de ton côté, tu ne sentais plus un bon nombre de parties de ton corps. « tu vas avoir ma mort sur ta conscience, » répliquas-tu d'un sourire. « mais sache que si un deuxième round se présente, c'est toi qui prendra cher, » lui lanças-tu avec malice. t'aimais prendre le contrôle sur un homme, le voir gémir sous tes mouvements agiles et tes performances hors norme. aidan avait l'air d'aimer dominer mais tu avais bien envie d'inverser la tendance. après avoir fait un rapide passage aux toilettes, tu te glissas sous les draps, regardant aidan se faire un rail de coke sur un livre qu'il utilisait pour ses cours. « moi qui pensais que tu étais un élève studieux, me voilà déçue, » déclaras-tu avec humour. tu acquiesças ses paroles. juste de temps en temps. était-ce la vérité ? t'en avais strictement aucune idée, mais le jeune homme était suffisamment grand pour faire ses propres choix. « non j'suis pas anti-drogue, c'est juste que ça ne m'attire pas, » répondis-tu. « j'ai une copine qui a détruit sa vie à cause de ses conneries donc ça m'a servit de leçon. » petit pincement au cœur en pensant à elle. « mais ce n'est pas parce que je ne consomme pas de drogue que j'suis pas décadente, n'est-ce pas ? » lui demandas-tu, les prunelles malicieuses.
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« ça va, ce serait une belle mort. mourir pendant un orgasme, je trouve ça plutôt sympa » je vais pas te faire le dessin des morts les plus atroces, alors franchement je trouve ça presque poétique comme mort. « "si" ? t'es déjà arrivée à ta limite ? dommage. » que je dis en souriant. « mais je veux vraiment voir ce que ça donne quand c'est toi qui prend les devant. » je suis dominant au lit, je le sais. dans la vie de tout les jours d'ailleurs. mais j'aime bien aussi quand une fille décide d'inverser les rôles et de prendre le dessus. petit rail de coke à même mon bouquin de politique international. il me sert pourtant, je suis à fond dans mes révisions, mais j'ai besoin de aussi de décompresser. même si prendre de la coke c'est pas franchement une super solution pour relâcher la pression j'en ai bien conscience. seulement c'est le moyen que j'ai trouvé pour allier ça et cette perpétuelle autodestruction dont je sais si bien faire preuve. Aubrey me manque, c'est la seule fa!on que j'ai trouvé pour être toujours au près d'elle. c'est con hein ? j'ai jamais dit que j'étais malin parfois. surtout pour ce genre de décision. les seules bonnes décisions que je prends, c'est celle qui concerne mon avenir professionnel. livre de cours que je repose sur ma table basse avant de m'installer sur le dos, tourne la tête dans ta direction, attrapant le drap pour le descendre un peu, histoire d'avoir une meilleure vue sur ta poitrine. « elle est ... ? » je devrais sans doute penser pareil, quand je vois ce que Aubrey est devenue à cause de cette merde. sombre, torturée. elle avait déjà des prédispositions mais là, ça a été la descente aux enfers. ta question me sort de mes pensées. « en effet. faut croire que t'as pas besoin de ça pour être une vilaine  fille » que je dis en souriant, rapprochant mon visage de ton cou pour le mordre.




  
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un deuxième round ? t'étais tellement claquée et courbaturée de partout que tu ne savais même pas comment est-ce que tu allais marcher droit demain. t'étais mi admirative mi effrayée par l'endurance du garçon. aidan était sans aucun doute le mec qui encaissait et le tenait le plus que tu avais rencontré. — ouais certes, mais mourir d'un orgasme lorsque j'aurai quatre-vingt ans. là j'suis trop jeune et trop jolie pour crever, répliquas-tu. t'imaginais parfaitement ta vie dans quarante ans, retraitée dans une sublime maison avec une décoration parfaitement bien accordée ainsi qu'un jardin fleuri, sans oublier le chien de sac à main. — j'suis pas arrivée à ma limite, mentis-tu en te redressant sur le lit. — j'sais juste qu'un deuxième round me rendra bien moins performante, c'est tout, assuras-tu, retirant l'élastique de tes cheveux, les laissant retomber doucement dans ton dos. — t'as jamais laissé une fille te dominer ? lui demandas-tu par curiosité. en vue de ces prouesses, t'étais persuadée qu'il en avait baisé des centaines. ça serait surprenant qu'aucunes d'entre elles n'aient osé inverser les choses. — elle est encore en vie, ne t'en fais pas, souris-tu légèrement. — elle fait des allers retours entre le centre de désintoxication et chez ses parents. dès qu'elle revient sur boston, elle jure aller mieux et bam, deux semaines après elle replonge et ses darons la renvoient là-bas. elle a vingt-deux et elle n'a rien fait de sa vie à cause de ces conneries, expliquas-tu en posant tes yeux sur la drogue qu'aidan possédait. tu rigolas lorsqu'il te mordit le cou, le repoussant légèrement. — justement, t'imagines si j'étais sous drogue ? putain j'serai siphonnée du cerveau, pouffas-tu.
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je sais même pas quelle âge tu as alors je me contente d'hocher la tête. parce que je m'en fou. pour être à la fac t'es forcément majeur, c'est tout ce qui m'intéresse. je voudrais pas être accusé de détournement de mineur et la probabilité pour que je nique LA meuf de 17 piges qui est en avance sur son parcours scolaire il est quand même faible. non ? oui ! tu te redresses, ton regard qui se plante dans le mien. putain qu'est-ce que tu lui ressemble.. je sais que t'es pas elle mais je peux pas m'empêcher de penser à Laïa quand je te vois. et je sais que c'est dégueulasse pour toi, parce qu'il y a une part de moi qui couche avec toi parce que tu lui ressemble et c'est pas juste pour toi, ni même pour elle. mais j'suis un connard non ? puis de toute manière tu le sais pas toi. et tu le saura jamais. tes cheveux que tu détaches, ma main qui glisse dans ton dos pour venir les caresser quelques secondes. « elles ont essayés. mais rare sont celles qui ont réussis très longtemps » alors essaie. tu me parles de ta copine accro et ça me fait quand même un petit pincement au coeur. c'est jamais agréable de savoir que quelqu'un nique sa vie. comme Aubrey avant qu'elle ne s'en aille, encore une fois. « si elle replonge c'est que y a une part d'elle qui veut pas être vraiment aidé » je crois ? j'en sais rien, je suis pas psy en vrai. mon visage qui s'approche de ta peau, mordille ton cou alors que toi tu me repousses légèrement. « héé » que je glisse doucement, revenant te mordiller un peu avant de me mettre à rire. « t'es déjà complètement barge meuf, si tu consommes on te perd. » que je dis en riant


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tu serais quelque peu surprise si aidan n'avait jamais laissé la possibilité à l'une de ses partenaires de prendre le dessus sur lui. aidan était bien l'unique garçon avec qui tu te montrais docile au lit. d'habitude, tu prenais les devants. tenir les rênes, c'était clairement ce qui te faisait apprécier l'acte mais au fur et à mesure, tu commençais à apprécier l'inverse. — le melon que t'as, soupiras-tu en levant les yeux au ciel. tu te calas confortablement contre les oreillers du lit, te tournant légèrement vers lui, laissant les draps sur ton corps dénudé. tu ressentis un léger pincement au cœur en mentionnant ton amie d'enfance qui était totalement accro aux substances illicites. t'avais l'impression qu'elle ne s'en sortirait jamais même si tu priais fortement pour qu'elle voit le bout du tunnel le plus rapidement possible. — en effet. ses parents la forcent à s'y rendre. elle n'a connu que ça : la drogue, vivre aux dépens de ses parents, se rendre en cure pour faire genre que tout va mieux ... elle ne capte pas que la vie ce n'est pas ça, expliquas-tu d'un haussement d'épaules. — mais bref, changeons de sujet. cette histoire me déprime bien trop pour que l'on s'éternise dessus, soupiras-tu d'un pâle sourire. alors que tu l'avais gentiment repoussé, aidan revint à la charge, mordillant ton cou. — t'es pas possible toi, t'exclamas-tu en te redressant, sourire amusé étirant tes lèvres pulpeuses. — heureusement que j'suis pas susceptible et que j'prends bien le mot barge, répliquas-tu après lui avoir donné une légère tape sur l'épaule. — tu parles de moi mais t'es pas mal dans ton genre. j'dirai que t'es plus mystérieux que timbré. te tournant vers lui, tu laissas l'une de tes mains caresser son torse. — à part ta ville de naissance, j'connais rien de toi. si ce n'est que tu es à la pfo, autrement dit la pire maison d'harvard, mais sinon t'as été assez discret. j'suis sûr que t'as des trucs croustillants à m'balancer, renchéris-tu avec malice.
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