Castiel & Robbin ✝ « So Let's Set The World On Fire ... »

Ven 22 Mar 2013 - 23:59

So Let's Set The World On Fire ...

Castiel feat Robbin.

Être en retard ? Ce n'est pas vraiment mon genre, j'ai même carrément horreur de ça, je trouve que c'est comme un manque de respect, mais là, pour ma défense, ce n'est pas du tout de ma faute. Mon sac sur l'épaule, je m'engouffre dans un taxi en direction du centre ville. Dans ma main, mon téléphone ne cesse de vibrer et de sonner. Machinalement je regarde l'heure avant de jeter un regard plutôt paniqué vers le conducteur. J'ai envie de lui qu'il dire qu'il se dépêche, mais je n'ose pas. Ce n'est pas dans ma nature. De toute façon, je suis déjà assez affreuse comme ça, pas besoin qu'il me voit aussi écarlate qu'une tomate juste parce que j'aurais eu le culot de lui dire d'appuyer sur le champignon. Un quart d'heure. J'ai un quart d'heure de retard. Castiel ne pourra jamais me pardonner cet écart. Au bout de dix longues minutes supplémentaires, la voiture s'arrête. Je règle ma course en vitesse avant de me retrouver sur le trottoir. Mes mains glissent sur la jupe que je porte pour la tirer très légèrement vers le bas afin de couvrir mes cuisses de quelques millimètres de tissus en plus. Les chaussures que je porte sont en train de me briser les talons, mais je ne m'arrête pas et j'arpente les allées. J'ai hâte de m'asseoir, mais je reste là à regarder tout autour de moi, à le chercher. Finalement, je l'aperçois, là, sur un banc. Il à l'air de faire la gueule. Sans que je ne m'en rende compte, une petite grimace se dessine sur mon visage. Ma démarche s’accélère et je viens poser mes fesses juste à côté de lui. « Désolé. » C'est la seule chose que je lui dis et pour appuyer mes excuses, voilà que je viens déposer un baiser furtif sur l'une de ses joues.

@destiny.

(Invité)

Dim 31 Mar 2013 - 13:29

So Let's Set The World On Fire ...

Castiel feat Robbin.

Si tu veux tu peux encore prendre du temps hein, j'ai glandé comme un bouffon 30 minutes ici, j'peux glander encore comme un con hein... Sa réaction ? Je m'y attendais. Je le connaissais presque par coeur et je savais très bien qu'il allait très mal prendre le fait que j'ai autant de retard. Une minute passe encore, mais une demi-heure, là ce n'était pas la même chose. Il gardait son air vexé sur le visage malgré que je vienne déposer un baiser sur l'une de ses joues après m'être excusé. Coupable. Je me sentais coupable et je ne savais même pas comment faire pour qu'il me pardonne ce petit écart. Lui dire que c'était de la faute d'Hendrix ? Hors de question. Je n'ai pas vraiment envie qu'il me fasse la morale sur un quelconque flirt avec l'un de ses potes. J'ouvre la bouche sans savoir quoi dire. Je l'observe ne sachant pas quoi faire pour qu'il me fasse rien qu'un sourire. Les secondes passent et, finalement je me contente de baisser la tête tout en bredouillant: « Ce n'est pas de ma faute, je te le jure. » Ce qu'il pouvait être impressionnant quand il était en rogne. Mes doigts se mettaient à jouer entre eux, comme ceux d'une gamine que l'on vient de gronder pour une futilité. Je remarque les mégots de clope tout autour de nous et machinalement voilà que je viens lui demander sur un ton de mère poule: « C'est à toi toutes ces choses ? » Il connaissait mon dégoût pour cette chose. D'ailleurs une petite grimace accompagnait ma question avant que je ne tente de lui faire la morale. « Tu fumes beaucoup trop, je te l'ai déjà dis. Donne moi celles qu'il te reste s'il te plait. » Je tendais l'une de mes mains devant lui tout en l'observant avec insistance de mes yeux clairs, d'un regard protecteur qui le faisait souvent plus rire qu'autre chose. Jouer les Wonder Woman ce n'était pas vraiment mon truc, mais lui il s'amusait bien à faire les Batman avec moi alors pourquoi je ne prendrais pas exemple sur lui.

@destiny.

(Invité)

So Let's Set The World On Fire ...

Castiel feat Robbin.

C'est pas ta faute ?... Prend moi pour un con Robbin Je baissais les yeux, une fois de plus. J’avais honte de l’avoir énervé de la sorte, mais je ne pouvais pas lui dire haut et fort que j’étais en retard à cause de Hendrix. Il m’en voudrait encore plus. J’ouvrais la bouche, in capable de dire quoi que ce soit. Les fesses posaient sur le banc, je me contentais de croiser mes bras sous ma poitrine, tout en posant mes pupilles sur lui de temps en temps. « Je te jure que ce n’est pas de ma faute, j’étais en train de travailler et je n’ai pas vu le temps passé. » Oh la menteuse que j’étais. C’était bel et bien la première fois que je mentais de la sorte, mais je ne pouvais pas lui dire la vérité, je ne voulais pas qu’il commence à me faire la morale concernant mes amourettes ou bien tout autre chose. Mes yeux se posaient sur des cigarettes qui étaient éparpillées tout autour du jeune homme. Telle une maman poule, je voulais prendre soin de lui, mais ma tentative était déjà un échec avant même que je n’ouvre la bouche et qu’il ne me réponde. Il a bien fallut que je m'occupe le temps que ton cul se pose sur ce banc non ? Oui enfin, il y a d’autre moyen pour s’occuper. T'es sérieuse là ? Bien entendu que j’étais sérieuse. D’ailleurs, je fronçais légèrement les sourcils, ma main toujours tendu devant lui, je lui faisais un petit signe de la tête pour lui indiquer que je ne rigolais pas et qu’il avait intérêt à me donner son paquet de cigarette et plus vite que ça. T'es pas ma mère à ce que je sache, elle est six pied sous terre ok... j'ai pas besoin de ta morale à deux balles... J’avais bien du mal à déglutir tout d’un coup. Je tournais la tête pour observer quelques gamins qui jouaient au loin. Je ramenais mes pieds vers moi pour les entourer de mes bras, comme si je voulais me protéger de quelqu’un, de quelque chose. « Tu n’es pas obligé de crier pour me parler tu sais et puis … je veux juste faire attention à toi, pas t’embêter ou quoi que ce soit. » J’étais plutôt susceptible. Je pleurais pour un rien.

@destiny.

(Invité)

Je n’étais pas une méchante fille. La preuve, malgré mon retard je ne pouvais cesse de me confondre en excuse. Bon d’accord, j’en faisais même peut-être un petit trop à chercher des réponses à chacune de ses questions, mais que voulez-vous je ne pouvais pas rester muette face à sa colère, je ne pouvais pas ne pas lui donner d’explication. T'as pas vu le temps passé.. bien sur t'as vu je te crois. Je baissais les yeux, ne sachant quoi répondre et je me contentais alors d’admirer le sol. Notre super rendez-vous étaient en train de se transformer en catastrophe. Je n’avais plus envie de parler et lui avait l’air d’avoir envie de m’arracher les yeux. En y pensant, un frisson me parcourait l’échine. Finalement, après quelques secondes je décidais de prendre la parole, de jouer les mères poules en lui faisant la morale sur quelque chose que je détestais au plus haut point, la cigarette. Je lui ordonnais même de me donner son paquet, il refusait bien entendu, mais n’y allait pas avec le dos de la cuillère pour me faire comprendre que je n’avais aucune leçon à lui donner. Susceptible comme pas deux, je venais me recroqueviller sur moi-même et je n’osais plus le regarder. Ça me gave juste que tu me fasse la morale sur ça p'tin... Et en plus de ça, il était grossier. Je ne levais pas la tête un seul instant. Il me faisait peur. A mes côtés, je pouvais le sentir bouger et quelques secondes plus tard, à peine, il venait s’accroupir à côté de moi, essayant de capter mon regard. Je suis un grand garçon Bibi.. Il était bien plus calme tout d’un coup. Il ne me rassurait pas tellement, mais avait tout de même le don de m’apaiser. Je levais très légèrement les yeux vers lui et d’une voix voilà que je venais dire : « Un grand garçon qui fait des bêtises alors. » Je l’enviais presque de faire tout ce qu’il faisait lorsque moi je n’osais pas faire le quart de ce qu’il avait eu l’occasion de faire en une soirée.

(Invité)

† Konrin †

So Let's Set The World On Fire ...

Robbin était juste la fille adorable par exception, elle n'était pas une Quincy pour rien, sérieusement, considérez la comme l'ange et moi le démon, je vous assure que je ne comprend pas pourquoi elle et moi sommes si proches alors que elle et moi sommes si différents. Du fait qu'on soient si proches, je la connais comme un livre ouvert, je sais qu'elle est en retard et pas parce qu'elle n'a pas vu le temps passé en bossant, la raison était toute autre, je n'étais pas devin, je ne la connaissais pas cette raison mais pourquoi avait-elle ressenti le besoin de me mentir ? Avait-elle quelque chose à me cacher ? Je n'en savais rien du tout, je ne comprenais même pas. Je lui en faisais voir de toute les couleurs, lui parler froidement, je m'acharnais contre elle comme si je la détestais alors que non c'est tout l'inverse, cette fille je l'adore, j'ai beau être un véritable connard, je l'adore mais je le montre rarement, elle le sait que je suis loin d'être le genre de type à montrer ses sentiments. Elle joue les mères poules, elle déteste que je fume, elle ignore que je me drogue et que je deal, je crois que ça la tuerait de savoir ça alors ça reste cacher, aussi longtemps que je le pourrais, et je m'acharne encore contre elle car je suis énervé, elle en prend plein la gueule, elle est susceptible, je le sais mais je m'en fou. La voilà à coller contre elle ses genoux et de les entourer de ses bras, elle restait à présent dans le silence, trop c'était trop, je m'en rendais maintenant compte, j'avais été un peu trop dur avec elle, je me levais pour m'accroupir devant elle et capter son regard, lui dire que j'étais un grand garçon, que je pouvais me débrouiller seul, après l'avoir engueuler je voulais la rassurer, même à lui lâcher un faible sourire du coins des lèvres quand sa petite remarque sortait des siennes Voilà c'est ça... je prenais ses mains dans les miennes et je traversais son regard.

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Nous vivions dans deux mondes totalement différents. Si je connaissais, et s’il connaissait, le mien sur le bout de doigt, je ne savais pas grand-chose lui. Par exemple, si je connaissais son addiction à la nicotine et à ce milieu, un peu noir, de la nuit, j’ignorais totalement qu’il pouvait être capable de s’entrainer dans des trafics de drogue plus dangereux les uns que les autres. D’ailleurs, je ne préférais savoir de lui que le strict minimum. J’avais bien trop peur de la vérité, même si je n’étais pas si naïve que ça et que je me doutais bien de certaine chose. Il n’y avait qu’à écouter ce qui se disait dans les couloirs pour savoir tout ce qu’il faisait de son temps libre. Pourtant, je n’étais pas adepte des ragots, mais lorsqu’il s’agissait de lui, je ne pouvais pas m’empêcher d’écouter, de peur qu’il ne lui arrive quoi que ce soit. Et pourtant, malgré toutes mes recommandations, qui il faut l’avouer n’était pas là pour l’embêter, mais uniquement parce que je me souciais de sa santé, il ne cessait de me hurler dessus pour un petit retard qui, en plus n’était pas vraiment de ma faute. Il me faisait peur soudainement et dans le but me de me créer une carapace, je ramenais mes jambes vers moi pour les entourer de mes bras. Je n’osais même plus le regarder. Finalement, calmement il venait s’accroupir devant moi, essayant de capter mon regard et m’assurant qu’il était un grand garçon, me faisant comprendre qu’il n’avait pas besoin de mes conseils et qu’il pouvait se débrouiller tout seul. Je lui répondais alors qu’il était un grand garçon qui fait tout plein de bêtise et sa réponse ne tardait pas à se faire entendre : Voilà c'est ça... Il s’emparait de mes mains pour les prendre dans les siennes alors qu’il laissait son regard traverser le mien. Vous connaissez mes rapports avec les hommes. Vous savez que je ne suis pas vraiment habitué à ce genre de chose. Du coup, sans pourtant bouger d’un centimètre, laissant mes mains dans les siennes, je baisse à nouveau la tête et je n’arrive pas vraiment à contrôle mes joues qui tournent très légèrement au rouge. Pour éviter qu’il se ne focalise sur la couleur de mes pommettes, je me décide à ouvrir la bouche : « Mais tu … peux au moins essayer de diminuer ta consommation … pour moi non ? » Ce que je lui demandais c’était un petit peu risquait, voire même bizarre, mais étant donné que nous étions assez proche, il pouvait tout de même me faire cette faveur.

(Invité)

† Konrin †

So Let's Set The World On Fire ...

Elle et moi étions sur deux planètes différentes, j'étais le mec à problèmes, toujours à s'attirer des ennuis et elle la fille sage et douce, toujours là pour ceux qu'elle aime, sa vie passe après ceux des autres, non franchement, je l'admire, et dire qu'avant j'étais comme elle, un garçon sage, sans soucis, mais c'était il y a si longtemps, que pour moi ce n'est que fantômes. Elle "tait toujours là pour me faire sa petite leçon de morale, me dire ce qui est bien et ce qui n'est pas bien, toujours à me remettre sur cette ligne de conduite, tout faire pour que je ne dérape pas, je lui en fou souvent plein la gueule mais elle tient bon et c'est ça que je trouve si unique chez elle, elle est si fragile et si faible et elle me tient tête. Encore là, je venais à l'agresser comme il le fallait car j'étais en colère qu'elle m'est fait poiroter 30 min, elle s'en prenait plein la gueule et je voyais bien que ça la blessait, elle se recroquevillait sur elle-même, en temps normal j'en aurais rien eu à faire mais c'était Robbin et avec Robbin, c'est spécial entre nous. Je venais m'accroupir devant elle, la rassurer, je venais prendre ses mains dans les miennes et capter son regard, un regard qui se baissa en peu de temps, elle n'était pas à l'aise, les garçons et elle ça ne l'a jamais trop fais et je voyais que même avec moi ça ne le faisait pas trop. Elle sortait tout de même quelques mots Je vais faire un effort alors... pour toi et par ces mots je venais lui donner mon paquet de clopes tout en la regardant, et lui souriant.

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