HORACE DAWSON
date de naissance
17 octobre 1996
lieu de naissance
Bristol
nom
DAWSON
prénom(s)
Horace
nationalité(s)
anglaise
origine(s)
françaises, américaines, russes
orientation sexuelle
hétéro
statut amoureux
célibataire
statut social
pauvre à tendance galérien
travail
homme de ménage pour la clinique Rylon, et la nuit dans des draps autres contre quelques billets - sous le contrôle de reine Lyra
— La liberté au bout des doigts, et les décisions prises sur un coup de tête. Que ça soit pour embellir la peau ou pour se lancer dans des activités douteuses. Accroché à une locomotive, Horace se refuse à crever sur place, à se laisser enterrer dans un quotidien morose. Il veut rajouter de la couleur, des histoires, des belles, à sa vie. Toujours prêt à se lancer dans de nouvelles expériences, Boston est sa nouvelle chance.
solaire le corps danse et la langue suit, la gorge gueule et le rire se déploie. La voix porteuse, frappe contre les murs gris. Toujours prêt à se laisser aveugler par les lumières et assourdir par le fracas des basses. Ses rayons attirent facilement les plus abimés. ● optimiste, puisqu’Horace refuse les ombres et les nuages. Il ne les voit qu’à peine, d’ailleurs. Montrez-lui un orage, et regardez-le admirer les éclairs ● complexé par ses études ratées, par ses écrits mélangés, par cette dyslexie qui le fait écrire en vrac. Se croit plus idiot que la moyenne, rêve d’Harvard, mais n’est capable que de dessiner la porte d’entrée. ● talentueux quand il prend un crayon pour faire autre-chose que rédiger. Dessine, surtout des portraits. Surtout des âmes ● imprévisible électron instable, pas convaincu du monde ni de sa propre personne, il vit au jour le jour, tout en ayant des rêves qui le dépassent ● fantasque, sa peau se revêt de vêtements colorés, dits féminins ou masculins, ses ongles se colorent, ses cheveux sont une œuvre à eux seuls. Les tatouage, une étrange fresque, dessinés à coup de décisions irréfléchies ; morceaux griffonnés sur la peau puis enfoncés à coups d’aiguille. ● utopique pas engagé, tellement il ne pense pas cela nécessaire. Ferme les yeux sur ce qui ne marche pas dans le monde, et piétine les moqueries sur son passage. Homme blindé par les rictus d’en face. Pas assez grand, pas assez musclé, pas assez viril, trop féministe. Revanche d’un homme qu’on désire, désormais. ● empathique le cœur sain, et la gentillesse en drapeau. La belle gentillesse, celle qui est rare. L’idiot qui écoute et oublie de se confier. Son amitié est multiple, généreuse et loyale. ● impudique le corps en œuvre d’art, exposée à ceux qui veulent s’y frotter. Sa peau est donnée contre quelques billets aux femmes désireuses. Agées, parfois - souvent. Il aime leur compagnie délicate et se captive de leurs récits de vie. Se laisse entretenir, quand le compte en banque est insuffisamment rempli. Aime gratuitement, quand en face le corps ou l’esprit a été irrémédiablement abimé. ● maladroit ses prestations sont tarifiées, si bien qu’il se perd quand elles ne le sont pas, et quand il faut séduire. Peu doué dans l’art de déclarer ses intentions, et clairement conscient que ses activités ne sont pas compatibles avec une relation durable. ● féministe homme captivé par les femmes et leurs complexités, persuadé que le monde tournerait mieux, si seulement on leur confiait les rênes ● autodestructeur dans sa consommation d’alcool, de drogues, de rêves loupés. S’il aime les autres ; son ombre, beaucoup moins.
We are golden –
Les prunelles s’ouvrent. Elles sont bleues, vertes, dorées ou marrons selon ceux qui défilent devant le petit être. Parait qu’il est déjà frêle, à peine né. Parait que cette remarque va continuer à le suivre tout le long de sa vie. Les paupières battent vite ; ailes de papillon. Les doigts vont partout, s’accrochent aux boucles des cheveux et aux plis des tissus. La voix porte, et ça sonne déjà faux. C’est peut-être ça qui l’a fait fuir, le patriarche. Bethany et Richard s’engueulent. Le jour de la naissance, le lendemain, et tous les jours jusqu’à abandon. Il faudra cinq ans, et la naissance d’Eleonore, de cinq ans donc -faut suivre- la cadette d’Horace, pour que le cœur de lion s’échappe du tableau. Comme ça. Comme s’il avait analysé pendant des années la meilleure manière de s’enfuir de cette jolie peinture bruyante, puis avait décidé que la seule valable, était de se barrer par le premier bus quittant Bristol. Epuisé d’une vie qui n’était pas celle qu’on rêve quand on est gosse. Musicien raté, poursuivant ses chimères jusqu’à ce foutu bus rouillé. Rouge, le bus. Dégage de l’histoire, et n’y reviendra plus jamais. L’héritage réside en ces prunelles dont on est toujours pas foutu de déterminer la couleur, les années passant. Bethany tranchera pour le bleu, et Eleonore, elle, milite pour le vert. Horace, lui, ne voit parfois que de l’or.
Who run the world? Girls ! –
L’image paternelle s’imaginant de nouveaux décors dans le reste du monde, le pilier féminin s’ancre davantage dans le sol anglais. Fragile, elle y tente de nouvelles racines, multiplie les conquêtes qui ne restent pas. Dévoile aux deux gosses, trop rapidement et trop tôt, que les relations finissent mal, en général. Mais, les êtres sont heureux dans cette maison modeste. Maison qui deviendra un appartement, quand les charges deviendront trop lourdes et le salaire trop modeste pour la simple couturière. De génie, pourtant. Les tissus colorés couvrent les peaux des gamins, curieux mannequins aux rires communicatifs. Qui se multiplient et tapissent les murs gris. Créateurs de lumières, Bethany s’en inspire pour créer ses collections et les proposer aux boutiques. Le rêve, un jour, d’ouvrir la sienne. Le rêve, un jour, d’offrir autre-chose que des chutes rapiécées en guise de vêtements. Ici, chez les Dawson, on a pas grand-chose, mais on en fait des merveilles. On s’coupe les cheveux soi-même, et, puisque c’est souvent catastrophique, on laisse pousser les boucles. On se moque des modes et du bon gout parfois. On défile, on danse, dans le salon et debout sur la cuvette des toilettes. On s’marre et on apprend l’amour des femmes. Le respect et la gentillesse. La vraie, la pure, celle qui fleurit le cœur et apaise les mots. On provoque quelques larmes en face, qu’on efface d’une fossette qui se creuse dans la joue.
Read all about it –
La gamine est brillante, le plus grand -pas si grand parait-il-, moins. C’est qu’on a vite compris dans la famille, que les chemins ne sont beaux que lorsqu’ils sont escarpés. Et comme ils dansent beaucoup ces trois idiots, leurs silhouettes apprennent à virevolter au-dessus des embuches. A trébucher avec grâce. Quand ce sont les mots qui se mélangent, les lettres qui s’échangent, on laisse d’abord le temps faire son œuvre. Mais le temps ne suffit qu’à faire prendre encore du retard. Redouble une, puis deux classes. On se voulait ambitieux ; on révise ses rêves. La dyslexie devient un terme trop souvent prononcé autour du gamin se muant en adolescent. Pas assez suivi, manque de connaissances, de moyens. Puis, on abandonne. Horace obtient son General Certificate of Education - Advanced Level sur le fil, et se met à dessiner avec les lettres. Puisque les mots ne veulent s’ordonner, les courbes, elles, sont plus disciplinées. Les échecs scolaires cantonnent pourtant l’apprenti artiste à sa chambre, couverte de portraits et dessins abstraits. Sa peau, plus tard, tout aussi décorée que ses murs.
American dream –
Boulot minable, salaire minable, routine étouffante. La soupape faite des deux femmes de sa vie ne suffit plus. Harvard, dont le drapeau est accroché au-dessus de la porte de la chambre, comme un rêve avorté. C’était son bus à lui. Horace. Vous savez que c’est un poète ? C’est quand même du beau foutage de gueule de s’appeler comme ça quand on est pas foutu d’en écrire un, de poème. Alors il faut partir. Se rapprocher du rêve pour en sentir les rayons, se dorer la pilule près d’un soleil qu’on arrive pas à apprivoiser. Ne pas parvenir à rentrer à Harvard, dossier si peu brillant. L’esprit, pourtant, l’est. Mais il ne parvient pas à s’exprimer. Alors, juste s’en approcher. Dire aurevoir, et rêver d’un Eldorado à Boston. Tout quitter, trouver des petits boulots là-bas. Rêver. Continuer à rêver. Dessiner. Envoyer quelques dollars à Bristol quand le salaire est meilleur. Se rappeler combien la présence des femmes est réconfortante, et se faire payer pour ça, quelques nuits par mois. Puis plus, quand Lyra croise sa route. Les femmes riches, qui ne demandent que la présence délicate de l’exubérant. La lecture après la sueur ; et les poèmes, enfin. Horace, finalement, ce n’est pas si mal.
Les prunelles s’ouvrent. Elles sont bleues, vertes, dorées ou marrons selon ceux qui défilent devant le petit être. Parait qu’il est déjà frêle, à peine né. Parait que cette remarque va continuer à le suivre tout le long de sa vie. Les paupières battent vite ; ailes de papillon. Les doigts vont partout, s’accrochent aux boucles des cheveux et aux plis des tissus. La voix porte, et ça sonne déjà faux. C’est peut-être ça qui l’a fait fuir, le patriarche. Bethany et Richard s’engueulent. Le jour de la naissance, le lendemain, et tous les jours jusqu’à abandon. Il faudra cinq ans, et la naissance d’Eleonore, de cinq ans donc -faut suivre- la cadette d’Horace, pour que le cœur de lion s’échappe du tableau. Comme ça. Comme s’il avait analysé pendant des années la meilleure manière de s’enfuir de cette jolie peinture bruyante, puis avait décidé que la seule valable, était de se barrer par le premier bus quittant Bristol. Epuisé d’une vie qui n’était pas celle qu’on rêve quand on est gosse. Musicien raté, poursuivant ses chimères jusqu’à ce foutu bus rouillé. Rouge, le bus. Dégage de l’histoire, et n’y reviendra plus jamais. L’héritage réside en ces prunelles dont on est toujours pas foutu de déterminer la couleur, les années passant. Bethany tranchera pour le bleu, et Eleonore, elle, milite pour le vert. Horace, lui, ne voit parfois que de l’or.
Who run the world? Girls ! –
L’image paternelle s’imaginant de nouveaux décors dans le reste du monde, le pilier féminin s’ancre davantage dans le sol anglais. Fragile, elle y tente de nouvelles racines, multiplie les conquêtes qui ne restent pas. Dévoile aux deux gosses, trop rapidement et trop tôt, que les relations finissent mal, en général. Mais, les êtres sont heureux dans cette maison modeste. Maison qui deviendra un appartement, quand les charges deviendront trop lourdes et le salaire trop modeste pour la simple couturière. De génie, pourtant. Les tissus colorés couvrent les peaux des gamins, curieux mannequins aux rires communicatifs. Qui se multiplient et tapissent les murs gris. Créateurs de lumières, Bethany s’en inspire pour créer ses collections et les proposer aux boutiques. Le rêve, un jour, d’ouvrir la sienne. Le rêve, un jour, d’offrir autre-chose que des chutes rapiécées en guise de vêtements. Ici, chez les Dawson, on a pas grand-chose, mais on en fait des merveilles. On s’coupe les cheveux soi-même, et, puisque c’est souvent catastrophique, on laisse pousser les boucles. On se moque des modes et du bon gout parfois. On défile, on danse, dans le salon et debout sur la cuvette des toilettes. On s’marre et on apprend l’amour des femmes. Le respect et la gentillesse. La vraie, la pure, celle qui fleurit le cœur et apaise les mots. On provoque quelques larmes en face, qu’on efface d’une fossette qui se creuse dans la joue.
Read all about it –
La gamine est brillante, le plus grand -pas si grand parait-il-, moins. C’est qu’on a vite compris dans la famille, que les chemins ne sont beaux que lorsqu’ils sont escarpés. Et comme ils dansent beaucoup ces trois idiots, leurs silhouettes apprennent à virevolter au-dessus des embuches. A trébucher avec grâce. Quand ce sont les mots qui se mélangent, les lettres qui s’échangent, on laisse d’abord le temps faire son œuvre. Mais le temps ne suffit qu’à faire prendre encore du retard. Redouble une, puis deux classes. On se voulait ambitieux ; on révise ses rêves. La dyslexie devient un terme trop souvent prononcé autour du gamin se muant en adolescent. Pas assez suivi, manque de connaissances, de moyens. Puis, on abandonne. Horace obtient son General Certificate of Education - Advanced Level sur le fil, et se met à dessiner avec les lettres. Puisque les mots ne veulent s’ordonner, les courbes, elles, sont plus disciplinées. Les échecs scolaires cantonnent pourtant l’apprenti artiste à sa chambre, couverte de portraits et dessins abstraits. Sa peau, plus tard, tout aussi décorée que ses murs.
American dream –
Boulot minable, salaire minable, routine étouffante. La soupape faite des deux femmes de sa vie ne suffit plus. Harvard, dont le drapeau est accroché au-dessus de la porte de la chambre, comme un rêve avorté. C’était son bus à lui. Horace. Vous savez que c’est un poète ? C’est quand même du beau foutage de gueule de s’appeler comme ça quand on est pas foutu d’en écrire un, de poème. Alors il faut partir. Se rapprocher du rêve pour en sentir les rayons, se dorer la pilule près d’un soleil qu’on arrive pas à apprivoiser. Ne pas parvenir à rentrer à Harvard, dossier si peu brillant. L’esprit, pourtant, l’est. Mais il ne parvient pas à s’exprimer. Alors, juste s’en approcher. Dire aurevoir, et rêver d’un Eldorado à Boston. Tout quitter, trouver des petits boulots là-bas. Rêver. Continuer à rêver. Dessiner. Envoyer quelques dollars à Bristol quand le salaire est meilleur. Se rappeler combien la présence des femmes est réconfortante, et se faire payer pour ça, quelques nuits par mois. Puis plus, quand Lyra croise sa route. Les femmes riches, qui ne demandent que la présence délicate de l’exubérant. La lecture après la sueur ; et les poèmes, enfin. Horace, finalement, ce n’est pas si mal.
pseudo GLEEK!
âge Beaucoup trop maintenant
nationalité Francaise
forum connu par... Moi-même, depuis quelques temps maintenant
ILH, j'en pense quoi ? Que j'viens de renier mes principes sur les quatrièmes comptes pour lui.
autres comptes ? @Jasper O. Ellington @Alexis Callaghan @Billie O'Malley
avatar utilisé Timothée Chalamet
crédits images ethereal
nombre de mots par rp Ca change tellement d'un rp à un autre, qu'il est compliqué de faire une moyenne.
type personnage inventé
code métier
city center - clinique pédiatrique et obstétrique rylon + Homme de ménage :
âge Beaucoup trop maintenant
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(Horace Dawson)
the broken
l'enfant terrible a les bras écorchés par les ronces, il n'a pas peur de l'orage, sur sa route tous les feux sont oranges.