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good time | @Louve Perol
Les émotions se fondent instinctivement dans chaque matériau que tu travailles, d'autant plus lorsqu'il s'agit de la pierre. Élément que tu façonnes du bout de tes dix doigts toujours de l'esprit vers le noyau brut comme le ferait un peintre avec sa toile. Les ressentiments n'ont de place que lors de ses heures précieuses de passion où tu laisses s'exprimer cette facette artistique que tu ne déclines que sous l'ombre, jamais sous la l'astre du jour. Cela te rappelle sans réellement le vouloir, cette mère que l'on t'a arraché trop rapidement. Le fond sonore musical d'un air de jazz diffuse alors une ambiance d'un tout autre temps souligné par la solitude du grand logement qui est aujourd'hui une colocation. Un peu plus tôt dans l'après-midi, tu as proposée à Louve de passer car tu sais que la laisser seule ne referait que ressasser les inquiétudes, les interrogations qu'elle ne cesse de se poser en boucle. Passer un peu de temps avec ta meilleure amie te ferait du bien, surtout que vous n'avez pas eu réellement temps de vous voir au spring break. Les deux mains parsemées de poudre de pierre, tu entends que l'on sonne à la porte, l'aboiement de Roscoe, ton golden retriever de quelques mois confirmant l'arrivée de la Perol. Tu saisis un torchon, puis quitte tes quartiers avant de descendre les escaliers pour aller ouvrir la porte principale. « Pile à l'heure, mais ça ne m'étonne pas de toi. ». Tu la considères d'un clin d'oeil avant de la laisser entrer tout en déposant un baiser sur sa joue. « Vas-y entre, je file me changer et j'arrive. Fais comme chez toi. ». Tu fermes la porte derrière la jeune femme puis remonte afin d'aller te changer rapidement. Bien évidement, Roscoe est aussi présent et cette fois le petit chiot a réussi a descendre les escaliers tout seul.
Les émotions se fondent instinctivement dans chaque matériau que tu travailles, d'autant plus lorsqu'il s'agit de la pierre. Élément que tu façonnes du bout de tes dix doigts toujours de l'esprit vers le noyau brut comme le ferait un peintre avec sa toile. Les ressentiments n'ont de place que lors de ses heures précieuses de passion où tu laisses s'exprimer cette facette artistique que tu ne déclines que sous l'ombre, jamais sous la l'astre du jour. Cela te rappelle sans réellement le vouloir, cette mère que l'on t'a arraché trop rapidement. Le fond sonore musical d'un air de jazz diffuse alors une ambiance d'un tout autre temps souligné par la solitude du grand logement qui est aujourd'hui une colocation. Un peu plus tôt dans l'après-midi, tu as proposée à Louve de passer car tu sais que la laisser seule ne referait que ressasser les inquiétudes, les interrogations qu'elle ne cesse de se poser en boucle. Passer un peu de temps avec ta meilleure amie te ferait du bien, surtout que vous n'avez pas eu réellement temps de vous voir au spring break. Les deux mains parsemées de poudre de pierre, tu entends que l'on sonne à la porte, l'aboiement de Roscoe, ton golden retriever de quelques mois confirmant l'arrivée de la Perol. Tu saisis un torchon, puis quitte tes quartiers avant de descendre les escaliers pour aller ouvrir la porte principale. « Pile à l'heure, mais ça ne m'étonne pas de toi. ». Tu la considères d'un clin d'oeil avant de la laisser entrer tout en déposant un baiser sur sa joue. « Vas-y entre, je file me changer et j'arrive. Fais comme chez toi. ». Tu fermes la porte derrière la jeune femme puis remonte afin d'aller te changer rapidement. Bien évidement, Roscoe est aussi présent et cette fois le petit chiot a réussi a descendre les escaliers tout seul.
:copyright: lumos solem.
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