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 | Ethan Alban Kovalevski fiche; terminée C'est le 7 novembre 1990 à London, que la famille Kovalevski m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Ethan Alban. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuivre des études à Harvard en droit et politique depuis maintenant 3 ans je travaille comme barman au Lord Hobo. Et pour terminer, je fais partie des Dunster House. |
Études Quand Ethan était au lycée, il a eu l'occasion de faire un stage avec un sénateur, père d'un ami. Déjà à ce moment-là, le métier lui avait paru très intéressant et tout le monde lui disait qu'il avait d'excellentes idées, qu'il pouvait aller loin dans la vie. Alors s'inscrire à Harvard avec un cursus qui avait toutes les chances de l'emmener vers cette voie était normal. Le droit tout d'abord parce que tout homme politique se doit d'avoir fait du droit, d'avoir autant d'informations que possible sur les lois. Et avouez-le, c'est classe comme études. Dur mais classe. Politique comme second cursus, logique n'est-ce pas ? La plupart des gens trouvent ça incroyablement chiant mais lui, il aime ça. Ainsi, il est prêt pour sa future grande carrière d'homme politique. A côté de s études, il a bien sûr besoin d'argent. Et comme il aime allier plaisir et nécessaire, il est devenu barman au Lord Hobo, le meilleur bar du coin. Et avec tout ça, il a encore le temps de sortir et de réussir mses études brillament. Oui, il est intelligent en effet ! | Caractère Les insultes qui reviennent le plus souvent pour le beau brun sont salaud, connard, sans coeur... Et vous savez quoi ? Tout est vrai. Il n'a pas de relation amoureuse suivie, il n'a pas de sentiments en fait. Il prend une fille pour la jeter aussi vite qu'il la séduite et il se fiche de la réputation que ça lui donne. Il est méchant pour le plaisir, pour voir la tête humiliée et brisée d'une fille qui espérait naïvement qu'il ne lui mentait pas. Arrêtez d'espérer, Ethan restera probablement sûrement le salaud qu'il est depuis longtemps, ce ne sera pas votre joli sourire qui va changer les choses. Ethan aime draguer, jouer avec une femme avant d'arriver à coucher avec elle. Il aime presque autant la phase de séduction que l'acte en lui-même. Sinon, Ethan est arrogant, sûr de lui et malpoli. Bien sûr, il sait rester courtois quand il le faut mais dès qu'il n'en a plus besoin, il ne se gène pas. Il est très intelligent, il possède une mémoire impressionnante et il aime s'en vanter. Il n'hésite pas à rabaisser les gens qu'il considère moins intelligents que lui - c'est-à-dire presque tout le monde. Le brun aime faire la fête, s'amuser mais avec modération en général. Il boit pas mal, fume de temps en temps, cigarettes ou joints mais ne touche pas aux drogues plus dures pour avoir déjà vu les dégâts que ça pouvait causer. |
Everyone Has Their Own Story
Au lycée, je rencontrais ma première petite amie, une jolie blonde gentille et folle amoureuse de moi. Quand j’y repense, ce qu’on pouvait être niais ensemble. Je lui donnais tout sans pouvoir lui dire sincèrement que je l’aimais. La vérité, c’est que j’étais seulement amoureux de l’idée d’avoir une copine. C’est pourquoi je ne restais pas longtemps avec elle, brisant ce cœur amoureux dès que je rencontrais une nouvelle fille. Je découvrais des plaisirs différents, m’amusant sans jamais réussir à m’attacher. Au fur et à mesure, ça devint un jeu avec un ami, qui briserait le plus de cœurs ? Jeu entre deux adolescents qui découvrent les joies de la vie sexuelle. Je commençais à sortir de plus en plus souvent, découvrant un tout autre monde que celui auquel j’étais habitué. Et c’est pendant cette soirée que je la rencontrais. Celle qui changerait tout. Reagan. La première soirée que nous passions ensemble, elle était déjà bien droguée quand j’arrivais. Peu de paroles échangées, une envie commune, ça finissait rapidement dans la chambre de celui ou celle qui organisait la fête. Aucun de nous deux n’était vraiment conscient de ses gestes mais aucun regret, bien au contraire. La soirée continua normalement après ce petit écart et puis finalement, on retombait dans les bras l’un de l’autre au petit matin. Une passion pure et dure, une envie incontrôlable et destructrice. Je n’avais jamais connu ça auparavant et je voulais savoir ce qui se passait, comment gérer ça. Nous étions de la même espèce, ne souhaitant rien de sérieux. Au début, on se croisait par hasard, finissant toujours par nous envoyer en l’air dans des endroits plus incongrus les uns que les autres. Nous nous amusions tout simplement. Et puis des sentiments ont commencé à faire surface. On tombe toujours amoureux de la personne qu’il ne faut pas. Nous n’étions pas vraiment en couple, nous n’étions pas vraiment pas en couple non plus. Nous allions tous deux voir ailleurs quand l’autre n’était pas là, ce qui ne me posait aucun problème au début. Jusqu’à ce que je devienne jaloux des autres personnes qu’elle voyait. Des disputes énormes, plein d’objets cassés et bien souvent, une réconciliation sauvage dans un lit. Ça nous détruisait tous les deux mais j’étais incapable de lui résister, de partir longtemps. Nous avions tout fait ensemble, elle m’avait fait essayé la drogue sans pour autant que je devienne accro comme elle l’était. J’avais peur pour elle mais je ne lui disais rien car je savais que ça menait aux pires disputes. Deux ans comme ça, de peines, de passion, d’amour tout court. Finalement, je pris un jour mon courage à deux mains et je lui demandais quelque chose de sérieux, qu’on essaye d’être vraiment en couple car je l’aimais. Et je savais bien qu’elle était pareille. Nos deux cœurs insensibles s’étaient cognés l’un contre l’autre et avaient trouvé un chemin vers celui de l’autre. Elle ne me donna pas de réponse directement et je pensais qu’elle allait y réfléchir et revenir vers moi. Je ne lui posais aucun ultimatum, nous aurions très bien pu continuer comme ça si elle le souhaitait, je m’en fichais. Seulement, je n’eus plus aucune nouvelle d’elle après ça. Et personne n’en eut jamais d’ailleurs. Elle avait tout simplement disparu. Alors je revenais à mes anciennes habitudes, l’oubliant progressivement. Je crois que je suis devenu encore plus insensible à la suite de ça, ne me souciant plus de faire souffrir les gens autant que je voulais qu’elle, elle souffre. C’était peut-être stupide mais ça a fonctionné. Et malgré tout ça, je parvenais à garder des résultats scolaires excellents, ce qui me permit d’entrer à Harvard il y a trois ans de ça. Une fois que j’aurais mon diplôme et que je serais sénateur, mon père ne pourra pas nier que je suis meilleur que lui. Mais pour le moment, je me fiche pas mal de lui, je profite des joies de la vie étudiante.
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(Invité)
cousine nan ? 
Je ne peux que féliciter ton choix !