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BURN BRIGHTER THAN THE SUN ☼
Le Spring Breack est enfin fini, je dois dire que pour moi c’est un véritable soulagement non pas que être avec Taram était un calvaire loin de là, mais je me sentais mal en Thaïlande. Je ne sais pas les premiers jours je me sentais mal, peut-être la découverte de l’inconnu. Je m’en voulais de ne pas être dans mon état à 100% auprès de Taram. Je lui ai dit hier dans l’Avion que je lui promets un Voyage, un week end rien que lui et moi. J’ai souvent parcouru ce pays quand j’étais plus jeune… Sur le continent d’Afrique existait un pays du nom du Kenya. Alors que ma mère avait fait une mission d’un an là-bas pour donner des cours aux enfants. Mon père décida alors de m’y emmener six mois pour que je puisse être auprès de ma mère et que je prenne conscience de la misère et du malheur qui peut s’abattre sur les gens. Je n’ai pas dit tout de suite la destination de Taram après tout cela restait une surprise. Je voulais passer du temps avec lui et lui faire découvrir une partie de moi que personne ne connait. Cette âme aussi louable qu’une Quincy. Arrivé à Harvard, nous avions dormis dans sa chambre des Lowells comme chaque soir depuis que nous sommes ensemble. J’ai appelé mon père pour lui demander de me préparer un voyage. Je ne connaissais pas tellement les lieux là-bas cela faisait trop longtemps que je n’y suis plus retourné. Mon père m’envoya le tout par mail. Je fis les impressions et tout ce qui concernait le voyage dans le dos de Taram pendant qu’il prenait sa douche. En sortant cela faisait déjà deux jours qu’on était à Harvard. Je lui annonçai alors : « Chaton ? J’espère que tu n’as rien prévus le week end prochain… On part en vacances tous les deux. Pour m’excusé d’avoir eu le mal du pays, J’ai demandé à mon père de nous préparer un voyage dans un pays que je connais depuis mon enfance… Hélas c’est une surprise… ».
Trois jours ce sont passés depuis la nouvelle du voyage, j’ai offert à Taram un voyage inattendu. Nous avons pris un taxi, je lui ai donné pour seul indice de ne pas prévoir énormément de bagages cela ne servirait à rien. Nous avons pris l’avion… Nous étions ensemble pour les sièges. Nous avions regardé un Film. Je ne me souviens pas du film en fait j’ai plus profité de dormir sur l’épaule de Taram qu’autre chose. Je ne sentis même pas le décalage horaire je me suis réveiller comme une fleur, je vous présente le Kenya :
Je vis le paysage limite désertique du Kenya, la beauté de la région du Lac de Nakuru se perdit à perte de vu. J’avais hâte de revenir dans ce village. Je réveillai doucement Taram tant dis que le pilote nous signala que nous allions atterrir à Nakuru. Je lui montrais les merveilles d’une partie de mon enfance…
Quelques minutes plus tard nous avions atterrit. J’étais impatiente, je sentais mon cœur battre à la chamade je me demandais comment allait Taram. Après tout on n’a pas eu le temps de se reposer après le Spring breack. Mais être loin de tout cela nous aurait permis de passer une nuit inoubliable. Les soirs au Kenya sont magique et j’espérais que ça aidera Taram a un peu se laisser aller. Cela faisait deux mois que nous étions ensemble et je me posais des questions sur sa chasteté… Je trouvais cela admirable mais cela me peinait de me dire qu’étant avec lui… Peut-être avait-il peur que je m’en aille après cela, mais cette histoire avec son frère me perturbait je sentais qu’il se sentit mal de la nouvelle qui est tombé si précipitamment. Je m’en voulais de ne pas avoir été à 100% pour là pour l’aider. Nous quittions l’aéroport, un Guide nous accueilli à l’extérieur : « Mademoiselle Redhood ! Je suis heureux que vous soyez là, votre mère m’a prévenu de votre venu à Nakuru. J’espère que vous passerez bon voyage ici parmi nous. » Je me mis à sourire comme quoi ma mère ne savait pas tenir sa langue. Sacré mère. Je pris la main de Taram en remerciant notre Guide et nous montions dans la Jeep. Il nous emmena dans un Camp luxueux. Nous allions à l’accueil. Je donnai les réservations. On nous conduit à la tente :
La tente de loin semblait magnifique. Je ne me souvenais pas que ce fût aussi beau. J’adore la culture africaine et l’architecture Masaï. Je prenais la main de Taram tandis que l’autre tenait ma valise, nous rentrions dans la tente, pas besoin de fenêtre. Il faisait assez chaud et puis les nuits sous une couverture ne sont pas si froides. Je posai la valise contre le lit et je m’asseye un instant. En lui demande : « Alors qu’en penses-tu Chaton ? »
wonderstruck. of atf
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