(TW) Am I really just your ? • Laurys

23/11/2019

Mercredi 3 Mars. 12:30 am

La soirée avait été longue au Lord Hobo. Contrairement à un mardi habituel, il y avait eu beaucoup de clients et tellement de commandes à honorer. Avec les nuits courtes que je passais depuis l’arrivée d’Aurore, je sentais la fatigue cogner en moi. Je savais que, dès que j’aurai terminé le ménage du bar, je me précipiterai chez Summer pour rejoindre mon lit. Ou… Peut-être pas. La soirée avait pris une nouvelle tournure lorsque @Laurys Mickelson était venu s’installer au comptoir comme à son habitude. Je lui avais servi son cocktail préféré avant de m’atteler aux autres commandes. Je sentais son regard se perdre si souvent sur moi. Je sentais ma peau chauffer parce que je savais ce qui allait se passer lorsque les portes seraient closes. Le Lord Hobo avait d’ailleurs fermé ses portes et il n’y avait plus que Côme et moi. Juste nous deux dans les lieux puisque Sana était partie plus tôt et que j’avais accepté de gérer tout seul. Avant même que je puisse faire quoi que ce soit, je me retrouvais bousculé contre l’une des tables du bar avec les lèvres de Laurys accrochées aux miennes. Le baiser m’enflammait me poussant à me presser contre l’ancien mafieux. Les mains glissaient. Le plaisir pulsait. L’envie montait. Une partie des vêtements valsaient laissant les corps se retrouver pour de simples préliminaires parce que j’avais soufflé qu’il pourrait me prendre que lorsque le ménage serait fait. Alors, sans union de nos corps, je me faufilais derrière le bar toujours torse nu avec le pantalon ouvert. Commençant à ranger les lieux, je relevais soudainement la tête lorsque mon téléphone sonnait sur la table aux côtés de Côme. Attelé à ma tâche, je soufflais à l’ancien mafieux « T’veux bien regarder si c’est Summer steuplait ? » sans me douter un seul instant que ce n’était pas Summer qui m’écrivait. Sans me douter que c’était mon Honey qui m’envoyait un message utilisant ce surnom de chaton normalement réservé à Côme.

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
Looking in the mirror, drop of rum on my tongue
(...)
But the blood on my hands scares me to death
Maybe I'm waking up today

(TW) Am I really just your ? • Laurys Sr4b9u7

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(TW) Am I really just your ? • Laurys 714e

my perfect husband:

13/02/2020

Une soirée au Lord Hobo. Tu finissais par y aller de plus en plus souvent. Pour le barman certes, mais pour l'ambiance et les cocktails aussi. Comme à chaque fois tu t'installais au bout du bar, sirotant le cocktail que t'avais fais Neal tout en ne le lâchant pas du regard pendant tout son service. Vous ne parliez pas vraiment, tu ne voulais pas le déranger pendant son service. Non, tu te contentais de le regarder, imaginant se que tu pourrais lui faire une fois les portes fermées. A peine les portes furent-elle fermées que tu te jetais sur le jeune homme, le plaquant contre une table, l'embrassant partout, laissant tes mains se balader le long de son corps, commençant à le chauffer. Cependant, le jeune homme te stoppa dans ton élan, te soufflant que tu pourrais continuer quand il aurait rangé. Un soupire de frustration t'échappa mais tu finis par t'éloigner, le laissant faire son travail pendant que tu continuais de l'observer à moitié nu, luttant pour ne pas te toucher en le voyant aussi sexy. Et puis le téléphone de @Neal T. Hood sonna et ton compagnon te demanda de regarder s'il s'agissait de Summer, au cas où il y aurait un problème avec Aurore. Tu attrapais le téléphone, le déverrouillant pour voir le message. "C'est pas Summer....c'est un certain Honey. Attends je te lis le message : Hey je voulais savoir comment tu allais cha..." La fin du message resta bloqué au fond de ta gorge. Chaton...chaton...??!! Comment ça chaton ??!! D'où il se permettait d'appeler Neal chaton ??!! Ta mâchoire se crispa sous le coup de la colère et tes doigts se serrèrent autour du téléphone de l'italien. T'avais soudain l'impression d'étouffer.

(Côme L. Mickelson)

23/11/2019

Au fil des minutes de ma soirée de travail, je me rendais compte que ma boss avait raison. Lorsque @Laurys Mickelson se trouvait au Lord Hobo, il me fixait longuement. Je n’y avais jamais fait attention jusque là parce que je ne pensais pas que ça pouvait arriver. Surtout pas avec la valse de clients dans les lieux et le choix offert à l’ancien mafieux. Néanmoins, Kassidy avait soufflé qu’il ne faisait que me regarder alors ce soir j’y faisais attention. J’y avais fait attention au point où je sentais le désir cogner en moi avant même la fin de la soirée. Le regard de Côme me donnait tellement chaud que je fus plus que soulagé de fermer les portes du bar. Je n’avais même pas le temps de souffler un mot que Côme était sur moi pour mon plus grand plaisir. Plaqué contre une table, nos lèvres se retrouvaient toujours si amoureuses et envieuses. Les mains du bel Italien glissaient sur mon corps augmentant ma température et me rendant complètement fou. Traversé par un éclair de lucidité, je soufflais au jeune homme que nous irions plus loin lorsque le rangement et le ménage seraient faits. Son soupir de frustration attirait mon sourire. Je la ressentais moi aussi cette frustration. Mais, je savais que si je ne rangeais pas maintenant, je risquais de ne pas être assez en forme pour le faire après et il était hors de question que je revienne demain m’en occuper. Malgré cette frustration, Côme s’éloignait et je m’empressais de m’atteler à mes tâches. Torse nu, pantalon ouvert, je commençais à ranger lorsque mon téléphone attira mon attention en sonnant. Sans la moindre hésitation, je demandais à Côme de regarder au cas où. Si c’était Summer. S’il y avait un problème. L’ancien mafieux répondait à ma demande et je lâchais aussitôt la bouteille que j’étais en train de ranger. J’étais prêt à sauter pour récupérer mon portable. J’étais prêt à souffler au bel Italien de laisser tomber le message. Ce message qu’il était déjà en train de lire s’arrêtant bien trop soudainement après la première syllabe de ce que je supposait être un chaton. Relevant les yeux sur Côme, je voyais sa mâchoire crispée et ses doigts serrés autour de mon portable. Mâchouillant nerveusement ma lèvre, je baissais les yeux sans oser bouger ni même parler. Je restais derrière le bar comme si cet obstacle pouvait me protéger. Et j’attendais en silence. La réaction. La possession. L’explosion.

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
Looking in the mirror, drop of rum on my tongue
(...)
But the blood on my hands scares me to death
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(TW) Am I really just your ? • Laurys Sr4b9u7

my perfect husband:

13/02/2020

Tu avais l'impression que se soir @Neal T. Hood faisait plus attention à toi que d'habitude. En général il ne te regardait pas trop, tu avais même finis par croire qu'il était trop concentré dans son travail pour faire attention à toi. Mais pas se soir. Se soir, il te rendait tes regards. Tu sentais ses yeux sur toi, ses yeux qui brûlaient de désir. Cela t'avais excité toute la soirée, alors quand enfin vous aviez été seuls, tu l'avais plaqué contre une table et tu avais commencé à le caresser. Cependant, il avait finit par t'arrêter, finissant par te dire qu'il devait ranger d'abord. Et même si tu n'avais pas du tout envie de le lâcher, tu finis par le faire. Restant assis sur l'une des tables en attendant que le rouquin ai terminé. Un message arriva alors et comme Neal pensait qu'il s'agissait de Summer tu t'empressais de lire le message. Mais évidemment se n'était pas elle. C'était un certain Honey. Un certain Honey qui appelait Neal chaton. Immédiatement, la colère s'empara de toi. Le silence se fit dans la salle. Tu finis par te décoller de la table où tu étais t'approchant du bar, passant derrière pour te retrouver devant le jeune homme qui ne bougeait plus, les yeux au sol. Tu posais le téléphone sur le comptoir un peu brusquement. "Chaton ??" Ton ton était dur. Tu te détournais de lui attrapant une bouteille de whisky pour t'en servir un verre que tu avalais d'une traite avant de le reposer sèchement sur le bar. Tu lançais un regard en coin au jeune homme qui n'avait toujours pas bouger. Et là s'en était trop pour toi. "Bordel Neal ??!! Chaton ??!! Chaton !! T'es sérieux là ??!!" Et voilà, les vannes étaient ouvertes, ta jalousie n'avait plus de barrière, elle avait besoin de sortir. "J'arrive pas à le croire !! Sérieux !! Merde !! Et ça veut dire quoi ça ?? Que c'est à lui que tu pense quand je t'appelle comme ça ?? Que c'est pour ça que tu aimes ce surnom ?? C'est lui que tu vois et que tu entends quand je te dis ça ??!! C'est ça ??!! Répond !!" Tu étais tellement en colère que le verre que tu tenais entre tes mains finit par se briser tellement tu le serrais fort entre tes doigts, mais à vrai dire tu ne t'en aperçu même pas, trop énervé pour t'en rendre compte.

(Côme L. Mickelson)

23/11/2019

L’agréable tension de regards et de frissons avait pris fin lorsque le moment chaud avait pu s’inviter une fois les portes du bar fermées. Avoir @Laurys Mickelson contre moi était dévastateur. Ça me faisait chavirer. Ça m’allumait. Malgré l’envie grandissante et le désir présent, je marmonnais quelques mots pour mettre fin à cet instant. Il fallait que je m’occupe du ménage avant de laisser Côme s’occuper de moi parce que je savais qu’une fois le corps à corps terminé, je n’aurais plus envie de ranger. Alors, nous devions attendre. Je m’empressais de m’atteler à ma tâche ne la quittant même pas pour voir le message reçu. Je chargeais Côme de cet acte et c’était une erreur lorsque j’entendais de qui venait le message. Posant tout, j’étais prêt à agir pour attraper mon mobile. Mais, il était déjà trop tard. Côme avait lu le surnom et l’explosion arrivait. Je n’osais plus bouger de derrière le bar. Je n’osais pas ouvrir la bouche. Je n’osais même pas lever les yeux pour observer le comportement de Côme. Un comportement que je prévoyais comme trop possessif. Un comportement qui n’allait pas tarder à résonner dans le bar vide. Mâchouillant nerveusement ma lèvre, je reculais lorsque Côme me rejoignait derrière le comptoir. Mon téléphone était posé sur le comptoir de façon brusque et l’interrogation tombait. Une interrogation face à laquelle je restais silencieux. J’entendais Côme se servir à boire avant qu’il n’explose de nouveau. Mes yeux se fermaient. Je me tassais. Je n’avais pas l’habitude de ce ton aussi dur. C’était plus violent dans les mots que ce que j’aurai pensé… Si ça avait été violent dans les gestes ou dans le sexe, j’aurai su m’adapter. Là, je ne savais pas et je restais la tête basse et les yeux fermés plongé dans mon silence. Même lorsqu’il me demandait de répondre. Je sursautais en entendant du verre se briser. Relevant la tête, je voyais le verre de Côme cassé sur le comptoir et je marmonnais un « T’vas devoir payer… » Ma langue glissait sur mes lèvres. Je triturais mes mains entre elles. Désignant le verre de la tête, je rajoutais « Le whisky… Le verre… Faudra payer… » Ouais, parce que je ne pouvais pas me permettre de payer ça de ma poche. Étrangement le fait d’oser ouvrir la bouche pour souffler ces mots me donnaient du courage. M’appuyant sur mes deux mains, je sautais pour poser mes fesses sur le comptoir avant de relever les yeux sur Côme. Il voulait des réponses à ses questions. Il allait être servi. Yeux plantés dans les siens, je soufflais « Et si c’était le cas hein ? » Haussant un sourcil provocateur, je jouais dangereusement avec mes mots. Avec ces propos qui venaient faire croire que mon Honey – Caesar – était celui à qui je pensais quand le chaton résonnait. Agitant doucement mes jambes dans le vide, je reprenais « J’aime ce surnom ouais… J’aime que tu l’utilises… J’aime qu’il l’utilise… Mais, quand c’est toi qui l’utilises Côme, c’est à toi que je pense… Enfin, si tu as envie que je pense à un autre je peux le faire… » La provocation s’étendait en même temps que le sourire amusé sur mon visage. J’osais aller encore plus loin laissant ma main glisser de mon torse dénudé à l’intérieur de mon pantalon. Mes doigts glissant sur mon désir alors que mes lèvres venaient former le Honey de façon aussi distincte que provocatrice. Allez Côme... Montre-moi à qui je suis...

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
Looking in the mirror, drop of rum on my tongue
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But the blood on my hands scares me to death
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(TW) Am I really just your ? • Laurys Sr4b9u7

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13/02/2020

Tout était parfait, vous vous étiez retrouvé seuls, les choses commençaient à devenir sensuelles entre vous, jusqu'à se que @Neal T. Hood te dise qu'il devait finir son boulot d'abord et que tu le laisse faire de mauvaise foi. C'est là que tout à dérapé. A cause d'un simple message. Un message que tu aurais préféré ne jamais lire. C'était plus fort que toi. Tu ne supportais pas de savoir qu'un autre que toi l'appelait comme ça. Tu ne contrôlais plus ta colère, ni tes mots, ni tes gestes. Ce qui expliqua que le verre de whisky s'éclata entre tes doigts. Et la seule chose que le rouquin trouva à dire se fut que tu devais payer le verre et la consommation. Tu sortis un billet que tu déposais sur le comptoir en sifflant entre tes dents : "Tiens. T'auras qu'à garder se qu'il reste comme pourboire." Tu finis par te diriger vers l'évier pour passer ta main sous l'eau, histoire de nettoyer les dégâts et de pas avoir besoin de passer à l'hôpital après. Tu étais concentré sur ta blessure quand la voix de Neal résonna dans le pub. Tu relevais alors la tête fronçant les sourcils. Une partie de toi était rassuré parce que c'est à toi qu'il pensait et pas à un autre, tu n'aurais pas supporté ça. Cependant la provocation qui suivit te crispa, te faisant serrer la mâchoire. Tu ne devais pas céder, tu savais qu'il te provoquait. Tu savais qu'il voulait te rendre jaloux. Et pourtant lorsque tu reconnu le nom qui franchissait ses lèvres tandis qu'il descendait sa main tes résolutions volaient en éclats. Tu te rapprochais du comptoir à toute vitesse. Tu attrapais sa main avec la tienne, retenant une grimace parce qu'elle te faisait un peu mal. "Je t'interdis t'entend ?? Je t'interdis de prononcer son nom en te touchant ou de penser à lui pendant que tu te caresse !!" Non hors de question, il y a des limites à se que tu peux supporter. "Je t'interdis de penser à lui ou à qui que se soit d'autre quand tu es avec moi. T'es à moi t'entend ?? A moi et à personne d'autre !!" Tu plongeais ton regard dans le sien pendant un instant pour lui dire que tu ne plaisantais pas, que t'avais pas envie de plaisanter. Puis tu finis par l'embrasser sauvagement, glissant tes mains dans ses cheveux, t'y accrochant comme à une bouée de sauvetage. Entre deux baisers affamés tu murmurais : "Dis le. Dis moi à qui tu es Neal...dis le moi..." T'avais besoin de l'entendre, d'être rassuré, parce qu'au fond se n'étais que ça la raison de ta colère : tu avais tout simplement peur...

(Côme L. Mickelson)

23/11/2019

Comme je l’avais si bien prévu, l’explosion débarquait au sein du Lord Hobo. Trop rapidement, Côme se trouvait derrière le bar à déposer mon téléphone avec bien trop de force sur le comptoir. Je sursautais une première fois sur le coup avant de fermer les yeux sous la force de l’explosion. Les mots glissaient et je détestais ça. Je haïssais ce type d’explosion. J’avais du mal à les encaisser. Un nouveau sursaut s’emparait de moi lorsque un bruit de verre se brisant résonnait dans le bar. Je relevais la tête pour apercevoir les dégâts avant de lâcher un commentaire à demi-mots. Un commentaire à propos de ce verre et de l’alcool pris. Un commentaire à propos de l’argent que Côme me devait maintenant. L’ancien mafieux sortait un billet qu’il déposait sur le comptoir sifflant les mots froids entre ses dents. Mes prunelles s’arrêtaient sur le billet un instant. Je savais qu’il finirait dans la caisse du bar uniquement. Payer le whisky. Payer un nouveau verre. Et peut-être payer pour quelques verres pour moi. J’en aurai sans doute bien besoin avant de quitter les lieux. Alors que Côme passait sa main sous l’eau, je m’installais assis sur le comptoir m’amusant lentement à provoquer le jeune homme. Je jouais un jeu bien trop dangereux. Je le savais parfaitement. Ça m’amusait totalement. Les mots tombaient comme une provocation absolue. Une provocation qui sombrait bien plus loin lorsque ma main glissait sur mon désir dans mon pantalon en laissant un autre surnom se dessiner entre mes lèvres. Un surnom qui n’appartiendrait jamais à Côme. Un surnom qui ne le reflétait pas. Le bel Italien s’approchait à toute vitesse accentuant le sourire amusé sur mon visage. Sa main attrapait la mienne comme pour m’empêcher de me toucher. Je sifflais sous la poigne soudaine que je n’avais pas prévu. Les mots tombaient entre nous. L’interdiction cognait face à moi. La possession pulsait me faisant me sentir si bien. J’étais à Côme. Et, même si tout mon être avait envie d’acquiescer à ces mots, je répliquais « J’pense à qui je veux quand je me caresse ! » avant de lui tirer la langue comme le gamin boudeur que je jouais à l’instant. Mon regard croisait celui de Côme et je voyais bien qu’il ne voulait pas plaisanter ce soir. Mais, moi ça me faisait rire. Moi ça me faisait du bien. Je me sentais vivant à obtenir cette réaction si vive. Les lèvres de Côme venaient attraper les miennes pour un baiser sauvage. Ses mains glissaient dans mes cheveux s’accrochant aux mèches alors que mes propres doigts venaient serrer le bord du comptoir pour ne pas défaillir. Pour ne pas glisser trop loin dans le rêve parfait. Je répondais au baiser affamé entendant la demande de Côme lorsque nos lèvres se quittaient. Je n’avais pas le temps de répondre qu’il revenait à la charge. Je n’avais pas le temps de répondre que j’acceptais de plonger moi aussi. Lorsque le souffle manquait, je m’éloignais à peine pour souffler « Je suis… » Mordillant ma lèvre comme un enfant en pleine réflexion, je plongeais mes prunelles dans les siennes avant de reprendre « J’suis à toi Côme… Parfois… » Le sourire amusé reprenait place sur mes traits. La provocation s’invitait une nouvelle fois. Le jeu prenait plus de place alors que je continuais « Parfois j’suis à ce Honey qui m’appelle chaton… » Ma langue glissait sur mes lèvres. Ma tête se penchait sur le côté. Et je ne le quittais pas des yeux. Soumis attentif aux futures réactions de son dominant.

@Laurys Mickelson

(Neal T. Hood-Spritz)

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13/02/2020

Pourquoi est-ce que ça t'énervais autant au juste ?? C'était un surnom. Non...c'était ton surnom. Celui que tu lui avais donné en Italie, un surnom qui représentait tellement plus que juste le nom "chaton". Et tu supportais pas qu'un autre l'utilise, lui murmure à l'oreille quand il le touchait, quand il l'embrassait, quand ils s'endormaient après avoir fait l'amour. C'était trop dur à supporter. Voilà pourquoi tu étais énervé et en colère. Voilà pourquoi tu avais eu besoin d'un verre. Verre que tu comptais payer évidemment, même si @Neal T. Hood se chargea de te le rappeler. Il s'amusait à te provoquer et tu savais que ça allait marcher. Tu ne pu t'empêcher de lui lancer un regard noir en relevant la tête dans sa direction tandis qu'il commençait à vouloir se toucher en parlant de ce mec. Un grognement t'échappa malgré toi avant que tu te précipite presque contre le jeune homme pour l'empêcher de continuer son manège. Son comportement t'énervais au plus au point et dieu sait que si le jeune homme en face de toi n'avait pas été Neal il y aurait longtemps que tu lui aurait fait passer l'envie de s'amuser comme ça avec toi. Mais voilà. C'était Neal. Tu soupirais en attrapant son menton tu bout des doigts sans lâcher sa main de la tienne. "Tu pense à qui tu veux quand tu es seul. Tu pense à qui tu veux quand les autres te touche. Mais quand je suis là...je refuse que tu pense à quelqu'un d'autre que moi..." L'ordre était tombé avant que tu ne l'embrasse violemment comme pour évacuer ta frustration. Tu t'accrochais désespérément à ses cheveux, comme si cela allait t'empêcher de sombrer totalement dans la colère. Parce que même si tu étais énervé, tu ne lui en voulais pas tant que ça, tu ne voulais pas lui faire mal, tu voulais juste qu'il comprenne. Alors tu lui demandais de te dire se que tu voulais entendre. Chose qu'il ne fit qu'à moitié pour ton plus grand déplaisir. Tu grognais de nouveau t'éloignant un peu du jeune homme. "Tu joue un jeu dangereux là Neal. Tu le sais n'est-ce pas ??" Oui parce qu'à force de te provoquer comme ça il allait finir par vraiment réveiller ton côté dominant et tu risquais de ne plus pouvoir te retenir du tout et tu voulais juste être sûr qu'il était conscient des risques.

(Côme L. Mickelson)

Laurys Mickelson

And I remember you. I remember the first time you came up in the family, just a scared little kitty who couldn't even remember his own name. I knew I would follow you anywhere. And I have. Always.

23/11/2019

@Laurys Mickelson

(Neal T. Hood-Spritz)

I thought I saw the devil, this morning
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13/02/2020

(Côme L. Mickelson)

Laurys Mickelson

And I remember you. I remember the first time you came up in the family, just a scared little kitty who couldn't even remember his own name. I knew I would follow you anywhere. And I have. Always.

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